Utilisateur:HDI.Tr/Brouillon

Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Philosophie islamique[modifier | modifier le code]

La philosophie islamique commence bien évidemment avec l’islam et s’inspire notamment des enseignements coraniques. Le Coran, pourtant, n’est pas un livre philosophique. Cependant, avec le développement et l’expansion de l’islam dans des pays possédant déjà des traditions philosophiques bien ancrées, puis avec l’important mouvement de traductions et de découvertes des sagesses antiques des pays conquis, cette nouvelle foi a inspiré une philosophie nouvelle, qui étudiait les grandes questions posées par le Coran dans l’optique d’une théosophie islamique. Diverses traditions philosophiques, de la philosophie grecque aux philosophies indiennes, chinoises en passant par la philosophie antique iranienne, sont venues dès le départ enrichir la philosophie islamique naissante. D’autre part, l’islam s’est très vite divisé en multiples courants de pensées, aux tendances et aux argumentations théologiques différentes, pour que nous ne puissions guère parler aujourd’hui d’une seule et unique philosophie islamique.

La philosophie islamique contemporaine donne un aperçu des contributions philosophiques de douze des plus éminents philosophes islamiques du XXe siècle, dont beaucoup sont issus de la tradition philosophique iranienne. Il présente des extraits traduits de leurs travaux philosophiques et des explications de leurs contributions uniques au domaine de la philosophie islamique, ainsi qu'une brève histoire du développement de la philosophie islamique et de l'état de la philosophie islamique aujourd'hui. Le livre traite de philosophes dont les noms sont bien connus en Occident, tels que l'ayatollah Ruhullah Khomeini, l'ayatollah Murtada Mutahhari et 'Allamah Muhammad Husayn Tabataba'i ainsi que certains penseurs qui ont reçu moins d'attention en dehors du monde islamique, comme Sayyid Ahmad Fardid et Mahdi Ha'iri Yazdi. Parmi les autres philosophes présentés figurent Sayyid Jalal al-Din Ashtiyani, Muhammad Taqi Ja'fari, l'ayatollah Hasanzadeh Amuli, l'ayatollah Javadi Amuli et l'ayatollah Muhammad Taqi Misbah Yazdi. Mohammad Fana'i Eshkevari a étudié au séminaire Qom en Iran ainsi qu'à l'Université McGill à Montréal, au Canada, où il a obtenu son doctorat en philosophie. Il a publié de nombreux articles sur la philosophie, le mysticisme et la religion.

Conseil suprême de la révolution culturelle[modifier | modifier le code]

L'Ayatollah Khamenei, Guide suprême de la Révolution islamique, faisant allusion aux activités de centaines de médias audiovisuels et de la presse écrite, ainsi qu'aux sites Internet dans le monde, qui cherchent à influencer l'esprit et le comportement du peuple iranien, a insisté sur la nécessité d'initiatives pour faire face à l'agression culturelle : « Les initiatives doivent être fondées sur des réactions sages contre l'agression culturelle », a souligné le 11 décembre 2013, l'Ayatollah Khamenei, lors d'une audience accordée au président et membres du Conseil Suprême de la Révolution Culturelle iranienne.

L'Ayatollah Khamenei a également déclaré que la culture a une forte influence sur les ‎différents aspects de la société. Il a fait remarquer que la culture sociale influe non ‎seulement le comportement individuel et social, mais qu'elle joue aussi un rôle efficace ‎dans la prise de décisions et leurs exécutions par le gouvernement. «C'est la raison pour ‎laquelle la culture de la société doit être correctement orientée», a ajouté l'ayatollah ‎Khamenei.‎ Plus loin dans ses déclarations, le Leader de la République islamique a fait observer que ‎la nation iranienne musulmane révolutionnaire tente d'établir les fondements et les ‎critères d'une société idéale. «Il faut éviter les discours purement théoriques et abstraits, ‎et tenter de conduire la société actuelle vers l’état idéal, ceci sera possible après ‎l’identification des lacunes et des failles existantes, l’étude des problèmes et leurs causes, ‎et l’exécution des plans et des programmes pour l’élimination de ces problèmes et ‎insuffisances», a dit le Guide suprême.‎

Le secrétariat du Haut Conseil iranien de la révolution culturelle a condamné l’autodafé du Saint Coran et la réédition des caricatures offensant le Prophète Mohammad (PSL) en Europe.

Dans un communiqué publié lundi, le conseil a déclaré que de tels actes insultants résultaient de la faiblesse et de l’incapacité des ennemis à saper le message de l’islam, et a rejeté l'idée selon laquelle la liberté d'expression peut être utilisée pour justifier l'insulte aux sainteté de près de deux milliards de musulmans dans le monde.

"Les éléments extrémistes dans les pays européens cherchent à répandre l'islamophobie en Occident à travers de tels comportements, mais ces actions ne feront que susciter un intérêt accru pour les messages de l'islam et du Coran", a souligné le communiqué.

Le secrétariat du Conseil suprême de la révolution culturelle a en outre appelé les chefs religieux du monde entier à condamner ces actes de profanation.

Forum mondial pour la proximité des écoles de pensée islamiques[modifier | modifier le code]

S'adressant à une réunion du Forum Taqrib, Hojjatoleslam Shahriari a appelé tous les musulmans et les pays islamiques du monde entier à s'unir derrière les enseignements donnés par le Prophète Mohammad (PSL). Aujourd'hui, l'arrogance mondiale a utilisé toutes ses capacités et est occupée à imposer la tyrannie à travers la planète; nous devons nous opposer à cette cruauté, a-t-il souligné. "Cela signifie que nous exigeons la justice pour empêcher la présence du colonialisme dans les arènes mondiales et arrêter le massacre, mais cela continue et nos grandes figures et commandants sont quotidiennement menacés; c'est la propagation de la tyrannie", a ajouté le haut religieux.

Organisation de la culture et de la communication islamiques[modifier | modifier le code]

L'Organisation de la culture et des relations islamiques (ICRO) a été créée en 1995 pour la centralisation et la coordination des missions culturelles à l'étranger. L’organisation doit atteindre des objectifs tels que la diffusion de la culture islamo-iranienne à travers le monde et le renforcement des relations culturelles de l’Iran avec d’autres pays. D'autre part, le monde est aujourd'hui le théâtre de nombreuses violences, conflits et guerres, en particulier d'affrontements sectaires-religieux dans le système international. Certains experts et universitaires sont d’avis que l’infusion de la culture dans les relations internationales et le développement des communications culturelles au niveau international peuvent avoir une influence sur la désescalade de la violence et le contrôle des conflits. Sur cette base, le rôle d'organisations telles que l'ICRO avec des activités culturelles en tant que piliers de ses objectifs et responsabilités peut être remarquable pour éliminer les motifs de violence et de conflits, en particulier les conflits sectaires et religieux au Moyen-Orient. La question principale de cet article est la suivante: quel est le rôle de l'Organisation de la culture et des relations islamiques dans l'établissement de la paix et de la sécurité? Des études montrent que l'organisation peut remplir des fonctions telles que les dialogues interreligieux, le dialogue entre les civilisations et les réunions de proximité entre les confessions islamiques. La base théorique de cette étude est fondée sur les points de vue de G. M. Michael et de la Conférence mondiale de l'UNESCO sur les politiques culturelles (1982). La méthode de recherche appliquée dans cette étude est descriptive-analytique et la collecte de données est basée sur la méthode de la bibliothèque. Lors d'une réunion avec le chef de l'Organisation de la culture et des communications islamiques (ICCO) de l'Iran, Abozar Ebrahimi Turkman, Araiji, faisant référence à la croissance du radicalisme dans la région, a déclaré que le renforcement des activités culturelles est un élément important pour lutter contre la violence et le radicalisme. . Il a salué les efforts de l’Iran dans la lutte contre le radicalisme dans la région. Ebrahimi Turkman, pour sa part, en se référant au contexte historique commun et aux points communs culturels et civilisationnels entre l'Iran et le Liban, a souligné la nécessité de développer des relations et une coopération culturelle. Le chef d'ICCO a appelé à la compilation d'un programme exécutif conjoint entre Téhéran et Beyrouth dans ce domaine. L’ambassadeur d’Iran à Beyrouth, Mohammad Fatahali, et l’attaché culturel de l’ambassade, Seyed Hassan Sehhat, étaient également présents à la réunion. Araiji et Ebrahimi Turkman se sont mis d’accord sur un plan commun pour organiser des semaines de la culture et du cinéma dans les deux pays l’année prochaine. Les deux parties ont également convenu d'échanger des experts et de fixer un calendrier pour les activités artistiques et culturelles entre les deux pays dans les mois à venir. Araiji et Ebrahimi Turkman ont également discuté de la situation régionale et condamné les crimes de Takfiris, qui ont causé des dommages à la culture et à la civilisation humaines.

Organisation islamique de la publicité[modifier | modifier le code]

Alors que la révolution a eu lieu et que le gouvernement religieux a été fondé, la République islamique d'Iran a été établie et, à l'époque, les hauts fonctionnaires du pays ont reconnu la nécessité de créer des organisations et des institutions capables de développer les aspirations et les pensées culturelles et religieuses de l'Imam Khomeini et des adeptes de l'Islam dans la société islamique. Pour atteindre cet objectif, les institutions révolutionnaires ont été établies les unes après les autres par le commandement du défunt Imam et elles ont commencé à remplir leurs fonctions.

Les principales responsabilités de l'Organisation islamique de développement :

1. élaboration de politiques, planification, conduite, organisation, soutien et supervision de la publicité populaire-religieuse.

2. Ouvrir la voie à la découverte des forces pieuses et établir des assemblées islamiques et des groupes similaires et superviser leurs activités.

3. Efforts pour la renaissance et la diffusion de l’histoire, de la culture et des formations chiites de toutes les manières possibles, en insistant sur la solidarité de toutes les religions islamiques et en la sauvegardant avec la coopération des institutions et autorités concernées.

4. Enquêter et considérer la publicité négative et l'agression culturelle des ennemis, identifier et analyser les astuces publicitaires contre la révolution islamique en coordination avec d'autres organisations connexes et introduire les politiques nécessaires afin de les frustrer et d'illustrer les opinions publiques.

5. Faire des études stratégiques et des considérations pratiques concernant les besoins culturels des différentes classes de la société en particulier les jeunes, planifier les programmes et les méthodes modernes de publicité, de réforme et de renaissance des méthodes traditionnelles de publicité islamique.

6. Compiler et publier les livres et la presse nécessaires et appropriés afin d'introduire la culture et la civilisation islamiques, en énonçant les positions de la révolution islamique, en faisant les recherches nécessaires en particulier dans les domaines du système éducatif et des bases politiques, économiques et culturelles du gouvernement islamique et en soutenant le chercheurs responsables.

Al-Atabat Al Aliyat[modifier | modifier le code]

Al-Atabat Al-Aliyat signifie littéralement les seuils sublimes. Al-Atabat Al-Aliyat, également connu sous le nom d'Al-Atabat Al-Muqaddasa, sont les sanctuaires de six imams chiites qui se trouvent dans quatre villes d'Irak, à savoir Najaf, Karbala, Kadhimiya et Samarra; et en fait, l'ensemble des sanctuaires (tombes) de ces Imams sont appelés Atabat Aliyat. Les villes mentionnées ont une importance en raison des sanctuaires de ces six imams chiites - qui y ont été enterrés.

Organisation du Hajj et du pèlerinage (Iran)[modifier | modifier le code]

Le hajj est obligatoire pour chaque musulman au moins une fois dans sa vie. Il s'agit de l'un des plus grands rassemblements annuels d'êtres humains sur terre, avec environ trois millions de personnes se rassemblant chaque année pendant trois à cinq jours entre le huitième et le 12 de Dhul-Hijjah, le dernier mois du calendrier musulman. Le pèlerinage a lieu chaque année depuis 630 CE lorsque le prophète Muhammad (PSL) a conduit ses disciples de Médine à La Mecque. Le bureau du Hajj du dirigeant iranien et l’Organisation du Hajj et des pèlerinages du pays ont publié une déclaration commune à la suite de l’annulation par l’Arabie saoudite du pèlerinage du Hadj pour les pèlerins de tous les pays, y compris l’Iran. La déclaration de mardi est intervenue après que les autorités saoudiennes du Hadj ont annoncé que les rituels du Hadj auraient lieu à une échelle limitée et sur une base nationale cette année. La déclaration officielle de l’Iran indique que les dispositions nécessaires ont été prises pour envoyer des pèlerins iraniens en Arabie saoudite. "De plus, en raison de l'épidémie de coronavirus, plusieurs réunions d'experts avaient eu lieu avec des experts et des responsables de la santé pour élaborer des protocoles sanitaires pour toutes les procédures exécutives du Hajj", lit-on dans le communiqué. «En conséquence, des protocoles de santé contraignants ont été élaborés», a-t-il ajouté. «Cependant, étant donné l’annulation des plans du Hadj pour les pèlerins iraniens [cette année], les licences de pèlerins pour le voyage du Hadj resteront valides par ordre de priorité et seront reportées à l’année prochaine», indique le communiqué.

Organisation de la sécurité sociale[modifier | modifier le code]

Les deux plus grands fournisseurs d'assurance maladie sont l'Organisation de la sécurité sociale (SSO) et l'Organisation iranienne d'assurance maladie (IHIO). Les responsables du MoHME ont estimé que 39 millions d'Iraniens sont couverts par le SSO, tandis que 34 autres millions sont couverts par l'IHIO. Ces chiffres incluent 23 millions de personnes vivant à la campagne et 6 millions couvertes par l'emploi public. Le régime d'assurance maladie le plus englobant en Iran est fourni par le Social Organisation de sécurité (SSO) et est appelée assurance médicale de sécurité sociale (bimeh-ye darmani-ye ta’min-e ejtema’i). Il couvre principalement les salariés et les indépendants du secteur privé, ainsi que les salariés à court terme contrats dans le secteur public. Dossiers médicaux et médicaux Les membres des régimes d'assurance maladie disposeront d'un soi-disant «carnet de santé» (daftarche-ye khadamat-e darmani), avec le dossier médical du propriétaire. Les deux SSO, IHIO et AFMSIO ont leur propre daftarche, qui doit être présentée et mise à jour lors de la réception de services de santé ou de traitement. En outre, il est prévu d'insérer également des données médicales dans la nouvelle carte à puce d'identité nationale, kart-e hooshmand-e melli, que tous les citoyens iraniens de plus de 15 ans sont censés posséder. Cette nouvelle carte d'identité contient une puce de données contenant des informations personnelles et peut inclure des dossiers de santé (adjoint aux relations de travail au MoCLSW, réunion à Téhéran, avril 2018). Les principaux établissements de santé conservent les dossiers médicaux dans des systèmes de données électroniques. Par exemple, lorsqu'un patient se rend dans un établissement de santé SSO, le dossier médical être enregistré dans un système électronique national d'information des patients pour le SSO. Les hôpitaux du MoHME utilisent un système électronique distinct pour leurs patients.

Ahmad-Reza Khazaei, directeur général du SSO pour les affaires des ressortissants étrangers, a déclaré dimanche que les retraités étrangers de l'Organisation venaient d'Irak, du Pakistan, du Bangladesh, d'Allemagne, de Turquie, d'Afghanistan, d'Inde, des États-Unis, de la République d'Azerbaïdjan, du Royaume-Uni et d'Italie. , Philippines, Liban, France, Pays-Bas, Koweït, Canada, Suisse, Japon et Malaisie.

L'Irak, avec 1390 retraités, compte le plus grand nombre de retraités étrangers en Iran, a déclaré Khazaei.

L'Afghanistan et l'Inde, avec respectivement 903 et 126 retraités, suivent l'Irak comme deuxième et troisième pays dont les ressortissants reçoivent une pension de l'assureur iranien, a ajouté le responsable.

L'article 5 d'une loi de 1975 sur la sécurité sociale stipule que les services d'assurance doivent être fournis aux ressortissants étrangers tout comme aux ressortissants iraniens, a déclaré Khazaei.

Il a déclaré que les dispositions de l'article 5 avaient été négligées pendant quarante ans jusqu'en 2015, au cours desquelles seuls 3 300 ressortissants étrangers travaillant en Iran bénéficiaient de services d'assurance.

