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Utilisateur:TitineH

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Georges Béal Georges Béal est un sculpteur ornemaniste français, né le 30 juillet 1884 à Paris [1], décédé le 10 août 1969 en Seine-et-Marne [2] et enterré au cimetière de Crécy-la-Chapelle (Seine-et-Marne).

Ses objectifs sont de créer des modèles d'objets utiles pour la vie quotidienne : services de table, café, thé, vases, pendulettes, luminaires, coupes… Il confie ensuite ses créations à différents fabricants: bronziers, orfèvres, verriers [3]


===Biographie===

===Formation-La Réunion des Fabricants de Bronzes===[modifier | modifier le code]

Très jeune, il décide de son métier : influencé par son père, Jean-Marie Béal (1856-1944), artisan gainier, il s’oriente dans le domaine des arts appliqués.

En 1898, à 14 ans, il entre à l’Ecole professionnelle de Dessin, Modelage et Ciselure de la Réunion des Fabricants de Bronzes (8, rue Saint Claude, Paris 3e).

A 17 ans, il passe le concours de fin d'études en sculpture d’ornement et obtient le 3e prix pour ''un plateau porte-cartes: modelé et réparé avec une expérience rare à cet âge''. Pour ce prix, la Réunion des Fabricants de Bronzes lui remet une somme de 100 francs grâce au legs Didier. Les prix sont distribués dans la mairie du 3e arrondissement en février de 1902 [4].

En 1909, au Concours des jeunes artisans, la Réunion des Fabricants de Bronzes lui décerne un 6e prix pour la réalisation d’un vase en bronze Les Pissenlits avec une somme de 100 francs du legs Didier ; le vase est représenté dans le bulletin annuel [5].

===Ses ateliers===[modifier | modifier le code]

En 1920, Béal crée son atelier personnel de sculpture au 73 rue de Bagnolet, Paris 20e dans un des sept locaux de 27 m2 environ, situés sur cour au rez-de-chaussée [6] .

En février 1928, pour faire construire une maison, Béal achète une partie du terrain situé à l’angle de la rue Drevet et de la rue Gabrielle, Paris 18e ; l’autre partie est achetée par le peintre, Maurice Cahours (1899-1974) [7]. La maison de Cahours ouvre au 21 rue Gabrielle avec un atelier s’élevant sur 2 étages; la maison de Béal comporte un atelier au 1er étage et a pour adresse 14 rue Drevet [8].

===Société des artistes français===[modifier | modifier le code]

En 1906, Georges Béal présente au Salon des artistes français une vitrine (n°4615) contenant des objets d’art en matières diverses en collaboration, pour la ciselure, avec Raymond Bonnafoux et Georges Soudanas; il précise qu’il est élève de Furcy Rambaud [9].

En 1907, il expose une vitrine (n°4501) contenant des pièces d’orfèvrerie avec la même collaboration que celle de l’année précédente [<ref> 9 </ref> 1].

En 1910, il présente une lampe électrique et un vide-poche avec des motifs végétaux : Les Orchidées (n°5069) [10].

Pour ces trois expositions, Béal mentionne pour adresse son logement personnel, le 44 rue Alexandre Dumas Paris 11e.  


En 1921, Béal présente une vitrine (n°4729) contenant des objets en matières diverses ; son atelier du 73 rue de Bagnolet est signalé pour la première fois [11].

En 1922, il présente une vitrine (n° 4556) contenant divers objets d’art en argent et ivoire édités par la Maison d'orfèvrerie Lapparra et Gabriel (existant actuellement sous le nom de Souche Lapparra): Cafetière argent, anses ivoire. Théière. Sucrier. Crémier. Plateau métal argenté. Légumier argent. Plat rond. Saucière argent avec plateau. Couvert table argent. Couteau table manche argent. Couteau table manche ivoire [12].

===Société des artistes décorateurs===[modifier | modifier le code]

A partir de 1921, Georges Béal expose aux Salons des artistes décorateurs [13].

