Utilisateur:WCL20 Roumanille CHE/Brouillon

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[1][2]l'aménagement du territoire francophone(Côte d'ivoire,Quebec) HP & EM

l'aménagement du territoire étranger(australie,Brésil,Japon) CV

  1. Gérard Sournia, « Aménagement du territoire et stratégie du développement en Côte-d'Ivoire », L'Information Géographique, vol. 67, no 1,‎ , p. 124–129 (DOI 10.3406/ingeo.2003.2862, lire en ligne, consulté le )
  2. « Pour une politique nationale d’aménagement du territoire », sur Le Devoir (consulté le )

[1][2]

Québec:

-infrastructures contre les changements climatiques:

-route , viaduc, parking, piste cyclable

-transport en commun ( gare routière )

-bâtiment d’ôter de nouvelle technologie

-réorganisation de la ville ( quartier plus compacté)

-parc

-aménagement pour les piétons

-récupération de l'eau

- Auto-partage


Côte d'Ivoire:


Le ministère d'Etat du plan et du développement Ivoirien (MEMPD) a fait réaliser une étude avec l'appui financier et technique de l'UE en Août 2006.

Une série de compétences ont été transférées aux collectivités territoriales (Régions,départements,districts,villes,communes).

  1. « Lutte contre les changements climatiques - Collectivités viables », sur collectivitesviables.org (consulté le )
  2. République de Côte d'Ivoire, « Pré bilan aménagement du territoire », PDF, (consulté le )

Les deux principales orientations étant la mise en valeur des développements des ressources et l'autosuffisance en de nombreux domaines pour limiter les disparités interrégionales.

Il y a plusieurs problèmes à résoudre. Le premier concerne les ressources naturelles, les forêts disparaissent d’année en année, cela procure au pays plus de 180 milliards d'anciens francs. La Côte-d'Ivoire est avant tout un pays forestier, et le bois est l'un des piliers essentiel à l'économie du pays, de part l'argent qu'il rapporte grâce à son exportation, et par son rôle dans la politique d'aménagement du territoire. Le bois contribue largement à expliquer les bons résultats de l'économie ivoirienne. Le second est d'arriver à limiter les disparités interrégionales et les contraintes sociodémographiques. Beaucoup de personnes ont migré vers des régions plus riches, ce qui a été un bon moyen de les dynamiser mais cela a aussi provoqué le dépeuplement des régions les plus pauvres. Les conditions de vie se sont dégradées et cela a entraîné une mauvaise répartition de la population sur le territoire à cause de la répartition inégale des entreprises. Du coup, près de la moitié de la population active se trouve dans le sud du pays. Et enfin, il est impératif que le pays se développe en dehors de son activité forestière et agricole, tant sur le plan social, sanitaire, éducatif qu'économique.


Nous pouvons voir qu'il y a quatre options majeures pour cet aménagement. Celui de l'aménagement volontaire avec une répartition équitable des activités, des équipements et des hommes. La concentration des moyens sur un petit nombre de pôles de développement capables de baisser le poids excessif de la principale ville du pays, Abidjan. L'urbanisation, avec le développement d'un réseau de villes et enfin la réduction de la population étrangère, des personnes venant d'Ouest-Afrique, Syro-Libanais et des Européens qui occupent 30% de la population totale. Ce nombre doit baisser car il peut y avoir des tensions au niveau de l'emploi et des relations humaines.

Mais il existe une phase d'amélioration au niveau de l'économie, avec la production d'électricité en grand volume renouvelable (éolienne, hydroélectricité et électricité thermique), et avec son climat équatorial qui favorise une agriculture riche et diversifiée. La Côte d'Ivoire a aussi un pays voisin moderne et agréable, où les services dans l'industrie sont importants, avec qui il exporte son électricité et ses ressources naturelles, comme le café et/ou le cacao. Du coup, le pays s'impose dans le classement des puissances économiques mondiales.

En conclusion, nous voyons que sans un réel effort politique, il est difficile de mettre en place l'aménagement du territoire, surtout si on ne prend pas en compte des éléments essentiels comme la gestion des ressources naturelles, les contraintes sociodémographiques et l'importance du développement.