Après le lancement du département des affaires étrangères de SSO en 2015, la fourniture d'une couverture d'assurance aux ressortissants étrangers a été sérieusement discutée de sorte que maintenant près de 42500 ressortissants étrangers travaillant en Iran reçoivent des services d'assurance, a déclaré Khazaei, ajoutant que compte tenu de leurs personnes à charge, le nombre s'élève à 82000 personnes.

Des dispositions ont été prises pour amener quatre millions d’Iraniens à l’étranger sous la couverture de l’Organisation de la sécurité sociale. Le programme sera mis en œuvre par des entrepreneurs étrangers ou des agences SSO dans d'autres pays. Jusqu'à présent, des agences ont été lancées dans 21 pays pour faciliter l'accès aux services SSO pour les ressortissants iraniens vivant à l'étranger, a rapporté IRNA. Selon le directeur général des affaires des ressortissants étrangers au SSO, les Iraniens ne bénéficiant d’aucune couverture d’assurance peuvent bénéficier de l’assurance maladie et des régimes de retraite de l’organisation.

ministère du Travail et des Affaires sociales[modifier | modifier le code]

The Ministry of Cooperatives, Labour, and Social Welfare (وزارت تعاون، کار و رفاه اجتماعی ایران‎) is an Iranian government body responsible for: Policy decision making, stewardship and all essential legal actions required to administer labour relations, workforce communities; Problem solving, maintaining and supporting Labour's power; Increasing the share of the cooperative sector in the country's economics; Supporting employment development, as well as establishing a comprehensive social welfare and social security system.

Shariatmadari a déclaré que le ministère fournissait une infrastructure pour des services d'assurance spéciaux pour les personnes travaillant dans des startups et des entreprises basées sur le savoir.

Il a expliqué que le ministère est chargé de résoudre les problèmes et les défis entre les coopératives, les entreprises traditionnelles et les start-ups.

Il a déclaré que l'objectif du ministère est de développer une infrastructure pour les domaines basés sur la connaissance afin de formuler des politiques appropriées pour les questions sociales.

Il a déclaré qu'il n'y avait que 250 startups et coopératives basées sur le savoir, ce qui est un très petit nombre sur un total de 90 000 coopératives en Iran.

La représentante du FNUAP, Mme Leila Joudane et la vice-ministre du Bien-être social du Ministère des coopératives, du travail et de la protection sociale d'I.R Iran, Son Excellence Dr Ahmad Meidari a signé un nouveau protocole d'accord le dimanche 3 juin 2018.

Le protocole d'accord a annoncé le début d'une coopération conjointe avec le Bureau de l'autonomisation et du soutien du ministère dans le domaine des affaires féminines en général et dans le domaine des femmes chefs de famille en particulier. La nouvelle coopération vise à mener une analyse complète de la situation de l'état socio-économique et sanitaire des femmes chefs de famille ainsi qu'à l'évaluation des systèmes de soutien en place pour les femmes dans le besoin.

La coopération ouvrira la voie au plaidoyer et à la réforme des politiques dans le domaine des femmes chefs de famille et des plans de soutien.

Ministère de la santé et de l'éducation médicale[modifier | modifier le code]

Le système de santé de l'enseignement supérieur en Iran grâce à l'intégration avec le système de service a une structure unique. Le ministère iranien de la Santé a mis en place en 1982 le système de réseau d'assainissement à travers le pays afin de fournir des soins de santé primaires. Cependant, l'insuffisance des effectifs était le principal problème dans le processus de mise en œuvre de ce programme. À cette époque, le Conseil suprême de la révolution culturelle a décidé de séparer les universités des sciences médicales du ministère des Sciences et de les combiner avec le ministère de la Santé afin d'augmenter le nombre d'étudiants en santé, en particulier les étudiants en médecine. Enfin, en 1985, la stratégie a été approuvée par le parlement. Suite à la mise en œuvre d'une stratégie combinée, l'ensemble des programmes d'enseignement, y compris les plans de recherche et les services des universités des sciences médicales, ont été placés sous l'inspection du ministère de la Santé et de l'Éducation médicale (MoHME). Depuis, les universités des sciences médicales ont été créées (au moins une université dans chaque province). Une grande partie de l'autorité du ministère est l'éducation et la formation des ressources humaines dans les soins de santé en Iran.ncbi.nlm Les politiques du MoHME ces dernières années ont montré que les changements dans le système de santé de l'enseignement supérieur font partie des sujets qui doivent être considérés plus sérieusement. «Un changement dans le système d'enseignement médical en mettant l'accent sur les priorités du pays a été introduit comme quatrième étape du plan de réforme des soins de santé, tandis que le ministère de la Santé s'est engagé à sa réalisation effective». Iran Le MoHME a lancé le programme de réforme dans le secteur de la santé depuis 2014. À cet égard, la quatrième étape du projet en Iran est la transformation du système de santé de l'enseignement supérieur. Tout d'abord, un programme complet du système de santé de l'enseignement supérieur de ce pays a été compilé sur la base de documents macro nationaux, y compris la politique de vision de l'Iran de 2025, une carte scientifique holistique du pays sur le plan de réforme de la santé et de la santé. La carte scientifique holistique de la santé démontre les objectifs majeurs et les plans stratégiques du MoHME dans les domaines de l'éducation, de la recherche et de la technologie Ensuite, afin de planifier la mise en œuvre des politiques et stratégies qui ont été ciblées dans cette carte, les paquets d'évolution et d'innovation du système de santé de l'enseignement supérieur iranien ont été compilés et la mise en œuvre de ces paquets à l'échelle nationale a été transférée aux universités des sciences médicales. La présente étude visait à présenter et à évaluer les méthodes appliquées pour la compilation du programme d'évolution et d'innovation de la formation en sciences médicales ainsi que les directions les plus importantes pour l'évolution et l'innovation.

Comité de secours de l'Imam Khomeini[modifier | modifier le code]

Les activités et les services de l'IKRF remontent à l'année 1963. Quelques années plus tard et après la victoire de la révolution islamique, soutenir les personnes nécessiteuses est devenu la première priorité des programmes de l'IKRF. L'IKRF a été officiellement créé le 5 mars 1979 (22 jours après la victoire de la révolution islamique), suite à la publication d'un décret par le grand Imam Khomeini. Imam Khomeini Relief Foundation (IKRF) a été officiellement créée le 5 mars 1979 pour aider les défavorisés, réduire la pauvreté et améliorer l'autosuffisance des personnes dans le besoin. La Fondation, financée principalement par les contributions des personnes, a mis en œuvre plusieurs plans pour préserver la bienveillance humaine, aider les personnes dans le besoin, répondre à leurs besoins essentiels et résoudre leurs problèmes culturels et économiques. Ses services pour l'amélioration de la vie des personnes dans le besoin, y compris la nourriture, les vêtements, le logement, les soins de santé, l'assurance, l'éducation et l'emploi, ne se limitent pas aux frontières et ont été étendus à d'autres pays.

Groupe pharmaceutique Barakat[modifier | modifier le code]

Selon un rapport de l'ISCA, Akbar Borandegi, PDG de Barkat Pharmaceutical Group, a expliqué que Remdesivir est un nouveau médicament expérimental créé par Gilead, qui semble aider les patients atteints de COVID-19 à récupérer plus rapidement. Cela a valu au remdesivir une autorisation d'utilisation d'urgence (EUA) de la FDA, lui permettant d'être utilisé plus largement en dehors des essais cliniques.

Borandegi a noté qu'après avoir terminé les essais cliniques, ce médicament sera produit en masse et arrivera sur le marché à un prix raisonnable, "nous avons coopéré avec une société indienne et travaillé sur la formule mutuellement afin de gagner plus de temps".

Il a ajouté que le médicament était efficace pour les patients atteints d'une infection confirmée par COVID-19 qui en sont à un stade modéré. Comme il l'a dit, en plus de répondre aux besoins intérieurs, nous faisons également des efforts pour exporter ce médicament vers les pays voisins.

Barkat Pharmed Co. est l'une des plus grandes sociétés de portefeuille pharmaceutique avec plus de 20 filiales et avec l'acquisition de 14% du marché pharmaceutique total du pays, elle produit près de 450 produits différents via ses filiales. La contribution au développement de la justice sociale et l’accessibilité accrue des personnes démunies aux produits de santé à jour grâce à la production de médicaments à des prix abordables et à une présence active sur les marchés régionaux et mondiaux, en particulier dans les pays islamiques, font partie des objectifs de l’entreprise.

Les filiales de Barkat Pharmaceuticals Holding Company opèrent dans les domaines du développement et du transfert de connaissances techniques, de la commercialisation de nouvelles technologies et de la fabrication de médicaments (allant des ingrédients pharmaceutiques actifs aux produits finis, services aux entreprises, exportation, importation et distribution).

En tant que facteur important, afin de suivre les dernières normes mondiales en matière de fabrication de produits pharmaceutiques et de capacité d'exportation vers la région, la société a toujours pris en compte les exigences pour mettre en œuvre et se conformer aux normes pharmaceutiques telles que la FDA, l'OMS, l'EMEA, les cGMP et le PIC / S, dans ses projets et installations et produits de filiales.

Barkat Pharmed Co. a d'autres projets d'investissement dont Shifa Phrmed Co (Fourniture d'équipements de biotechnologie et mise en œuvre du projet Penicillin G à l'échelle industrielle, etc.), Ati Pharmed Co. (une joint-venture entre Barakat Pharmed Company et Swiss Stragen Healthcare Group. Ils visent à fabriquer des produits hormonaux oraux basés sur les principes et normes européens), Cell tech Pharmed Co. (le projet de thérapie cellulaire, moléculaire et cellulaire utilisant les capacités scientifiques et de recherche de l'Institut Royan), Biosun Pharmed Co. (produire des produits biotechnologiques stratégiques et vitaux) et Herbi Pharmed Co. (production de produits à base de plantes).

Barkat Pharmaceutical Group est en train de construire un parc industriel et scientifique pharmaceutique qui constitue une bonne base pour l'investissement dans la fabrication pharmaceutique et les services associés. Déjà, 16 entreprises ont acheté une propriété ici, parmi lesquelles des entreprises réputées telles que Novo Nordisk du Danemark et Vitabiotics du Royaume-Uni. Avec sa main-d’œuvre et son niveau d’éducation élevé, l’Iran dispose des atouts nécessaires pour se développer en une économie fondée sur la connaissance. Les sociétés pharmaceutiques peuvent contribuer à ce développement. L'Iran compte 80 millions d'habitants et 110 installations de fabrication de produits pharmaceutiques. Notre main-d’œuvre et notre base de connaissances font de nous les plus forts du Moyen-Orient. Grâce aux bonnes relations culturelles et politiques avec d'autres pays de la région, tels que l'Irak, la Syrie et certains pays de la CEI, l'Iran peut devenir un centre médical régional.

L'Office pour le renforcement de l'unité (DTV)[modifier | modifier le code]

L'Office pour le renforcement de l'unité (Daftar-e Tahkim-e Vahdat - DTV) a été fondé en 1979 en tant qu'organisation centrale pour organiser des associations islamiques d'étudiants contre l'influence des groupes marxistes ou islamistes-marxistes sur les campus universitaires. Certains des fondateurs de DTV étaient des étudiants qui avaient saisi l'ambassade américaine.

Après la révolution culturelle de 1980, lorsque tous les groupes d'opposition ont été purgés des universités, la DTV a été la seule organisation étudiante active à continuer. «Ses principales fonctions étaient limitées à la propagande, au contrôle politique et à la contestation idéologique de toute voix d'opposition.» [1] Il a également mobilisé des étudiants pour servir au front pendant la guerre Iran-Irak. En ce qui concerne la politique intérieure, la DTV pourrait être considérée comme faisant partie de la gauche de la République islamique et l’un des partisans du gouvernement de Moussavi dans les années 80.irandataportal.

Parti de la coalition islamique[modifier | modifier le code]

Le Parti de la coalition islamique (Jami’at-e Mo’talefeh-ye Islami - JMI) a été fondé au début des années 1960 avec l’unification de trois associations religieuses traditionnelles représentant les intérêts du «bazar». Le bazar n'est pas seulement un lieu de travail mais aussi un style de vie traditionnel marchand. Les membres de Mo’talefeh étaient des adeptes de l’ayatollah Khomeiny investi dans la consolidation des revendications de Khomeiny sur la marja’iyya (c’est-à-dire pour être considérée comme une source d’émulation pour les adeptes chiites - la plus haute autorité religieuse). Mo’talefeh a également été le premier groupe à prendre le taqlid comme base politique (par opposition à religieuse). Le groupe a été très actif dans le soulèvement de 1963 lorsque Khomeiny s'est opposé aux politiques de modernisation de Shah Mohammad Reza Pahlavi. Il a mobilisé les segments traditionnels de la société en opposition au Shah. Mo’talefeh a également été impliqué dans des attaques armées. Par exemple, Mohammad Bokharai, membre du parti, a assassiné Hasan Ali Mansur, le Premier ministre iranien en 1964. Lorsque Khomeiny était en exil, Mo’talefeh a fait des copies de ses déclarations et des enregistrements et les a diffusées dans tout l’Iran. De nombreux membres de Mo’talefeh ont été condamnés à la prison entre 1962 et 1977. Pendant la révolution, ils ont participé activement à l’organisation de grèves et de marches.irandataportal Le Parti de la coalition islamique est un groupe conservateur qui est l'organisation pivot au sein du Front des adeptes de la ligne de l'imam et du chef.tehrant

Comités de la révolution islamique[modifier | modifier le code]

"Bassidje", auxiliaires juvéniles de la révolution iranienne Organisation créée peu après le renversement du Chah par le nouveau pouvoir révolutionnaire pour mettre la jeunesse populaire au service de la révolution, Bassidje a été par la suite intégrée au sein de l'armée des Pasdarans, autre organisation militaire qui a vu le jour après la révolution pour la protéger contre les monarchistes et qui s'est constituée en force armée indépendante du corps de l'armée traditionnelle. Dans la guerre contre l'Irak, Bassidje, forte de presque un demi-million d'adhérents, encadrait des recrues volontaires. Le jeune Bassidji (celui qui adhère à Bassidje), entre une douzaine et une vingtaine d'années s'est fait remarquer par son dévouement total et son absence de crainte face à la mort. Il a souvent servi de chair à canon, contre l'armée irakienne. Bassidje monnayait l'incapacité de vivre des jeunes post-adolescents qu'anime le rêve révolutionnaire, irréalisable dans la vie. En s'enfermant dans Bassidje, cette partie de la jeunesse « martyropathe » se sauvait de la société réelle et de la déception consécutive à l'évanouissement des rêves. Bassidje préservait le rêve révolutionnaire, de sa mutation en cauchemar, il prévenait l'effondrement de l'identité éphémère de ses jeunes adhérents. D'où son succès considérable pendant les premières années où la révolution gardait encore son aura.journals,openeditions

Relations Iran-Tadjikistan[modifier | modifier le code]

Les relations avec l'Iran revêtent également une importance particulière pour le Tadjikistan - et pas seulement du fait de ses intérêts économiques et géopolitiques. Le fait est que les Tadjiks et les Perses font partie du soi-disant «monde iranien» - un espace civilisationnel, historique et linguistique unique qui relie les deux nations depuis de nombreux siècles. Malgré le fait que ce concept ait un caractère plutôt civilisationnel et humanitaire, il a également un certain effet sur la géopolitique. En communiquant entre eux, les gouvernements et les politiciens des deux États, malgré les différences idéologiques, sont en quelque sorte obligés de prendre en compte ce facteur.cabar.asia L’Iran a été le premier pays à ouvrir son ambassade à Douchanbé, la capitale tadjike, après l’indépendance du pays en 1992 et est resté impartial pendant la guerre civile du pays. Pour prouver cette impartialité, Téhéran a accueilli trois conférences de paix tadjikes en 1994, 1995 et 1997. De nombreux Tadjiks ont constaté depuis de longues années qu'ils sont une partie importante du domaine culturel persan et non une partie de la culture russe. Par conséquent, l'Iran a plus de potentiel pour travailler au Tadjikistan par rapport à d'autres pays d'Asie centrale. Dans le même temps, le Tadjikistan est presque le pays le plus pauvre d'Asie centrale et l'Iran peut utiliser l'aide économique pour renforcer sa position politique dans ce pays. Cependant, il ne s’agit là que d’un revers des relations entre les deux pays. De l'autre côté, Emomali Rahmon, le président du Tadjikistan, considère Téhéran comme un poids d'équilibre utile contre l'influence de la Russie et pour protéger l'héritage et l'identité du Tadjikistan. C'est pourquoi il a même publié un décret interdisant l'utilisation des noms russes pour appeler les enfants tadjiks. Par conséquent, après l’ouverture du bureau culturel iranien au Tadjikistan, les relations entre les deux pays se sont encore élargies et des efforts ont été faits pour introduire la poésie et les arts persans au Tadjikistan en plus d’y organiser les célébrations du Nowruz (nouvel an persan).iranreview Les relations entre l'Iran et le Tadjikistan étaient traditionnellement relativement étroites. L’Iran a été le premier État à reconnaître l’indépendance du Tadjikistan en septembre 1991 et le premier à ouvrir une ambassade un an plus tard. Craignant une continuité des politiques de l'ère soviétique, l'Iran a soutenu l'opposition islamique et nationaliste pendant la guerre civile. De plus, l'Iran a joué un rôle déterminant dans la diplomatie de la navette et les pourparlers de paix qui ont mis fin à la guerre civile tadjike en 1997.jamestown Le ministre iranien de l’Energie a annoncé que la coopération entre l’Iran et le Tadjikistan dans de différents domaines comme l’agriculture, la santé, l’éducation et le transport sera développée.