Il devient membre actif de la Société des artistes décorateurs à partir de 1922 jusqu'à 1949.

Les objets créés par Béal et exposés aux Salons des artistes décorateurs ainsi que les entreprises qui les ont édités sont reportés dans le tableau suivant :


[14]

[15]

===La Société d'Encouragement à l'Art et à l'Industrie===[modifier | modifier le code]

La Société d'Encouragement à l'Art et à l'Industrie (SEAI) attribue, pour des artistes français se présentant à des Salons ou à des Concours, des récompenses sous forme de primes et d'une plaquette en bronze (de 5,9cm x 4,1cm) sculptée par Louis Oscar Roty [16].

Béal a reçu trois récompenses de cette société :

- Suite au Salon des Artistes Français de 1922, la Société d'Encouragement à l'Art et à l'Industrie lui décerne la 1re Prime (300 francs) avec la plaquette en bronze sculptée par Louis Oscar Roty [17].

- Suite au Salon des Artistes Décorateurs de 1922, la Société d'Encouragement à l'Art et à l'Industrie lui décerne la 2e Prime (200 francs) avec la plaquette en bronze sculptée par Louis Oscar Roty  [18].

- Suite au Concours du Luminaire Electrique en 1924, la Société d'Encouragement à l'Art et à l'Industrie lui attribue la plaquette en bronze sculptée par Louis Oscar Roty.  

===Musée Galliéra===[modifier | modifier le code]

Au Musée Galliéra, pendant l’hiver 1923-1924, Béal présente à l’Exposition d’Art moderne ses créations en argent et ivoire éditées par les orfèvres Lapparra et Gabriel qu’il avait montrées auparavant au Salon des artistes français de 1922 [19].

En 1924, il expose à l'Exposition générale annuelle d'art appliqué, au Musée Galliera [20].

===L'Exposition internationale des Arts décoratifs et industriels modernes de 1925, Paris===[modifier | modifier le code]

L'Exposition Internationale des Arts Décoratifs et Industriels modernes de 1925 est marquée par une innovation qui consistait à une étroite collaboration entre industriels et artistes [21].

Béal collabore avec une douzaine d'entreprises industrielles et expose dans différents lieux de l’Exposition [22]:

Biuret-Debeaurin, quincaillerie, Tully (Somme), à l’esplanade des Invalides, stand 2.

Atelier Moderne d'orfèvrerie (Vaguer Frères et Desmarquets Ch .), 26 rue Beaubourg, au Grand Palais dans le Hall C, vitrine 19A.

Bibollet Paul, orfèvrerie, 3 rue de la Perle Paris, au Grand Palais dans le Hall C, vitrine 19B.

Bonvoisin Léon, bronzes d'éclairage, 35 Boulevard Richard-Lenoir, au Grand Palais dans le Hall I, stand 20.

Charles Ernest, horlogerie, 101-103 rue de Turenne, au Grand Palais dans le Hall F, vitrine 12.

Etablissements Pignolet, Sontao et Cie, bronzes d'éclairage, 106 rue Vieille-du-Temple, au Grand Palais dans le Hall F, stand 19.

Lapparra et Gabriel (Lapparra, successeur) fabricant orfèvrerie, 157 rue du Temple, à l’esplanade des Invalides, stand 29.

Maison Aucoc André, orfèvrerie, 6 rue de la Paix, au Grand Palais galerie D, vitrines 36, 37, 38.

Olier G. et Caron E. fabricants-orfèvres, 89 rue Turbigo, au Grand Palais dans le Hall C, vitrine 21.

Savary et fils, orfèvrerie, 79 rue Quincampoix, au Grand Palais dans le Hall C, vitrine 27.

Société française de joaillerie et d'orfèvrerie Robert Linzeler et Marchak réunis, orfèvre, 9 rue d'Argenson et 4 rue de la Paix, à l’esplanade des Invalides, stand 49, 50 et au Grand Palais dans le Hall C, vitrine 22.

