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une souris informatique en train de rouler dans une prairie avec une inscription au-dessus "c'est une souris verte qui courait dans l'herbe"



L'autonomiste polynésien Pouvanaa A Oopa réhabilité à titre posthume

   Par  Journaliste Figaro Le figaro.fr AFP agence Publié le 25/10/2018 à 09:48


41 ans après la mort de Pouvanaa A Oopa, la Cour de révision a annulé sa condamnation à huit ans de prison et quinze ans d'exil datant de 1959.

Victoire et réhabilitation posthume pour Pouvanaa A Oopa, décédé en janvier 1977. Ce jeudi, la Cour de révision a annulé la condamnation à la prison et à l'exil de l'autonomiste polynésien, accusé il y a soixante ans d'avoir exhorté ses partisans à incendier Papeete. Le député avait été condamné le 21 octobre 1959 à huit ans de prison et à quinze ans d'exil pour complicité de destruction volontaire et détention d'armes.

Saisie en juin 2014 d'une requête en révision du ministère de la Justice, la Cour de révision a annulé cette condamnation et a «déchargé la mémoire» du Polynésien. Cette décision est conforme aux préconisations de l'avocate générale, qui avait estimé lors de l'audience, le 5 juillet, qu'il existait «des faits nouveaux de nature à faire naître le doute» sur la culpabilité de Pouvanaa A Oopa, de son vrai nom Pouvanaa Tetuaapua.

«À aucun moment, il y a une certitude, et on en est très loin, qu'il était coupable. On ne peut pas condamner quelqu'un sur un doute, par définition», a réagi auprès de l'AFP Me Emmanuel Piwnica, désigné par la Cour de révision curateur à la mémoire de Pouvanaa A Oopa, considéré comme le «père de l'autonomie et du nationalisme polynésien». Le processus de révision initié par Christiane Taubira

Déchu de son mandat de député en mai 1960, Pouvanaa A Oopa, fervent opposant aux essais nucléaires français en Polynésie, était rentré à Tahiti en novembre 1968 après avoir bénéficié d'une grâce, puis avait été amnistié l'année suivante et élu sénateur en 1971. L'ancien exilé a toujours nié les faits et avait tenté en vain de faire réviser son procès.

En 1995, près de vingt ans après la mort de Pouvanaa A Oopa, la Cour de cassation avait rejeté un recours déposé par ses descendants. C'est finalement l'ex-garde des Sceaux Christiane Taubira qui avait initié ce processus de révision, répondant à une demande de l'Assemblée de Polynésie qui avait voté à l'unanimité une motion en ce sens en 2014.

La commission d'instruction avait jugé le dossier suffisamment solide pour saisir la Cour de révision après un supplément d'information. Parmi les éléments nouveaux figurent les témoignages de gendarmes qui ont reconnu que l'accusation s'était fondée sur des témoignages fabriqués ou extorqués par la menace ou la violence.


"A la guerre comme à la guerre !" Disait mon grand-père qui en a connu, deux, mondiales ; prisonnier, déporté. En voici une autre, et pour la première fois de sa courte et belliqueuse histoire l'espèce humaine fait front contre un ennemi commun, autonome, inconnu, proliférant, agressif, sans merci ... Et moi, mon combat se déroule dans mon corps, devenu le théâtre de bien de combats. Depuis le mois d'octobre, le 5 exactement, depuis cette URS (urétéroscopie laser) pour réduire un calcul coralliforme au rein droit qui a eu pour effet de libérer cette bactérie multi-résistante : une Klebsiella pneumoniae, je me bats pied à pied contre des infections urinaires récidivantes. Je l'avais de nouveau avec moi en novembre à Mons au CHU Ambroise Paré au 3H pour une nouvelle intervention laser cette fois sous hypnose, et après une trêve assez longue pour un changement tactique et technologique, je l'avais encore à l'hôpital universitaire de Leuven au fin d'une intervention percutanée avec application cette fois d'ultrasons pour exploser cette pierre particulièrement dure. Trop préoccupé par cet ennemi invisible, implacable et envahissant qu'est la bactérie, je ne pouvais vraiment faire attention à ce qui se passait de l'invasion du monde des humains. j'ai passé deux bonnes semaines dans la chambre 1207 au 2H en isolement individuel par crainte que la bactérie n'aie muté en CPE, pour le finir en chambre commune 1224 toujours en isolement à cause du stade LSBE avec une nouvelle intervention laser pour nettoyer un fragment lithiasique résiduel siège potentiel de l'infection.