Le ministre iranien de l’Energie, Reza Ardakanian, qui avait participé à la cérémonie d’ouverture officielle de la 13ème Conférence mixte Iran-Tadjikistan en présence du ministre tadjik de l’Energie et des ressources en eau, a déclaré que les deux pays peuvent développer leurs coopérations dans tous les niveaux avec la volonté des responsables des deux pays.

« L’Iran et le Tadjikistan devront discuter des coopérations bancaires, de la facilitation de l’activité des investisseurs au Tadjikistan, de la coopération éducative, de l’achèvement du projet de tunnel de l'Indépendance et des échanges électriques », a-t-il ajouté.fr.is

Shubairi zanjani[modifier | modifier le code]

À l'exception de Khavarij et Nawasib, quiconque témoigne de l'unité de Dieu et du capuchon du prophète de Muhammad (PSL) est un musulman et toutes les règles islamiques concernant le mariage, l'héritage, le respect de la vie et de la propriété, etc. s'appliquent à lui. Ceux qui créent la division parmi les musulmans et accusent les autres dénominations islamiques d'hérésie ignorent la réalité de l'islam, et sans aucun doute, ils sont soit des agents directs de la colonisation, soit agissent conformément aux tentatives perverses des colons pour détruire les fondements de l'islam. , déracinez la religion du saint Prophète et éliminez des esprits le nom de Sa Sainteté. Les attentats-suicides de ces groupes ne plaisent qu'aux hérétiques et ennemis jurés de l'islam : {قُلْ هَلْ نُنَبِّئُكُمْ بِالأَْخْسَرِينَ أَعْمالاً * الَّذِينَ ضَلَّ سَعْيُهُمْ فِي الْحَياةِ الدُّنْيا وَ هُمْ يَحْسَبُونَ أَنَّهُمْ يُحْسِنُونَ صُنْعاً} «Dis: Pouvons-nous vous parler de ceux qui perdent le plus en ce qui concerne leurs actes, ceux dont les efforts ont été vains dans cette vie. Alors qu'ils pensaient acquérir du bien par leurs œuvres.» Si Dieu le veut, tous les musulmans, attentifs aux ruses et aux tromperies des ennemis, resteront résolus et inébranlables dans leurs contributions à la gloire et à l’honneur de l’islam. Seyyed Musa Shobeiri Zanjani.hajij

Journée de l'armée de la République islamique d'Iran[modifier | modifier le code]

Le 29 Farvardin est le jour de l’Armée de la République islamique d’Iran et le jour de commémoration de l’épopée de la création par des hommes courageux des forces de l’Armée de terre. En même temps que l’arrivée des fruits de la Révolution islamique l’armée du régime monarchique dont la charpente principale était formée par de jeunes hommes épanouis issus de familles musulmanes et par la plus grande partie des déshérités iraniens a accepté l’invitation du Rahbar (Le Guide) de la Révolution et s’est par conséquent dressée d’une même voix au côté de la Nation iranienne aux prises avec des ennemis intérieurs et extérieurs à la Révolution, et elle a commencé avec abnégation ses efforts en qualité de première capacité militaire de la Révolution dans le but de réaliser les objectifs de la République islamique d’Iran. Pour cette raison le jour du 29 Favardin a été nommé par l’Imam Khomeini (Que DIEU le bénisse) jour de l’Armée de la République islamique d’Iran. Le jour où l’Armée a rejoint le peuple l’Imam Khomeini (Que DIEU le bénisse) a pris en compte ce tournant éclatant et glorieux de la République islamique d’Iran avec la formule suivante : « le moment de bonheur des serviteurs de DIEU et le désespoir des oppresseurs.»Fr.Iamam Pour mémoire, le 18 avril 1988, les GI’s américains déployés dans le golfe Persique ont attaqué les forces armées iraniennes positionnées sur les plates-formes pétrolières de Nasr et de Salman. Ils ont résisté vaillamment devant les agresseurs américains jusqu’à la dernière goutte de sang pour défendre le pays. Ce jour a été baptisé la Journée de l’armée, en hommage à ces militaires qui se sont sacrifiés pour défendre le pays. fr.is

Ali Hashemi[modifier | modifier le code]

Mohammadali Aghamirzaei est l'un des auteurs dans le domaine de la défense sacrée qui raconte l'histoire et les souvenirs des martyrs dans ses livres. "Majnoone Hour" et "Ketabe (livre) Ordibehesht" sont également écrits par lui. Le premier qui concerne le martyr de Sardar (Général) Ali Hashemi, est dédié aux adolescents. Le deuxième livre raconte la vie du martyr Gholamreza Kianpoor pour les adultes.

Contenu de "Majnoone Hour"

Le livre commence par le chapitre "Sardar de l'Heure", avec le doux bruit des vagues qui se chevauchent, et les enfants avec leur mère dans une maison du nord. Ali est l'un des enfants dont son histoire commence par l'histoire de sa mère exilée dans le nord de l'Iran. Le chapitre suivant est "Bazieh Mobarezeh" dans lequel Ali de l'histoire commence lentement la lutte contre le régime Pahlavi. Son esprit d'adolescent suscite plusieurs questions: "Pourquoi quoi que son père travaillât, il ne pouvait pas ajouter une autre pièce à sa maison?" "Pourquoi certaines personnes en forcent d'autres?" Et "Pourquoi les flics préconisent toujours les méchants?" de telles questions poussent Ali à se débattre et lui, aux côtés de son ami et en situation avec ses sœurs et frères, fait des déclarations.

La lutte contre le régime Pahlavi aboutit à la victoire de la révolution islamique, puis des événements comme la lutte contre le peuple arabe et le parti Baas dans les frontières et la guerre imposée de Saddam contre l'Iran se produisent. Le personnage principal de "Majnoone Hour" engage également de tels événements jusqu'au dernier chapitre dans lequel la situation du martyr Ali Hashemi et de son corps face à l'armée irakienne dans l'île de Majnoon est décrite. Le chapitre se termine par le martyre d'Ali Hashemi.

Mehdi Zeinoddin[modifier | modifier le code]

Zein-eddin a été influencé par Asadollah Madani, un membre du clergé tué à Mihrab. Il s'est opposé au régime de Mohammad Reza Pahlavi. Il a été expulsé du lycée pour avoir refusé de rejoindre le parti Rastakhiz. Cependant, il a poursuivi ses études, a obtenu son diplôme d'études secondaires et a été accepté à l'Université de Shiraz. Pendant la même période, son père a été banni à Saghez alors il a renoncé à aller à l'université et a poursuivi ses activités politiques plus sérieusement. Après un certain temps, son père a de nouveau été banni dans la province du Fars. Lorsque la révolution de 1977 a commencé, son père est allé secrètement à Qom et a également déplacé sa famille dans la ville de Qom. Mahdi et son père et d'autres politiciens ont poursuivi leurs efforts dans la révolution dans la ville de Qom. Mahdi a été accepté dans une université en France, mais il a décidé de ne pas y aller après avoir entendu que l'Imam Khomeiny exhortait les jeunes à rester en Iran.

Ahmad Kazemi[modifier | modifier le code]

Le général de division Ahmad Kazemi était un commandant iranien de l'armée des gardiens de la révolution islamique et l'un des commandants les plus notables de la guerre Iran-Irak.

Jeunesse

Il est né le 22 juillet 1958 à Najaf Abad, Isfahan. Son père, Eshghali était un commandant de l'armée impériale d'Iran mais s'est retiré en 1974 avant le début de la révolution iranienne. Ils ont déménagé au Liban en 1975. Ahmad et son père ont rejoint les combattants du Sud-Liban. Avec l'émergence de la révolution iranienne, il a lutté contre la monarchie. Après la victoire de la Révolution et la création d'AGIR (Sepah) en 1980, il rejoint le Sepah et se rend au Kurdistan en 1981 pour réprimer les ennemis domestiques de la révolution. ardnav

Hossein Kharrazi[modifier | modifier le code]

Je veux que le peuple iranien soutienne Velayat e Faqih, également connu sous le nom de gouvernement islamique. Tous les martyrs ont parcouru le bon chemin. Au début, je veux que vous me pardonniez tous et priez pour moi le jour du malheur. Je sais que je choisis la meilleure voie et je souhaite atteindre mon objectif qui est le martyre.navsh

Mohammad Ali rajaei[modifier | modifier le code]

(L’Iran connait une grande période d’instabilité en 1981. Au conflit avec l’Irak s’ajoutent la destitution du président Abolhassan Bani Sadr, le 22 juin, qui semble consolider le régime, mais aussi les assassinats de dirigeants comme le chef du pouvoir judiciaire, Mohammad Beheshti, le premier ministre Mohammad Javar Bahonar et le président Mohammad Ali Rajai)perspective. Lorsqu'il est devenu Premier ministre un peu plus tôt, il a déclaré que l'Iran devait être gouverné par «les révolutionnaires qui se tenaient devant les balles». le Shah Mohammed Riza Pahlevi destitué n'avait `` rien fait avec les capitalistes .nytimes

Mohammad Ali Rajai, après l'obtention de son diplôme, a été employé comme professeur de mathématiques au Ministère de la culture et enseigné successivement dans les provinces de Khvansar, Qazvin et Téhéran. Le martyr Rajai pendant sa période d'enseignement a toujours été un enseignant sympathique, travailleur et compétent et, tout en enseignant, il s'est efforcé d'apprendre les sciences islamiques et a effectué les activités politiques.ardl.navideshahed

Mohammad Beheshti[modifier | modifier le code]

Après la révolution, en tant qu'intellectuel au conseil de la révolution, il a voulu organiser et arranger les affaires. En ce qui concerne ce fait mentionné, il a fondé le Parti de la République islamique. Il a participé à l'élection de l'Assemblée des experts et, en tant que vice-président du Majlis, il s'est occupé de la gestion des affaires, de la préparation et de l'élaboration de la Constitution. Après avoir démissionné du gouvernement intérimaire en 1358 (1979), il faisait son devoir de ministre de la Justice. Puis, sous le commandement de l'Imam, il a été choisi et nommé président de la Cour suprême. Il était occupé par ses fonctions jusqu'au soir du 7 juillet 1360 (28 juin 1981) après Namaz Maqrib (prière du soir) et Esha (prière de nuit) tout en donnant une conférence, il a été martyrisé en raison de l'explosion d'une bombe posée par les membres du groupe terroriste MKO, connu sous le nom de Monafeqin, avec 72 personnes de ses collègues et à travers les larmes, les soupirs et les peines de millions de personnes iraniennes, il a été enterré dans le tombeau de Behesht-e Zahra.ebrat

Motahhari[modifier | modifier le code]

..Ce premier livre (« La vision unitaire du monde ») de Shahid Motaharî, traduit en français pour la première fois, porte sur la conception du monde d’un point de vue Unicitaire, en partant de la considération que Dieu Unique est le Créateur, l’Origine de toute existence. L’auteur cite ensuite les différents niveaux d’approche de l’Unicité divine sur le plan de Sa connaissance (Unicité au niveau de Son Essence, de Ses Attributs, de ses Actes), puis sur le plan de la pratique (une forme d’être et de devenir) : Unicité dans l’adoration de Dieu, en ne Lui associant rien. C’est la Réalité Véritable Authentique Unique. Au cours de la période de son éducation Motahari a estimé que les communistes voulaient changer la religion sacrée de l'islam et détruire son esprit en mélangeant leur point de vue athée de la philosophie islamique et l'interprétation des versets du Coran d'une manière matérialiste. Le communisme n'a pas été la seule chose qui a retenu son attention. Il a également écrit sur l'exégèse du Coran, de la philosophie, l'éthique, la sociologie, l'histoire et bien d'autres sujets. Dans tous ses écrits l'objet réel qu'il avait en vue était de donner des réponses aux objections soulevées par d'autres contre l'islam, pour prouver les insuffisances des autres écoles de pensée et de manifester la grandeur de l'Islam. Il a estimé que pour prouver la fausseté du marxisme et des aures idéologies comme elle, il était nécessaire non seulement de les commenter d'une manière scientifique, mais également de présenter l'image réelle de l'Islam. khomeini: " L'AyatollahMotahari était une figure populaire dans les cercles religieux de l'Iran. Il a servi l'Université de Téhéran en tant que chef du Département de théologie et d'apprentissage islamique. Au moment de son assassinat, il était le président du Conseil constitutionnel de la République islamique d'Iran et un membre du Conseil révolutionnaire.

Résolution 598 du Conseil de sécurité des Nations Unies[modifier | modifier le code]

La guerre entre iran - irak , L'Iran et l' Irak avaient accepté la résolution 598 le 20 Juillet 1988. Cependant, l'Irak a décidé de faire une poussée finale et a tenté d'envahir l' Iran, une fois encore, de façon permanente et occuper Khuzestan ouest de l' Iran, ainsi que pour atteindre ses objectifs dès le début de la guerre. L'armée irakienne a attaqué la province du Khuzestan, en commençant par les grèves chimiques et aériennes, et encore une fois poussé vers Khorramshahr. Cependant, l'Iran avait anticipé l'attaque, et utilisé sa force aérienne en conjonction avec des missiles sol-air pour vaincre la force aérienne plus grande irakien. Les forces iraniennes alors ont pris l'offensive le 25 Juillet et obtenu re-600 kilomètres carrés (230 milles carrés) du territoire irakien.

verset de la wilaya[modifier | modifier le code]

Le verset de la Wilaya : « Seul Dieu est votre guide, son prophète et ceux qui ont cru et donnent l’aumône alors qu’ils sont inclinés dans la prière[6] ». Beaucoup de commentaires et d’exégètes déclarent que ce verset a été révélé au sujet d’Ali[7].Dans Tafsir Dour ul mansour, le grand savant sunnite Soujouti affirme à propos de ce verset : « Ibn Abbas rapporte que l’Imam Ali (as) était en pleine prière lorsqu’un mendiant vint demander l’aide. Il lui tendit alors sa bague pendant qu’Il était incliné. Après le Prophète demanda au monsieur celui qui lui avait fait don de cette bague? Le type là-bas qui est en pleine inclinaison, répondit-il. C’est à ce moment que le verset fut révélé «Vous n'avez pas de Maître en dehors d'Allah et de Son Prophète et de ceux qui croient : ceux qui s'acquittent de la Prière, ceux qui font l'aumône tout en s'inclinant humblement.» (Sourate al-Mâ'idah, 5:55-56), Sources le livre de bostani.

Tazkiah signifiait à l'origine l'élagage de la plante - pour éliminer ce qui est nocif pour sa croissance. Quand le terme est appliqué à la personnalité humaine, cela signifie l'embellir et en retirer toutes les traces du mal et les maladies spirituelles qui sont des obstacles à l'expérience d'Allah. Dans l'Islam, l'objectif ultime de la religion et de la charia (loi islamique) et le véritable but d'élever des prophètes parmi l'humanité était d'accomplir et d'enseigner la tazkiah.

