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Utilisateur:Leonard Fibonacci/Le Consolateur

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Le Consolateur apparaît plusieurs fois dans les sources juives, mais aussi dans l'Évangile selon Jean (paracletos). Une inscription dans la synagogue de Susya (ou Sussya ou Susiya) mentionne « le consolateur Yeshua, mort en martyr. »

L'inscription de la synagogue de Susya[modifier | modifier le code]

Selon Gilad[modifier | modifier le code]

« A la mémoire du consolateur Yeshua, mort en martyr et du consolateur Simon (selon la traduction de Gilad[1]). »

Selon l'archéologue[modifier | modifier le code]

Une autre inscription située à l’intérieur de la synagogue détient peut-être la clé de l’énigme de Susya. Cette œuvre datant du 4e siècle est écrite non pas en hébreu mais en araméen et fait référence à un certain Yeshua.

” Rappelez-vous en bien du consolateur/ témoin Yeshua ”

Pour certains, il s’agit d’une référence claire à Jésus. Le terme de consolateur étant évoqué dans le Livre de Jean:

“Quand le consolateur sera venu, l’Esprit de vérité, il vous conduira dans toute la vérité; car il ne parlera pas de lui-même, mais il dira tout ce qu’il aura entendu, et il vous annoncera les choses à venir” Jean 16:3

Cette idée est renforcée par la présence d’une mosaïque adjacente représentant deux Menorahs et deux oliviers. Symboles qui nous amènent à nous plonger dans le Livre de l’Apocalypse:

” Ceux-là sont les 2 oliviers et les 2 chandeliers qui se tiennent devant le Seigneur de la terre.” Apocalypse 11:4

Nous sommes donc en présence d’une communauté juive respectueuse des lois qui n’hésite pas à mentionner Jésus au sein même de son lieu de culte. On comprend mieux pourquoi celle-ci devait se protéger et se cacher du regard des autres juifs et mais aussi des premiers chrétiens qui s’étaient déjà éloignés du judaïsme[2].

Dans le Talmud[modifier | modifier le code]

"Celui qui console" existe aussi dans la tradition juive, et il est assimilé au Messie[3].

Sanhédrin 98b[modifier | modifier le code]

« But '[his unwillingness to see the Messiah] is because it is written, Ask ye now, and see whether a man doth travail with child? Wherefore do I see every man [geber]15 with his hands on his loins, as a woman in travail, and all faces are turned into paleness?16 What is meant by 'wherefore do I see every geber?' — Raba b. Isaac said in Rab's name: it refers to Him to whom all geburah17

[strength] belongs.18 And what is the meaning of 'and all faces are turned into paleness?' — R. Johanan said: [This refers to God's] heavenly family [I.e., the angels] and his earthly family [I.e., Israel,] when God says, These [the Gentiles] are my handiwork, and so are these [the Jews]; how shall I destroy the former on account of the latter?19 R. Papa said: Thus men say, 'When the ox runs and falls, the horse is put into his stall.'20 »

« R. Giddal said in Rab's name: The Jews are destined to eat [their fill] in the days of the Messiah.21 R. Joseph demurred: is this not obvious; who else then should eat — Hilek and Bilek?22 — This was said in opposition to R. Hillel, who maintained that there will be no Messiah for Israel, since they have already enjoyed him during the reign of Hezekiah.23

Rab said: The world was created only on David's account .24 Samuel said: On Moses account;25 R. Johanan said: For the sake of the Messiah. What is his [the Messiah's] name? — The School of R. Shila said: His name is Shiloh, for it is written, until Shiloh come.26 The School of R. Yannai said: His name is Yinnon, for it is written, His name shall endure for ever:27 e'er the sun was, his name is Yinnon.28 The School of R. Haninah maintained: His name is Haninah, as it is written, Where I will not give you Haninah.29 Others say: His name is Menahem the son of Hezekiah, for it is written, Because Menahem ['the comforter'], that would relieve my soul, is far.30 The Rabbis said: His name is 'the leper scholar,' as it is written, Surely he hath borne our griefs, and carried our sorrows: yet we did esteem him a leper, smitten of God, and afflicted.31 »