faire une série de films des gens venus se faire soigner aller dans le château de guédelon où des étudiants en histoire voient comment le château résiste aux assauts des zombies


Charles J. Moore is an oceanographer and racing boat captain known for articles that recently brought attention to the 'Great Pacific Garbage Patch',[1] an area of the Pacific Ocean strewn with floating plastic debris which is twice the size of Texas.[2] In addition to his work on the Great Pacific Garbage Patch, Moore also serves as science advisor to 5 Gyres, another organization also working on the garbage patch.


l'erreur n'est plus la manifestation d'une non-connaissance qu'il convient d'ignorer ou de corriger immédiatement, mais d'une connaissance inadéquate sur laquelle la connaissance correcte va pouvoir être construite.

De plus, l'erreur semble être inévitable dans le processus normal de l'apprentissage.

D'une part on ne saurait envisager un enseignant délivrant un enseignement parfaitement adapté à tous ses apprenants. D'autre part les personnes n'ont pas les mêmes capacités d'apprentissage selon le domaine considéré et la manière d'apprendre. Enfin, l'erreur est souhaitable, car elle est formatrice :

   une erreur faite durant l'apprentissage sera plus rarement répétée en situation réelle ;
   la conscience que l'on peut se tromper donne une capacité de remise en cause et d'adaptation, elle fait prendre conscience de l'intérêt de se former.

A contrario, une répétition trop fréquente d'erreurs peut décourager l'apprenant.

Une erreur de l'apprenant peut parfois révéler une erreur de l'enseignant : en effet, celui-ci peut avoir transmis une information inexacte ou erronée, ou encore utiliser une pédagogie inadaptée.

L'erreur fait partie inhérente de l'apprentissage, il convient donc de l'analyser afin de mettre en place des situations pédagogiques adaptées. Actuellement, en pédagogie, il est considéré que l'erreur peut être une source utile pour l'apprentissage. Selon Jean-Pierre Astolfi, les erreurs peuvent devenir, plutôt que des "fautes condamnables", des "symptômes intéressants d’obstacles auxquels la pensée des élèves est affrontée" (Astolfi, J-P. (1997). L’erreur, un outil pour enseigner, p.15. Issy-les-Moulineaux : ESF)

En 1938, Gaston Bachelard avait d'ailleurs défini la notion d'obstacle épistémologique : « On connait contre une connaissance antérieure, en détruisant les connaissances mal faites, en surmontant ce qui, dans l'esprit même, fait obstacle à la spiritualisation ».





Pionnière du jeu vidéo en France, Muriel Tramis reçoit la Légion d'honneur

   Par  Journaliste Figaro Chloé Woitier Publié le 26/10/2018 à 12:51


PORTRAIT- Co-créatrice des logiciels éducatifs Adi et Adibou, cette ingénieure originaire de Martinique a travaillé chez le studio parisien Coktel Vision de 1987 à 2003. C'est la première femme du secteur à recevoir cette distinction.

«Si je suis devenu secrétaire d’État au numérique, c'est peut-être grâce à vous...» Ces paroles de Mounir Mahjoubi étaient destinées à Muriel Tramis, la cocréatrice des logiciels éducatifs Adi, Adibou et Adiboud'chou, à qui il a remis jeudi soir la Légion d'honneur. Cette pionnière du jeu vidéo en France est la troisième personnalité du secteur à recevoir cette distinction, après le créateur de jeux David Cage (2014) et le fondateur d'Ubisoft Yves Guillemot (2016). Elle est aussi la première femme de l'industrie du jeu vidéo à être ainsi récompensée pour sa riche carrière, qui s'est déroulée de 1987 à 2003.