La sécurité nationale et la diplomatie nucléaire sont les mémoires de Hassan Rouhani, le premier secrétaire du Conseil suprême de sécurité nationale iranien qui était également en charge de l'affaire nucléaire iranienne sous le président Mohammad Khatami alors que les tensions commençaient à s'intensifier au sujet du programme nucléaire iranien. Environ deux ans après la première publication de ce livre en 2011, son auteur a été élu président de l'Iran le 15 juin 2013 Dans ce livre, il s'est concentré sur le programme nucléaire iranien et les défis créés par les pays occidentaux, en particulier les États-Unis et trois pays européens, la France, l'Allemagne et le Royaume-Uni, pendant 678 jours (du 6 octobre 2003 au 15 août 2005) quand lui et son équipe traitaient le dossier nucléaire iranien. L'histoire de la technologie nucléaire iranienne et le processus de réalisation du cycle complet du combustible nucléaire sont les principaux sujets du livre. La ville est restée aux mains des Irakiens jusqu'en avril 1982, lorsque les Iraniens ont lancé l'opération Beit ol-Moqaddas pour reprendre la province du Khuzestan. La première attaque (du 24 avril au 12 mai 1982) a mobilisé environ 70 000 soldats de l'armée iranienne et gardiens de la révolution qui ont réussi à repousser les forces irakiennes hors de la zone d'Ahvaz-Susangerd tout en faisant de lourdes pertes. Les Irakiens se sont retirés à Khorramshahr et, le 20 mai, ont lancé une contre-attaque lourde mais infructueuse contre les Iraniens qui ont tenu bon, peu importe le coût. Un assaut tous azimuts contre Khorramshahr a ensuite été lancé par l'Iran, qui a capturé deux lignes de défense irakiennes dans la région de Pol-e No et Shalamcheh. Les Iraniens se sont rassemblés près de la voie navigable Shatt al-Arab (connue sous le nom d'Arvand Rud en Iran), ont encerclé la ville et ont commencé un deuxième siège. Les Iraniens ont finalement repris la ville le 24 mai 1982 après deux jours de combats acharnés et de lourdes pertes43.

hemmat[modifier | modifier le code]

Mohammad Ebrahim Hemmat (né le 2 avril 1955 à Shahreza, Isfahan). Après avoir obtenu son diplôme d'études secondaires, il est entré au Collège de formation des enseignants de l'Université d'Ispahan et plus tard, après avoir obtenu son diplôme, il a enseigné dans les écoles de son lieu de naissance. Après la révolution islamique, il a rejoint l'armée des gardiens de la révolution et a été envoyé à Paveh au début des années 80 pour calmer les troubles. Hemmat a passé deux ans dans la province du Kurdistan et a commandé de nombreuses opérations. Il s'est ensuite rendu sur le front sud de la guerre Iran-Irak pour commander la 27e brigade de Muhammad Rasulullah. La participation à l'opération à grande échelle de Beit al-Maqdad et la libération de Khorramshahr ainsi que le commandement du Ramadan et de Muslim bin Aqil ont eu lieu en même temps. Il a été tué lors du Grand Khyber, alors qu'il avait moins de 30 ans. Son corps a été enterré au cimetière des martyrs de Shahreza.

mahdi[modifier | modifier le code]

L'apparition du Réformateur universel, l'Imam Mahdi constitue l'un des événements majeurs de l'Histoire de l'Humanité. Il était donc normal que le Prophète, ainsi que ses successeurs légitimes, les Imams d'Ahl-ul-Bayt informent la Umma de la venue de ce "Grand Réformateur et Sauveur de l'Humanité" ainsi que des circonstances et des signes annonciateurs de l'approche de son apparition, afin que les gens soient avertis et que les esprits soient préparés à l'accueil de cet événement.

L'un des signes sociaux les plus évidents qui annonce l'approche de l'avènement d'al-Mahdî est la dégradation de la civilisation et du mode de vie humain, et sa rétrogradation vers les stades obscurantistes de l'humanité, stades qui précèdent normalement la venue d'un Prophète réformateur. En effet, c'est lorsque l'Humanité sombre dans l'obscurantisme et que les croyances, les coutumes, les normes, les mœurs et les relations sociales obscurantistes prévalent dans la vie de cette Humanité, que la situation économique et la sécurité se dégradent, que la peur, l'inquiétude, les guerres, l'injustice et l'iniquité se généralisent que l'Humanité éprouvent un besoin impérieux d'un grand Réformateur qui change le cours de l'Histoire et opère une révolution radicale pour la ramener vers la Voie prophétique et la Marche monothéiste.

lettre de ali khamenei[modifier | modifier le code]

Dans un autre passage de sa lettre, Ali Khamenei effectue une analyse sociologique des sociétés occidentales, certaines couches sociales étant affectées par une "profonde insatisfaction" face à "l'inégalité" et "éventuellement à une discrimination juridique et structurelle". Pour Ali Khamenei, il est inconcevable que des créatures nées et élevées en Europe puissent devenir "des extrémistes qui licencient leurs compatriotes sous l'influence d'un ou deux voyages dans des zones de guerre". Le physicien canadien Dennis Rincourt a déclaré sur sa page Facebook qu'il avait lu la lettre de l'excellent la lettre du Guide suprême qui l’a beaucoup intéressé

"Cette lettre est une étude approfondie et approfondie des racines psychologiques et géopolitiques du terrorisme dont je tiens à vous remercier. Au Canada, nous n'avons que des politiciens intéressés et intéressés travaillant pour de grandes sociétés et défendant les intérêts américains. Je vous sollicite donc, chers jeunes, de bâtir les fondements d’une relation appropriée et juste avec le monde de l’Islam, sur la base d’une connaissance correcte, d’une analyse profonde et d’une leçon des expériences désagréables. Dans ce cas, vous verrez dans un avenir proche, que le monument que vous avez bâti sur une telle fondation, procurera une ambiance pleine de confiance et de sécurité à ses architectes, leur offrira la chaleur de la sécurité et de la paix, et leur ouvrira des perspectives prometteuses pour un avenir brillant dans le monde entier. le monde occidental connaît bien les Musulmans. Depuis le jour où les Occidentaux ont été accueillis sur les territoires de l’Islam et ont placé leurs espoirs dans la générosité de leurs hôtes, et le jour où ils ont accueilli les musulmans et ont bénéficié de leur activités et de leurs idées, ils n’ont rien vu d’autre que de la gentillesse et de l’endurance.

Chiisme en Bahrain[modifier | modifier le code]

petite monarchie de la péninsule arabique, Bahreïn est peuplé par la plupart des chiites, mais c'est une dynastie sunnite qui dirige le pays depuis 1783. En 2011, face au printemps arabe, les manifestations ont secoué Bahreïn pour condamner le pouvoir judiciaire discriminatoire dont elles sont victimes. Les chiites revendiquent la monarchie constitutionnelle. Ce mouvement a été rapidement écrasé par l'intervention armée de l'Arabie saoudite, avec l'aide d'autres monarchies du Golfe[1].

jafari[modifier | modifier le code]

Mohammad Taghi-é Jafari, si l’individu suit ses propres buts et refuse de suivre le bon chemin, il porte atteinte aussi à sa dignité innée42. Autrement dit le non-respect de la dignité construite impliquerait une atteinte à la dignité innée. Muhammad Taghi-Ja'fari : Si l'on poursuit ses objectifs et refuse de suivre la bonne voie, attaquera également sa dignité inhérente. En d'autres termes, le manque de respect pour la dignité et le respect est une atteinte à la dignité inhérente.

les houthis[modifier | modifier le code]

Histoire de deux conflits Pour bien comprendre où en est le conflit au Yémen, il est important d’avoir à l’esprit qu’en réalité ce sont deux guerres parallèles qui se déroulent : 1) une guerre civile qui oppose le gouvernement légitime à une insurrection menée par les Houthis, un petit clan de chiites zaydites, soutenue par l’ancien président Ali Abdullah Saleh ; 2) une composante régionale du conflit qui a poussé les Saoudiens à soutenir le gouvernement, et l’Iran à soutenir les insurgés.

décade de fajr[modifier | modifier le code]

À l'occasion du Festival international de théâtre Fajr, Téhéran accueille chaque année des dizaines de troupes de théâtre de tout l'Iran et du monde entier. Le festival, qui comprend une variété de programmes, y compris des compétitions internationales et du théâtre de rue, attire des gens depuis de nombreuses années. Cet événement n'est pas seulement un festival mais aussi une opportunité de dialogue culturel entre l'Iran et d'autres pays du monde. Le peuple iranien célèbrent la décade de l'aube marquant une période de 10 jours entre le retour de l'Imam Khomeini le 1er février 1979 et la victoire de la révolution le 11 février à l’occasion du 40e anniversaire de la révolution islamique de 1979,

circumambulation[modifier | modifier le code]

Cette vision spirituelle intégrale nous montre que la circumambulation est un comportement universel qui met en relief l’unité et l’harmonie entre les obligations religieuses et les lois régissant les phénomènes de l’univers.

mirza shirazi[modifier | modifier le code]

Il est né Sayyid Muhammad Hasan ibn Sayyid Mahmud al-Hussaini al-Shirazi en 1230 AH à Shiraz, Iran. Enfant exceptionnellement intelligent, doté d'une mémoire extraordinaire, il a commencé ses études religieuses à l'âge tendre de quatre ans. À l'âge de huit ans, il avait déjà terminé les études de Muqaddimaat (niveau préliminaire) au séminaire. À l'âge de 12 ans, il a commencé à suivre des cours avancés de jurisprudence et de méthodologie au séminaire de Shiraz. Finalement, il s'est rendu à Isfehan puis à Karbala et Najaf afin d'étudier avec les plus éminents érudits de l'époque, notamment Shaikh Jawahari et Shaikh Murtadha Ansari. À la mort de Shaikh Jawahari, il est devenu l'un des érudits chiites les plus éminents du monde. C'est à ce moment que Mirza Shirazi a publié son célèbre édit sur le tabac, déclarant que l'utilisation du tabac s'apparentait à une guerre contre le 12e imam (qu'Allah accélère sa réapparition). Partout en Iran, les agriculteurs ont refusé de cultiver du tabac, les marchands ont refusé de vendre du tabac et les domestiques ont refusé de servir du tabac. activités politique L'un des événements majeurs qui se sont produits au cours de sa vie, l'interdiction de la protestation contre le tabac. Shiraz et Tabriz Sayed Ali Akbar fal asir Jawad Tabrizi étaient les dirigeants de ce mouvement. Son verdict historique sur le traité au moment du monopole du tabac Nasir al-Din Shah Qajar, alors que les gens amenés sur les lieux du Shah, a été contraint de mettre fin au contrat de tabac. Avec ce verdict, la lutte politique contre le traité colonial est considéré comme un devoir religieux et leur forte opposition. De sorte que le Nasir al-Din Shah Qajar a été forcé de verser une indemnité, de résilier le contrat honteux. La décision historique de Mirza Shirazi d'interdiction de tabac a été imposée à Samarra. Défendre les chiites opprimés en Afghanistan en 1309 AH Unité chiite créée en l'an 1311 AH Former et envoyer des missionnaires, en particulier dans les zones sensibles et moins importantes, comme l'Inde, le Cachemire, l'Afghanistan, le Caucase,… et l'Irak Évitez de violer la loi islamique L'Iran enverra son représentant dans des zones sensibles comme le martyr Mostafa Mousavi Les fondateurs et dirigeants de la génération martyre «constitutionnelle légitime» Cheikh Fazlollah Noori, Aghanajafi Isfahani,… Sayyid Mohammed Hassan Husayni Nouri Shirazi (25 avril 1814 - 20 février 1895), communément appelé Mirza Shirazi, était une maria chiite iranienne . Il est connu pour son verdict de 1891 (mal compris comme une fatwa ) contre l'usage du tabac dans ce qui est devenu connu sous le nom de Tobacco Protest à l'ère Qajar . Né à Shiraz, en Iran, Shirazi a commencé ses études religieuses islamiques à l'âge de quatre ans. Il a terminé ses études préliminaires à huit ans et à 12 ans, il a commencé des cours avancés de jurisprudence et de méthodologie au séminaire de Shiraz. Il a ensuite quitté Shiraz pour étudier à Ispahan et dans la ville sainte chiite de Karbala en Irak. À l'âge de 29 ans, il a commencé à étudier auprès de Cheikh Morteza Ansari à Nadjaf . À la mort d'Ansari en 1864, Shirazi lui succède comme marja '. En 1874, il s'installe à Samarra, où il établit le premier séminaire chiite de la ville. Parmi ses étudiants notables figuraient son gendre, Sayyed Ali Akbar Falasiri, qui lui a proposé le boycott, Sayyed Mohammed Kazem Yazdi, Mulla Mohammad-Kazem Khorasani, Mirza Mohammad Taqi Shirazi (appelé Mirza le deuxième), Sheikh Fazlollah Noori Tabrasi, Mirza Husain Noori Tabarsi et Mirza Ismael Shirazi. Il est décédé à Samarra à l'âge de 80 ans et son corps est enterré dans la mosquée Imam Ali .

Ali[modifier | modifier le code]

Le décès d'Ali a eu lieu en l’an 40 de l’hégire, c’était le 21ème jour du mois de Ramadan. C’est en se rendant à la prière de l’aube qu’il a été lâchement poignardé par un kharijite du nom de Abdou r-Rahman Ibnou mouljam Al-Mouradiyy. Les khawarij sont ceux qui se prétendent musulmans mais combattaient l’imam ^Aliyy. Le poignard utilisé était envenimé.

Ali est mort à l’age de 63 ans tout comme le Prophète Mouhammad ainsi que le meilleur des compagnons Abou Bakr. Il est mort , ayant reçu l’annonce de bonne nouvelle du Paradis et de sa félicité. Son califat a duré 4 ans et 9 mois.apb

Hasan et Houssein, les deux fils de l’imam ^Ali, ainsi que ^Abdou l-Lah, le fils de son frère Ja^far, se sont occupés de son lavage mortuaire. hassan a dirigé la prière funéraire et notre maître Ali a été enterré peu avant l’aube. Certains disent qu’il a été enterré en face de la mosquée Koufa ; d’autres devant le palais des gouverneurs ; d’autres encore ont dit à Najaf. Mais en vérité sa tombe honorée a été dissimulée par crainte des nuisances de la part des kharijites et personne ne sait où elle se trouve.

imam hussein[modifier | modifier le code]

1. Le Prophète dit : « Assurément, il existe dans les cœurs des Mu’minin (croyants), en respect au martyre d’Al-Hussayn, une ardeur qui ne s’apaise nullement ». Mustadrak al-Wasa’il, vol. 10, p.318 2. Le Prophète dit : « Ô Fatima ! Tout œil pleurera le Jour du Jugement excepté l’œil qui a versé des larmes sur la tragédie d’Al-Hussayn car assurément, cet œil sera joyeux et il lui sera donné les bonnes nouvelles des bontés et des conforts du Paradis ». Bihar-ul-Anwar, vol. 44, p. 193

Le Ta’ziyeh dans l’Histoire[modifier | modifier le code]

le chiisme en iran[modifier | modifier le code]

En 1501, Ismail I a fondé la dynastie safavide en Iran. Il a proclamé les douze chiites comme religion officielle du royaume safavide, puis est devenu le premier État chiite moderne. Pour établir le chiite dans le paysage iranien à prédominance sunnite, à long terme, Ismail a fait venir des Scientifiques chiites du Liban "en leur assignant la lourde tâche de créer une classe théologique cohérente et solide, en ce qui concerne les douze jaafari chiite".Le pouvoir safavide cherche à consolider le gouvernement iranien, non seulement à l'étranger, par les guerres et les conquêtes, mais en interne, sur la base de deux piliers: la langue (perse) et la religion (chiite) Au début du XVIe siècle, les douze chiites (reconnaissant l'existence de 12 imams) sont devenus une religion d'État en Iran.po Cette étape est un tournant très important pour le chiisme car elle favorise une renaissance intellectuelle et spirituelle en devenant la religion officielle du pays. Toutes les dynasties postérieures aux Safavides, les Afsharides, les Zands, les Qâdjârs, etc., ont également été chiites duodécimaines. En 1501, Ismaïl 1er fonde en Iran la dynastie des Safavides. Il proclame le chiisme duodécimain comme religion officielle du royaume et le royaume safavide devient alors le premier État chiite moderne. Pour installer durablement le chiisme dans le paysage iranien, majoritairement sunnite, Ismaïl fait venir des oulémas chiites du Liban « en leur confiant la lourde tâche d’établir un corpus théologique cohérent et solide, respectant le rite jafarite du chiisme duodécimain”.1 Le pouvoir safavide s’emploie à consolider l’État iranien non seulement à l’extérieur, à coup de guerres et de conquêtes, mais également à l’intérieur, en s’appuyant sur deux piliers : la langue (le persan) et la religion (le chiisme).thinkes La stratégie d’Ismaïl s’appuie sur un raisonnement politique, bien plus que religieux : les chiites iraniens « concluent un marché avec le shah, en acceptant de soutenir la légitimité de la monarchie tant que le trône défend l’identité et la domination chiites en Iran”. C’est au 16e siècle que le chiisme duodécimain, aussi appelé imâmisme, s’est implanté en Iran (appelé alors la Perse), soit neuf siècles après l’islamisation de la région. La dynastie safavide (1501-1736), fondatrice de la Perse moderne, en a fait sa religion d’État, en même temps qu’elle affirmait sa puissance face à ses rivaux et ennemis sunnites, l’empire ottoman et les Ouzbeks. Or, loin d’avoir été rapide et sans résistances, la conversion de la Perse au chiisme duodécimain (ou imâmisme) est le résultat d’un processus complexe, que des recherches récentes permettent d’éclairer. Le chiisme devient religion d’Etat en Iran en 1501, lorsque Shah Ismail Ier, premier souverain safavide – dynastie qui régne de 1501 à 1732 sur un territoire s’étalant de l’Anatolie à l’Ouest de l’Afghanistan actuel – l’impose avec l’aide de clercs arabes. Si la période safavide constitue une période de rayonnement pour l’islam chiite, le clergé, utilisé pour territorialiser l’Etat est cependant soumis à ce dernier.dip l web dans le 16e siècle que le chiisme duodécimain, s’est entré en Iran (appelé alors la Perse), soit neuf siècles après l’islamisation de la région. La dynastie safavide (1501-1736), a accépter et fondatrice de la Perse moderne, en a fait sa religion d’État, en même temps qu’elle affirmait sa puissance face à ses rivaux et ennemis sunnites, l’empire ottoman et les Ouzbeks.poc.hy.

