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Utilisateur:Pwanzer

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Chapitre I : “Altaïr, un assassin inné.”[modifier | modifier le code]

“Elu qu’ils disaient […] foutaises…”


A) Un nouveau né de plus dans la confrérie.[modifier | modifier le code]

“Altaïr Ibn La-Ahad, numéro 210” “Altaïr, signifiant “le volant” et Ibn La-Ahad “orphelin”, sans doute le nom parfait pour un Assassin.” “Rien n’est attaché à cette personne, qui est, de plus, chétif, pauvre, et surtout … naïf.”

Tout ceci a commencé en 1175, j’étais alors agé de 10 ans et le traumatisme de cet effet produit sur tous les enfants de cet age, restera désormais gravé a jamais dans leur mémoire, et, ce radical changement fait pour améliorer leur vie s’est changé en haine contre le bourreau de cet execution. Nous fûmes entrainé a subir toutes les épreuves, de façon a ce que notre âme ne soit plus, que la pureté de notre coeur devienne malsaine et que notre esprit ne parvienne plus à reconnaitre le bien du mal, de la justice et de son contraire.

La partie la plus douloureuse du périple de mon enfance fut révélé à ce moment précis. Il fut pour moi, quelque chose d’inoubliable et de marquant et qui plus est, après avoir été effectué, la souillure envahissait mon corps et ma chair mutait à un point que même les couteaux les plus aiguisés ne pouvaient plus transpercé ma chair.

La discrétion et la rapiditié sont deux mots clés pour définir un Assassin. La lame rétractable est la pièce maitresse “du jeu de l’Assassin”. Rapide, efficace, dépourvu de preuves et transportable, la lame n’avait qu’un défaut.

Le sectionnement de “l'annulaire gauche” laissé place au déployement de cette divine lame. Ma résistance à cette terrible épreuve fut vaine et je garde, au plus profond de moi une cicatrice invisible mais bien existante.

La difficulté de maîtrise de cet instrument était énorme, nous étions trop jeune pour le tester. Quelqu'uns d'entre nous avaient réclamer le droit de le porter. Hélas, ils n'ont eu raison de cette révolte, et les gardes s'étaient mis, un à un sur ces révolutionnaire qui nous ont ôter l'espoir nous révolter. La conséquence de cette opposition à Al-Mualim fût pour nous une véritable leçon, mais aussi une véritable contradiction. Puisque une des leçons de la confrérie contredisait l'acte odieux qu'avaient fait les gardes.

“Tu ne tueras point d'innocent”. Hélas, cette règle, si courte et si compréhensible venait d'être, explicitement, contrée. Avant qu'un garde, ne fut devant moi pour m'enfoncer son poignard au travers de ma chair et que mon sang ne se vide avant quelques minutes, j'effectua une roulade droite, se qui bouscoula plusieurs de mes camarades, avant de récuperer une magnifique lame qui devait se placer dans mon avant-bras gauche, mon coup devait se porter sur sa nuque, pour que son geste justifié, devait, enfin le pardonner avec la même définition de Justice qu'il possédait. Malgré mon agitilité d'enfant, il arriva à esquiver de justesse grâce aux alertes de plusieurs gardes qui venait à ce moment là dans ma direction. Ils couraient, organisé et effectuaient une sphère semi-parfaite autour de moi pour m'empecher toute évacuation. Je les regardaient, étonnés de me voir debout face à un garde, à l'affut du moindre geste de ma part, chacun de mes camarades s'étaient réfugiés derrière quelques dalles de pièrres qui continuaient, à quelques kilomètres, l'architecture d'un immense monument qui étaient celui d'Al-Mualim. “Attrapez-le vivant !” Entendais-je venant du garde immobile devant moi, reculant doucement, avec une attention sans précédent.

