Voir la source de 20e régiment d'artillerie

{{Titre mis en forme|{{20e|régiment}} d'artillerie}}
{{voir homonymes|20e régiment{{!}}{{20e|régiment}}}}
{{ébauche|unité militaire|française}}
{{Infobox Unité militaire
 | nom_unite             = {{20e|régiment}} d'artillerie
 | image                 = 1870. - 20. Artillerie-Regiment zu Pferd und 16. Artillerie (Pontonniere)-Regiment zu Strassburg.jpg
 | legende               = Un sous-officier du {{20e|régiment}} d'artillerie à cheval en tenue de parade (au centre) à [[Strasbourg]] en 1870. Dessin d'[[Henry Ganier|Henry Ganier-Tanconville]].
 | creation              = '''[[1860]]'''
 | dissolution           = '''[[1996]]'''
 | pays                  = {{france}}
 | allegeance            = 
 | branche               = [[Armée de terre (France)|Armée de Terre]]
 | type                  = [[régiment]] d'[[artillerie]]
 | role                  = 
 | faitpartie            = 
 | enfaitpartie          = 
 | garnison              = [[Poitiers]]
 | ancien_nom            = {{20e|régiment}} d'artillerie nord-africain
 | surnom                = 
 | couleurs              = 
 | honneur               = 
 | devise                = 
 | marche                = 
 | mascotte              = 
 | inscriptions          = <small> '''[[Siège de Sébastopol (1854-1855)|Sébastopol 1854-1855]]<br /> [[bataille de Solférino|Solférino 1859]]<br />[[Bataille de Verdun|Verdun 1916]]<br />[[Bataille de l'Aisne (1918)|L'Aisne 1918]]<br />[[bataille de la Serre|La Serre 1918]]<br /> [[guerre d'Algérie|AFN 1952-1962]]'''</small>
 | anniversaire          = 
 | guerres               = [[Première Guerre mondiale]]<br />[[Guerre d'Algérie]]<br />[[Guerre du Liban]]<br /> [[Guerres de Yougoslavie|Guerre des Balkans]]
 | batailles             = 
 | fourragere            = 
 | decorations           = [[Croix de guerre 1914-1918 (France)|Croix de guerre 1914-1918]]
 | equipement            = 
 | commandant            = 
 | commandant_historique = 
}}
Le '''{{20e|régiment d'artillerie}} '''  ({{20e|RA}}) est une [[Liste des régiments d'artillerie français|unité]] d'[[artillerie]] de l'[[armée française]] créée en [[1860 en France|1860]] et dissous depuis [[1996]].

== Création et différentes dénominations ==
* 1860 : {{20e|régiment d'artillerie à cheval}}
* [[Réorganisation des corps d'artillerie français (1873)|1872]] : {{20e|régiment d'artillerie}}
* 1875 : {{20e|régiment d'artillerie de campagne}} ({{20e|RAC}})
* 1919 : [[Régiment de marche]] n°20/220
* 1919 : {{20e|régiment d'artillerie de campagne}} ({{20e|RAC}})
* 1924 : {{20e|régiment d'artillerie divisionnaire}} 
* 1936 : {{20e|régiment d'artillerie nord-africaine}} 
* 1945 : Artillerie des Forces Françaises de Loire-Inférieure
* 1945 : {{20e|régiment d'artillerie}} 
* 1945 : {{20e|régiment d'artillerie aéroportée}} 
* 1947 : {{20e|groupe d'artillerie parachutiste}}
* 1963 : {{20e|régiment d'artillerie}}