A partir du 16e siècle, le chiisme duodécimain (reconnaissant l’existence de 12 imams) devient la religion d’Etat en Iran. Cette étape marque un tournant extrêmement important pour le chiisme car, devenu religion officielle du pays, il favorise une renaissance intellectuelle et spirituelle.rfi

le chiisme devint la religion officielle de la Perse – ce qu’il est toujours aujourd’hui. À la fois animé par une profonde conviction religieuse et une ambition politique, le Shah prit cette décision pour s’opposer aux Ottomans et aux Moghols sunnites, et distinguer ainsi définitivement l’Iran du reste du monde musulman, en affirmant très haut le caractère unique de l’identité iranienne.atlantico

Le pouvoir safavide s’emploie à consolider l’État iranien non seulement à l’extérieur, à coup de guerres et de conquêtes, mais également à l’intérieur, en s’appuyant sur deux piliers : la langue (le persan) et la religion (le chiisme). Contre le rival ottoman à l’Ouest et les ennemis mongol et turkmène à l’Est, la monarchie se donne pour objectif l’unification des différentes ethnies qui cohabitent en Iran. La langue persane conforte son statut de langue administrative et du quotidien, alors que l’arabe est confiné au domaine religieux. Puisant dans les racines zoroastriennes de l’Iran ancien, le chiisme devient la nouvelle religion officielle. La conversion de la majorité des Iraniens, volontaire ou forcée, consolide la formation d’un peuple autour d’une identité linguistique et religieuse, construite par opposition aux adversaires sunnites et turcophones.

iran[modifier | modifier le code]

Il a ajouté: Il y a quelques années, les États-Unis pensaient pouvoir renverser le régime iranien à l'aide de plusieurs avions et hélicoptères avec l'aide d'une poignée de mercenaires. Aujourd'hui, la même Amérique est obligée de former une large coalition de pays malheureux et anxieux, vouée à l'échec contre l'Iran. " Il a souligné que « l’Iran est aujourd’hui, tout comme par le passé, confronté à de nombreux défis sauf que dans le passé, notre principal défi consistait à lutter contre les ingérences étrangères, à fermer l’ambassade du régime sioniste ou celle des États-Unis où se tramaient toute sorte de complots contre notre nation. Aujourd’hui, les défis que nous devons surmonter sont de toute autre nature, ils sont liés à notre puissante présence sur les frontières de l’entité sioniste, à nos efforts visant à repousser avec l’illégitime présence des États-Unis en Asie de l’ouest, à notre soutien à la résistance des Palestiniens, du Hezbollah et de l’axe de Résistance dans toute la région « .


L’Iran est devenu une république islamique en 1979, aujourd'hui dans la république islamique iran, entre 80 millions d’Iraniens, environ 90% sont des musulmans chiites, ce qui représente environ 40% de la population chiite mondiale. en Iran est également l'islam chiite comme religion officielle[2].Il occupe une place centrale dans le monde chiite, et la solidarité confessionnelle est une dimension importante – à côté des facteurs stratégiques ou économiques – de sa politique internationale : la République islamique s’érige en protectrice (et pas seulement sur le plan spirituel). Le chiisme duodécimain professe la doctrine de l’occultation (ghayba : disparition, absence), formulée après la constatation de l’absence de successeur au onzième imam Hasan al-‘Askari, tué en 874 sur l’ordre du calife abbasside Al-Mutamid. Son fils et successeur légitime l’imam Muhammad al-Mahdi disparaît, « entre en occultation », alors qu’il est encore dans l’enfance : il est l’Imam caché, le Mahdi. Depuis, les fidèles attendent son retour. A son avènement, le Mahdi écrasera les forces du mal et fera régner la justice sur le monde.po Les lois de la République islamique d'Iran sont basées sur l'islam et les chiites. Chapour Bakhtiar fuit à son tour et, le 11 février, Khomeyni prend la tête d'un Conseil de la révolution. Les comités locaux ont permis sa prise de pouvoir sans trop de heurts avec, parmi eux, des islamistes mais aussi des marxistes, des libéraux et des révoltés en tout genre qui se sont unis pour faire tomber le régime du chah. Des tendances que l'on retrouve au sein du conseil.lepar

Histoire[modifier | modifier le code]

En 1501, shah Ismail 1 a fondé la dynastie safavide en Iran. Il a proclamé les chiites duodécimains comme religion officielle du royaume safavide, puis est devenu le premier État chiite moderne. Pour établir le chiite dans le paysage iranien à prédominance sunnite, à long terme, Ismail a fait venir des Scientifiques chiites du Liban "en leur assignant la lourde tâche de créer une classe théologique cohérente et solide, en ce qui concerne les douze jaafari chiite"[3]. À partir du XVIe siècle, le chiisme duodécimain (reconnaissant l'existence de 12 imams) sont devenus la religion d'État en Iran. Cette étape est un tournant important pour le chiisme car il favorise une renaissance intellectuelle et spirituelle en devenant la religion officielle du pays[4]. Le pouvoir safavide cherche à consolider le gouvernement iranien, non seulement à l'étranger, par les guerres et les conquêtes, mais en interne, sur la base de deux piliers: la langue (perse) et la religion (chiite)[5]. Au début du XVIe siècle, les douze chiites (reconnaissant l'existence de 12 imams) sont devenus une religion d'État en Iran. Cette étape est un tournant très important pour le chiisme car elle favorise une renaissance intellectuelle et spirituelle en devenant la religion officielle du pays. Toutes les dynasties postérieures aux Safavides, les Afsharides, les Zands, les Qâdjârs, etc., ont également été chiites duodécimaines[6].À la fois animé par une profonde conviction religieuse et une ambition politique, le Shah prit cette décision pour s’opposer aux Ottomans et aux Moghols sunnites, et distinguer ainsi définitivement l’Iran du reste du monde musulman, en affirmant très haut le caractère unique de l’identité iranienne. Pour enseigner la foi chiite à son peuple, il fit venir des docteurs de la loi du Bahreïn et du Liban, et pour la propager même dans les campagnes les plus reculées, il s’appuya sur des derviches itinérants, qui faisaient le récit de villages en villages des grandes traditions et légendes chiites[7]. In fact, the declaration of Shiite faction as the state religion in Iran was a kind of declaring war on neighboring Sunni countries, namely Ottoman government, Uzbek government, Turkic and Tajik tribes. L’Iran est bien devenu le premier État chiite moderne. Mais cette situation ne va pas sans déranger les grandes puissances sunnites qui l’entourent, à savoir l’Empire ottoman à l’ouest et la puissance moghole à l’est – notamment avec le tournant du règne de Sulayman (1666-1694), qui ouvre une période de violentes persécutions contre les chrétiens et les juifs, puis contre les sunnites, les zoroastriens et les soufis extrémistes. les

La dynastie safavide est la première dynastie iranienne musulmane qui réussit à établir, après 1000 ans, un empire irano-musulman entièrement indépendant par rapport au centre de gestion du pouvoir arabo-musulman qui dominait directement tous les pays conquis par l’Islam depuis le Vème siècle

la répubique islamique d'iran[modifier | modifier le code]

La république islamique d'iran a instauré en 1979 par khomeini. il était le guide suprême de la révolution et aussi la fondatrice de la république islamique. l'iran après la révelution islamique est devenue le centre du chiisme dans le monde, et aussi tout les dans la république islamique est sur la base de la loi islamique et le chiisme , toutes les activites pour la solidiraté et developper le chiism. il pratique comme En tant que défenseur du monde islamique.poc Ismaïl, fils de Haïdar, devenu le chef des Safavides et leur guide spirituel (pir), s’empara en 1501 de Tabriz en Azerbaïdjan, la capitale des Moutons blancs. Selon la chronique d’Hasan Beg (1577), le jeune conquérant se fit proclamer ” Roi des rois” (Cha-in-chah, titre d’origine préislamique) et, dès son couronnement, proscrivit les pratiques sunnites, sous peine de décapitation. La population conquise devait désormais maudire publiquement les trois premiers califes (Abu Bakr, Omar et Othman, figures majeures de l’islam sunnite) ; le nom des douze Imams devait être lu lors du prône (khutba) du vendredi. Tels étaient les principaux rites d’adhésion à l’imâmisme. Dans l’ensemble, les chroniques présentent la conversion comme le résultat du volontarisme d’Ismaïl, guerrier de la foi : selon Bizan, un auteur du17e siècle, aux Qizilbachs qui l’avertissent que les 200 000 habitants de Tabriz sont sunnites, Ismaïl répond qu’il est prêt à les passer lui-même au fil de l’épée jusqu’au dernier, s’ils s’opposent à lui [6]. Après s’être emparé de Bagdad puis avoir vaincu les Ouzbeks, le chah imposa partout l’imâmisme. La terrible défaite qu’il subit contre les Ottomans à Chaldiran en 1514, et qui fixa les limites occidentales de son empire, contribua encore, par son caractère sacrificiel, à sa légende de héros de la foi. L’acteur primordial de l’alliance des Safavides et des Amilis pour l’implantation de l’imâmisme en Perse fut Karaki (1464-1534) [10], considéré comme “l’inventeur” du chiisme persan. Originaire du djebel Amil, Karaki rencontra pour la première fois Ismaïl en 1504 à Ispahan. Sa carrière connut son point culminant sous Tahmasp, qui en 1532 lui conféra le titre de “Sceau des interprètes de la loi” (khatam-al-mujtahid), l’élevant au-dessus de ses confrères [11]. Son action illustre les qualités que les premiers souverains Safavides attendaient des Amilis.

le chiisme dans la republique islamique d'iran[modifier | modifier le code]

dans La République islamique d’Iran, instaurée en 1979, est aujourd’hui le bastion de l’islam chiite [1], cette branche de l’islam qui est minoritaire (12 à 15%) par rapport à l’islam sunnite dont se réclame l’écrasante majorité des musulmans. Sur 80 millions d’Iraniens, près de 90% sont des musulmans chiites, et ceux-ci représentent environ 40% de la population chiite mondiale. L’Iran est aussi le seul pays au monde dont l’islam chiite duodécimain [2] est la religion officielle [3]. Il occupe une place centrale dans le monde chiite, et la solidarité confessionnelle est une dimension importante – à côté des facteurs stratégiques ou économiques – de sa politique internationale : la République islamique s’érige en protectrice (et pas seulement sur le plan spirituel) des chiites du Moyen-Orient, soutenant notamment le parti islamique Dawa en Iraq, le régime de Bachar El-Assad en Syrie, ainsi que le Hezbollah libanais. La République iranienne est fondée sur une Constitution théocratique adoptée après la révolution islamique et le renversement du shah en 1979. Selon l’article 12 de la Constitution, la religion officielle du pays est celle de l’école islamique du chiisme jafarite. Les chrétiens, juifs et zoroastriens sont reconnus à l’article 13 comme des minorités religieuses protégées ayant le droit de pratiquer librement leur culte et de former des sociétés religieuses.((Iran (Islamic Republic of)’s Constitution of 1979 with Amendments through 1989,Au Parlement iranien (Majlis), deux sièges sont réservés aux chrétiens arméniens – la plus grande minorité chrétienne du pays (300 000), de même qu’un siège aux chrétiens assyriens, aux juifs et aux zoroastriens. Phénomène d’abord arabe, l’histoire du chiisme est intimement liée à celle de l’Iran. La branche de l’islam chiite en Iran se réfère plus précisément au « chiisme duodécimain » [1], qui se rapporte au nombre des Imams vénérés (douze), à travers lesquels l’histoire de la vérité est révélée ou « chiisme imamite » selon la théorie de l’imamat à laquelle il correspond. Ali est le premier des Douze Imams que les chiites reconnaissent, lui accordant une importance spirituelle toute particulière. Les chiites, étymologiquement, sont les partisans d’Ali, cousin et époux de la fille de Muhammad, Fatima, ceux qui l’accompagnent.Autre étape importante dans le chiisme, la mort – ou plutôt le martyr dans la tradition chiite – d’Husayn lors de la bataille de Kerbala en 680, qui oppose les troupes d’Huysan, refusant de prêter allégeance au nouveau calife, à l’armée omeyyade. Cette bataille et la mort de l’Imam Husayn sont commémorées annuellement lors d’ashura, le 10ème jour du mois de Muharram de l’an 61 de l’hégire. L’autre dogme clé de la tradition chiite est la disparition du douzième Imam, Muhammad al-Mahdî (« le Mahdi »), entré en occultation lors de la mort de son père en 874 alors qu’il était jeune garçon. Les chiites attendent dès lors le retour de cet Imam, la parousie et la révélation finale, contrairement aux sunnites pour qui le cycle de la prophétie est clos.dip Le gouvernement islamique ne peut être ni totalitaire ni despotique, mais constitutionnel et démocratique. Dans cette démocratie, pourtant, les lois ne dépendent pas de la volonté du peuple, mais uniquement du Coran et de la Sunna du Prophète. La Constitution, le Code Civil et le Code Judiciaire ne peuvent s'inspirer que des lois islamiques contenues dans le Coran et transcrites par le Prophète, et elles seules doivent être appliquées scrupuleusement. Le gouvernement islamique est le gouvernement de droit divin, et ses lois ne peuvent être ni changées, ni modifiées, ni contestées. les clercs chiites ont joué un role important dans la victoire de la revolution islamique.

