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Histoire[modifier | modifier le code]

En 2001, Paraloeil prend possession de l'ancien cinéma Audito, situé dans le quartier Saint-Robert, en bordure du centre-ville de Rimouski. Dès lors, Paraloeil occupe une portion du bâtiment et loue ponctuellement un espace aux organismes locaux. L'Audito a été l'un des premiers théâtres de Rimouski. Bâti en 1946, il contenait à l'origine une grande salle avec balcon pouvant accueillir 600 spectateurs.[1]

Dans un souci d'optimiser le potentiel de ce bâtiment, Paraloeil approche, au printemps 2004 d'autres organismes (Caravansérail, le Mouton Noir et Tour de Bras), ce qui a donné lieu à l'agora de création et de diffusion culturelle qu'est aujourd'hui le Paradis.[1] Dès 2006, 75 projections ont été présentées par Paraloeil, sept expositions ont été organisées par Caravansérail et plusieurs autres événements ont été conduits par l'organisme en musique actuelle Tour de bras et le journal indépendant Le Mouton noir.

ICI ON PASSE DE 2004 à 2016, IL Y A UN GRAND TROU

2008 : Décès de Claude Forget, directeur de la programmation[2]

La toute première œuvre d’art urbain de Rimouski, une murale de 36 mètres de long, a été réalisée sur la façade de la coopérative Paradis, abritant le Cinéma Paraloeil, en 2016. L’œuvre, nommée Intersections, a été créée par Cyndie Belhumeur et Ilana Pichon. Le titre fait entre autres référence à l’autoroute 20 et à la route 132, qui traversent Rimouski, mais également à la collaboration entre les deux femmes.[3]

En 2021, Simon Croz devient le nouveau directeur de l'organisme.[4] Diplômé de l’École des Métiers du Cinéma et de la Vidéo situé à Rivière-du-Loup, Simon Croz apporte avec lui son regard d'entrepreneur et de programmateur. Il a notamment travaillé au sein du Festival Vues dans la tête de...".

Projets et médiation[modifier | modifier le code]

Mémoires vives

En 2009, un appel à la population du grand Rimouski est lancé par Paraloeil pour collecter les archives sur bobines ou cassettes dont la réalisation remonte à entre 1920 et 1980.[5] Mémoires vives vise à sauvegarder ce patrimoine audiovisuel inestimable, qui souvent dort dans les sous-sols des maisons. Ces archives constituent une matière riche et diversifiée pour les créateurs vidéo et cinéma.


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TER

Les réalisateurs Nicolas Paquet, Pascale Ferland, Guillaume Lévesque, Karina Soucy et Thomy Laporte[6] créent ce film percutant qui questionne le territoire de l’Est du Québec et abordent sans détour des sujets préoccupants : l’érosion des ressources, les usines désaffectées[7], l’avenir agricole, l’éolien, l’exode, ou la simple et troublante envolée des oies en automne.

PROJET 5 COURTS

En 2019, l'organisme collabore avec le studio documentaire du programme français de l’Office national du film (ONF) et choisi cinq duos de créateurs du Bas-Saint-Laurent qui participent au quatrième Projet 5 courts.[8] Ce sont Steve Verreault et Sébastien Dave Tremblay, Tom Jacques et Nicolas Paquet, Cynthia Naggar et Gueze, et finalement Guillaume Lévesque et Antoine Létourneau-Berger qui ont concocté des films originaux tournés dans la région. Parmi les oeuvres réalisées, Il va faire beau demain met en scène le discours que tiennent les Québécois sur la météo. Le montage des images de Guillaume Lévesque est en accord ou en contraste avec les propos recueillis auprès des habitants de la région.[9]

AJOUTER DES EXEMPLES DE MÉDIATION, AVEC RÉFÉRENCES Médiation

Paralœil prête attention à la sélection des films (courts, moyens ou longs métrages) en tenant compte des liens possibles avec la matière scolaire, du groupe d’âge visé et de la durée souhaitée par l’établissement scolaire. En plus des sorties, diverses activités sont offertes dans les écoles.

Envisageant le cinéma en tant qu’outil d’émancipation, il organise, en collaboration avec des cinéastes, des ateliers dans les écoles primaires et secondaires afin d’éveiller les jeunes au documentaire et au cinéma de répertoire, en plus de les initier aux divers métiers du cinéma.[10]

Diffusion et distribution[modifier | modifier le code]

A-TON DES DONNÉES SUR LES QUANTITÉ DE DIFFUSION OU DES INVITÉS MARQUANTS?

Paraloeil innove avec des multiples moyens de faire circuler le cinéma, entre autres avec des tournées en plein-air en 2022[11]

Paralœil a également mis sur pied un cinéma ambulant nommé La Boîte bleue, qui projette gratuitement des courts métrages et en continu.[10]

Acteur aussi en distribution, l'organisme procède au lancement de plusieurs films, court et longs métrages, à partir de 2022. FILM DE ARNAUD ET JACQUES.

  1. a et b Thierry Haroun, « Le Paradis, un espace de liberté », sur Le Devoir, (consulté le )
  2. Odile Tremblay, « Mort du distributeur Claude Forget », sur Le Devoir, (consulté le )
  3. Zone Arts- ICI.Radio-Canada.ca, « Une première œuvre d’art urbain pour la ville de Rimouski », sur Radio-Canada.ca (consulté le )
  4. Pierre Michaud, « Paraloeil a un nouveau directeur général | Journal Le Soir », (consulté le )
  5. La Presse canadienne, « Rimouski - L'organisme Paraloeil veut sauvegarder le patrimoine audiovisuel », sur Le Devoir, (consulté le )
  6. « Le film TER : l’Est du Québec vu par 4 réalisateurs de la région », Info-Dimanche,‎ (lire en ligne)
  7. « Entrevue avec Pascale Ferland (Ressac) » (consulté le )
  8. Johanne Fournier, « Projet 5 courts s’installe au Bas-Saint-Laurent », sur Le Soleil, (consulté le )
  9. « Projet 5 courts : la place du son dans le documentaire | Journal le Mouton Noir », sur www.moutonnoir.com, (consulté le )
  10. a et b Caroline Granger, « SURVOL DES ACTEURS·TRICES DE LA MÉDIATION CULTURELLE AU BAS-SAINT-LAURENT », Cahiers de l'OMEC,‎ , p. 13 (lire en ligne [PDF])
  11. Véronique Bossé, « Paraloeil poursuit son aventure sur les routes du Bas-Saint-Laurent », Le soir,‎ (lire en ligne Accès libre)