Utilisateur:LycéeZolaMaellis/Brouillon
Évaluation historique germano-turc[modifier | modifier le code]
De nombreux chercheurs soulignent l'importance de l'accord pour le maintien « du miracle économique allemand » et la structure des systèmes sociaux. En 1976, le ministère Fédéral du travail a déclaré que l'immigration a permis, sous la haute croissance économique, une forte réduction du temps de travail des Allemands. D'après les calculs du chercheur Friedrich Heckmann, l'immigration a permis, entre 1960 et 1970, la montée sociale de, environ 2,3 millions d'Allemands faisant partie de la classe ouvrière. Déjà en 1971, sans présence de l'immigration, les primes d'assurance de retraite auraient dû être augmentées, mais après Karl-Heinz, l'assurance de retraite aurait été « tout simplement par les employés étrangers »" subventionnée, puisque seulement environ un dixième des dépenses correspondait aux contributions versées.
L'historienne Heike Knortz présente un point de vue divergent. Elle souligne le primat de la politique étrangère et le développement économique erroné de l'immigration au début de la République Fédérale. Ainsi, seules les industries telles que les mines de charbon entretenues par le biais de l'importation de main d'œuvre bon marché ont augmenté mais ce système empêche le changement structurel. De plus, les accords de recrutement de la main d'œuvre ne sont aucunement dans le marché politique ainsi que celui du travail. L'Allemagne devrait alors se réorienter vers une main d'œuvre plus Allemande.