« R. Giddal a dit au nom de Rab : Les Juifs sont destinés à manger [à leur faim] aux jours du Messie. 21 R. Joseph s'y oppose : n'est-ce pas évident ; qui d'autre devrait alors manger - Hilek et Bilek ? 22 — Cela a été dit à l'encontre de R. Hillel, qui soutenait qu'il n'y aura pas de Messie pour Israël, puisqu'ils l'ont déjà consommé sous le règne d'Ézéchias.

23 Rab a dit : Le monde a été créé uniquement sur le compte de David. 24 Samuel dit : A cause de Moïse ; 25 R. Johanan a dit : A cause du Messie.

Quel est son nom [le Messie] ?

  • L'école de R. Shila a dit : Son nom est Shiloh, car il est écrit, jusqu'à ce que Shiloh vienne.
  • 26 L'école de R. Yannai a dit : Son nom est Yinnon, car il est écrit, Son nom durera pour toujours : 27 Depuis que le soleil était, son nom est Yinnon.
  • 28 L'école de R. Haninah a soutenu: Son nom est Haninah, comme il est écrit, Où je ne te donnerai pas Haninah.
  • 29 D'autres disent : Son nom est Menahem, fils d'Ézéchias, car il est écrit : Parce que Menahem ['le consolateur'],qui soulagerait mon âme, est loin .
  • 30 Les rabbins dirent : Son nom est « le savant lépreux », comme il est écrit : Il a sûrement porté nos chagrins et porté nos chagrins : pourtant nous l'estimions un lépreux, frappé de Dieu et affligé .
  • 31 R. Nahman a dit: s'il [le Messie] est de ceux qui vivent [aujourd'hui], ce pourrait être un comme moi, comme il est écrit, Et leurs nobles seront d'eux-mêmes, et leurs gouverneurs sortiront du milieu d'eux .
  • 32 Rab dit : s'il est des vivants, ce serait notre saint Maître ; 33 s'il était mort, ce serait Daniel, l'homme le plus désirable.
  • 34 Rab Juda dit au nom de Rab : Le Saint, béni soit-Il, nous suscitera un autre David, 35 comme il est écrit : Mais ils serviront l'Éternel, leur Dieu, et David, leur roi, que je susciterai. eux : 36 pas 'j'ai ressuscité', mais 'je ressusciterai'est dit.
  • R. Papa dit à Abaye : Mais il est écrit : Et mon serviteur David sera leur prince [ nasi ] pour toujours ? 37 — Par exemple, un empereur et un vice-roi.
  • 38 R. Simlai a expliqué : Qu'entend-on par « Malheur à vous, qui désirez le jour du Seigneur ! À quelle fin est-ce pour vous? Le jour du Seigneur est ténèbres et non lumière ? 39 »

Beracho 5a[modifier | modifier le code]

Voici ce passage tel qu'il se lit dans Echa Rabbati (sur i, 16),où il est, en général, moins altéré que dans le Talmud de Jérusalem (Berachot , 5 a) :