== Chefs de corps ==
{{colonnes|nombre=4|
* {{Date|11|juin|1860}} : Antoine Jean Léon Tellier
* 1865 : colonel Alouveau de Montréal
* {{Date|23|janvier|1866}} : Jules François Petitpied
* 1875 : colonel Mallarmé
* 1878 : colonel Gougis
* 1884 : colonel de Maillier
* 1889 : colonel Bombard
* 1891 : colonel de Tristan
* 1896 : colonel Segondat
* 1899 : colonel de Saxce
* 1902 : colonel de La Guillonnière
* 1905 : colonel Saint-Yves
* 1907 : colonel Compagnon
* 1909 : colonel Camon
* 1913 : colonel Besse
* 1914 : lieutenant-colonel Lafont
* 1916 : lieutenant-colonel Girard
* 1917 : lieutenant-colonel Bacot
* 1917 : lieutenant-colonel Maury
* 1918 : lieutenant-colonel Gazel
* 1919 : lieutenant-colonel Bacot
* 1919 : colonel Debarre
* 1920 : lieutenant-colonel Bacot
* 1922 : chef d'escadron Chone
* 1923 : lieutenant-colonel  Chanson
* 1924 : colonel Merveilleux du Vigneau
* 1924 : colonel Vetelay
* 1927 : colonel Rouhier 
* 1936 : colonel Ferré
* 1937 : colonel Noirot-Nerin
* 1939 : lieutenant-colonel Malmary
* 1945 : lieutenant-colonel Blanquefort
* 1945 : colonel Geze
* 1946 : colonel Capello
* 1947 : lieutenant-colonel Millet
* 1955 : chef d'escadron Millot
* 1956 : chef d'escadron Perrin
* 1958 : chef d'escadron Queirard
* 1960 : chef d'escadron Casteignet
* 1961 : chef d'escadron Leturc
* 1961 : chef d'escadron Marty
* 1965 : colonel Ribaud
* 1967 : lieutenant-colonel Villegier
* 1969 : lieutenant-colonel Jacques Augustin
* 1971 : lieutenant-colonel Pages
* 1973 : colonel Aristide Cortal
* 1975 : lieutenant-colonel Maurice Poirier
* 1977 : colonel Bruno Gilbert
* 1979 : colonel Etienne Maurence
* 1981 : colonel Michel Dunant
* 1983 : colonel Robert Davi
* 1985 : colonel Jean-Pierre de Valence de Minardière
* 1987 : colonel Jacques Fray
* 1989 : lieutenant-colonel Jacques Guillez
* 1991 : colonel Yves Guilloux
* 1993 : colonel Claude Dervaux
* 1995 : lieutenant-colonel Jean-Claude Gruat
}}

== Historique des garnisons, combats et batailles ==

=== Second Empire ===
C'est l'ancien [[7e régiment d'artillerie (France)|{{7e|régiment d'artillerie}}]], qui, après avoir porté le titre de [[16e régiment d'artillerie|{{16e|régiment d'artillerie à cheval}}]] de [[1854 en France|1854]] à [[1860 en France|1860]], prend le {{numéro|20}} sous le nom de « {{20e|régiment d'artillerie à cheval}} » à l'organisation du {{Date|18|février|1860}}<ref name="H">{{Lien web |titre=020-Historique du 20ème Régiment d'artillerie |url=https://artillerie.asso.fr/basart/article.php3?id_article=454 |site=artillerie.asso.fr |consulté le=2021-02-22}}</ref>{{,}}<ref name="G1870">{{Ouvrage|auteur1=Maurice Loir|titre=Au drapeau ! Récits militaires extraits des mémoires de G. Bussière et E. Legouis, du Cte de Ségur, du maréchal Masséna, du général Vte de Pelleport,... et des journaux|éditeur=|année=1897|pages totales=313|passage=300|lire en ligne=https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6350817b/f322.image}}</ref>. Il est composé d'un [[état-major]] et de 12 batteries de 6 pièces d'artillerie. 

On le trouve en garnison à [[Valence (Drôme)|Valence]] en [[1860 en France|1860]], à [[Metz]] en [[1862 en France|1862]], à [[Besançon]] en [[1866 en France|1866]], et à [[Strasbourg]] en [[1868 en France|1868]]. 

En [[1868 en France|1868]] le régiment est en réserve d’artillerie du corps d'[[Armée du Rhin (1870)|armée du Rhin]], en garnison à [[Strasbourg]].

Lors de la [[guerre franco-allemande de 1870]], les différentes batteries du régiment sont engagées dans :
* L'[[Armée du Rhin (1870)|armée du Rhin]] ou elles participent à la [[Bataille de Frœschwiller-Wœrth (1870)|bataille de Reichshoffen]], au [[siège de Bitche]] et durant le [[Siège de Metz (1870)|siège de Metz]] à la [[bataille de Gravelotte]].
* L'[[armée de Châlons]] ou elles se trouvent à la [[bataille de Sedan]]
* L'[[armée de la Loire]] ({{13e}} et 1{{4e|batteries}}) ou elles combattent à la [[bataille de Coulmiers]].
[[Traité de Francfort|Lors de l'armistice]] quelques batteries se trouvent à [[Lyon]] ou le régiment est reconstitué le {{date|16|avril|1871}}

=== 1871 à 1914 ===
Le régiment est en garnison à [[Bourges]] en [[1871 en France|1871]], à [[Rennes]] en [[1872 en France|1872]] et à [[Poitiers]] en [[1874 en France|1874]]. 