Studium-Louvre, place du Palais-Royal, Pavillon 113.


Les objets exposés sont groupés en classe par leur nature et leur destination [<ref>22</ref> 1] [23].

Georges Béal obtient des distinctions dans trois classes [24].

Deux médailles d'or lui sont décernées:

- en groupe I, architecture ; classe 4 : art et industrie du métal : béquille (poignée de porte) et plaque (plaque de propreté) en bronze ciselé et doré au mercure, fabriqués par la Maison de fonderie de cuivre et de fer de Biuret-Debourin et édités par Bricard. Il est écrit : « La même entente artistique régnait dans la galerie réservée à la classe 4. Buiret-Debaurin (l'entreprise) avait demandé des modèles de quincaillerie en bronze à, Dekeirel, Béal et Guiroud ; Bezault frères, à Dumaine, Grisolier et Delannoy ; Bricard, à Béal et Dumaine ; la Quincaillerie centrale, à Prou ; Picard à, Dominique, Puiforcat et Renouvin » [25].

- en groupe II, mobilier ; classe 10, art et industrie du métal : lampe avec deux abat-jour, fabriqué par Aucoc.

Béal est cité: « Ce sont les bronziers qui ont rénové la forme extérieure de nos appareils d’horlogerie. Ils ont fait appel aux artistes pour composer leurs modèles d’édition. Cette collaboration, qui s’applique à tout le bronze d’ameublement, a rapproché les noms d’industriels tels que ...Bricard… et ceux d’artistes comme … Béal…. » [26].

Un diplôme d'honneur lui est attribué en groupe II, mobilier ; classe 9, tabletterie et maroquinerie : services à thé et de table avec combinaison de pierres précieuses. On peut lire : « Bibollet présente à l'Exposition, avec la collaboration des sculpteurs Béal et De Thèze et du personnel de la maison, des services à thé avec combinaison de pierres précieuses, lapiz, agate, ivoire, un surtout décoré d'améthyste, des plats, légumiers, saucière et quelques fantaisies » [27].

.

Béal participe aussi à la réalisation de deux ensembles :

- le salon de réception d'une ambassade française située dans la Cour des Métiers du côté de l'Esplanade des Invalides ; il réalise l'orfèvrerie [<ref>22</ref> 2] [28] [29].

- les salles de l'enseignement technique situées dans le Grand Palais au 1er étage ; pour la salle 27, intitulée « atelier des créateurs de modèles », il collabore dans le domaine sculpteur-dessinateur, bronze, orfèvrerie [<ref>22</ref> 3].

===Écrits dans des revues sur les créations de Georges Béal en orfèvrerie===[modifier | modifier le code]

Dans Art et Décoration de 1922, Yvanhoé Rambosson écrit : « L'orfèvrerie est représentée par des œuvres de premier ordre. Le service tête à tête en vermeil de MM. Lapparra et Gabriel (sculpteur Béal) pourrait être victorieusement comparé à de belles pièces du passé. J'en dirais autant des envois de M. Puiforcat et du service de MM. Tétard ». Le service tête à tête en vermeil est représenté [30].

Dans Art et Décoration de 1923 concernant Le XIVème Salon des Artistes Décorateurs, René Chavance cite : « La fantaisie de M. Puiforcat s'exprime dans d'ingénieuses combinaisons de métal et de matières précieuses, jade, ivoire, aventurine. Plus sévère, l'invention de MM. Puechmagre et Béal, mise à profit par M. Cardeilhac, s'applique à des réalisations harmonieusement équilibrées ». La saucière à joncs en argent est représentée [31].

Dans Art et Décoration de 1924, le service en argent et nacre créé par Béal et édité par Linzeler est représenté dans l’article rédigé par Léon Deshairs Le XVème Salon des Artistes Décorateurs [32].

Dans L'Amour de l'Art, 1924, Béal est cité parmi les travailleurs du métal [<ref> 20 </ref> 1].

