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Utilisateur:Kergourlay/Brouillon

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Brezhoneg


Digresk[modifier | modifier le code]

Yaouank Le plus grand fest-noz de Bretagne

#Fest

Festival interceltique des Arts et de la Culture de Brest[modifier | modifier le code]

En 1969 et 1970, les premiers spectacles consacrés à la nouvelle musique réunissent Stivell, Glenmor, Maripol, Servat, les tout jeunes AN Triskell, les futurs Tri Yann an Naoned (La Bretagne, une aventure mondiale, De Joël Cornette)


le festival international des cornemuses est créé en 1953 par la Bodadeg ar Sonerion (en abrégé BAS) (principale association de musique traditionnelle bretonne) pour fêter son dixième anniversaire[1]. Cependant, à la suite du réaménagement de la place du château où se tient le festival de Brest et du conflit qui en résulte entre la mairie de Brest et la Bodadeg ar Sonerion, l'association cherche un nouveau lieu où implanter son concours et les villes de Nantes et de Saint-Malo se déclarent alors intéressées[2].

Le nombre de bagadoù augmente rapidement. BAS lance, en 1953, un concours pour les départager. Très vite, la manifestation qui s’installe à Brest, prend le nom de « festival international des cornemuses ». Des Écossais et des Irlandais sont en effet régulièrement invités pour participer au jury ou pour venir se produire. Dans les années 1960, un « champion de Bretagne des Bagadoù » est désigné tous les ans. Mais à la fin de la décennie, un différent oppose la municipalité de Brest à la BAS concernant l’emplacement du festival. La BAS décide de quitter la cité du Ponant.

Polig Monjarret, revenu en grâce et lavé par la justice, installe en ville, dès 1953, le festival international des cornemuses. « Pour lui, il s'agit clairement de fêter les dix ans du BAS, ce qui situe bien sa création réelle en 1943 ». Le succès se forge rapidement. 1.500 sonneurs en 1953, 3.500 en 1968 : la manifestation enfle et la ville se précipite pour ces trois jours de défilés et de spectacles, dont le triomphe descend Jaurès et Siam avant de se retrouver à Ménez-Paul pour le final à guichets fermés.

À la suite d'une brouille entre le BAS et la municipalité de l'époque en 1969, ce festival quittera Brest au début des années 70 pour renaître à Lorient sous la forme du Festival interceltique. Mais en 1997, pour les 50 ans de la Kevrenn, l'on imagine un retour des sonneurs en centre-ville pour la manifestation connue aujourd'hui. Loin, si loin de l'idéologie des débuts.

https://www.letelegramme.fr/finistere/brest/sonneurs-de-la-naissance-des-bagadou-16-04-2018-11927835.php http://bibliotheque.idbe-bzh.org/data/cle_79/Festival_International_des_Cornemuses_Brest_1968__1.pdf https://abp.bzh/de-superbes-cornemuses-du-monde-exhumees...-a-brest-et-exposees-au-fil-19583

Hervé Lossec, né en 1947, [modifier | modifier le code]

quitte l'école à 16 ans pour travailler à la ferme familiale, avant de devenir chef d'entreprise puis de s'intéresser à l'influence du breton - sa langue maternelle - dans la langue française. Sous-titré Le français tel qu'on le parle en Bretagne, le premier volume des Bretonnismes a été vendu à plus de 180000 exemplaires, dont une large part dans la région. Le deuxième tome, sorti à la fin de 2011, fait une petite incursion dans le pays gallo (partie est de la Bretagne) et a été tiré à 90000 exemplaires.

Friko Yann Pennkaled 

© Le Télégrammehttp://www.letelegramme.fr/ar/viewarticle1024.php?aaaammjj=20050322&article=9678422&type=ar#74OkbmujOh3XXCgk.99

L'été 2010, il tient une rubrique dans Ouest-France sur les expressions bretonnes

http://lesbretonnismes.canalblog.com/pages/bibliographie-d-herve-lossec/25626803.html

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https://www.facebook.com/notes/sonerion/de-novembre-2016-%C3%A0-f%C3%A9vrier-2017-sonerion-f%C3%AAte-ses-70-ans-en-concerts/1267591126625435

  1. Neuvième édition des Fêtes des Cornemuses à Brest, contexte, Institut national de l'audiovisuel, consulté sur ina.fr le 11 juin 2011.
  2. Cabon 2010, p. 11.
  3. Marie Auffret-Pericone, « Entretien. « Le breton a imprimé sa couleur » », La Croix,‎ (lire en ligne)
  4. Jean-Louis Le Touzet, « Lexique. Le français cuisiné à la breizh », Libération,‎ (lire en ligne)
  5. Mikaël Cabo,, « Portrait. Ses « bretonnismes » enthousiasment la Bretagne », La Croix,‎
  6. Yves Pouchard, « Vous parlez breton sans le savoir », Aujourd'hui en France,‎