Le Talmud de Jérusalem (Bçrachot, 5 a) = Echa Rabbati, i, 16.
Il était une fois un homme qui labourait. Sa vache s'étant mise tout d'un coup à mugir, un Arabe qui passait par là lui dit : « Qui es-tu ? —Je suis Juif. — Alors dételle ta bête et laisse ta charrue. — Pourquoi ?
— Parce que le temple des Juifs est détruit.
— Comment le sais-tu? Par le beuglement de ta vache *. »
Là-dessus la vache fit entendre un nouveau mugissement :
« Rattache ta bête à la charrue, dit l'Arabe, car le libérateur des Juifs est né.
- Quel est son nom?
— Menahem.
— Et celui de son père?
— Ezéchias
— Où demeurent-ils?
— Dans la forteresse Araba de Bethléem de Juda.
Alors l'homme vendit son attelage et sa charrue et acheta des langes pour enfants. Puis il se rendit de ville en ville, de province en provinces jusqu'à ce qu'il arrive au terme de son voyage. Là, tous les habitants vinrent lui acheter des langes, à l'exception de la mère de l'enfant, qui ne fit aucune emplette :
- « Pourquoi, lui dit-il, n'achètes-tu pas de lange d'enfant?
— Parce que mon fils est né sous une mauvaise étoile.
- Comment le sais-tu ?
— Parce que le Temple a été détruit lors de sa naissance.
— Mais nous, nous avons confiance en Dieu, qui fera que la destruction du Temple s'est produite à sa naissance, sa restauration aura lieu à sa suite. » Le marchand ajouta : « Prends de ces langes et à mon retour, tu me les paieras. » Elle le fit et s'en alla.
Au bout de quelque temps, l'homme se dit : « Allons donc voir qu'est devenu l'enfant! » Arrivé chez la femme, il lui demanda des nouvelles de son fils : « Ne t'avais-je pas dit qu'il était né sous une mauvaise étoile ? La malchance s'est exercée dès les premiers temps, car tout de suite sont venus des vents et des ouragans, qui l'ont emporté.
— Ne t'avais-je pas dit que, si le Temple a été détruit à sa naissance, il sera rebâti à sa suite.

1. Cette dernière phrase manque dans le Talmud (= T.). 2. « Le roi Messie » (T.). 3. « D'où est-il? » (T.). 4. « La forteresse royale » (T.). Neubauer, La Géographie du Talmud , p.écrit, à propos de ces deux leçons différentes : « Beth Arabah est une localitéde Beth Lehern où, d'après les Talmuds, le Messie doit naître. » Le passagl'Echa Rabbati (qui n'est pas les Talmuds) mentionnant ce lieu (fin de la Pene. parle aucunement de sa proximité de Bethléem. Neubauer donne comme unétabli une identification hypothétique : il voit dans ce Beth Arabah une sivariante de Birat Araba. C'est vraisemblablement à tort, car Beth Araba estcomme une localité, et non comme un quartier ou un monument urbain ; en oil se trouve dans une vallée, ce qui n'est pas le cas de Bethléem. — Birat M« tour royale », peut être un nom imaginaire, inventé pour la circonstance : leMessie doit naître dans un bâtiment royal; mais d'où provient la variante BAraba , qui jamais n'est mentionnée à propos de la naissance du Messie et d'ailleurs, ne se rencontre que dans ce passage? 5. « Toutes les femmes » (T.). 6. Il entendit les femmes dire : « Mère de Menahem, mère de Menahem, vienacheter pour ton fils. — Je voudrais, répondit-elle, pouvoir étrangler les ennd'Israël (antiphrase pour « Israël »). » (T.) Cette variante rend mieux comptl'utilité de la ruse employée par le Juif pour découvrir l'enfant. L'expédientàéé 118 REVUE DES ÉTUDES JUIVES

Une explication[modifier | modifier le code]

Nous disposons de 4 versions des Toledot Yeshu. Dans 3 de ces versions le récit d'enfance de Jésus bien que très polémique et humoristique s'applique à notre Yeshuah ha-Notsri. Mais comme l'a remarqué Thierry Murcia (cf. son livre sur Marie la Magdaléenne et pas Jésus dans le Talmud) dans la version Huldreich, le Jésus dont on décrit la naissance et l'enfance est un fils de Marie fille de Kolpas et sœur de Simon de Kolpas qui elle aussi a été surnommée Marie la Magdaléenne. Avec une grande pertinence, Murcia dit que ces personnages sont vraisemblablement Siméon de Clopas (ou de Klopas) qui devient évêque de Jérusalem après l'échec de la révolte et sa sœur. Cela implique que Marie de Klopas a eu un fils appelé Jésus.

