Utilisateur:Swannl/Brouillon2
Préparation article incommensurabilité (épistémologie)[modifier | modifier le code]
sources à intégrer[modifier | modifier le code]
- Thomas Kuhn, La Structure des révolutions scientifiques
- Paul Feyerabend, Contre la méthode
- Léna Soler Le problème de l'incommensurabilité, un demi siècle après Feyerabend recueil d'articles
- Article 1 Léna Soler "The Incommensurability Problem: Evolution, Current Approaches and Recent Issues"
- [1]
- [2]
- Anouk Barberousse, Précis de philosophie des sciences
- Marie-Dominique Popelard Les grands courants de la philosophie des sciences
Sections à écrire[modifier | modifier le code]
- Origine du terme
- La notion en mathématiques
- La philosophie des sciences au moment de l'apparition de la notion
- L'usage par les auteurs initiaux (T. Kuhn et P. Feyerabend)
- Réception et critiques
- Implications
- Réceptions et controverses
- Postérité du concept
Répondre aux questions suivantes :
- pourquoi le concept a été forgé ? Quels étaient les problèmes ? Par qui ? Dans quel contexte ?
- Quels solutions ce concept apporte aux problèmes ? Quelles en sont les implications ?
- Comment le concept a-t-il été accueilli ? Quels problèmes a-t-il pu soulever ? Et lesquels pose-t-il encore aujourd'hui ?
Eléments à intégrer[modifier | modifier le code]
- canard-lapin de Wittgenstein, dans la partie I
- Affaire Sokal dans la partie II
- notion de nombre de décimale infini dans la partie mathématique
- Distinction de l'incommensurabilité sémantique et de l'incommensurabilité méthodologique
- rappeler que l'incommensurabilité s'intègre uniquement dans une théorie du changement scientifique
Deux types d'incommensurabilité[modifier | modifier le code]
Deux types d'incommensurabilité sont traditionnellement distinguée, chacun portant sur un aspect des théories scientifiques.
L'incommensurabilité sémantique[modifier | modifier le code]
L'incommensurabilité sémantique prend place lorsque le sens des termes utilisés dans une théorie scientifique, et entre autre de ses symboles formels, change au point de ne plus référer aux mêmes entités qu'avant, ce qui mène à une nouvelle théorie. Ce changement de sens a un impact fort sur les théories scientifiques, puisqu'il modifie en profondeur la description de la réalité, et entre autre de la nature des entités la peuplant.
Origine de la notion[modifier | modifier le code]
L'incommensurabilité est initialement un concept issu des mathématiques qui fut importé en épistémologie à peu près même temps par deux auteurs différents, Thomas Kuhn et Paul Feyerabend.
La notion en mathématiques[modifier | modifier le code]
En mathématiques, deux nombres sont dits incommensurables lorsque le rapport entre les deux est un nombre irrationnel, c'est à dire lorsqu'il est impossible de déterminer une unité de mesure commune permettant de les mesurer à la fois l'un et l'autre. Pour donner des exemples, on peut signaler que la diagonale d'un carré est incommensurable avec son côté, puisque celle-ci vaut racine de 2 du côté, de la même façon le diamètre d'un cercle est incommensurable à sa circonférence, celle-ci valant pi diamètre. Cette notion avait une grande importance dans les mathématiques grecques antiques en raison de son fort lien à la géométrie.
La philosophie des science au moment de l'apparition de la notion[modifier | modifier le code]
L'application de la notion à la philosophie des sciences prend place pendant la seconde moitié du XXème siècle. A ce moment-là l'approche majoritaire de la philosophie des science consiste en le positivisme logique, qui cherche à formaliser les sciences grâce des nouveaux outils logiques développés au début du siècle par Russell et Frege. L'enjeu est de rendre compte de l'histoire des sciences comme d'une accumulation des connaissances à partir de celles, initiales, de l'observation. Développée principalement par le cercle de Vienne à partir de 1923, à partir du Tratatus logico-philosophicus, cette doctrine se heurta à certains problèmes dans son avancée