Née en Martinique en 1958, Muriel Tramis est arrivée à Paris à l'âge de 16 ans pour rejoindre l'école d'ingénieur ISEP. «J'étais aussi reçue à l'Ecole polytechnique féminine, mais je refusais d'aller dans une école de filles, qui n'avait pas la même valeur que le ‘vrai' Polytechnique», a-t-elle expliqué lors de la cérémonie. Une fois diplômée en automatisme et informatique, la jeune femme entre à l'Aérospatiale où elle travaillera durant cinq ans sur les drones militaires. «C'est dans ce milieu chargé en testostérone qu'est né mon tempérament féministe. Je me rendais dans les classes de 3e pour inciter les filles à poursuivre des études scientifiques.» Lassée de travailler pour des «vendeurs d'armes», Muriel Tramis démissionne et reprend des études en marketing et communication. «C'est là que j'ai compris que l'image pouvait éduquer.» Des jeux d'aventures mettant en valeur l'histoire de la Martinique

La jeune femme intègre la société de développement Coktel Vision, fondée par Roland et Catherine Oskian en 1985. Elle y a l'opportunité de créer son premier jeu vidéo, Méwilo. Ce jeu d'aventure en «point and click» se déroule en Martinique, dans la ville de Saint-Pierre, peu avant l'éruption du 8 mai 1902 de la Montagne Pelée qui a détruit ce qui était alors la capitale économique et culturelle de l'île. Cette catastrophe majeure a tué plus de 30.000 personnes. Méwilo, écrit par l'écrivain Patrick Chamoiseau, décrit la société martiniquaise cinquante ans à peine après l'abolition de l'esclavage. Méwilo décrit la société martiniquaise au début du XXe siècle

Le jeu est un grand succès, notamment en Allemagne. Il a reçu la médaille d'argent de la Ville de Paris pour la qualité de sa reconstitution historique. «Je n'ai pas appris l'histoire de mon île à l'école. La Martinique dépendait de l'académie de Bordeaux et nous partagions les mêmes programmes que les enfants de métropole», explique Muriel Tramis, qui a voulu transmettre la culture antillaise dans ses créations. Son second jeu, Freedom, met le joueur dans la peau d'un esclave qui a une nuit pour réussir à s'échapper de sa plantation. Muriel Tramis se lancera ensuite dans le jeu d'aventure érotique (Emmanuelle, Geisha, Fascination), avant de créer en 1993 et 1996 Lost in Time et Urban Runner, des films interactifs. Le succès fulgurant d'ADI et Adibou

En parallèle, la jeune femme conçoit des logiciels éducatifs pour les adolescents qui révolutionnent le secteur. «Avec La Bosse des Maths (1989), nous avons traité des mathématiques sur un mode ludique», explique Muriel Tramis. Vient ensuite en 1991 ADI (qui signifie Accompagnement didacticiel intelligent), le petit extraterrestre qui aide les enfants en français, mathématiques ou anglais de façon amusante. Le succès est immense. ADI est décliné en Adibou (pour les 4-7 ans) et Adiboud'chou (18 mois-3 ans). «C'est une oeuvre collective avec les équipes de Coktel Vision», tient-elle à expliquer. Coktail Vision est racheté par Havas à la fin des années 1990, avant d'entrer dans le giron de Vivendi-Universal en 2000. Trois ans plus tard, Muriel Tramis décide de démissionner pour rentrer en Martinique. Elle y fonde le studio Avantilles, spécialisé dans la conception graphique 3D et le développement web. L'entreprise créé notamment des maquettes virtuelles pour les urbanistes et les architectes antillais.

