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Utilisateur:JMO~frwiki

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Je suis un vieux professeur d'Université en retraite.

J'ai fondé et longtemps dirigé un laboratoire reconnu par le CNRS. Ce laboratoire travaillait dans deux domaines: - la mécanique quantique et son application à la théorie des spectres moléculaires. -la spectrométrie expérimentale par laser.

J'ai enseigné à peu près toute la physique, en refusant l'usage de l'argument d'autorité, ce qui m'a causé beaucoup de problèmes, et m'a amené à réfléchir sur les principes fondamentaux de la mécanique quantique et de l'électromagnétisme:

Il est impossible d'enseigner les principes de la mécanique quantique suivant les postulats de Copenhague. Mon point de vue est voisin de celui de de Broglie: L'équation de Schrödinger et les méthodes analogues (algèbres de Lie, etc. ) sont LINÉAIRES, alors que la physique ne l'est pas: l'onde représentant une particule est un SOLITON qui possède des points remarquables pouvant être, par exemple le centre d'une particule. Ces points ne disparaissent pas lors d'un choc de deux solitons. On peut montrer l'existence de tels solitons tridimensionnels, occupant un domaine limité de l'espace en supposant que le vide possède, à haute énergie des perméabilités et permittivités relatives croissant avec le champ. Deux solitons se repoussent à faible distance et peuvent s'attirer à plus grande distance. Mais l'étude de tels solitons est horrible faute de mathématiques convenables. Aussi il faut utiliser Schrödinger en sachant que la dualité onde-corpuscule n'est pas une propriété fondamentale de la matière, mais une conséquence de l'utilisation de mathématiques trop simples, etc. Il ne faut pas porter à ses limites une théorie approximative.

La non linéarité du champ d'énergie électromagnétique est souvent ignorée ou réintroduite a posteriori via des interférence trop souvent oubliées. Ainsi après un calcul du champ rayonné par un dipôle, les ouvrages classiques élèvent le champ au carré pour calculer l'énergie rayonnée sans préciser l'hypothèse de l'absence de tout champ extérieur. Pour expliquer l'absorption d'un champ électromagnétique, on a inventé des processus invraisemblables, par exemple la "réaction de radiation" (P. W. Milonni, The quantum vacuum, chap 5, Academic Press). Le problème est pourtant simple: pour absorber un champ il faut lui ajouter le champ opposé! Mais la théorie atomique rend impossible la génération du champ opposé au champ rayonné par une particule chargée élémentaire P: en effet, en un point A voisin de P, le champ rayonné par P est intense alors que le champ rayonné par les particules lointaines est faible; il en faut beaucoup, le problème est insoluble, donc il existe un champ résiduel. La première évaluation du champ résiduel, aussi appelé le champ du point zéro car il subsiste dans une cavité à 0K, est due à Planck ( M. Planck, Eine neue Strahlungshypothese, Verh. Deutsch. Phys. Ges., 13, 138--75 (1911).) et elle a été confirmée par Einstein et Stern( A. Einstein & O. Stern Einige Argumente für die Annahme einer molekularen Agitation beim absoluten Nullpunkt, Ann. Physik 345, 551--60 (1913)). En tenant compte du champ du point zéro, la loi de Planck correcte donne la radiance (ou luminance) d'un rayon de lumière: Le champ du point zéro, qui, on le voit bien par son origine résiduelle, est un champ comme les autres et il est ridicule de le qualifier de "quantique". Il intervient dans le calcul de l'énergie, et joue un rôle important à basse radiance, par "comptage de photons" en particulier. De nombreuses expériences sont interprétées classiquement avec une erreur de calcul et "démontrent" ainsi la supériorité du calcul quantique !

En partant en retraite, j'ai lu, par hasard un article dans lequel Jean-Claude Pecker cherchait à interpréter la loi de Hubble en se passant de l'hypothèse d'une expansion de l'Univers (et en conséquence d'un invraisemblable ensemble de "nouvelles lois de la physique"). Mes étudiants avaient trouvé la solution en résolvant un problème dans lequel je proposais d'appliquer l'"Impulsive Stimulated Raman Scattering" (ISRS) à la lumière naturelle. J'ai, plus tard, précisé la solution en montrant que la loi de Hubble s'explique par un effet paramétrique combinant des diffusions cohérentes de la lumière par les transitions hyperfines de l'atome d'hydrogène dans les états n=2.

Il y a quelques années j'ai été stupéfait de constater que les astrophysiciens utilisent des calculs de Monte-Carlo pour calculer la propagation de la lumière dans l'hydrogène atomique. Ainsi ils ignorent l'onde porteuse du photon et toute l'optique ondulatoire, ignorent même que le photon n'est pas une particule mais une pseudo-particule ( W. E. Lamb Jr Anti-photon, Appl. Phys. 60, 77--84 (1995), W. E. Lamb Jr. , W. P. Schleich, M. O. Scully, C. H. Townes, Laser physics: Quantum controversy in action, Rev. Mod. Phys. 71, S263--73 (1999).

Les calculs de Monte-Carlo sont efficaces pour étudier la désintégration d'un système complexe par des neutrons car on connaît seulement la probabilité des diverses évolutions d'un atome d'uranium frappé par un neutron. En optique, ces calculs ne peuvent s'appliquer qu'aux nuages, au bleu du ciel, plus généralement qu'aux systèmes dans lesquels existe une variable aléatoire.

Heureusement, contrairement aux astrophysiciens, les astronomes n'observent pas les nuages et les collisions de molécules qui provoquent les diffusions incohérentes du bleu du ciel. Ils sont déja assez gênés par les diffusions cohérentes qui provoquent la réfraction.

Dans les gaz dilués, les collisions les plus fréquentes sont binaires, proportionnelles au carré de la densité, elles sont donc négligeables aux pressions des nébuleuses dans lesquelles tous les transferts d'énergie se font par rayonnement cohérent.

Les astrophysiciens se privent des effets cohérents (superradiance, effets multiphotoniques, etc.) qui expliquent simplement, sans aucune "nouvelle physique" un grand nombre d'observations: les quasars sont des étoiles entourées d'hydrogène qui explique leur spectre, il est inutile d'aligner un grand nombre d'astres énormes avec la Terre pour introduire des multiplications gravitationnelles d'images, ou de modifier les lois de la gravitation pour expliquer l'"accélération anormale" des sondes Pioneer, etc.

Comment expliquer l'aveuglement des astrophysiciens qui utilisent des théories absurdes car "tout le monde le fait". Peut-être l'ignorance de la cohérence optique, peut-être la peur de l'effondrement des merveilles féeriques qu'ils ont crées ?

Pour plus, vous pouvez m'écrire, jmoatlapostepointnet, vous serez bienvenus.