La propagation du chiisme à l’époque safavide[modifier | modifier le code]

Shâh Esmâ’il et ses compagnons étaient tout à fait conscients des difficultés que représentait le fait d’asseoir un pouvoir chiite au niveau national. De ce fait, le roi iranien obligea les prêcheurs à prodiguer des louanges à l’adresse du chiisme duodécimain et à maudire les trois califes sunnites, voire à anathématiser les gouverneurs abbasides. Après avoir réprimé certains soulèvements, il parvint peu à peu à homogénéiser le pays et consolida les bases d’un puissant Etat chiite en Perse, ouvrant la voie à un apaisement ainsi qu’à une période de paix et de prospérité à partir du règne du roi Shâh ’Abbâs. Afin de surveiller au mieux les affaires étatiques et religieuses, Shâh Esmâ’ïl créa une fonction appelée « Sadr ». Ceux qui l’exerçaient se devaient de superviser l’homogénéisation religieuse, la propagation de la foi chiite, et rapporter l’existence de groupes sunnites dans le pays. Après la mort du roi, son fils Tahmasp 1er (1514-1576) continua la politique de son père et se mit à inviter les savants chiites de l’époque à travers le monde musulman, notamment du Bahreïn, d’Irak, de Syrie et de Jabal Amel. La réunion des savants religieux chiites atteint alors son apogée et fut l’un des événements les plus marquants de l’histoire religieuse de l’époque. Cette collaboration entre les savants religieux chiites et la cour fut le début de la fondation d’un foyer multiculturel englobant également les activités scientifiques et culturelles et engendra plus tard de nombreuses écoles théologiques et centres d’investigation. On y éduquait des quantités de scientifiques et de philosophes qui devinrent les grands théoriciens et penseurs du monde musulman. Une autre démarche importante des Safavides fut la célébration des événements et rituels chiites partout dans le royaume, en particulier les fêtes et les deuils attribués aux douze Imâms chiites, à savoir la fête de Ghadir, la fête de la venue au monde de l’Imâm Mahdi, le deuil de l’Imâm Hossein, ainsi que des cérémonies particulières comme le rowzeh. Ces rituels étaient organisés somptueusement dans presque toutes les villes du pays et ont marqué la culture iranienne d’une empreinte profonde jusqu’à aujourd’hui.

le chiisme dans la republique islamique iran[modifier | modifier le code]

Et pourtant, en Iran, ce courant de l’islam est au cœur de l’identité, la République d’Iran a ainsi été fondée par l’ayatollah Khomeyni, un religieux chiite. La République islamique d’Iran, instaurée en 1979, est aujourd’hui le bastion de l’islam chiite, cette branche de l’islam qui est minoritaire (12 à 15%) par rapport à l’islam sunnite dont se réclame l’écrasante majorité des musulmans. Sur 80 millions d’Iraniens, près de 90% sont des musulmans chiites, et ceux-ci représentent environ 40% de la population chiite mondiale. L’Iran est aussi le seul pays au monde dont l’islam chiite duodécimain est la religion officielle. Il occupe une place centrale dans le monde chiite, et la solidarité confessionnelle est une dimension importante.

arbain[modifier | modifier le code]

La présence de différentes personnes issues de différents pays et de différentes religions à la cérémonie del’Arabaïn exprime cet important message que les peuples du monde entier, quelle que soit leurs confessions et leurs croyances, appellent à la coexistence pacifique de toutes les nations et à la fin de l’oppression et de la violence dans toutes les communautés. Arbaïn est le quarantième jour après le martyr de l’imam Hossayne et de ses compagnons que les musulmans chiites y effectuent des cérémonies. L’Arbaïn est la manifestation de dressage de l’idée vraie du monothéisme et de la Wilâya[1] à travers le pèlerinage. À vrai dire, le pèlerinage de l’imam Hossayne , c’est la continuation du soulèvement d’Ashoura. Car la commémoration de l’Arbaïn revit l’évènement d’Ashoura qui exprime le monothéisme et la version adéquate de l’islam.

l'histoire du Chiisme[modifier | modifier le code]

Pour le chiisme, la prophétie en tant que prophétie législatrice, s’arrête avec la figure du prophète, mais la réception de la révélation se poursuit grâce à la figure de l’imam. Celui-ci prolonge le contact entre les créatures et le créateur. Cette vision n’existe pas dans le sunnisme, où le successeur du prophète, connu sous le nom de calife, est à la tête de l’Etat musulman. A part la conception de la figure de l’imam, une double vision du monde distingue le chiisme du sunnisme.1rfi

Pour le chiisme, la prophétie se termine comme une prophétie législative avec le visage du prophète, mais la réception de la révélation continue grâce au visage de l'imam. Il étend la relation entre les créatures et le Créateur

Le Chiisme comprend cinq principes en lesquels les adeptes croient: I. L'unicité de Dieu II. La justice divine III. La mission prophétique de Mahomet salut soit sur lui et sa famille IV. L'imamt V. Le Jour du Jugement Dernier

L'une des deux principales branches de l'islam, les chiites constituent environ 15% de la population musulmane mondiale. La séparation initiale entre les musulmans s'est produite à Médine (ouest de l'Arabie saoudite actuelle) en 632 c.e. sur la question de savoir qui succéderait au prophète Mahomet, mais il a fallu plusieurs décennies avant que la division entre les deux branches, le chiisme et le sunnisme, ne devienne officielle. Selon les chiites, l'autorité spirituelle et temporelle de la communauté musulmane appartenait légitimement à Ali, le cousin et gendre du prophète, et à une succession de ses descendants, appelés les imams. La formation du chiisme a été un processus graduel. Au cours des décennies qui ont immédiatement suivi la mort du Prophète en 632 avant notre ère, un certain nombre de mouvements de dissidence religieuse ont émergé dont les membres ont exprimé leur allégeance à Ali (cousin et gendre de Muhammad) et à ses fils (petits-enfants de Muhammad) en tant que vrais successeurs du Prophète. Ces musulmans sont devenus connus sous le nom de chiites (en arabe: «parti» ou «partisans») d'Ali. La revendication par les chiites du droit d'Ali à cette succession était basée sur un certain nombre d'événements au cours desquels Mahomet a accordé une attention particulière à Ali. Les chiites ont compris ces événements comme une indication de la volonté du Prophète de désigner Ali comme son successeur et comme sa reconnaissance de la qualification supérieure d'Ali pour ce rôle[8]. Le plus notable de ces événements s'est produit à l'oasis de Ghadir-e Khum, où le Prophète, dans un sermon lors de son dernier hajj (pèlerinage), a déclaré: "Celui dont je suis le mawla, Ali, est aussi son mawla. O Dieu, sois l'ami de ceux qui se lient d'amitié avec lui et sois l'ennemi de celui qui est son ennemi, soutiens ceux qui le soutiennent et abandonne ceux qui l'abandonnent. " Il y a eu un désaccord majeur entre les chiites et les sunnites sur la façon d'interpréter ce passage. Pour les chiites, la manière extraordinaire dont le prophète a assimilé Ali à l'autorité et à l'affection avec lui-même demeure la base la plus solide de leur revendication. Ils ont pris le mot mawla pour signifier chef, maître et gardien et le voient donc comme une désignation explicite d'Ali comme son successeur, tandis que les sunnites ont interprété mawla comme un ami et un confident.

Après la mort du Prophète, Ali n'est pas devenu immédiatement calife (successeur de Mahomet et chef de l'islam); trois autres grands compagnons du Prophète l'ont précédé. En effet, bien que les partisans d'Ali aient estimé qu'il était le véritable successeur du Prophète, Ali n'a pas contesté la direction de ses prédécesseurs, et il leur a prêté allégeance afin d'éviter les dissensions dans la Oummah (communauté islamique). Ali est finalement devenu calife en 656, mais son règne n'a duré que jusqu'en 661, date à laquelle il a été assassiné. Aucun des descendants d'Ali n'a jamais officiellement assumé la charge de calife, car ils ont été emprisonnés ou tués par les autorités sunnites. En 681 c.e. les Omeyyades (une dynastie sunnite) ont brutalement réprimé un soulèvement à Karbala (centre de l'Irak) du fils d'Ali, Husayn; cela a inauguré une longue période de déni des droits des descendants d'Ali au califat. Pendant la majeure partie de leur histoire, les chiites ont vécu comme une minorité musulmane persécutée dispersée à travers les terres islamiques. Au Xe siècle après JC, cependant, les chiites ont brièvement acquis le contrôle politique de presque tout le monde musulman, chaque partie étant dirigée par un groupe chiite ou un autre. Parmi eux, la dynastie Buyid (945–1055) en Iran, en Irak et en Syrie et la dynastie Fatimide (909–1171), dirigée par Sevener Shiites, en Égypte et en Afrique du Nord. Cette domination chiite a finalement été balayée par les Turcs sunnites qui ont établi la dynastie Seljuq (XIe-XIIIe siècles). Au XVIe siècle, les Safavides (1502–1736) ont adopté le chiisme à douze degrés comme religion d'État de l'empire perse (iranien). Depuis lors, l'Iran est resté la terre natale de la majorité des musulmans chiites.


En plus des enseignements de Muhammad, Shi'i connaît aussi ses filles Fatima et les douze imams. L'Imam en tant qu '"ami de Dieu" a un rôle spirituel dans la société. Nous pouvons identifier trois écoles de pensée principales dans le chiisme: les douze chiites à fort contenu chrétien attendant le retour de l'imam caché avant la fin de la journée, le zaidite qui ne reconnaît que les cinq premiers imams et le haut ismailisme ésotérique. Najaf et Karbala, en Irak, sont deux villes saintes chiites. Alors que pour la majorité, le successeur devait être élu parmi les compagnons du prophète, le chiisme est basé sur l’idée que le chef des musulmans doit être un descendant de Mohammed et plus spécifiquement d’Ali, quatrième calife des sunnites et premier imam des chiites, et de sa femme Fatima, fille du prophète.o-r

Ghadir khumm[modifier | modifier le code]

Ghadir Kham est l'événement capital du credo chiite. S'il est rejeté, toutes les doctrines sont invalides, de la même manière que le christianisme n'existerait pas sans la crucifixion du Christ. la cause de la séparation entre le chi'ite et le sunnit il y a désaccord entre les musulmans. qu'est ce qui s'est passé dans le ghadir khumm, les chiites ont cru que imam ali a été designé comme califa ou successeur par mahomet dans l'événement Ghadir khumm parce que à cette cérémonie il est nommé ali avec le mot Mawla veut dire "Wali", ce qui signifie "le Maître" en arab il y beaucoup signification pour le mot mowla. il y a quelque hadith pour le prouver ; aussi ali a toujours participé et accompagner le prophete a beaucoup des batailles comme badr, ohod, khandagh , chiite .fr

le prophète a dit le jour d’Al Ghadir : « je laisse parmi vous deux choses précieuses (Thaqalayn) : le Saint Coran et ma famille. Ils ne se sépareront jamais jusqu’à ce qu’ils me rejoignent au bassin (kawsar). Regardez donc bien comment vous les traiterez après moi » (Cf. çahih Mouslim, vol 16 p 180 ; Tirmidhy, vol 5 p 329).ahlulbayttb

Zaid b. Arqam rapporte : (...) Un jour, le Messager d'Allah se leva pour donner un sermon à un point d'eau connu sous le nom de Khumm situé entre La Mecque et Médine. Il loua Allah, exalté soit-il, et nous a dit : Ô gens, je suis qu'un être humain. Je suis sur le point d'être rappelé (l'ange de la mort) et de répondre [à ce rappel] mais je laisse parmi vous deux choses importantes : la première c'est le Livre d'Allah dans laquelle il y a guidance et lumière. La seconde c'est les membres de ma famille, je vous rappelle (vos devoirs) envers les membres de ma famille. (...) [Sahih Muslim]


Zaid b. Arqam rapporte : (...) Oui nous étions à Al-Juhfa (Khumm) et le Prophète est venu vers nous, tenant les mains d'Ali et il a dit : Ô gens! N'ai-je pas plus de droit sur les croyants que ce qu'ils ont sur eux-mêmes ? Ils ont dit : Oui. Puis le Prophète a dit : "Man mawlaah kuntu Fa Ali mawlaah. (A quiconque je suis maula, Ali est son maula)" [Musnad Ahmad]

Dans le chiisme, l’Imam était à la fois le chef spirituel et temporel de la communauté. Le douzième Imam disparut en 874, il était présumé « occulté » par Dieu. Depuis lors, les ulémas chiites ne s’occupaient que du strict domaine du culte. À la fin du IXe siècle, la théologie duodécimaine a adopté « Al-‘aql » (la raison) qui en arriva à être reconnu comme un pilier de la foi.telos-eu.

Imamat[modifier | modifier le code]

L'imamat est une notion très large, embrassant à la fois le sens de l'autorité spirituelle, "marja'iyyat", et celui d'autorité politique. Après la mort du Prophète, l'Imam fut chargé d'enseigner aux hommes les sens du Coran, les réalités de la religion et les pratiques sociales, et d'être leur directeur dans tous les domaines.al.islam. Douze imams ont été chargés des guides spirituels depuis le dernier message prophétique du dernier prophète. Le dernier d'entre eux est l'Imam du temps ou l'Imam caché:fr:sh Selon l’idée du chiisme, l’Imâm ou le wali est guide (hâdi) et initiateur. En tant que guide (hâdi, mahdi) pour les hommes, il est guidé lui-même par Dieu. Cette qualification de guide et de guidé appartient aux Douze Imâms du chiisme duodécimain, parce qu’ils sont d’une seule et même réalité (haqiqat). Ils sont créés d’une même lumière, celle de Dieu. Cet ensemble forme un plérôme. C’est par son essence que l’Imâmat ou la Wilâyat forme avec la mission prophétique une réalité unique. Les chiites comme les sunnites s'appuient sur le Coran et la Sunna (hadith). Cependant, il y a plus de récits chiites que sunnites parce qu'ils ont ajouté aux enseignements de Mahomet, du Prophète (PSL) et des douze imams (les quatorze sans faute). Les chiites et les sunnites croient en l'unité de Dieu, à la mission des prophètes, à la résurrection et au dernier commandement. Le chiisme a adopté deux autres principes: la justice divine et l'imamat.

La forme de l'imam est fondamentale pour la doctrine chiite. Le Prophète apporte la loi d'en haut. Il est en mission avec un ou plusieurs imams (ce sont des "Amis de Dieu"). Ces messagers ésotériques ont pour tâche de transmettre la parole de Dieu aux hommes. L'imam est donc la direction spirituelle de la communauté.les cle

Ijtihad[modifier | modifier le code]

Les bases de l'Ijtihâd sont les suivantes:

1- Le Saint Coran

2- La Sunnah (c'est-à-dire les paroles et la conduite

du Saint Prophète et des Saints Imams)

3- L'Ejmâ' (Le consensus unanime)

4- Le `Aql (La Raison)

Mujtahid[modifier | modifier le code]

Nous croyons que le Mujtahid remplissant toutes les conditions requises est le représentant de l'Imam durant son absence. Il est le gouvernant et l'autorité suprême de tous les Musulmans, et il accomplit ses fonctions en l'absence de l'Imam en ce qui concerne les décrets (les Fatwâ) et l'administration de la justice. Quiconque fait fî de l'autorité du Mujtahid, aura fait fi par là même de l'autorité de l'Imam. Or, faire fi de l'autorité de l'Imam équivaut à faire fi de l'Autorité Divine,

Nous pensons que le Mujtahid remplit toutes les conditions, le représentant de l'Imam est en son absence. Il est le souverain et le gouverneur suprême de tous les musulmans, et il exerce ses fonctions en l'absence de l'imam en ce qui concerne les décrets et l'exécution de la justice. Quiconque méconnaît l'autorité des mujtahid renoncera ainsi à l'autorité de l'imam. Ignorer l'autorité de l'Imam, c'est ignorer l'autorité de Dieu,

Encyclopedia englais[modifier | modifier le code]

« Chiisme » vient du terme arabe «chiite» shia Ali, « partisans de Ali ». Il s'agit du plus ancien courant de l'Islam depuis son apparition dans les conditions les plus turbulentes des premières décennies après la mort du Prophète en 632. Les chiites ne considèrent qu'Ali comme le successeur légitime de Mahomet, et que les descendants d'Ali pour imams ou souverains pontifes[9]. En fait, le chiisme est essentiellement une «imamologie», une religion de l'imam, car sans sa médiation, le sens de la parole divine demeurerait inaccessible. le concept de la walaya en témoigne ; Cela signifie «amitié» ou «proximité» entre Dieu et l’imam que la fidélité du croyant à l’imam – d’où la forme chiite de la profession de foi musulmane : « Il n’y a de dieu que Dieu, Muhammad est l’Envoyé de Dieu, et Ali est l’Ami (wali) de Dieu. » Reconnaître l’imam c’est participer à la walaya par son intercession[10]. Le chiisme existaient même du vivant du Prophète. L'avènement, puis la propagation de l'islam au cours des vingt-trois ans de prophétie, rendirent nécessaire pour plusieurs raisons l'apparition parmi les compagnons du Prophète, d'un groupe tel que celui des chiites. Le Prophète leur a clairement fait savoir que celui qui répondra en premier à son appel sera son successeur et son héritier. Ali a été le premier à embrasser l'islam. Le Prophète a accepté la soumission d'Ali à la foi divine et a ainsi rempli sa promesse.teb


Pendant la période de la prophétie, Ali accomplit des services de haute valeur et manifesta un remarquable dévouement. Ainsi, quand les infidèles de la Mecque décidèrent de tuer le Prophète et cernèrent sa maison, celui-ci décida d'émigrer à Médine. Il dit à Ali: «Veux-tu dormir dans mon lit cette nuit afin qu'ils croient que je suis endormi, et qu'ainsi ils ne se lancent pas à ma poursuite?» Ali accepta spontanément cette mission dangereuse. Ceci est rapporté dans différents recueils de hadiths. Ali servit aussi en combattant aux batailles de Badr, Ohod, Khandaq et Hunayn dans lesquelles sa participation fut telle que s'il n'avait pas été présent, l'ennemi aurait très probablement détruit l'Islam et les musulmans, ainsi qu'en attestent les récits historiques, de la vie du Prophète et les collections de hadiths.

