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Pork-knocker sont des prospecteurs d'or Guyanien d'or et de diamants des plaines alluviales de l'intérieur du Guyana. les Pork-knocker ont été responsables de la découverte de grands gisements d'or et de diamants. Le terme "pork-knockers" fait référence à leur alimentaire régulière de cochon sauvage qu'ils consommés en fin de journée. [1]L'auteur caribéen A. R. F. Webber a suggéré que le terme pourrait provenir de "heurtoir de tonneau de porc".[2]
Histoire
Les petites exploitations de mines d'or des Afro-Guyaniens avant et après l'émancipation comme moyen de faire face au chômage et d'éviter le travail agricole conflictuel. L'exploitation minière continue à être traditionnelle pour les Afro-Guyaniens depuis l'industrie de la bauxite au 20è siècle.[3]
En 1921, on observa que la plupart des pork-knockers de cette période sont des descendants d'africains et travaillaient suel ou en groupe restreint.[4]
Pork-knockers peuvent travailler de façon très proche des uns des autres et arrivent des conflits pouvant conduire à des actes de violences.[5]
Pork-knocking est extrêmement dangereux et des morts ne sont pas rares. Des mineurs ont été écrasés sous des arbres ou des rochers, ensevelis sous terre.[6] Drowning often occurs as mining operations are typically based on rivers to capture gold and diamond-laden sediments. The remoteness and wild terrain are a challenge for receiving emergency medical care.[3]
L'éloignement et les lieux sauvages sont un défis pour recevoir les soins médicaux d'urgences.[3]
Culture et conflit
Pork-knockers s'insèrent dans un système distinct défini par leur éloignement de l'habitat; "extérieur en dehors de la surveillance morale d'un domicile". Réussite demande de remarquable .[7]:40 Success demands conspicuous displays of generosity, giving the miner social prestige and inject money into the isolated economies. Selfishness is associated with distrust, and can damage a miner's access to credit, and also belief that when a miner is stingy, the earth will also deprive them of its bounty.[7]
Réussite demande de remarquable déploiement de générosité, donnant au mineur un prestige social et d'injecter de l'argent dans l'économie. L'égoïsme est associé à la méfiance, et peu porter préjudice à l'accès au crédit, et aussi la croyance que lorsqu'un mineur est avare, la terre les privera également de générosité[7]
La présence de pork-knockers à l'intérieur du Guyana avait bouleversé le mode de vie des Amérindiens. Le peuple Akawaio avait expérimenté des contentieux territoriaux avec les pok-knockers et avait négativement affecté par une hausse du coût de la vie. L'anthropologiste Audrey Butt Colson à remarqué que l'exploitation minière à mené l'effondrement de l'économie de subsistance. Butt Colson écrit que le village minier de Kamarang, connu comme la "Red Light City" est l'archétype du syndrome du pork-knocker de la boisson, jeux, sexe et de temps en temps de violence."[8]
L'exploitation minière est aussi une entreprise par les Amérindiens, mais ils ont un mécanisme social différent en créant une distinction de ceux qui viennent de la côte du Guayana (appelé 'coastlanders'). L'exploitation minière de l'arrière-pays complète l'agriculture, les recettes sont consacrées à la consommation des ménanges.[7]
Culture populaire
Il y a des chansons populaires influencées par les pork-knocker, souvent le thème abordé le danger de l'extraction et l'espoir de trouver de l'or. En 1996, le dramaturge Harold Bascom gagne le Guyana Prize pour Makantali, inspiré par la chanson du même nom.[9]
Beaucoup d'histoire guyaniennes relatent des pork-knockers qui ont fait fortune seulement pour les perdre de façon tragique ou comique.[10] L'auteur Jan Carew écriva en 1958 le roman Black Midas relatant un garçon quittant son village côtier pour devenir un pork-knocker.[11] Sheik Sadeek, un romancier et dramaturge, produisant des histoires sur la classe ouvrière de l'ère colonial du Guyana[12] et utilisa souvent les pork-knockers comme sujet de son travail, incluant la pièce de théâtre Porkknockers.[13]
En 2010, l'artiste guyanien Barrington Braithwaite a publié une bande dessinée Illustrant l'histoire du Porkknocker en collaboration avec la Commission de géologie et des Mines du Guyana.[14] Un autre roman graphique de Braithwaite, Mighty Itanamie, est une fiction surnaturelle basée sur des légendes de heurtoirs de pork-knocker.[15]
Références
- (en) Dictionary of Caribbean English usage, Kingston, Jamaica [u.a.], University of the West Indies Press, (ISBN 9789766401450, lire en ligne), « Pork-knocker », 450 :
« pork knocker. »
- (en) The Amerindians in Guyana, 1803–73: A Documentary History, London, Cass, (ISBN 978-0-7146-4030-3, lire en ligne), p. 300
- (en) B. Josiah, Migration, Mining, and the African Diaspora: Guyana in the Nineteenth and Twentieth Centuries, Springer, (ISBN 978-0-230-33801-2, lire en ligne)
- « Diamond Production Makes Great Increase », Engineering and Mining Journal, vol. 111, no 8, , p. 363 (lire en ligne)
- « Mining Reporter: Life on the Cayenne Gold Fields », Mining American, vol. 49, , p. 86 (lire en ligne)
- (en-US) GTIMES, « Woman miner crushed to death after pit collapses », sur Guyana Times, (consulté le )
- Terry Roopnaraine, « Symbolising Value: Culture and Economy Among Guyanese Gold and Diamond Miners », Cambridge Anthropology, vol. 19, no 3, , p. 22–42 (ISSN 0305-7674, JSTOR 23818796, lire en ligne)
- (en) Communities and Conservation: Histories and Politics of Community-based Natural Resource Management, Walnut Creek, Calif., AltaMira Press, (ISBN 978-0-7591-0506-5), « Maps, Power, and the Defense of Territory », p. 289
- (en-US) Al Creighton, « The porkknocker contribution to Guyanese culture », sur Stabroek News, (consulté le )
- « Searching for Diamonds », World Digital Library (consulté le )
- (en) Gordon K. Lewis, The Growth of the Modern West Indies, Kingston, Jamaica, I. Randle, (ISBN 9789766371715, lire en ligne), p. 292
- (en-US) « THE ARTS FORUM », sur Kaieteur News, (consulté le )
- (en) Don Rubin et Carlos Solorzano, World Encyclopedia of Contemporary Theatre: The Americas, Routledge, , 187 p. (ISBN 978-1-136-35921-7, lire en ligne)
- (en-US) « Braithwaite launches 'Illustrated History of the Porkknocker' », sur Guyana Chronicle, (consulté le )
- (en-US) Michael Jordan, « Barrington Braithwaite's 'Mighty Itanamie' », sur Kaieteur News, (consulté le )