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Acquisition et commandes publiques (en cours de rédaction)

La politique d’encouragement artistique de la ville de Lyon favorisait la production de statuaire.

Au fil des années, des méthodes d’acquisition se sont succédés pour cette galerie des lyonnais célèbres. Les commandes publiques furent le premier mode d’enrichissement suivi par un principe d’élection.

La société des amis des arts de Lyon s’impose également comme étant une source d’enrichissement de la galerie, notamment grâce à l’organisation des salons, qui permettaient l’exposition des oeuvres d’art.

La rente offerte par François Grognard pour soutenir les artistes lyonnais avait comme objectif premier une réalisation annuelle du portrait d’une célébrité lyonnaise, mais elle a également permis de soutenir les peintres lyonnais mais aussi les sculpteurs.

Les différents moyens d’enrichissement pour cette galerie écartaient implicitement les hommes politiques pour la sélection. Le savoir et le talent étaient considérés comme supérieurs aux opinions politiques et aux professions de foi de chacun. Les lyonnais dignes de mémoire étaient cependant désignés par l’autorité municipale et la commission du musée, du moins sous le second empire.

Principes de la galerie (en cours de rédaction)

Les dimensions des bustes sont imposées aux sculpteurs pour le Musée, mais quand la galerie a été complètement saturée de bustes, les artistes se sont émancipés des règles d’harmonisation pour sculpter plus librement avec parfois des portraits de taille impressionnante. Le conservateur du Musée dû de nouveau expliquer les enjeux des commandes des bustes, qui ne devaient pas être conçus dans le but de décorer un extérieur, mais bien d’être exposés dans une galerie de musée.