12[modifier | modifier le code]

Umm Kalthûm était le fille du prophète , elle était l'un des membres de la famille du Prophète qui a été déportée dans le désert pendant trois ans au moment du boycott. La troisième fille du Prophète eut en commun avec sa soeur Ruqayya, d'avoir été également fiancée avec un autre des fils d'Abû Lahab, et le mariage fut annulé dans les mêmes conditions. Elle fut au nombre des membres de la famille du Prophète qui furent exilés dans le désert, au moment du décret de boycottage, et ce, pendant trois années. Elle se trouvait auprès de sa mère au moment où celle ci mourut. Elle éprouva un profond chagrin.

Umm Kalthûm participa à l'hégire. En effet, dès que le Prophète et Abu Bakr furent arrivés à Médine, ils envoyèrent chercher leurs familles respectives. Firent le voyage ensemble : Sawda, Mère des croyants, avec les filles du Prophète, Umm Kalthûm et Fâtima, ainsi que l'épouse d'Abû Bakr, Umm Rummân, avec Aïsha et Asmâ'.

Alors que 'Uthmân était veuf depuis trois ans, le Prophète lui proposa d'épouser Umm Kalthûm. Ce fut une grande consolation et une joie pour 'Uthmân ; il vit dans cette union une nouvelle alliance avec la famille du Prophète . Le couple semble avoir été très heureux, mais ils n'eurent pas d'enfant. Umm Kalthûm mourut au mois de shabân de l'an 9 de l'hégire. Le Prophète ordonna que l'on fît sa toilette, et, après qu'elle ait été enveloppée dans un vêtement qu'il avait donné pour cela, il l'enterra lui-même dans le cimetière des femmes à Médine.

'Uthmân fut très affecté de la mort d'Umm Kalthûm et ne se remaria plus. Le Prophète lui dit un jour : « Si j'avais une troisième fille à marier, je te l'aurais donnée comme épouse », ce qui l'émut profondément.


13[modifier | modifier le code]

Ruqayya bint muhammade elle est née huit années après le mariage de ses parents. Deuxième fille du Prophète, Comme ses soeurs, elle reçut la meilleure éducation. Elle fut fiancée à l'un de ses cousins, fils d'Abû Lahab, l'oncle du Prophète. Abu Lahab, ennemi acharné du Prophète, exigea de son fils qu'il renonce à son mariage avec Ruqayya. Plus tard, 'Uthmân, le futur calife, demanda sa main et elle devint son épouse. On sait que le couple fut très uni. Ils firent ensemble partie du premier groupe des émigrés qui partirent en Abyssinie. is...med

C'est à leur retour que Ruqayya apprit la triste nouvelle de la mort de sa mère, Khadîja, un peu avant l'hégire. Ensuite, 'Uthmân et Ruqayya émigrèrent vers Médine où ils reçurent, on le sait, un accueil chaleureux et fraternel de la part des musulmans de la ville. Ruqayya eut un enfant qui mourut en bas âge ; elle tomba malade quelque temps après.

'Uthmân la soigna et l'assista jusqu'à sa mort, alors que le Prophète menait sa première campagne, à Badr. La nouvelle de la victoire de Badr parvint à Médine au moment de l'enterrement de Ruqayya. C'est le Prophète - de retour à Médine - qui aurait présidé à la prière et serait descendu la déposer dans la tombe. C'était au mois de ramadan de l'an 2 de l'hégire.


L’Imam Zeinul-Abidine, As-Sadjad (as) dit à Dame Zeynab : « Tu es une savante qui n’a pas suivi de leçons chez quelqu’un, tu comprends sans que quelqu’un ne te fasse comprendre ». fr:sh (Le plus connu est celui de Zahra)

la fille de mohammad était connus

"Pourquoi s'appelait-elle aussi Zahra? Parce que Zahra signifie brillance et que Fatima était telle que, quand elle se tenait dans le mirhab, la lumière qu'elle dégageait était visible par tous les gens des cieux, de la même façon que la lumière des étoiles est visible par les gens de la Terre. C'est pour cette raison qu'elle fut appelée aussi Zahra".

14[modifier | modifier le code]

Les pères de cette communauté sont Mohammad et Ali. Ils protègent ceux, qui les suivent et les écoutent, des effets néfastes de la tourmente perpétuelle dans ce monde d'ici-bas et dans le monde de l'Au-delà. Ils sont les guides à la voie de l'éternel bonheur dans ce monde d'ici-bas et dans le monde de l'Au-delà pour ceux à qui il s'adresse. Bihar Al annouar -ch.23-p.259 -Allah est le Salam. De Lui provient le Salam. A Lui s'adresse le Salam. Bihar Al-Annouar -ch.43-p.59

-Quiconque agit selon ce que nous lui avons recommandé, et s'abstient de ce que nous lui avons interdit, il fait partie de nos chiah-partisans. Quiconque n'agit pas de la sorte ne fait pas partie d'eux. Bihar Al-Annouar -ch.68-p.155

-Mon père m'a dit: Voilà ! Gabriel m'a révélé que le plus heureux des heureux est celui qui aime Ali de son vivant et après son décès. Que le malheureux des malheureux est celui qui déteste Ali de son vivant et après son décès. Bihar Al.Annouar -ch.39 -p.257

-Mon père m'a informé de ceci : quiconque nous adresse, à toi et à moi, ses salutations durant trois jours, sera inscrit par Allah pour être parmi les gens du Paradis. Alors une personne lui demandera: De votre vivant? Elle (As) répondit: Oui ! Même après notre décès ! Wassail Al-Chiah -Ch.3 -p.401


les enfants

Elle donna à Amir al-Mouninin Ali cinq enfants:

L'Imam al-Hassan,

L'Imam al-Hussayn,

La Dame Zaynab,

La Dame Um Koulthoum, et Muhsin, qui fut tué dans le ventre de sa mère lorsqu'elle fut attaquée par ses ennemis.

La formation du chiisme : Le chiisme puise ses origines dans les rivalités entre les compagnons du Prophète pour désigner le calife. Le calife est le « lieutenant » qui doit succéder au Prophète et diriger la communauté des musulmans. En effet, la mort du Prophète Muhammad en 632, sans laisser d’héritier mâle, pose pour la jeune religion le problème de sa continuité.

Croyance au Al-Qadar: Les musulmans croient au al-Qadir, qui est le fondement divin. Mais cette croyance en la prédestination divine ne signifie pas que l'homme n'a pas de libre arbitre. La plupart des musulmans croient que Dieu a donné le libre arbitre aux humains, ce qui signifie qu'ils peuvent choisir entre le bien et le mal et assumer la responsabilité de leur choix.

Croire en la prédestination divine implique de croire en quatre choses: 1) Dieu sait tout. Il sait ce qui s'est passé dans le passé et il sait ce qui se passera dans le futur. 2) Dieu a consigné tout ce qui s'est passé dans le passé et tout ce qui s'est passé dans le futur. 3) Quoi que Dieu décide, cela arrivera, et quoi qu'Il refuse, cela n'arrivera pas. 4) Dieu est le créateur de tout


Croyance aux prophètes et aux messagers de Dieu: Les musulmans croient aux prophètes et aux messagers de Dieu, en commençant par Adam, et ensuite Noé, Abraham, Ismaël, Isaac, Jacob, Moïse et Jésus (que la paix soit sur eux). Mais le dernier message que Dieu a envoyé à l'homme, et qui était une reconfirmation du message éternel, fut révélé au prophète Mohammed . Les musulmans croient que Mohammed est le dernier prophète à avoir été envoyé par Dieu, comme Dieu le dit:

Mohammed n'a jamais été le père de l'un de vos hommes, mais le messager de Dieu et le dernier des prophètes... (Coran, 33:40)

15[modifier | modifier le code]

)Dieu n'est pas Jésus, et Jésus n'est pas Dieu.2 Jésus lui-même a rejeté cette idée. Dieu a dit, dans le Coran:

Ce sont, certes, des mécréants ceux qui disent: "En vérité, Dieu c'est le Messie, fils de Marie." Alors que le Messie a dit: "Ô enfants d'Israël, adorez Dieu, mon Seigneur et votre Seigneur". Quiconque associe à Dieu d'autres divinités, Dieu lui interdit le Paradis; et son refuge sera le Feu. Et pour les injustes,3 pas de secoureurs! Croyance en Dieu: Les musulmans croient en un seul Dieu, qui est unique et incomparable, qui n'a pas de fils ni de partenaire, et ils croient que personne ni rien n'a le droit d'être adoré à part Lui, et Lui seul. Il est le véritable Dieu, et toutes les autres divinités sont fausses. Il possède les noms les plus magnifiques et Ses attributs sont sublimes et parfaits. Personne ne partage Sa divinité ni Ses attributs. Dans le Coran, Dieu se décrit Lui-même en ces termes .Dis: "Il est Dieu, Unique. Dieu, Le seul à être imploré pour ce que nous désirons. Il n'a jamais engendré, n'a pas été engendré non plus. Et nul n'est égal à Lui.". (Coran, 112:1-4)

Sources du chiisme dans le Coran ..Loin d’être une "secte" forgée de toute pièce après la révélation prophétique, le chiisme et la nécessité de l’obéissance aux Imâms trouve ses sources dans le Coran même, qui évoque de façon claire la notion de guidance existentielle revenant aux Imâms : "Nous les fîmes des Imâms (A’emeh) qui guidaient par Notre ordre. Et Nous leur révélâmes de faire le bien, d’accomplir la prière et d’acquitter la Zakât. Et ils étaient Nos adorateurs.". Ici, la notion de guidance est évoquée juste après celle d’Imâmat, venant souligner la mission principale de ces derniers..

al bagher Le Prophète avait de nombreux titres, dont le titre de "Baqir ou Baqir al-Alam" est le plus connu.Il a été appelé le Prophète parce qu'il s'est séparé et a ouvert les sciences

queles que paroles Le mensonge est la destruction de la foi. Le croyant ne sera pas timide et gourmand. Certes, Dieu aime les personnes qui est gentillesse et patience. ah

mohammad al jawad

Après la mort de son père, il est devenu Imam par ordre divin et selon ses prédécesseurs. au moment de la mort de son père, il était à Médine.

Mamun l'a appelé à Bagdad, qui était alors la capitale du califat, et lui a montré la bonne volonté. Il a même épousé sa fille avec l'Imam et l'a gardée à Bagdad. En fait, de cette façon, il voulait prendre soin de l'imam de près et au sein de sa famille.

-- il est né à Médine , Ses parents sont l'imam `Alî ar-Ridhâ et Sa mère était Khaizaran .Il devint Imam après la mort de son père (as) sur Ordre divin, et par décret de ses illustres prédécesseurs (as). A la mort de son père (as), il était à Médine. Ma'mûn l'appela à Baghdâd qui était alors la capitale du califat, et il lui manifesta extérieurement beaucoup de bienveillance. Il lui donna même sa fille en mariage et le garda à Baghdâd. En réalité, il voulait de cette manière exercer une étroite surveillance sur l'Imam (as), à la fois de l'extérieur et à l'intérieur même de sa propre famille.==L'Imam Mohammad Ibn Ali at-Taqi (le pieux), parfois nommé al-jawâd (le magnanime) ou Ibn ar-Ridâ  est le fils du huitième Imam.

il est né le 10 Rajab en 195/809 à Médine et, selon des traditions chi'ites, est mort martyr le 29 Dhul Qi'dah en 220/835, empoisonné par sa femme, la fille de Ma'mûn, sur l'instigation du calife Abbasside Mu'tasim. Il fut enterré aux côtés de son grand père, le septième Imam, à Bagdad-  Kâzimayn.

Il devint Imam après la mort de son père, sur Ordre divin et par décret de ses prédécesseurs. Au moment de la mort de son père, il était à Médine.

Ma'mûn l'appela à Baghdad qui était alors la capitale du califat et lui manifesta extérieurement beaucoup de bienveillance. Il donna même sa fille en mariage à l'Imam et le garda à Bagdad. En réalité, il voulait de cette manière exercer une étroite surveillance sur l'Imam, à la fois de l'extérieur et de l'intérieur de sa famille.L'Imam passa quelques temps à Bagdad et puis, avec le consentement de Ma'mûn, repartit pour Médine où il resta jusqu'à la mort de Ma'mûn. Quand Mu'tasim devint calife, il appela l'Imam à Bagdad, et comme on l'a dit plus haut, le fit empoisonner par sa femme. al ha

Malgré son très jeune âge, l'Imam(as) avait une forte personnalité qui suscitait chez tous ses interlocuteurs le plus grand respect et la plus haute considération. Un jour, et alors qu'il regardait d'autres enfants jouer, le Calife al Ma'mûn passa avec son escorte. Tous les enfants s'enfuirent excepté le futur Imam al Jawâd

Imam Muhammad al-Jawâd (a)  ou Imam Muhammad Taqî (a), Muhammad b. Ali b. Mûsâ b. Ja'far, connu sous le nom d'al-Jawâd, est le neuvième Imam des chiites duodécimains. Il est né en l'an 195 H. à Médine; et a été tué à l'âge de 25 ans,  par Mu'tasim  . Il est enterré à Bagdad- Kazumiya à côté de son ancêtre Imam Musa Al-kazim

Après le martyre de l'Imam ar-Ridâ (a), certains chiites ont pris son frère, Abd Allah, pour l'Imam suivant. D'autres ont rejoint les Waqidites. Mais la plupart ont admis l'imamat de son fils, l'Imam al-Jawâd (a), malgré son jeune âge.

il est devenu à l'imam à l'age de vingt ans, après la mort de son père, pendant 35 ans de Shawal 148 AH à Rajab 183 AH

l'article de l'imam reza qui enterré en iran.

  • Celui qui compare Dieu à l’image de sa créature est un idolâtre et celui qui définit Dieu par tout ce qui est prohibé devient mécréant.
  • L’Imân ou la foi est d’un degré plus haut que l’Islam et la vertu ou la crainte révérencielle d’ALLAH d’un degré plus élevé que l’Imân et la certitude ou Yakîn est d’un échelon meilleur que l’Imân et rien de plus excellent que la certitude n’a été donnée aux fils d’Adam
  • L’Imân ou la foi se repose sur quatre piliers :
  1. - Se fier à Allah ;
  2. - se réjouir de la Volonté Divine (Prédestination ou le Destin) ;
  3. - se soumettre aux ordres d’Allah ;
  4. - confier toutes ses affaires à Allah.
  • Accomplir le devoir (les obligations) et s’abstenir de tout ce qui est interdit se nomment l’Imân ou la foi. L’Imân signifie : attester par la parole, connaître par le cœur et accomplir les actes par les membres de son corps.
  • Un jour, en parlant du Qurân, de sa preuve, de sa grandeur, du miracle de ses versets majestueux, l’Imam Raza A° déclara : le Qurân est une corde solide d’Allah, un câble incassable et robuste, une voie idéale de Dieu qui conduit vers le Paradis et préserve de l’Enfer, qui ne vieillit pas avec l’écoulement du temps, ses récitations répétées ne diminuent point sa valeur, parce qu’il n’est pas descendu comme révélation pour une époque déterminée, il est, par contre, destiné, avec preuves et arguments irréfutables, à toute personne, l’erreur ne peut circuler ni par l’avant ni par l’arrière, « il » est descendu comme révélation par Allah, Le Savant et L’Exalté.
  • « Que dites-vous à propos du Qurân ? » ai-je demandé à l’Imam Raza A°, raconte Rehan. « Il est La Parole d’Allah, ne franchissez jamais la limite de ses lois et ne recherchez pas la voie en dehors du Qurân, si non vous serez égarés, » me répondit l’Imam.