Le {{Date|20|avril|1872}} il cesse d'être régiment à cheval et devient le « {{20e|régiment d'artillerie}} ». Il conserve 2 batteries à cheval et cède les autres aux [[7e régiment d'artillerie (France)|{{7e}}]], [[8e régiment d'artillerie|{{8e}}]] et [[28e régiment d'artillerie|{{28e|régiments d'artillerie}}]], et reçoit en échange 5 batteries à pied ou montées du [[7e régiment d'artillerie (France)|{{7e|régiment d'artillerie}}]] et 3 batteries du [[10e régiment d'artillerie|{{10e|régiment d'artillerie}}]].  

En [[Réorganisation des corps d'artillerie français (1873)|1873]], il fait partie de la {{9e|brigade d'artillerie}}, garde 8 de ses batteries, reçoit 1 batterie du [[7e régiment d'artillerie (France)|{{7e|régiment d'artillerie}}]] et 1 batterie du [[24e régiment d'artillerie|{{24e|régiment d'artillerie}}]] et cède 3 batteries à chacun des régiments numérotés [[21e régiment d'artillerie|21]], [[31e régiment d'artillerie|31]] et [[33e régiment d'artillerie|33]].<br>
Cette même année, il forme les artilleurs des [[31e régiment d'artillerie|31{{e}}]] et [[33e régiment d'artillerie|{{33e}} RAC]].

En [[1895 en France|1895]]-[[1896 en France|1896]] un détachement du régiment, composé de 2 sous-officiers et de 26 hommes, participe à l'[[expédition de Madagascar]]

En [[1897 en France|1897]] le régiment est chargé d'expérimenter les nouveaux [[canon de 75 mm modèle 1897|canons de 75 Modèle 1897]]

En [[1900 en France|1900]]-[[1901 en France|1901]] 3 batteries sont envoyées en [[Chine]] pour contribuer à mater la [[révolte des Boxers]] et participent aux combats de Che Maen et de Tze Ouen.

En [[1907 en France|1907]] le régiment forme les artilleurs du [[39e régiment d'artillerie|{{39e}} RAC]]

=== [[Première Guerre mondiale]] ===
{{Section vide ou incomplète}}
Les '''{{20e}}''' régiment d'artillerie de campagne est en casernement à [[Poitiers]].

Affectation : {{9e|brigade d'artillerie}} (en temps de paix), artillerie de la [[17e division d'infanterie (France)|{{17e|division d'infanterie}}]] (guerre).

Au début de la guerre, le {{20e}} RAC est composé 4 groupes : <br />
- 3 groupes de [[Canon de 75 mm modèle 1897|canons de 75 modèle 97]], chaque groupe étant composé de 3 batteries à 4 pièces.
Ces 3 groupes constituent l’artillerie divisionnaire de la [[17e division d'infanterie (France)|{{17e|division}} d’infanterie]]<br />
- 1 groupe d’[[obusier]]s de {{unité|155|mm}} qui constitue l’artillerie divisionnaire de la [[59e division d'infanterie (France)|{{59e|division}} d’infanterie]]

Les {{1er}} et {{2e|groupes}} sont envoyés dans le Nord de la France tandis que le {{3e|groupe}}, transporté en Lorraine participera à la [[Bataille de Morhange (1914)|défense de Morhange]]
 
==== 1914 ====
;[[Bataille des Frontières]]
* [[23 août]] : les {{1er}} et {{2e|groupes}}, de Lesquen et Bourdiaux, protègent la retraite du [[77e régiment d'infanterie (France)|{{77e|régiment}} d'infanterie]] aux environs d'[[Houdremont]] en [[Belgique]] puis se replient.
* [[24 août]] : le {{3e|groupe}} soutient les fantassins du [[114e régiment d'infanterie (France)|{{114e|régiment}} d'infanterie]] qui s'emparent de [[Réméréville]] et [[Herbéviller]]
* [[24 août]] : le {{3e|groupe}} canonne les troupes allemandes qui cherchent à reprendre les deux villages.


