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Utilisateur:Mistns/Brouillon

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Lénine, qui était plus âgé que Trotski de dix ans, avait déjà acquis une certaine notoriété en politique en 1900 avec la publication de son traité politique intitulé "Que faire ?"[1], un ouvrage majeur dans l'histoire de la pensée politique russe ou est traité  la nécessité pour les socialistes de s'organiser de manière professionnelle et centralisée pour réussir leur lutte contre le pouvoir en place et ou la nécessité d'un parti d'avant-garde, composé de révolutionnaires professionnels, pour guider la lutte des masses y est aussi défendu. Il a ensuite invité Trotski à rejoindre le comité de rédaction du journal Iskra (L'Étincelle)[2] par cooptation, dans l'espoir de résoudre les tensions entre les "anciens" (Plékhanov, Akselrod, Zassoulitch) et les "jeunes" (Lénine, Martov et Potressov) en introduisant un nouveau membre.


la théorie de la guerre révolutionnaire. [3]

Elle stipule que les conflits armés entre les nations pouvaient être exploités par les mouvements révolutionnaires pour renverser les gouvernements en place et instaurer un État socialiste. Selon lui, la guerre créait des conditions favorables à l'émergence de mouvements révolutionnaires en raison de l'affaiblissement de l'État et de l'exacerbation des tensions sociales et politiques


Il soutient que la classe ouvrière doit mener une révolution socialeiste dans tous les pays du monde afin d'éviter la consolidation du capitalisme et de réaliser la transition vers le socialisme. Selon cette théorie, la révolution ne peut pas être achevée dans un seul pays et doit être un processus permanent jusqu'à la réalisation du socialisme à l'échelle internationale.[4]








La corruption politique au Canada[modifier | modifier le code]

Le fléau mondial qui est celui de la corruption politique peut avoir des conséquences néfastes sur la démocratie et la stabilité d'un pays. Bien que le taux de corruption y soit considéré comme relativement faible, le Canada n'a pas été épargné par ce phénomène.

Selon le rapport d'indice de l'organisme de lutte contre la corruption, Transparency International en 2022, le Canada a été classé au 14e rang sur 180[5] pays évalués du Corruption Perception Index. Ce score place alors le Canada au niveau des pays les moins corrompus. Cependant, malgré la forte lutte 2 contre ce fléau, il reste encore les pratiques corruptrices toujours présentes[6].

Les scandales de corruption au Canada[modifier | modifier le code]

Les affaires de corruption politique au Canada ont fait l’objet de plusieurs enquêtes et condamnations. Parmi quelques exemples récents de corruption, figure l'affaire SNC-Lavalin[7], qui avait plaidé coupable en 2019[8] de fraude et de corruption pour avoir versé des pots-de-vin à des fonctionnaires libyens afin de remporter des contrats publics. Le Premier ministre. Justin Trudeau, avait à l'époque interféré dans cette affaire en exerçant son pouvoir sur l'ex-ministre de la justice afin qu'aucune poursuite judiciaire ne soit engagée contre SNC-Lavalin[9]. L'affaire Michael Applebaum[10], est un autre exemple de corruption au Canada. Maire de Montréal en 2013, celui-ci a été arrêté et inculpé pour 14 chefs d'accusations notamment, de corruption, de fraude, de complot. Les accusations portent sur des allégations de pots-de-vin ayant été versés par des entrepreneurs afin de les assurer en échange de contrats publics. Il a également été accusé de manipuler des contrats afin d'en bénéficier lui-même ainsi que certains de ses alliés politiques[11]. Ces scandales montrent la présence de la corruption politique au Canada que ce soit au niveau de l'entreprise ou du gouvernement.

La lutte contre la corruption au Canada[modifier | modifier le code]

En réponse à ces répercussions, le gouvernement canadien dispose de mesures visant à renforcer et à promouvoir la transparence et l'intégrité dans le système politique. Le Canada a signé des lois anticorruption la Convention sur la lutte contre la corruption d’agents publics étrangers dans les transactions commerciales internationales [12]afin d’encadrer tout ce qui touche à la corruption d’argent publique. La Gendarmerie royale du Canada (GRC)[13] a pour but de lutter contre la corruption au Canada en enquêtant sur les crimes financiers, en fournissant une formation aux organisations et en collaborant avec d'autres agences pour renforcer l'intégrité et la transparence du pays.


Bien que le Canada soit considéré comme l'un des pays les moins corrompus, il n'est visiblement pas à l'abri des corruptions politiques. Les Pratiques de corruptions ont alors des effets néfastes sur le développement du pays ainsi que sur la confiance des citoyens dans le système politique et la juste prise des décisions.

  1. « Repenser l’équité dans l’éducation : Le COVID, révélateur et catalyseur ? », sur Les podcasts de l'OCDE, (consulté le )
  2. « Pravda : un journal ouvrier pour la conquête du pouvoir (I) », sur Révolution Permanente (consulté le )
  3. Léon Trotsky | 1 janvier 1999, « Trois conceptions de la révolution russe », sur La Riposte Socialiste (consulté le )
  4. « Révolution passive, révolution permanente et hégémonie », sur Révolution Permanente (consulté le )
  5. (en) « Canada », sur Transparency.org (consulté le )
  6. Affaires mondiales Canada, « La lutte du Canada contre la corruption transnationale », sur AMC, (consulté le )
  7. Jean-Louis Fortin, « Accusée de fraude: SNC-Lavalin pourrait s’en tirer en payant 30 millions $ », sur Le Journal de Montréal (consulté le )
  8. Zone Politique- ICI.Radio-Canada.ca, « Comprendre l'affaire SNC-Lavalin en 5 points », sur Radio-Canada.ca (consulté le )
  9. Mélanie Marquis, « Affaire SNC-Lavalin: Jody Wilson-Raybould revient hanter Justin Trudeau », La Presse,‎ (lire en ligne, consulté le )
  10. Vincent Larouche et Fabrice de Pierrebourg, « Corruption: l'enquête sur Applebaum implique l'ex-chef de cabinet de Courchesne », La Presse,‎ (lire en ligne, consulté le )
  11. « Accusé de corruption et de complot, le maire de Montréal démissionne », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  12. Affaires mondiales Canada, « Corruption », sur AMC, (consulté le )
  13. Gendarmerie royale du Canada Gouvernement du Canada, « Corruption | Gendarmerie royale du Canada », sur www.rcmp-grc.gc.ca, (consulté le )