Aujourd'hui, Muriel Tramis aimerait revenir dans l'industrie du jeu vidéo. Elle souhaite ressortir sur PC et smartphone son premier titre, Méwilo, remis au goût du jour. Autre volonté, «pousser les jeunes filles à entrer dans les sociétés du jeu vidéo. Elles pourront s'y épanouir et y faire de très belles carrières». Pour Muriel Tramis, «mes 16 ans dans cette industrie ont été les plus belles de ma vie.»


Le professeur met en place des « situations problèmes » que les élèves doivent résoudre par eux- mêmes.

Dans ce cas, c’est le Maître qui prépare les progressions, il va ajuster les obstacles pour permettre aux élèves d’apprendre. Si les obstacles sont trop faibles les élèves n’apprennent rien, à contrario les obstacles sont trop élevés, l’élève n’y parviendra pas.

Ces méthodes privilégient le processus d’appropriation des connaissances, les élèves sont complètement mobilisés psychiquement dans le problème à résoudre. Ces méthodes nécessitent un effectif d’élèves réduit, on se rapproche des pédagogies différenciées.

Du point de vue de la gestion du temps et de programme si chacun avance à son rythme en fonction de son degré d’assimilation, certaines parties du programme risquent d’être sacrifiées au profit de la qualité de compréhension.


« Red Dead Redemption 2 » et la culture du secret de Rockstar Games

L’éditeur du très attendu jeu vidéo, qui sort vendredi, a autorisé ses employés à s’exprimer pour la première fois, en pleine polémique sur les conditions de travail.

LE MONDE | 25.10.2018 à 15h03 • Mis à jour le 26.10.2018 à 08h39 | Par William Audureau

Arthur, le héros de « RDR2 », en contre-jour. Il y a le feu à la plus célèbre tour d’ivoire du jeu vidéo. Depuis mi-octobre, les dirigeants de Rockstar Games, le label à l’origine de Grand Theft Auto et Red Dead Redemption, sont dans la tourmente. Motif : après deux décennies d’une culture d’entreprise des plus harassantes, les conditions de travail au sein des différents studios de la marque sont désormais mises sur la place publique, obligeant le célèbre label à réagir.

Le 15 octobre, Dan Houser déclenchait involontairement la polémique en évoquant des semaines de cent heures. Le lendemain, Le Monde témoignait des surcharges de travail, de l’ambiance toxique et du peu de considération pour les employés des studios, notamment à Rockstar Lincoln, en Angleterre. Le 23 octobre, le site américain Kotaku publiait à son tour une enquête accablante, basée sur près d’une centaine de témoignages, attestant de l’attachement sincère de nombreux salariés à la marque autant que d’un management par le chantage et de rythmes professionnels toxiques pour la santé familiale et psychique. Ex-rois de la communication

C’est la plus grave crise à laquelle ait jamais été confronté Rockstar Games, ce label mythique créé en 1998 par Sam Houser. Jusqu’à présent, cet ancien producteur de musique, maestro de la communication, avait réussi à faire de la marque une référence mondiale du jeu vidéo, et une compagnie nourrissant les fantasmes.

Rockstar ne s’est par exemple jamais déplacé au Salon mondial annuel du jeu vidéo à Los Angeles, l’E3. Selon les frères Houser, leurs jeux n’ont pas besoin de ça. A l’image de ce simple “R*” de son logo, Rockstar est une marque qui aime autant être au centre des attentions que cultiver le mystère et se faire désirer. Cela fait d’elle un label atypique dans le jeu vidéo, et la première entreprise à s’être approprié le jeu de la viralité sur les réseaux sociaux. En 2007, c’est par une simple bande-annonce sur YouTube qu’elle annonce GTA IV, à une époque où il était encore de coutume d’annoncer les jeux dans la presse spécialisée. En 2016, elle officialise le développement de Red Dead Redemption 2 d’un simple Tweet montrant un R noir sur fond rouge. Retweeté 100 000 fois, il suffira à faire bondir l’action de la maison-mère, Take Two, à Wall Street.