;[[Grande Retraite]]
* [[30 août]] : bataille de [[Faux (Ardennes)|Faux]]
* [[1er septembre]] : à [[Juniville]], le {{20e}} pris à partie par une artillerie ennemie supérieure, décroche avec les autres troupes françaises en début de soirée en direction de [[Reims]]
* [[5 septembre]] : les premiers éléments arrivent à [[Fère-Champenoise]] et commencent à se positionner en vue d'arrêter l'envahisseur.
* [[6 septembre|6]]-[[8 septembre]] : les groupes de Lesquen et Bourdiaux du {{20e}} d'artillerie prennent position dans les environs de [[Bannes (Marne)|Bannes]], au [[mont d'Août]]<ref>[http://www.la-defaite-oubliee.com/article-le-mont-aout-marne-51166341.html LE MONT AOUT ( Marne ).]</ref> et les [[marais de Saint-Gond]] aux côtés du {{3e|groupe}} (Lavenir) du {{33e}} RAC. Ils déciment les régiments de la Garde prussienne qui tente de traverser les marais.

* Le [[5 septembre]], le {{3e|groupe}} est relevé.
 

;[[Première bataille de la Marne]]
* [[8 septembre]] :
** Le {{3e|groupe}} arrive à [[Troyes]] où il est débarqué et dirigé à marche forcée sur [[Connantre]].
** Pour les {{1er}} et {{2e|groupes}}, le choc est violent. L'infanterie française débordée par la supériorité numérique allemande recule. L'artillerie se positionne alors au Nord de [[Linthes]], balaye l'ensemble du plateau attaqué par l'infanterie de la Garde prussienne. La Garde, qui attaque toujours pour dégager la place à son artillerie, arrive à {{unité|800|mètres}} des canons français qui résistent jusqu'à l'arrivée de la [[12e division d'infanterie (France)|{{12e|division}}]]. Les attaques combinées du {{20e}} RAC et de la {{12e}} DI rejettent les troupes de la Garde dans les marais et détruisent son artillerie.
* [[9 septembre]] :
** Le front ayant changé, le {{3e|groupe}} se replie sur [[Gourgançon]] mais retrouve les deux autres groupes en fin de journée vers [[Prosnes]]. La division entière se déploie, et les efforts combinés des troupes françaises rejettent l'ennemi qui bat en retraite le soir venu.

==== 1915 ====

==== 1916 ====
* [[Bataille de Verdun|Verdun 1916]]

==== 1917 ====

==== 1918 ====
* [[Bataille de l'Aisne (1918)|L'Aisne 1918]]
* [[bataille de la Serre|La Serre 1918]]

=== Entre-deux-guerres ===
{{Section vide ou incomplète}}
En 1924, le {{20e|régiment}} d'artillerie divisionnaire est renforcé par le [[109e régiment d'artillerie lourde|{{109e}} RAL]] [[Réorganisation des corps d'artillerie français (1924)|dissous]]. Il est rattaché au [[9e corps d'armée (France)|{{9e|corps}} d'armée]] et caserné à [[Poitiers]]<ref>{{Article|langue=|auteur1=|titre=Regroupement des unités d'artillerie|périodique=[[Revue d'artillerie]]|pages=95-101|date=janvier 1924|issn=|lire en ligne=https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9666738n/f99.item|id=Revue d'artillerie}}</ref>, au quartier de la Vieille Chauvinerie.

=== Seconde Guerre mondiale ===
{{Section vide ou incomplète}}
Le {{20e|régiment}} d'artillerie nord-africaine est commandé le {{date-|10 mai 1940}} par le lieutenant-colonel Malmary et constitue le régiment d'artillerie divisionnaire de la [[3e division d'infanterie nord-africaine|{{3e|division}} d'infanterie nord-africaine]] qui a la charge depuis avril du secteur de [[Mouzon (Ardennes)|Mouzon]] ([[secteur fortifié de Montmédy]]) en remplacement de la [[71e division d'infanterie (France)|{{71e|division}} d'infanterie]]<ref>{{Ouvrage | langue=fr | prénom1=Jean-Yves | nom1=Mary | titre=Le corridor des Panzers | sous-titre=Par delà la Meuse 10 - 15 mai 1940 | tome=I | lieu=Bayeux | éditeur=[[Éditions Heimdal|Heimdal]] | année=2009 | pages totales=462 | passage=25 | isbn=978-2-84048-270-3 | isbn2=2-84048-270-3}}.</ref>.