Dans L’art Vivant, 1925, nous pouvons lire page 21: « l’orfèvrerie du Salon de réception est de M. Georges Béal » [<ref> 29 </ref> 1].

Dans La Renaissance de l'art français et des industries de luxe, 1925, Georges Clouzot écrit : « Nous avons une école très vivante d'orfèvrerie française, avec Puiforcat, dont les travaux occupent tout un pavillon, avec Süe et Mare, dans leur musée d'art contemporain, avec Béal, Daurat, G. Sandoz, Robert Linzeler, Templier, Cardeilhac, Hénin, Fouquet Lapar, au Grand Palais » [33].

Dans Les Echos des Industries d’Art, 1927, René Chavance écrit page 14 : « L'orfèvrerie semble bien avoir trouvé, au moins pour un temps, la forme qui sied à notre époque. Et si M. Pierre Dumont, M. Henri Lapparra, M. Adolphe Truffier, M. Georges Béal cherchent ici une courbe compliquée, ajoutent là un ornement, ils ne peuvent guère s'écarter des normes admises désormais » [34].

===Parfumerie d'Orsay===[modifier | modifier le code]

La Parfumerie d’Orsay (actuellement Magasin Dunhill) était située au 15 rue de la Paix à l'angle de la rue Daunou, à Paris 2e.

Georges Béal participe à la décoration de la parfumerie d'Orsay avec l’architecte Louis Süe (1875-1968) et le peintre André Mare (1887-1932) ; ces deux artistes dirigent la Compagnie des Arts Français [35].

Dix-sept éléments décoratifs de meuble créés par Béal (poignée, entrée de serrure…) sont répertoriés sur trois plaques de verre (archives Christofle, plaques de verre, 1921, n° 8728, 8482, 8481). Sept d’entre-eux sont présentés au Salon des artistes décorateurs de 1921 (voir tableau SAD). Trois d’entre-eux illustrent, dans Art et Décoration de 1921, l’article d’Emile Sedeyn qui écrit : « La Maison Christofle édite de beaux bronzes de M. Béal » [36].

Béal est probablement l’auteur des sept frontons des baies d’entrée de la parfumerie (archives Christofle, plaques de verre, 1922, n° 8775, 8776 et, avril 1923, n° 8998, 8999). Une bonbonnière à décor de roses et fleurs ciselées signée Béal a pu être créée pour la parfumerie (archives Christofle, plaque de verre, 1920, n° 128B et collection privée).

===L'Exposition Universelle des Arts et des Techniques appliqués à la Vie moderne de 1937, Paris===[modifier | modifier le code]

Le Ministère du Commerce et de l'Industrie commande à Georges Béal la création d'un vase lumineux en métal argenté pour l’exposition universelle des Arts et des Techniques appliqués à la Vie moderne de 1937 [37].

Le dossier complet de la commande et du contrat est conservé aux Archives nationales [38].

Suite à la visite d'un conseiller technique le 29 avril 1937 dans l'atelier de Béal, le travail est défini :

hauteur totale du vase 50 cm ; à l’intérieur, un réflecteur argenté pour l’éclairage indirect ; une lampe de second éclairage pour la diffusion de la lumière dans les 4 anses qui sont en cristal taillé et poli ; sur la panse du vase, bandeau décoré de facettes plissées de 5,6 cm de hauteur ; le pied du vase, 24 bâtonnets ronds rayonnants.

Le contrat stipule un paiement de 8 000 Fr en trois phases : 3 000 Fr pour la préparation du travail, 2 000Fr en cours d'exécution, 2 000 Fr pour la réception provisoire et 1 000 Fr pour la réception définitive.

Il fut exposé dans le Pavillon de la classe 44 (orfèvrerie).

La médaille d'argent lui est décernée.

Le vase lumineux de Béal est conservé au Mobilier national.

