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Utilisateur:Triskel/Indulgence (vertu)/Brouillon

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Euh, je sais pas trop si je peux faire ca, c'est du gros brouillon de base et ce sera plein de "point of view", de "non sourcé" et plein de truks sataniques.

Rappel personnel sur la notion d'indulgence[modifier | modifier le code]

L'indulgence dans son contexte religieux est réservée à Dieu.

Cela signifiait alors la rémission totale ou partielle devant Dieu 
de la peine temporelle encourue en raison d'un péché déjà pardonné.

En fait, c'était une sorte de vertu divine, ou plutot un droit divin.
Maintenant, nous aussi, êtres humains, pouvons faire preuve d'indulgence.
Je ne sais pas quand la dérive du terme (si vraiment le sens religieux est antécédent) est apparue, mais la différence me semble très importante. D'autant plus que le sens "philosophique" me parait extrêmement populaire (j'ai l'intime conviction que la définition religieuse est même ignorée par beaucoup de monde).
Bref, cet article doit être. Alors on va l'aider.

Petit adage sympa[modifier | modifier le code]

L'indulgence est une vertu d'autant plus facile, qu'elle épargne bien des embarras; c'est un poltron qui fuit le danger. <pre>
<pre>L'extrême sévérité et l'extrême indulgence sont deux écueils qu'il faut éviter dans la conduite de la vie. L'une excite la haine et l'autre le mépris.

Ces deux "adages" proviendraient d'une sorte de recueils de proverbes : HISTOIRE GENERALE DES PROVERBES, ADAGES, [etc ...] TOME TROISIÈME, écrit en 1829 par M. C. DE MERY, ["consultable" en ligne] C'est peut-etre du travail inédit de la part de M C DE MERY, mais tend déjà à montrer que l'emploi populaire d'indulgence en 1829 était la notion philosophique. Donc est-ce le cas pour ces deux emplois là.

Au passage[modifier | modifier le code]

haha je viens de découvrir pourquoi je m'acharne sur cet article.

petit article philosophique qui viendrait alimenter la rubrique "Controverse dans la société"[modifier | modifier le code]

Paru dans "Revue Montesquieu n°1 , 1997", je n'ai que l'intitulé :

Les "lois doivent tendre à la rigueur plutôt qu’à l’indulgence", 
Muyart de Vouglans versus Montesquieu , Michel Porret

Voici la-dite revue en ligne A priori, ca correspond a la rubrique et prouve l'existence de cette controverse

En fait, ce débat sur la dureté ou l’indulgence des juges 
oppose la philosophie pénale du paradis perdu à la
doctrine utilitaire du lien social, c’est-à-dire l’idéologie 
de l’intimidation par le mal du châtiment à l’espoir de correction 
par la modération judiciaire.
En refusant une pénalité
correctionnelle capable de régénérer la «personne du Coupable», Muyart
incarne une idéologie répressive qui associe la modération pénale au
spectre du laxisme judiciaire. Il n’y a donc aucune alternative à sa proposi-
tion alarmiste qui disqualifie la thèse de l’indulgence : la rigueur pénale
ou le chaos social, l’élimination du «scélérat » ou la mort de la société.
Hostile à toute philosophie pénale qui parie en la perfectibilité humaine et
propose donc la modération des peines, Muyart rompt les ponts avec un
libéralisme sanctionnel, pétri d’humanisme et d’utilitarisme social.

Bref L'indulgence ne doit pas être accordée sans une mûre réflexion des conséquences. C'est l'équilibre décrit par la tempérance.

La notion de nuance[modifier | modifier le code]

Parce qu'un dictionnaire présente souvent des mots comme miséricorde, clémence, indulgence, etc.. plus ou moins comme des synonymes, qui permettra aux utilisateurs de se faire une idée approfondie des nuances qui peuvent différencier ces mots et préserver la diversité du francais, si ce n'est l'encyclopédie ?

bien ou mal ?[modifier | modifier le code]

Dans l'absolu, l'indulgence conduit à pardonner. Le contraire de pardonner est porter rancune, rancoeur. La rancune et le désir de vengeance sont deux sources de "vice". Que l'indulgence permet d'éviter.
Il ne faut cependant confondre ce pardon avec l'abscence punition, ou l'oubli.

une citation a la con[modifier | modifier le code]

    L'indulgence est la pire forme de l'indifférence... 

de pierre veber
ha, ben tiens en voilà plein d'autres.

Celle-ci est intéressante :

Je n'ai d'indulgence pour aucune faute ; j'en ai pour tous les coupables. Jean Paulhan

en ce qu'elle appuie le fait de pardonner quelqu'un tout en punissant ses actes.