Pour Benoît Deniau, qui a monté l’antenne française de Take Two et travaillé avec Sam Houser à son arrivée, cette culture du secret est intimement liée au passé de ce dernier dans l’industrie de la musique. « Il a appris le marketing avec des groupes comme Gorillaz, et l’idée qu’un album pouvait sortir dans la surprise la plus totale, sans que personne ne sache qu’il était en projet ». Le couac des « elfes »

Culte du secret, information au compte-gouttes, maîtrise de l’agenda médiatique : en dépit des tribunes se plaignant anonymement, dès le début des années 2010, de conditions de travail parfois éreintantes les Houser n’avaient jusqu’à présent jamais dérogé à leur manière de communiquer. « Je pense que chez nous ça vient de la “mauvaise expérience” des frères Houser avec les médias lors des divers procès et affaires qu’ils ont eus, et récemment le documentaire de la BBC [diffusé en 2015, il avait été publiquement critiqué par Rockstar] les a encore plus renfrognés, je pense. C’en est parfois flippant », témoigne un employé de l’entreprise interrogé par Le Monde. Rockstar est notoirement connue pour le climat de paranoïa qui y règne.

Très récemment, Dan Houser a réitéré son attachement à cette politique, qu’il estime bénéfique à l’utilisateur des productions. « Sam et moi en parlons beaucoup, et c’est juste que les jeux restent quelque chose de magique », explique-t-il dans un portrait de GQ :

   « C’est comme si les jeux vidéo étaient faits par des elfes. Vous allumez l’écran et il y a ce monde qui existe dans la télévision. Je pense que vous gagnez à ne pas savoir comment ils sont faits. Autant on perd quelque chose de considération du travail, autant le plaisir du joueur en est augmenté. Ce qui est le plus important. »

Sauf que depuis deux semaines, les elfes ont sorti leurs colts. Comme le relève le journaliste américain Jason Schreier, spécialiste des conditions de travail dans l’industrie du travail, « si les jeux sont perçus par les fans comme étant “faits par des elfes”, alors les employés seront toujours remplaçables ». Rami Ismail, cofondateur du studio indépendant Vlambeer, a également épinglé cette déclaration. « Les jeux ne sont pas magiques parce que les gens ne savent pas comment ils sont faits. Ils sont magiques parce que des personnes de talent réalisent un travail complexe pour s’assurer que l’illusion fonctionne. » 3 000 contributeurs remerciés

Depuis les débuts de cette polémique, les lignes commencent toutefois à bouger. Le 23 octobre, en pleine tourmente après l’affaire des « 100 heures travail par semaine », le label a remercié publiquement une liste de 3 000 collaborateurs, directs ou indirects – un geste inattendu, alors que sur L.A. Noire, en 2011, la société avait été accusée d’avoir supprimé du générique de fin une centaine de salariés partis en cours de développement.

Le studio a par ailleurs envoyé un e-mail en interne pour autoriser ses employés à prendre publiquement la parole sur leurs conditions de travail, là encore une première inédite dans l’histoire de ce groupe.

Interrogé le 11 octobre dernier par Libération, Dan Houser, cofondateur et ponte créatif de Red Dead Redemption 2, assumait encore de ne pas vouloir être pris en photo. Lorsque le journaliste Bruno Icher le questionnait sur l’identité de l’auteur du jeu, il répondait de manière quasi prémonitoire :

   « A Rockstar, [il y a ] une cinquantaine de personnes qui travaillent en très étroite collaboration et si nous voulons faire de meilleurs jeux, il faut aussi mieux collaborer les uns avec les autres. »


Loureiro (Apocalypse Z), du Zito (L'homme des morts), du Bourne (Chroniques de l'armaggeddon) du Recht (le virus Morningstar) du Dilouie (Homeland of the dead). Vous en apprendrez autant, si ce n'est plus et vous vous divertirez.