Il a été visible à la Manufacture des Gobelins lors de l'Exposition ‘’L'Esprit et la Main’’ (27 mars 2015-13 décembre 2015).

===La verrerie===[modifier | modifier le code]

A partir de 1928, Georges Béal travaille avec des entreprises de verrerie: Etling et Verlys,

Béal fut l'un des artistes principaux de la Maison Etling [39] [40][41] [42]. Cette entreprise était éditeur de « multiples » dans les domaines du verre pressé-moulé et de la statuaire en bronze, terre cuite et céramique.

Béal réalisa des coupes, des vases … aux décors floraux stylisés ou de branches et pommes de pins en relief [<ref>39</ref> 1] [<ref>40</ref> 1] [<ref>41</ref> 1] ; les reliefs étaient moins saillants qu’avec les autres créateurs [<ref>40</ref> 2] [<ref>41</ref> 2].

Les œuvres de Béal, fabriquées par Etling, sont mentionnées dans quatre livres :

Dans Le génie verrier de l'Europe, un vase en verre opalescent moulé à la presse de motif pommes de pin en relief est représenté [<ref>39</ref> 2].

Dans Glass Art Nouveau to Art Deco par Victor ARWAS, un vase-fleur avec une base lumineuse et trois oiseaux perchés est signalé [<ref>40</ref> 3].

Dans ‘’Opalescence, le verre moulé des années 1920-1930’’, les créations mentionnés sont : un vase pin, un serre-livres cygnes (exposé au Salon des Artistes Décorateurs en 1922), une coupelle tournesol de 170mm de diamètre ; en outre, sont représentés trois objets de verre pressé-moulé : une coupe et un bol modèle tournesol et une coupe chardon [<ref>41</ref> 3].

Dans L’Europe de l’art verrier, un extrait de l’article Le verre dans la décoration dans la revue Mobilier et Décoration, 1932 est reporté : « Le verre s’éclaire et s’anime sous l’effet de la lumière. C’est ce qui fait le charme des belles verreries que nous admirons dans nos salons d’art décoratif...Le verre ainsi traité reproduit sans les altérer toutes les intentions du sculpteur et de l’ornementiste. Il les embellit de toute la richesse de la matière.. Une heureuse sélection de pièces dues à MM. Béal et Delabassé, permet de se rendre compte de la diversité des effets obtenus » [<ref>42</ref> 1].


La marque Verlys, dont les usines étaient situées aux Andelys, provient de la contraction de VERrerie des AndeLYS.

Dans Opalescence sont photographiés des modèles de vases givrés signés Verlys. Le modèle Les Barrettes est une création de Béal [<ref>41</ref> 4].

Le modèle Mimosas édité par Verlys (collection privée) est différent du modèle Mimosas édité par Etling [43].

Notes et Références[modifier | modifier le code]

