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Utilisateur:Ikwy/brouillon/Republique Freedlandaise

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BROUILLON/TEST pour création page sur la République Freedlandaise (arnaque tombée en 2006), qui n'a jamais existé

La République Freedlandaise est une republique fictive, inventee par Leon Sonde dans le cadre d'une escroquerie revelee en 2006.

Description de la République Freedlandaise

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Situation et origine 'officielle'

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Son président fictif

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Léon Sonde, président autoproclamé de cette république Freedlandaise, est un Français d'origine congolaise. il revendiquait des liens avec le président Marien Ngouabi, dont il se déclarait ancien conseiller politique, et déclarait avoir été Ambassadeur du Parti Congolais du Travail auprès du Parti Communiste Roumain et enfin Chef de Mission diplomatique auprès de la Roumanie, de la Yougslavie, de la Bulgarie et de l'Albanie.

Détails de l'escroquerie

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Des connaissances affichées en géopolitique et en diplomatie, ainsi qu'un certain charisme, lui ont permis d'approcher des hommes politiques, des avocats et autres notables afin de leur proposer des responsabilités dans son gouvernement, en faisant souvent miroiter l'obtention d'un passeport diplomatique à ces derniers. Pour cela il fallait évidemment couvrir certains frais, but véritable de cette escroquerie. Ces victimes, ayant souvent de la notoriété dans leurs milieux respectifs, lui apportaient alors encore un peu plus de crédibilité auprès de leurs pairs, comme cela s'est déjà vu dans d'autre type d'escroquerie.

Une escroquerie à deux visages

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Des victimes à tous les niveaux

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A force de se créer des contacts et en faisant le plus possible la publicité de la "fondation humanitaire du Freedland", Léon Sonde est parvenu a trompé certains sites ou organisations[1], lui permettant alors de faire figurer le Freedland comme une réalité. La location d'un salon dépendant du Sénat faisant par exemple partie de ses méthodes pour ajouter à sa crédibilité. Fort heureusement, certains internautes plus avisés ne tombèrent pas dans le panneau[2]

Epilogue Judiciaire

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Léon Sonde a finalement été arrêté en septembre 2006 pour ses agissements. L'existence fantasmée d'une république Freedlandaise eut alors des echos dans divers media nationaux tels que le journal Le Parisien[3], le JT de TF1[4] ou encore dans le magazine Marianne[5].

Notes et références

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Articles connexes

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Christophe Rocancourt

Liens externes

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