Tout à coup, un couteau surgit au travers un arbre, cependant une chose venait d'être confirmé, les traîtres et les laches étaient sous la même enseigne. Avant de voir ma triste mort sous mes yeux sans doute déjà crevé par ce couteau, je fut étonné par la trajectoire de ce dernier, qui alla se planter dans le ventre d'un garde qui se postait à quelques centimètres de moi, allant sacrifier son arme sur ma personne. Un élan trop lentement consommé, il n'eut le temps de le faire, il ne pouvait donc s'en prendre qu'à soi-même. Uné étrange suspicion de la venu de cet arme, qui m'avait, miraculeusement sauvé d'une triste destinée ne pouvait être de mon côté puisque personne ne l'était. Dans un élan d'action, je fut poussé de quelques mètres par une étrange force qui apparut devant moi ainsi que devant tous les gardes ébaïs de quelques secondes puisqu'ils tombèrent tous par terre n'ayant le courage de résister au multiples poignard dont ils étaient transpercés. “Mais comment une force grandiose pourrait-elle ainsi se nommer ?” demandais-je avec attention au sauveur de ma vie. - Je m'appelle “Ankaa” - Ankaa !?


B) Un Assassin différent des autres.[modifier | modifier le code]

Il était devant moi, sa toge qui brisait le vent laissé parraitre son épée, adroitement ficelé à sa ceinture de force, en cuir marron où était gravé l'emblème d'un grand oiseau de feu. Ankaa, un Assassin qui venait de me sauver la vie en tuant des innocents, eux qui, habituellement habitent dans l'ombre de l'assassinat, et qui venait de sauver la vie d'un enfant était tout simplement étrange. Eprouvent-t-ils de la pitité ? Je me posais des questions en scrutant le paysage parsemé de cadavres frais.

Les Assassins sont redoutés dans les villages, et on raconte parfois que lorsque l'on a vu leur visage, on ne pourrait, plus respirer et serait épiés jusqu'a que leur lame pénètre dans notre nuque, pour que leur secret soit gardé. Et si par mégarde, on devait raconter ce que l'on avait vu qui pourrait nuire au destin de la Confrérie des Assassins, tous les gens qui pourrait être soupçonné d'avoir entendu cela, serait directement éliminé, et que personne ne pouvait s'y opposer.

J'étais cependant admiratif devant son blason, qui n'était guère comme celui des autres Assassin.

- “Le Phoenix” dit-il. - Le Phoenix ? Posai-je la question. - Le Phoenix, créature légendaire crée depuis la nuit des temps, animal fabuleux mélangeant dans ses ailes la vie et la mort. On m'appelait ainsi. Je surgit de la vie pour permettre à ceux qui le méritent de périr. Je sursaute, et apparait, grâce à mes ailes enflammés, derrière mes ennemis pour leur infliger le coup fatal, ne laissant aucun répis, aucun moyen de respirer pour que leurs âmes se perdent à jamais entre ce monde et celui de l'irréel.

En un élant, il baissa sa capuche, laissant ses cheveux longs apparaitre dans le vent.

- Une fille ! M'exclamai-je avec stupéfaction.

Elle caressait ses cheveux et les réunissaient pour permettre à un petit bout de ficelle de les rattacher.

Un sacrilège, un obstacle se faisait à la règle, celle interdisant formellement les femmes dans la confrérie.

Et pourtant, Ankaa était à une position de risque, mais elle était si rusée qu'elle avait tout manigancé depuis le début, étudié les règles de l'organisation d'Al-Mualim, tout était parfaitement planifié.

- Pourquoi m'avoir sauvé ? Un cours silence sépara ma question de sa réponse. - Tu étais en mauvaise posture. Réponda-t-elle. - Il est écrit qu'un Assassin ne doit tuer des innocents ! - Etaient-ce des innocents ? Ces gardes, né brigand, voleur ou encore marchand d'esclaves se sont reconvertis dans la sécurité du village et, qui s'amusent à poignarder des vrais innocents et qui sont des pauvres enfants et, qui, passés au massacre de leur doigt, doivent être en plus tués sous la lance d'un malfrat ?

Cette phrase, dite avec ardeur me coupa toute envie de me battre pour répondre, me justifier auprès d'elle. Le vent soufflait, voyageait à travers les cheveux de La Justice et, ainsi répondit à ma place.

Un moment de calme, avant qu'un aigle ne survola nos yeux pour se posé sur une poutre de bois encastré dans un mur d'une tour de pierre. Il annonça le glas de la tempète, la fin de la discussion et l'arrivé des renforts. Les gardes étaient là.

Elle disparut à travers les ombres.

Les autres enfants sortirent de leur cachette, expliquant ce qui s'était passé, arrangeant la vérité pour me permettre de vivre, sans doute, un peu plus longtemps dans ce monde.