Remarquons que la version Huldreich des Toledot Yeshu a pour titre: "Yeshuh Kritot Yezus". J.-P. Osier indique que « le terme Kritot signifie littéralement: destructions, divorces, au pluriel. Un traité de la Mishnah est ainsi intitulé (p. 105). » L'idée figurant dans le titre exprime donc une opposition de Yeshuh avec Yezus. On pourrait donc le traduire "Yeshuh contre Yezus", (ou "divorces de Yeshuh avec Yezus"). Ce qui introduit l'idée que dans le texte il est question de deux Jésus différents. L'un le fils de Marie de Kalpos (ou de Clopas), l'autre le célèbre Jésus, les deux Marie mère de ces deux Jésus ayant toutes deux été surnommées "Marie la Magdaléenne".

Dans cette version, Marie de Klopas est, contrairement aux autres versions, d'abord mariée avec Paphos ben Yehouda, mais s'enfuit avec Joseph Pandera et c'est avec lui qu'elle a des enfants dont le Jésus qui nous intéresse.

Grâce à Epiphane de Salamine nous savons que Siméon de Klopas était doublement cousin de Jésus puisqu'il était le fils de Klopas qui était un frère de Joseph le père (putatif) de Jésus avec une sœur de la "vierge" Marie appelée elle aussi Marie, appelée en l'occurrence Marie de Klopas, qui signifie vraisemblablement à la fois Marie femme de Klopas et Marie, fille de Klopas. Mais dans les Toledot Yeshu, on ne parle que de la seule Marie, fille de Klopas, appelée Marie Jacobé (Marie [fille] de Jacob) dans la tradition chrétienne. (À vérifier)

Au passage disons que P. A. Bernstein se trompe en disant qu'il est impossible que des parents nomment deux de leurs filles avec le même nom:

  • 1) C'est au contraire extrêmement fréquent dans la société juive de l'époque, mais aussi extrêmement fréquent chez les Romains;
  • 2) D'autre-part cela est facilité par le fait qu'ils portent deux noms et que si ces deux femmes s'appellent bien Marie toutes les deux, leurs deuxième nom peut être différent.

On retrouve cette Marie la Magdaléenne d'abord Mariée avec Paphos ben Yehouda dans les passages censurés du Talmud au sujet de ben Stada. Toutefois, là Thierry Murcia se trompe lorsqu'il dit que "ben Stada n'est pas Jésus". En fait dans ces passages qui sont exprimés dans des dialogues à la forme interrogative, on parle des deux Jésus à la fois. Mais, ces passages reflètent la confusion qui s'est instaurée sur ces personnages. Rappelons naturellement que la censure de tous les écrits par les autorités Romaines sur ce sujet, a frappé encore plus durement la société juive que les chrétiens de Rome. D'autre-part pour contourner cette censure les scribes juifs utilisaient eux aussi la méthode qui consistait à regrouper deux personnages semblables portant le même nom sous l'identité d'un personnage littéraire unique. Bref la mère de Jésus a bien été surnommée Stada (surnom polémique formée à partir de son titre Tzada). Surnom qui voulait dire que soi-disant elle aurait été infidèle. Ce qui en revanche semble vrai pour sa sœur Marie, fille de Klopas.

Nous avons donc un deuxième Jésus avec certaines caractéristiques semblables à notre Jésus mais qui est né à l'époque de Paphos ben Yehouda. Ce qui veut dire qu'il était florissant à l'époque où l'évangile selon Jean a été écrit. Un passage du Talmud qui parle de Menahem (menahem signifie "le consolateur") né le jour où le Temple a été détruit pourrait faire référence à lui.