Aktham Naisse (born 28 December 1951) is a Syrian lawyer and human rights activist. He is president of the Committees for the Defence of Democratic Liberties and Human Rights (CDDL-HR), which he helped found in 1989. Life Born in Latakia, Syria, Aktham Naisse studied in Egypt before returning to Syria. He was first arrested in February 1982, when he was held for four months and tortured. In 1989 the CDDL-HR formed an underground publication, Sawt al-Dimuqratiyya (The voice of democracy). In 1991 the group called for free elections, leading to Naisse's arrest in December 1991. In 1992 he was tried and sentenced to 9 years imprisonment in Sednaya prison. Released in July 1998, Naisse was not subsequently permitted to practice law.[1] After Bashar al-Assad came to power, the CDDL-HR issued a public declaration on 10 December 2000. In August 2003 Naisse was questioned and threatened by military security. The committee posted a public letter on the Internet, calling for the lifting of the state of emergency. On 8 March 2004 they led around 700 demonstrators in a peaceful sit-in in front of the Syrian parliament building in Damascus. Naisee and one hundred others presented the parliament with a petition against the state of emergency, signed by over 7,000 people.[1] On 13 April 2004 Naisse was arrested and returned to Sednaya prison. There he suffered a stroke, leaving him partially paralysed. He began a hunger strike, and was released on bail pending trial on 16 August 2004. After international appeals on his behalf, the court acquitted him on 26 June 2005.[1] Awards Naisse won the ninth Ludovic-Trarieux International Human Rights Award in Brussels in October 2004. He won the 2005 Martin Ennals Award for Human Rights Defenders.[2] References

   ^ Jump up to: a b c Michael R. Fischbach, 'Naisse, Aktham (1951–)', Biographical Encyclopedia of the Modern Middle East and North Africa, 2008. Reprinted online by HighBeam. Accessed 20 March 2013.
   Jump up ^ Syrian Human Rights Defender, Aktham Naisse, Winner of 12th Martin Ennals Award. Accessed 20 March 2013.

Au commencement fut l'erreur.

D'elle naquit la prédominance de la matière sur l'antimatière.

Puis d'autres erreurs, une longue suite d'erreurs suivit, augmentant l'entropie de l'univers, aujourd'hui encore et demain aussi.

Parmi lesquelles, les erreurs du code génétique, permettant la diversification du vivant.

Bien sûr, cette appellation d' "erreur" peut être discuté.

De même, ces quelques phrases ne rendent pas compte d'une quantité de mécanismes divers et très puissants, agissant dans le sens d'une sélection, induisant l'idée d'un sens, d'un ordre évolutif.

Et pourtant l'examen très minutieux des évènements ne permet que la vision d'un immense désordre, résultat du croisement de multiple causes. L'homme choisit alors de multiples attitudes, parmi lesquelles la croyance en un monde spirituel, d'où viendrait une volonté à l'origine de l'évolution, ou une vision mécanique du vivant, comme "soubresauts de la matière".

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je déclare cette séance DP/CE ouverte ; Pierre du syndicat FO voulait poser une première question à l'ordre du jour.

Oui, des rumeurs parmi les salariés font état d'un fichier. Est-ce vrai ? En quoi consiste ce fichier ?

Ha ça c'est une idée de Nadine, à la RH, brave petite. Quelques années qu'on l'utilise pour répertorier les syndiqués, les différentes sympathies ou aventures sexuelles de nos salariés entre eux, à l'intérieur de la boîte, bien sûr, il ne s'agit pas d'espionner leur vie privée.

Mais pourquoi ? Quel est l'intérêt ?

Ben honnêtement la plupart du temps c'est pour rigoler un coup ou se rappeler de ne pas augmenter untel ou unetelle, mais c'est vraiment tout. Grâce à ce fichier on peut mieux suivre le côté humain de nos salariés qui parfois nous échappe et mieux les contrôler.

Nous avons bientôt des élections à FO dans 2 ans, vous pensez que ça nous aiderait ?

Mais bien sûr ! Si ça peut vous aider on vous passera un extrait comme exemple, celui qui concerne les salopes... je voulais dire les salariées bisexuelles.

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musique genre orgue à carte perforée avec une animation de feuille trouée