=== De 1945 à nos jours ===
* [[guerre d'Algérie|AFN 1952-1962]]

* Régiment dissous en 1996.
*Rattaché à la [[15e division d'infanterie (France)|15e division d’infanterie]] 
* 4 batteries de {{unité|155|mm}} 
*Basé à [[Poitiers]], au quartier [[Paul de Ladmirault|Ladmirault]].
* Comme régiment soutien du [[33e régiment d'artillerie|{{33e}} régiment d'artillerie]].
* Dernière appellation : {{20e}} Régiment d'artillerie.
* Matériel : [[Obusier de 155 mm modèle 1950|Obusier tracté 155 BF 50]].
* A participé à la [[FINUL]] ([[Liban]]) et à la [[FORPRONU]] ([[Bosnie-Herzégovine]]) [[1992]]-[[1993]] dans la poche de [[Bihac]].

== Étendard ==
''Il porte, cousues en lettres d'or dans ses plis, les inscriptions suivantes<ref>Décision {{n°|12350}}/SGA/DPMA/SHD/DAT du 14 septembre 2007 relative aux inscriptions de noms de batailles sur les drapeaux et étendards des corps de troupe de l'armée de terre, du service de santé des armées et du service des essences des armées, Bulletin officiel des armées, {{n°|27}}, 9 novembre 2007</ref>{{,}}<ref>Arrêté relatif à l'attribution de l'inscription AFN 1952-1962 sur les drapeaux et étendards des formations des armées et services, du 19 novembre 2004 (A) NORDEF0452926A Michèle Alliot-Marie</ref>:

* [[Siège de Sébastopol (1854-1855)|Sébastopol 1854-1855]]
* [[bataille de Solférino|Solférino 1859]]
* [[Bataille de Verdun|Verdun 1916]]
* [[Bataille de l'Aisne (1918)|L'Aisne 1918]]
* [[bataille de la Serre|La Serre 1918]]
* [[guerre d'Algérie|AFN 1952-1962]]

== Décorations ==

Le '''{{20e|régiment}} d’artillerie de campagne''' reçoit la fourragère aux couleurs du ruban de la [[Croix de guerre 1914-1918 (France)|Croix de guerre 1914-1918]] le {{date|16 janvier 1919}}<ref>[http://www.france-phaleristique.com/fourrag.htm Les fourragères]</ref>.

== Sources et bibliographie ==
* {{Ouvrage |titre=Historique du {{20e|régiment}} d'artillerie |lieu=Paris |éditeur=Librairie Chapelot |année= |pages totales=43 |isbn=}}, {{gallica|n=bpt6k6420669s}}.
* [https://artillerie.asso.fr/basart/article.php3?id_article=454    Historique du 20e Régiment d'artillerie]
* [[Louis Susane]] : [https://play.google.com/books/reader?id=2axJAAAAIAAJ&pg=GBS.PP1&hl=fr   ''Histoire de l'artillerie Française'']
* Historiques des corps de troupe de l'armée française (1569-1900)
* [https://artillerie.asso.fr/basart/article.php3?id_article=377    Chefs de corps du 20°RA]

== Personnalités ayant servi au {{20e}} RA ==

* [[Paul Héroult]], [[physicien]], comme engagé volontaire dans les années 1880.
* [[Jean Dreyfus]], [[Compagnon de la Libération]].
* [[Paul Parraud]], [[général de corps d'armée]], comme officier de tir en 1962.

== Notes ==
{{Références}}

== Voir aussi ==
=== Articles connexes ===
* [[division militaire]]
* [[Liste des régiments français]]
* [[Grades de l'armée française]]
* [[Régiment d'artillerie français]]

=== Liens externes ===
* [http://www.pages14-18.com/B_PAGES_HISTOIRE/HISTORIQUES_FRANCAIS/ARTILLERIE/RAC020_Histo.pdf Historique du {{20e|régiment}} d'artillerie pendant la première guerre mondiale]



 
<!-- métadonnées -->

{{Palette|Régiments d'artillerie français}}

{{Portail|Armée française|Première Guerre mondiale|Seconde Guerre mondiale}}
{{DEFAULTSORT:Artillerie, 020}}

[[Catégorie:Unité d'artillerie française dissoute]]
[[Catégorie:Unité ou formation militaire dissoute en 1996]]