Enfin, on a retrouvé une inscription dans la synagogue de Susya qui dit: "Souvenons-nous en bien du consolateur Jésus, mort en martyr". Or l'Evangile selon Jean dit: “Quand le consolateur sera venu, l’Esprit de vérité, il vous conduira dans toute la vérité; car il ne parlera pas de lui-même, mais il dira tout ce qu’il aura entendu, et il vous annoncera les choses à venir” Jean 16:3

Cette idée est renforcée par la présence d’une mosaïque adjacente représentant deux Menorahs et deux oliviers. Symboles qui nous amènent à nous plonger dans le Livre de l’Apocalypse:

” Ceux-là sont les 2 oliviers et les 2 chandeliers qui se tiennent devant le Seigneur de la terre.” Apocalypse 11:4

Susya (ou Sussya) ville mystérieuse[modifier | modifier le code]

Le site (de Sussya) comporte de nombreux vestiges qui démontrent le caractère juif des habitants de Sussya: mikvé, tombeaux, mezouza sur les linteaux de portes… L’élément le plus symbolique et représentatif de ce lieu est sans aucun doute sa synagogue. Un édifice qui surplombe la ville, avec une orientation vers l’Est comme le veut la tradition juive (en référence au Temple de Jérusalem) (Je ne crois pas que ce soit vrai, seul les esséniens et les "chrétiens de Bythinie sont signalés comme priant vers l'est. Fe plus Sussya se trouve au sud de Jérusalem et donc s'il fallit prier en direction du Temple, la synagogue serait orienté sud-nord). La première question que l’on pourrait se poser est: que vient faire une telle construction en plein milieu des collines de Judée et du désert?

Une synagogue au cœur de l’énigme[modifier | modifier le code]

Bien plus qu’une simple construction religieuse, on se trouve en face d’une structure comprenant fortifications, pierre pour clôturer l’entrée et passage sous-terrain pour sortir incognito. Autant de précautions qui semblent quelques peu incongrues dans un lieu dédié au culte et à la prière.

Autres éléments qui interpellent les visiteurs: la présence de mosaïques. Si ce genre d’agréments était courant lors de l’époque byzantine, ils comportaient généralement des inscriptions en grec. Détail intéressant, ici les textes sont en hébreu et font écho au Livre de Daniel qui fait référence à la fin des temps.

A la lumière de toutes ces caractéristiques, on aurait tendance à imaginer que Sussya fut une ville développée et de grande renommée. Et pourtant, il n’en est rien, bien au contraire. Celle-ci n’est mentionnée dans aucune source: ni juive, ni chrétienne. Pourquoi un tel mystère? Et si la réponse se trouvait sous nos yeux…

Quand histoire juive et Jésus le consolateur se rencontrent[modifier | modifier le code]

Une autre inscription située à l’intérieur de la synagogue détient peut-être la clé de l’énigme de Sussya. Cette œuvre datant du 4e siècle est écrite non pas en hébreu mais en araméen et fait référence à un certain Yeshua.

” Rappelez-vous en bien du consolateur/ témoin Yeshua ”

Pour certains, il s’agit d’une référence claire à Jésus. Le terme de consolateur étant évoqué dans le Livre de Jean:

“Quand le consolateur sera venu, l’Esprit de vérité, il vous conduira dans toute la vérité; car il ne parlera pas de lui-même, mais il dira tout ce qu’il aura entendu, et il vous annoncera les choses à venir” Jean 16:3

Cette idée est renforcée par la présence d’une mosaïque adjacente représentant deux Menorahs et deux oliviers. Symboles qui nous amènent à nous plonger dans le Livre de l’Apocalypse:

” Ceux-là sont les 2 oliviers et les 2 chandeliers qui se tiennent devant le Seigneur de la terre.” Apocalypse 11:4

Nous sommes donc en présence d’une communauté juive respectueuse des lois qui n’hésite pas à mentionner Jésus au sein même de son lieu de culte. On comprend mieux pourquoi celle-ci devait se protéger et se cacher du regard des autres juifs et mais aussi des premiers chrétiens qui s’étaient déjà éloignés du judaïsme.

Pas étonnant donc que les commentateurs se soient faits discrets sur Sussya pendant si longtemps. Aujourd’hui encore, ce site historique ne cesse d’intriguer chercheurs et visiteurs. Un plébiscite qui montre bien que Sussya n’a pas encore livré tous ses secrets.

Notes et références[modifier | modifier le code]