  1. Archives de Paris, 12e arrondissement, année 1884, acte de naissanace n° 2086
  2. Archives de Seine-et-Marne, commune de Lagny-sur-Marne, année 1969, transcription de l'acte de décès n° 19
  3. Martine Hanotelle-Hervé, « Georges Béal, sculpteur ornemaniste », Bulletin de la Société d'Histoire et d'Archéologie des IXe et XVIIIe arrondissements de Paris, n°86,,‎ , p. 52-60 (ISSN 2104-5437)
  4. Fonds de la Réunion des Fabricants de Bronzes, Archives nationales, 106AS/63 Réunion des Fabricants de Bronzes
  5. Fonds de la Réunion des Fabricants de Bronzes, Bulletin annuel, Archives nationales, 106AS/65
  6. Archives de Paris, permis de construire, 73 rue de Bagnolet, Paris 20e, VO11/186 et 2351W/22
  7. Archives de Paris, sommier foncier, DQ18 1876 et DQ18 1852
  8. Archives de Paris, permis de construire : 21 rue Gabrielle, VO12/252 ; 14 rue Drevet, VO11/1028
  9. Catalogue des Salons des artistes français, 1905-1907, Bibliothèque Forney, cote SAF « 1905-1907 »
  10. Catalogue des Salons des artistes français, 1908-1910, Bibliothèque Forney, cote SAF « 1908-1910 »
  11. Catalogue du Salon des artistes français en Arts appliqués du 4 mars au 17 avril 1921, Bibliothèque des Arts décoratifs, cote G 199/1921
  12. Catalogue de l’Exposition d’art appliqué organisée au Salon de la Société des artistes français : du 5 mai au 30 juin 1922, Bibliothèque des Arts décoratifs, cote G 199/1922
  13. Société des Artistes décorateurs, Bibliothèque Forney, cote SALON SAD
  14. La coupe d’aviation exposée en 1935 au SAD pourrait correspondre à celle dont le dessin a été trouvé dans les archives Lapparra : coupe Béal ’’Aviation’’, 12/02/1933, n° 12294
  15. La coupe Béal dont le dessin porte le n°12294 (archives Lapparra) a été choisie comme récompense pour le deuxième prix d'un concours d'aviation en 1943, obtenu par la section scolaire de Jouy-en-Josas et de l'aéro-club Louis Blériot ; elle est représentée dans la revue l’Aérophile, mars 1944, p. 32 [https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6553779h/f9.image]
  16. La Société d’Encouragement à l’Art et à l’Industrie, Bibliothèque de l’Hôtel de Ville, Br 5159
  17. Art et Décoration, Chronique, juillet 1922, page 3, Bibliothèque des Arts décoratifs, cote JP 9
  18. Art et Décoration, Chronique, avril 1922, page 2, Bibliothèque des Arts décoratifs, cote JP 9
  19. Une lettre écrite par Georges Béal avec un en-tête de son atelier témoigne de sa participation au Musée Galliera à l’Exposition d’Art moderne, Archives Palais Galliera, Musée de la mode de la Ville de Paris
  20. L'Amour de l'Art, 1924, n° 20, L'exposition générale annuelle d'art appliqué au Musée Galliera, Yvanhoé Rambosson, Bibliothèque des Arts décoratifs, cote JP 50, p. 27-28
  21. Les Arts décoratifs, les arts graphiques, les arts du spectacle des années 1920-30, Geneviève Tixier, Bibliothèque Forney, cote NS 38387
  22. Catalogue général officiel de l’Exposition internationale des Arts décoratifs et industriels modernes, 1925, Paris, Ministère du Commerce, de l’Industrie, des Postes et des Télégraphes, Bibliothèque Forney, cote UNIV « 1925 » R6
  23. Exposition internationale des Arts décoratifs et industriels modernes, 1925, Paris : son objet, son programme, son importance économique, Bibliothèque de l’Hôtel de Ville de Paris, cote 203520
  24. Extrait du Journal officiel de la République Française du 5 janvier 1926 ; Ministère du Commerce, de l’Industrie, des Postes et des Télégraphes, Exposition internationale des Arts décoratifs et industriels modernes, Paris, 1925, Liste des Récompenses, Bibliothèque de l’Hôtel de Ville de Paris, cote 39495
  25. Exposition internationale des Arts décoratifs et industriels modernes, 1925, Paris, Bibliothèque Forney, cote UNIV « 1925 » R9 Vol III, page 53 et planche XLV (représentation des deux créations)
