Ebauche pour l'article sur Baudelaire[modifier | modifier le code]

(Ajout d'une section : Ecrits sur l'art)

Une nouvelle approche de l’œuvre d’art[modifier | modifier le code]

Critique d’art ne peut être objective, et ne se doit pas de l’être, car « Pour être juste, c'est-à-dire pour avoir sa raison d'être, la critique doit être partiale, passionnée, politique, c'est-à-dire faite à un point de vue qui ouvre le plus d'horizons. » (salon de 1846).

Dans la peinture : La peinture doit faire la synthèse de l’ « Idéal » et du « Modèle ». L’idéal existe dans le nature indépendamment de nous mais également en nous. Le portrait : « l’individu redressé par l’individu ». Il correspond à une idée du beau propre au peintre (« l’art est une mnémotechnie du beau »), mais cependant les choses et surtout les êtres humains, portent en eux leur propre idéal (pensée de Lavater). Il s’agit de souligner ce qu’ils ont d’unique (individualitéé des choses). Spiritualité de l’art -> la mimésys pure tend à supprimer cet idéal et ôter à l’oeuvre son caractère le plus intéressant, c'est-à-dire l’idée du beau que porte en lui le peintre et qu’il fait « resurgir » du sujet. Néanmoins cette pensée reste liée à un compromis : il s’agit de résumer l’idéal aussi bien que le modèle et rester fidèle à ce dernier.

Développe également une conception esthétique universelle incluant tous les arts et qui fait écho à « l’art total » que préconise Wagner, dont il est un fervent admirateur. Avec L' œuvre d'art de l'avenir (1849), Wagner présente une nouvelle conception de l'opéra, la Gesamtkunstwerk ou œuvre d'art totale, dans laquelle la musique, le chant, la danse, la poésie, le théâtre et les arts plastiques sont mêlés de façon indissociable (article sur Wagner).

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