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« Grève du Joint français » : différence entre les versions

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* [http://www.ina.fr/archivespourtous/index.php?vue=notice&id_notice=CAF96024883 Documentaire vidéo sur le site de l'INA]
* [http://www.ina.fr/archivespourtous/index.php?vue=notice&id_notice=CAF96024883 Documentaire vidéo sur le site de l'INA]
* [http://www.ina.fr/fresques/ouest-en-memoire/video/Region00553/a-saint-brieuc-greve-a-l-usine-de-joint-francais La grève à l'usine de Joint Français] extrait du Journal de 13h sur France inter le 06/04/1972

* [http://www.ina.fr/fresques/ouest-en-memoire/video/Region00054/fin-de-la-greve-au-joint-francais-a-saint-brieuc Fin de la grève du Joint Français] extrait du JT du 8/05/1972
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Version du 29 juillet 2010 à 10:45

La grève du Joint Français est une grève des ouvrières de l'usine du "Joint français" (filiale de la Compagnie générale d'électricité) à Saint-Brieuc qui durera huit semaines. Elle commence le et s'achève le , la direction ayant cédé aux revendications.

Les revendications portent essentiellement sur une égalisation des salaires avec ceux de la maison mère de Bezons, dans le Val-d'Oise, supérieurs d'environ 20% à travail égal. Ce qui caractérisa ce conflit social fut sa durée et la solidarité de toute une frange de la population. Ainsi une collecte de soutien permit de récolter plus d'un million et demi de francs pour les grèvistes et les paysans leur offrirent de la nourriture. Des artistes tels que Gilles Servat, Tri Yann, Claude Nougaro, etc. participèrent à cet effort, tandis que le maire PSU, Yves Le Foll, soutenait celui-ci.


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