Utilisateur:WCL19 Shana LycéeDumas/Brouillon
Un manifestant est blessé, la foule crie «medics!». Et une équipe intervient
Gwendal a décidé de se rendre en préfecture le 4 février afin de déclarer le groupe des «street medics» de Lille sous forme d'association
Gwendal est secouriste bénévole à la protection civile à Lille
compresse ; pansement; désinfectant ; bombe ; pansement compressif; un peu d'eau sucre en cas de malaise ; sérum physiologique; bandage dans un sac a dos
ce ne sont pas tous des professionnels il y a des bénévoles avec seulement le diplôme psc1 ( premier secourt ) en poche, il y a des infirmier, médecin, ancien sapeur pompier,ambulanciers.
ils appels les secours quand ils ont un doute .
on reconnais les streets medic grace a leur t shirt blanc avec une croix rouge ou une croix bleu. comme protection le Street médic utilise des casques de skates, des lunette de ski, masque a gaz .
les Streets médic forme agissent en binôme ou en trinôme
certain street medic refuse de soigner les forces de l'ordre car ils sont anarchiste soit ils sont contre l'armement de la police et contre l'autoritarisme
il font appel a des dons ou a une cagnotte pour acheter du matériel.
Dans les années 1990, les street medics accompagnent l’essor des mouvements altermondialistes. On peut les retrouver aussi en Palestine pendant Seconde intifada, lors des Printemps arabes ou des mouvements sociaux récents en Grèce et en Espagne. En France, l’enclave pionnière fut celle de Notre-Dame-des-Landes
En 2018/2019 les Street médics, il n'y a pas que des professionnels, il y a aussi des bénévoles. Ces bénévoles n'ont que le diplôme du PSC1 (premier secours), parmi les professionnels on peut trouver des infirmiers, des médecins, des ambulanciers et même d'anciens sapeurs pompiers. On peut les reconnaître grâce à leur tenue ( t-shirt blanc avec une croix rouge ou bleue). Pour se protéger, ils utilisent des casques de skate, des masques à gaz et des lunettes de ski. Chaque street médics emporte avec lui un sac contenant : des compresses, des pansements, du désinfectant, des pansements compressifs, des sprays de refroidissement, du sérum physiologique, des bandages et un peu d'eau sucrée en cas de malaise. Pour se procurer leur matériel, les street médics font appel à des dons à travers une cagnotte ou l’achètent eux-mêmes. Quand un manifestant est blessé, la foule crie " médics! " et une équipe intervient. L'équipe se compose d'un binôme ou d'un trinôme. En cas de doute sur le diagnostic médical ou en cas de blessure grave, ils font appel aux secours. Certains street médics refusent de soigner les forces de l'ordre car ils sont soit anarchistes, soit contre l'armement de la police et contre l'autoritarisme. Un secouriste bénévole à la protection civile de Lille, décide de se rendre à la préfecture le 4 février pour déclarer le groupe des street médics sous forme d'association.