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Utilisateur:Mathis.fontenelles/Brouillon

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Ernest De Jeufosse : né le 24 Septembre 1832, à Saint Aubin sur Gaillon, Il est le Premier fils de Madame De Jeufosse. Le 17 Mars 1857, il écrivait à Émile Guillot une lettre qui a été intercepté par Mme Guillot, dans laquelle on trouve ce passage : " J'apprend que il y a à Jeufosse des revenants et des loups-garous ... je vous préviens que j'ai donné des ordres pour qu'on leur tire dessus, promettant une récompense honnête à qui les toucherait ". En effet, Ernest De Jeufosse avait dressait au garde Crepel une lettre qui na pas était conservait, mais sur les termes et sur le sens de laquelle sont à peut près d'accord et celui qui la écrit et celui qui l'a reçu: " J'entends dire qu'on rode la nuit autour du château, c'est une lâcheté de ta part de ne pas empêcher cela. Il faut tiré un coup de fusil sur celui qui fait cela, si j'y était je le ferait, tu dois me remplacer. " Enfin le 19 Mai 1856, une entrevu avait été convenue entre Émile Guillot et Ernest De Jeufosse. Elle fut fixé cher Monsieur Oscar du Bazé, parent de ce dernier, et elle devait avoir lieu en présence de Monsieur Tripet, ainsi commun des deux familles. Ernest De Jeufosse, avant de s'y rendre, avait déjeuner chez Monsieur Buet, ancien notaire à Gaillon, il en était sortit dans un état voisin de l'ivresse, plusieurs fois dans la route il était tombé de cheval et il arriva les vêtements en désordre.


Albert De Jeufosse : né le 6 Décembre 1835, à Saint Aubin sur Gaillon, Il est le second fils de Madame De Jeufosse. Il ne resta de son coté inactif. Ayant passé quelques jours au château dans le courant du mois d'Avril, il avait fait lui même le guet pendant plusieurs nuits, puis en partant il dit à Crépel :" Veille bien, n'aie aucun ménagement fait ce que j'aurais fait moi même, donne un coup de fusil a celui que tu verras." Au moment où Crépel arrêté allait partir, Albert, ne pouvant se contenir, disait avec une grande animation: "Il reste peu de bons domestiques, voyez ce qui leur arrive quand ils font leur devoir, j'en eusse pourtant fait tout autant à sa place."

Les deux fils ne s'accomandant pas de la vie de campagne, ils se fixèrent à Paris ou ils se jetèrent dans d’aventureuse entreprise et compromirent leur patrimoine dans des opérations de bourse. La situation devient telle qu'il fallut pouvoir l'aimé d'un conseil judiciaire.

Albert et Ernest De Jeufosse sont sont accusés d'avoir le 12 juin 1857 incités Crépel à commettre volontairement un homicide sur la personne de Emile Guillot.