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Utilisateur:Viking59/Brouillon 2

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bonjour Viking59
cf Toshiko Yuasa

Sur ta page de discussion, je n'ai pas réussi à déposer le wikicode à cause de Flow qui ne l'accepte pas bien (ou il y a un truc que je n'ai pas encore découvert ?).
Je me suis donc permis de créer cette nouvelle page brouillon où tu peux piocher ce qui t'intéresse (c'est en vrac non trié) ;

rem : l'un de ses derniers article la présente encore comme membre de l'Institut de Physique Nucléaire d'Orsay, Université de Paris-Sud, B.P. N0 1, 91-Orsay, France (peut être auraient ils une ou deux photos à ajouter à Commons, s'ils acceptent)

éléments de contenu (= proposition)[modifier | modifier le code]

Avec le soutien de sa famille[1], elle devient la 1ère physicienne du Japon[2],[3], dans une période où très peu de femmes sont physiciennes dans le monde[4], et où les femmes ne représentent au Japon qu'une faible partie du corps des ingénieurs et des scientifiques (en 2001, seulement environ 10% des scientifiques et des ingénieurs du pays sont des femmes), pour des raisons socio-économique et d'idéologie du genre au Japon depuis la Seconde Guerre mondiale et non en raison de traditions culturelles nées du Japon féodal selon Motoko Kuwahara[5]. Elle a joué au Japon un rôle de modèle pour les femmes scientifiques similaire à celui joué par Marie-Curie en France[2].

Elle a été co-autrice d'un article de physique théorique en 1977 Yuasa, T., Nakamura-Yokota, H., & Fujiwara, N. (1977). Proton-Induced 2H and 3He Breakup at 156 MeV. Progress of Theoretical Physics Supplement, 61, 161-179.


Pierre et Marie Curie et Irene et Pierre Joliot-Curie ont acceuilli Nobuo Yamada (1896-1927) dans leur labortoire (premier chercheur japonais, spécialiste de l'hélium à l'Institut français du radium) puis Toshiko Yuasa première scientifique japonaise à obtenir en résidence permanente en France, dont les recherches ont contribué à l'étude du spectre continu des rayonnements bêta émis par les corps radioactifs artificiels[6]. Elle n'aurait pas pu effectuer ce type de recherche au Japon, car après la seconde guerre mondiale, les alliés ont interdit [2].

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Nakamura, H., Reide, F., & Yuasa, T. (1973). A detection system with a large liquid scintillation counter for high energy neutron studies with neutron gamma discrimination. Nuclear Instruments and Methods, 108(3), 509-516 (http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/0029554X73905326 résumé])
  • Yagi, E., Matsuda, H., & NARITA, K. (1997). Toshiko YUASA (1909-1980), and the Nature of her Archives at Ochanomizu Univ. in Tokyo. Historia scientiarum. Second series: international journal of the History of Science Society of Japan, 7(2), 153-162.
  • Toshiko Yuasa (1909-80): the First Japanese Woman Physicist and Her Followers in Japan] ; Women in Physics, AAPPS Bulletin August 2007, Vol. 17, No. 4 239-248 (http://www.jstor.org/stable/43700345?seq=1#page_scan_tab_contents notice de présentation] et 1ère page).
  • Yuasa, T. (1937). Sur les Spectres nouveaux de Fluorure de Silicium (SiF). Science Reports of the Tokyo Bunrika Daigaku, Section A, 3(61/63), 195-203.
  • Yuasa, T. (1965). Quasi-Elastic p−α Scattering in C12. Reviews of Modern Physics, 37(3), 399 (http://journals.aps.org/rmp/abstract/10.1103/RevModPhys.37.399 résumé]).
  • Yuasa, T. (1938). Sur les bandes du fluorure d'alminium (AlF). Science Reports of the Tokyo Bunrika Daigaku, Section A, 3(65/67),
  • KOU, Emi (洪江美) (2008). Toshiko Yuasa: Workshop France-Japan Particle Physics Laboratory 2008 での講演 (平成 20 年 5 月 16 日).
  • Kawashima, K. (2012). Nobuo Yamada and Toshiko Yuasa: Two Japanese Scientists Who Became the Pupils ofthe Curies.
  • H. Matsuda, M. Yamazaki, and E. Yagi, eds., Catalog of Toshiko YUASA’s Ar-chives (Institute for Women’s Studies, Ochanomizu University, 1993)
  • H, Matsuda and M. Yamazaki, Catalog of Tosiko YUASA’s Archives (Institute for Gender Studies, Ochanomizu University, 1998), the second series.
  • M.Yamazaki, YUASA Toshiko Shiryou Souran (Catalog of T. YUASA’s archives, the third series) (Institute for Gender Studies, Ochanomizu University, 2005).
  • M. Yamazaki, Parini-ikita Kagakushya T. YUASA (Scientist YUASA‘s whole life in Paris (in Japanese); Iwanami (Paper backs), 2002), p. 196
  • T. Yuasa, “A propos des l’existence des particules positives emises par 32 P, emetteur des rayons beta”, C. R.234, 619 (1952).
  • Yuasa and J. Laberrigue-Frolow. “Rapport sur analyses fait au Japon, des cendres radio-actives projetées lors de l’explosion de Bikini du 1er mars 1964”, Pathologie et Biologie, Annales de la recherche medicale ; 32 (3), 1-12 (1956).
  • T. Yuasa and E. Hourany, “Quasi- elastic p-α (alpha ) scattering in 12 C”, Proc. Conf. Gatlinburg (1964); Rev. Mod. Phys. 37 , 399 (1965).
  • T. Yuasa and Y. Deschamps, E. Ho - urany, S, Kakigi, and F. Reide, “A study of a large plastic scintillation fast neutron detector”, Nucl. Instr. & Meth. 155 , 135 ( 1978).
  • T. Yuasa and H, Nakamura-Yokota, and N. Fuziwara, “Proton induced 2 H and 3 He breakup at 156 MeV”, Suppl. Prog. Theor. Phys. 61 , 161 (1977).


Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Beverley Ghezzi, “An Approach to Japanese Women’s Entry to Science”, Bulletin of Institute for Women’s Studies, Ochanomizu University 6, 129-181 (1992).
  2. a b et c Yagi, E., & Matsuda, H. (2007). Toshiko Yuasa (1909-80): The First Japanese Woman Physicist and Her Followers in Japan. AAPPS Bulletin, aout 2007, 17(4), 15, PDF,
  3. Hisaka Matsuda and Eri Yagi, “The first Japanese Woman hysicist, T. YUASA and her Archives”, The 19th Int. Cong. History of Science (Zaragoza, Spain, 1993), Abstracts S4-20.
  4. Kenji Ito, Gender and Physics in the early 20th Century Japan; Toshiko YUASA’s Case”, Historia Scientiarum, Tokyo, 14 (2), 118-136 (2004)
  5. Kuwahara, M. (2001), Japanese Women in Science and Technology ; revue Minerva, Kluwer Academic Publishers ; 39: pp 203–216 ; ISSN: 0026-4695 (Print) 1573-1871 (Online) (résumé)
  6. Kawashima, K. (2012). Two Japanese scientists and the Curie family, Nobuo Yamada and Toshiko Yuasa. Actualite Chimique, 51-55 (résumé)