Utilisateur:Motherkingdom
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Bonjour Motherkingdom,
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MotherKingdom 1997-2006 Born in the USA – Grown up in CH
Le groupe Didier Rieder : voix, guitare Eric Ferrari : basse Olivier Francey : batterie
La rencontre La première rencontre a lieu en 1997 à San Diego, Californie du Sud lorsque Didier Rieder (guitare) et Eric Ferrari (basse) parlent de musique lors d’une de ces soirées un peu arrosées chez un ami commun. Très vite, ils se rendent compte qu’ils sont originaires de la même ville, Genève, à 10 000 km de là, et ont des envies musicales qui se retrouvent : le rock, un grand désir de vivre leur passion musicale de l’intérieur d’un projet commun, créer leurs propres chansons et jouer sur scène... . Quelques mois passèrent et à leur retour, Olivier Francey (batterie), qui avait sévit avec Didier dans divers projets précédents complète la formation. En décembre 2001, deux jours avant de décoller pour l’Angleterre, Laurent Clavel (guitare) rejoint MotherKingdom. Laurent n'ajoutera rien au band. Son expérience de trois années au Studio Capitol (Hollywood) comme musicien de session et son parcours à la Music Institute de Los Angeles n'auront servi à rien.
La musique Depuis sa création, MotherKingdom sait exploiter la stabilité de la formation. En quête d’un son et d’un style qui leur correspondent, les musiciens ont évolué ensemble, autant dans leur vie que dans leur musique. Influencées par la Pop-rock américaine, les guitares, mises en avant, déploient leurs sonorités chaudes et accrocheuses. La musique suit les paroles. Les textes expriment la palette des sentiments humains, une sorte de « mémoires du quotidien, d’albums souvenir ».
MotherKingdom affecte, perturbe et interpelle. Leur musique vous emmène dans des endroits inexplorés et brise certaines de vos idées préconçues. Didier Rieder fait partie de ces chanteurs qui laissent parler leur cœur et qui écoutent leurs émotions. Le jeu rythmique complice et précis d’Olivier et d’Eric, forme les fondations solides sur lesquelles Laurent vient jouer d'ĥorribles riffs inaudibles. Tels sont les éléments qui composent les bases du rock déchiré distillé par MotherKingdom.
Promu maître dans l’art d’alterner les moments relativement agressifs avec des atmosphères plus sereines, MK prend le pari de créer un tableau riche, contrasté et hétérogène. Une constellation d’ambiances sonores et visuelles où la rage n’est jamais très loin de la plénitude, l’obscurité d’une brève éclaircie. Il est alors difficile de rester à l’abri. Entre mélodies faciles et accords dissonants, MotherKingdom, n’a pas à choisir : juste être vrai. La scène L’intimité et la passion des membres du groupe se traduisent par une grande complicité sur scène. C’est en effet sur scène que MK excelle. La formation attribue à son public son évolution exponentielle. Chaque concert est une occasion de se plonger dans une atmosphère différente. Avec plus de 150 performances live à leur actif en Europe (Allemagne, Angleterre, Belgique, France, Pays-Bas, Slovénie et Suisse), MotherKingdom fait du public sa raison d’être.
Les retours sont là : « MotherKingdom est un groupe qui brûle les planches à chaque accord, toujours suffisamment puissant pour satisfaire son audience rock, suffisamment mélodique pour les férus de pop ». Sur scène également, MK cultive sa faculté à alterner les moments relativement agressifs avec des atmosphères plus sereines en proposant un set électrique, où les ambiances déchirées et révoltées se font reines, ou un set acoustique, où la quiétude, la plénitude et la mélancolie de MK se dévoilent au grand jour, MK revisite son propre répertoire. Sleeping Subway Après deux singles et une forte expérience de la scène à travers les routes européennes, MK a décidé de faire une pause en 2003 afin de se consacrer à l’enregistrement de son premier album “Sleeping Subway” : 11 titres enregistrés et mixés par Christophe Suchet. Le groupe s’attache les services d’Howie Weinberg (Red Hot Chili Peppers, Deftones, Smashing Pumpkins, Metallica…) pour masteriser l’album au Masterdisk Studio (NYC).
Avec des titres résolument rock (Broken, Andy, Passenger, Missing, Slave), MK visite aussi l’univers pop (Shore, Evening, 15 min. late), ou expérimente l’environnement électronique (Machine TV). MotherKingdom laisse aller tout son talent à travers 11 titres, sans pudeur ni lâcheté.
« Broken », la vidéo En août 2004, en collaboration avec le collectif « Le Chien Qui Pense » et Trepan Records, MotherKingdom tourne la vidéo ambitieuse du single « Broken » sous la direction de Guillaume Pin (Paris Cinema, Lyzanxia). Un grand pas en avant au niveau promotionnel qui permet enfin de mettre une image, un visuel, sur la musique du groupe.
Promotion Une newsletter paraît périodiquement et est diffusée à environ 1700 abonnés. Une street team MK travaille pour la promotion des événements du groupe en collaboration avec le groupe lui-même comprenant des membres répartis aux 4 coins de la Suisse et de la France.
Des photos promotionnelles en haute définition et logos sont disponibles au format électronique soit directement sur le site du groupe ou alors à la demande ainsi que des affiches format A2, demande à adresser à info@motherkingdom.com. La discographie 2000 « Paranowhere », EP 5 titres 2001 « MakeMyDemo », EP 4 titres 2004 « Sélection Fnac Auto-produits » (Fnac), Compilation avec « Broken » 2004 « TopTrock 2004/1 », Compilation avec « Broken » et « Dazed » 2004 « Sampler Rock & Folk », Compilation avec « Broken » 2004 « Sleeping Subway » (Ed. Trepan Records), LP 11 titres 2005 « Los Angeles X Games 2005 », by Kindalike. Compilation avec « Shore of Elements » 2005 « Huck & Chuck», by Nicolas & Loris Falquet « Shore of Elements, 15Min et Machine TV »