  26. Exposition internationale des Arts décoratifs et industriels modernes, 1925, Paris, Bibliothèque Forney, cote UNIV « 1925 » R9 Vol V, page 37 et planche XXIII (représentation de la lampe)
  27. Exposition internationale des Arts décoratifs et industriels modernes, 1925, Paris : L'Art de la Bijouterie, la Joaillerie, l'Orfèvrerie, l'Horlogerie, les Pierres précieuses, Edition de luxe de l'horloger, 49 Boulevard Saint-Michel, Paris, Bibliothèque Forney, cote UNIV »1925 » T41, p. 48
  28. 1925 quand l’art déco séduit le monde, Cité de l’architecture et du patrimoine du 16 octobre 2013 au 17 février 2014, ED Norma, Bibliothèque Forney, cote CE 40197, p. 112
  29. L’Art Vivant, 1925, n° 20, Exposition internationale des Arts Décoratifs-Art et Industrie du Métal, Bibliothèque des Arts décoratifs, JP 73, p. 18-22
  30. Art et Décoration, juillet-décembre 1922, tome 42, La Première Exposition de la Décoration Française Contemporaine, Yvanhoé Rambosson, p. 182-192; le service tête à tête en vermeil créé par G. Béal est représenté page 182 https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6129726f/f202.item
  31. Art et Décoration, janvier-juin 1923, tome 43, Le XIVe Salon des Artistes Décorateurs, René Chavance, page161-192, Bibliothèque des Arts décoratifs, cote JP 9 ; La saucière ovale à joncs en argent créée par G. Béal est représentée page 186
  32. Art et Décoration, janvier-juin 1924, tome 45, Le XVe Salon des Artistes Décorateurs, Léon Deshairs, p. 161-200 ; le service en argent et nacre créé par G. Béal est représenté page 173 https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k54602699/f192.image
  33. La Renaissance de l'art français et des industries de luxe, juillet 1925, A l'exposition des arts décoratifs- Le Métal, Georges Clouzot, Bibliothèque des Arts décoratifs, cote JP 151, page 293-303
  34. Les Echos des Industries d’Art, n°23, juin 1927, 17ème Salon des Artistes Décorateurs, René Chavance, Bibliothèque des Arts décoratifs, cote JP 98, page 5-22
  35. Süe et Mare et la Compagnie des Arts français, Florence Camars, Editions de l’Amateur, 1993, p.182-183, Bibliothèque Forney NS 40876
  36. Art et Décoration, 1921, Le XIIe Salon des Artistes décorateurs, Emile Sedeyn, p. 97-116 ; trois éléments décoratifs de meuble sont représentés page 104, Bibliothèque des Arts décoratifs, cote JP 9
  37. Livre d’or officiel de l’Exposition Universelles des Arts et des Techniques appliqués à la Vie moderne, 1937, Paris, République française, Ministère du Commerce et de l’Industrie, Bibliothèque de l’Hôtel de Ville de Paris, cote 1748/V6, p. 375
  38. Exposition Universelles des Arts et des Techniques appliqués à la Vie moderne, 1937, Paris, , dossier des commandes et travaux, Archives nationales, cote F/12/12163
  39. Le génie verrier de l'Europe, Guiseppe Cappa, ed. Mardaga, 1998, p. 251-252, Bibliothèque Forney, NS 58040
  40. Glass Art Nouveau to Art Deco, Victor ARWAS, Academy Editions, London, 1987, p. 69-70, Bibliothèque Forney, NS 40553
  41. Opalescence, le verre moulé des années 1920-1930, exposition du 15 octobre au 29 novembre 1986, ed . Banque Bruxelles-Lambert, Bruxelles, 1986, Bibliothèque Forney, CE 8509
  42. L’Europe de l’art verrier, Des précurseur de l’Art Nouveau à l’Art actuel 1850-1990, Guiseppe Cappa, ed. Mardaga, 1991, page 162-166, Bibliothèque Forney, 39619
  43. Vase modèle Mimosas édité par Etling https://www.catawiki.eu/l/6617923-etling-france-georges-beal-vase-mimosa
==Annexes==[modifier | modifier le code]
===Bibliographie===[modifier | modifier le code]
[1][modifier | modifier le code]

[2]


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  1. Emmanuel Bénézit, Dictionnaire critique et documentaire des peintres, sculpteurs, dessinateurs et graveurs de tous les temps et de tous les pays, Paris, Grund, , p.915
  2. Thierry ROCHE, Dictionnaire biographique des sculpteurs des années 1920-1930, Editeur Beau fixe, , p. 48