7°) L’Imamat constitue la Rêne de la Religion, le Code de vie des Musulmans, le bien-être du

monde, l’Honneur des Croyants, la Racine de l’Islam qui progresse et sa Branche très

élevée. L’admiration frappante de la Prière (le Salat), du Jeûne (le Sawm), du Zakât

(l’aumône rituelle), du Pèlerinage (le Hajj), de la Guerre Sainte (le Jihâd) repose sur

l’Imam. L’abondance du butin, l’aumône, l’assignation des ordres et sanctions, la protection

des frontières et des environs relève aussi de l’Imam.

8°) Intervenir dans les affaires d’un souverain despotique, lui rendre service, s’efforcer de

satisfaire ses volontés correspond à l’incroyance. Lui porter volontairement attention, fait

partie des Grands Péchés ou Gounahané Kabhira à cause duquel l’homme mérite l’Enfer.

9°) « Qu’Allah répande Sa Miséricorde sur celui qui fait revivre nos affaires! » (Déclara

l’Imam).

« Comment peut-on faire revivre vos affaires ? » demanda l’interlocuteur.

« En s’instruisant de notre science pour l’apprendre aux autres, » répondit Le Successeur du

Messager d’Allah.

10°) Tant que le Croyant ne possède pas ces trois vertus, il ne sera pas un véritable homme de

foi :

Tous ses actes doivent se porter sur la Sounnah d’Allah, la Sounnah du Saint Prophète et la

Sounnah de l’Imam.

- La Sounnah (ou Les Commandements) d’Allah consiste à observer le secret, selon la

déclaration divine qui affirme que : (Dieu) seul connaît l’invisible et n’en fait part à nul

autre sauf à Son Messager Bien–Aimé (Sourate Les Djinns, Versets 27/28).

- La Sounnah (ou La Pratique) du Saint Prophète réclame le bon comportement avec les

gens car Allah a demandé à Son Envoyé de se conduire de façon indulgente et généreuse

et d’ordonner ce qui convient (Sourate Al Aaraf, Verset 199).

- La Sounnah (ou La Pratique) de l’Imam exige la patience dans la misère et la souffrance

11°) Tant qu’un Musulman ne possède pas ces dix caractères, son esprit n’atteindra pas à la

perfection :

- les gens espèrent le bien de lui ;

- ils en sont préservés de son mal ;

- il considère énormes les maigres bienfaits des autres ;

- il donne peu de valeur à l’abondance de ses bienfaits ;

- il ne se plaint pas de l’afflux des nécessiteux vers lui ;

- il ne se lasse pas d’acquérir la science toute sa vie ;

- il préfère la misère à la richesse sur le chemin d’Allah ;

- le déshonneur recueilli sur la voie divine est meilleur à ses yeux que l’honneur acquis

sur la voie de l’ennemi d’Allah ;

- il admire la modestie à la célébrité ;

Ensuite, l’Imam A° confia :

« Quelle bonne vertu est le dixième caractère !

- de quoi s’agit-il ? interrogea l’interlocuteur.

- dès qu’il croise quelqu’un, il affirme que : cette personne est meilleure que moi dans la

bonté et la vertu, » répondit l’Imam.

12°) Est favorisé celui qui interrogea son âme et est en perdition celui qui s’en détourna ; n’est

pas inquiet celui qui craignit Dieu, est illuminé celui qui s’instruisit, est sage celui qui fut illuminé

et est savant celui qui devint sage.

13°) « Qui sont les meilleures gens parmi les créatures d’Allah ? » Demanda un individu à

l’Imam Raza (AS).

« Ceux qui se réjouissent d’accomplir le bien et qui implorent le pardon lorsqu’ils commis

un mal, qui remercient Allah quand ils reçoivent une faveur, qui se résignent lors d’un

malheur et qui pardonnent au moment de la fureur, » répondit l’Imam.

15°) L’infatuation ou l’estime de soi comporte plusieurs niveaux dont l’un consiste à ce que les mauvaises oeuvres d’un individu sont embellies de telle manière que celui-ci les considère correctes,qu’il en est satisfait et qu’il pense avoir fait d’excellents actes. Un autre niveau se rapporte à cequ’il tient sa foi comme une bienfaisance envers Dieu alors qu’en revanche, il lui est redevable de sa reconnaissance.

17°) Si on s’interrogeait : pourquoi le jeûne est-il rendu obligatoire ? la réponse serait : pour que les gens puissent sentir la rigueur de la faim et de la soif et comprendre la faim et la soif de l’autre monde, que celui qui jeûne ait la concentration spirituelle dans la sérénité contemplative, qu’il se tienne humble et pauvre devant Dieu et ait droit à la récompense, qu’il mérite les bienfaits et les récompenses pour avoir persévéré, en connaissance de cause, sur la faim et la soif, qu’il puisse, enoutre, dominer ses passions, qu’il prêche d’exemple, qu’il apprenne aux autres à surmonter les difficultés, qu’il soit un bon guide pour les affaires de l’au-delà, qu’il puisse (c’en est aussi une raison) éprouver les peines et misères des pauvres et démunis, afin qu’il fasse donc leur parvenir, en prélevant de sa fortune, les droits qu’Allah y a stipulés.

21°) Attention ! Eloignez-vous de l’avidité et de la jalousie, (car) tous ces deux (caractères) ont

fait périr les peuples antérieurs. Et attention aussi ! Evitez l’avarice car c’est une maladie

qui n’existe pas chez les Croyants et les gens distingués, elle est à l’antipode de la foi.

25°) L’avare ne connaît pas la tranquillité, le jaloux ne perçoit pas le goût de la vie, les souverains ne jouissent pas de la fidélité et les menteurs sont sans dignité.

28°) Ne tenez pas compagnie de celui qui boit de l’alcool et ne le saluez point.

31°) Maintenez les relations familiales avec les proches parents, même en n’offrant qu’une

gorgée d’eau ; et la meilleure des cordialités familiales consiste à en écarter le mal.

35°) Celui qui se repent de ses péchés est tel qu’il n’a commis aucun péché.

37°) La meilleure fortune est celle par laquelle on peut sauvegarder son honneur

l'imam hassan askari

Il est né à Médine en 232h. Il est connu sous le nom de 'Askarî, puisqu'il a passé sa vie de manière forcée dans la ville militaire de Samarra.

Son époque fut une période très sensible et ses relations avec ses adeptes ont été très limitées et elles s'effectuaient surtout par l'intermédiaire de ses représentants.

Imam Hasan 'Askari est né en 232h. à Médine et a vécu seulement 28 ans[1]. Sur le jour de sa naissance, il y a des divergences. Il est dit qu'il est né le 10, ou le 8, ou le 4 du mois de Rabi' al-thanî.

La date de sa mort est le 8 Rabi' al-awwal de l'an 260h. Ha

L'Imam Hâdi, le père de l'Imam Hasan al-'Askari, a vécu près de 21 ans à Samarra; c'est pourquoi ces deux Imams sont connus sous le nom de "'Askarî"; 'Askar étant l'ancien nom de Samarra. Ha

né à Médine le 7 Safar 128 de l’Hégire (10 novembre 745 du calendrier grégorien). Mort à Bagdad, en Irak, le 25 Rajab 183 de l’Hégire (4 septembre 799), à l’âge de 55 ans. La période de son Imamat fut de 35 ans.

L’Imam Musa Ibn Ja’far [fils de Ja’far] est né lors de la lutte entre les Omeyyades et les Abbasides. Il n’avait que quatre ans lorsqu’Abul Abbas « al-Saffah », « Le Sanguinaire », est parvenu au trône en tant que premier calife abbaside. Durant vingt ans, il fut sous l’autorité de son père, qui mourut dix ans avant la fin du long règne de Mansur.

L’Imamat du 7e Imam s’étendit sur les dix années restantes du califat de Mansur et inclut les dix années de règne de Mahdi, un an et quelques mois de celui de Hadi et environ douze ans du règne d’Haroun al-Rashid. Ainsi, pendant trente-cinq ans, il fut l’Imam. Il a tenu cette distinction convoitée pour la plus longue période d’Imamat des onze Imams.

Avec six frères et neuf sœurs, l’Imam Musa (as) a grandi dans une famille nombreuse. Ismaël, le frère aîné, est mort à un jeune âge, et Musa a été choisi par la Divine Providence pour succéder à son père en tant qu’Imam. Il y avait des gens parmi les adeptes du 6e Imam qui pensaient que l’Imamat devait être héréditaire, et que le fils aîné du 6e Imam devait donc lui succéder.

Ils ont mal compris le concept même d’Imamat qui n’était ni héréditaire ni obligatoire pour aucune personne. Il était divinement sélectionné et l’Imam sur son lit de mort révèle le nom de l’Imam suivant.

Les califes abbassides étaient toujours en alerte avec cette source distinctive d’Imamat, et notre 7e Imam était pleinement conscient de ce danger. Les califes étaient en alerte pour découvrir toute déloyauté réelle ou imaginaire de l’Imam ou de ses partisans et ils les emprisonnaient alors immédiatement.

Cette anxiété naturelle, cependant, ne semble pas avoir sérieusement perturbé sa vie d’Imam. Il a continué à diffuser les enseignements coraniques comme son père, l’Imam Ja’far al-Sadiq (as), dans les écoles islamiques ouvertes à Médine pendant la vie du 5e Imam.

-Le croyant est comparable à deux plateaux de balance équilibrés:Chaque fois que sa foi se consolide, son épreuve devient autant difficile.

-Le bon voisinage ne consiste pas seulement à ne pas déranger ses voisins mais surtout à les supporters lorsqu'ils vous dérangent.

-Le jour du Jugement, seront appelés ceux qui ont droit de la récompense auprès d'Allah, ce jour-là se lèveront seulement ceux qui auront pardonné et rétabli la concorde sans attendre d'autre récompense que celle d'Allah.

-Il n'est pas des nôtres celui qui délaisse sa religion au profit de la vie et n'est pas des nôtres celui qui délaisse sa vie au profit de sa religion. glob

Ali Khamenei est né en juillet 1939 à Mechhed en Iran. Il est aujourd'hui « Rahbar », c'est-à-dire Guide Suprême de la Révolution Islamique.Après des études de théologie et de philosophie islamique à Qom, Khamenei enseigne dans des établissements religieux de Mechhed. Il se rapproche de l'Ayatollah Khomeini dont il devient le protégé et confidentL'Ayatollah Khamenei est né en 1939 à Machad, au nord-est de l'Iran, la ville qui abrite la tombe de l’imam Réza, le huitième imam chiite. né dans une famille religieuse d'un père azéri (minorité turco-iranienne). Son père, Sayyid Javad Khamenei, est né à Najaf, la ville sainte d'Irak, et sa mère, Khadijeh Mirdamadi, est issue d'une famille religieuse. Second fils de huit enfants, parmi eux deux autres frères sont également clercs,.Le grand ancêtre de Khamenei était Sayyid Hossein Tafrechi, à la lignée remontant selon certains au quatrième imam chiite Ali Zeyn-ol-Abedin,et à donner à la famille une légitimité traditionnelle.


- Mise en place du parti dit République Islamique avec la coopération des combattants tels les martyrs Bahonar et Béheshti ou encore Hachemi Rafsandjani en avril 1978.

-Vice-ministre de la défense en 1979.

- Direction du Sepah (corps des Gardiens de la Révolution islamique) en 1979.

- Imam de la prière de vendredi de Téhéran à partir de 1979.- Représentant de l'Imam Khomeiny (que sa demeure soit au paradis) au conseil suprême de la défense en 1980.- Représentant de Téhéran au parlement (Madjlis islamique), la même année.Aucune image - Présence active sur le front durant les années de guerre, imposée par l'Irak à l'Iran, dès 1980.

- Attentat manqué contre la personne de l'Ayatollah Khamenei en juillet 1981, à la mosquée d'Abouzar à Téhéran.

- Président de la République, après l'assassinat de Mohammad-Ali Radjaï, second président après la révolution. En septembre 1981, l'Ayatollah Khamenei fut nommé président de la République Islamique d'Iran en remportant plus de seize millions des suffrages. Il est devenu le quatrième imam du prophète après la mort de son père. Il était le seul fils survivant de l'imam Hussein parce que ses trois frères avaient été tués dans l'incident de Karbala, tout comme leur père. -De 85 à 89, il a été réélu au même poste.- Président du conseil de la Révolution culturelle, en 1981.

- Président du conseil de discernement du bien et de l'ordre islamique en 1987.- Président du conseil correctionnel législatif, en 1989.

- Guide Suprême de la République Islamique d'Iran depuis juin 1989, après le décès du feu fondateur de la Révolution, l'Imam Khomeiny (que sa demeure soit au paradis).Il a commencé ses études religieuses sous la direction de Cheikh Hashem Qazwini et de l'Ayatollah Milani, puis s'est rendu à Najaf. Après que son père ait tenté de le renvoyer en Iran, il s'est installé à Qom. Il a suivi les cours de l'ayatollah Boroujerdi et de l'ayatollah Khomeiny.

Ali Khamenei est né dans la ville sainte de Mashhad le 15 juillet 1939 , dans une famille religieuse de père azéri (minorité turque et iranienne) . Son père Sayyid Javad Khamenei est né à Najaf la ville sainte d'Irak et sa mère Khadijeh Mirdamadi est issue d'une famille religieuse .Second fils de huit enfants, parmi eux deux autres frères sont également clercs,.Le grand ancêtre de Khamenei était Seyyed Hossein Tafreshi à la lignée remontant selon certains au quatrième imam chiite Ali Zeyn-ol-Abedin .

Seyyid Ali Hosseini Khamenei est le 3ème président (1981-1989) et le guide suprême (de 1989 à ce jour) de l'Iran. Il est l'associé le plus proche du fondateur de la République islamique d'Iran (IRI), l'Imam Ruhollah Khomeini. Il a reçu le titre d’ayatollah, ce qui vous permet d’apporter des modifications indépendantes à la loi islamique. Par conséquent, un homme d'État est souvent appelé simplement l'ayatollah Khamenei. Aujourd'hui, nous allons faire connaissance avec sa biographie et ses activités.


L'Imam as-Sadjdjad (Ali Ibn Hussein nommé Zayn al-Abidin et As-sadjdjad) était le fils du troisième Imam et de la princesse Shahrbânou, la fille du Roi d'Iran Yazdgard III. Il était le seul survivant des fils de l'Imam Hussein, car ses trois frères, Ali Akbar, âgé de vingt cinq ans, Dja'afar de cinq ans et Ali Asghar (ou Abdallah) qui était un nourrisson furent tués à Karbala.

L'Imam accompagnait son père dans ce voyage qui se termina si fatalement à Karbala; mais à cause d'une maladie grave et de son inaptitude à porter les armes, il fut empêché de participer à la guerre sainte et échappa au martyre. Il fut envoyé avec les femmes à Damas. Après une période d'emprisonnement, il fut renvoyé avec tous les honneurs à Médine, car Yazid voulait se concilier l'opinion publique. Mais une seconde fois, sur ordre du calife omeyyade, Abdal Malik, il fut enchaîné et envoyé de Médine à Damas, puis renvoyé de nouveau à Médine.

Après ce dernier retour à Médine, le quatrième Imam se retira complètement de la vie publique, ferma la porte de sa demeure aux étrangers et passa son temps en adoration. Il fut en relation seulement avec l'élite des chi'ites tels Abou Hamzah Themâli, Abou Khâlid Kâbouli et leurs semblables. Cette élite répandit parmi les chi'ites les sciences religieuses qu'elle apprit de l'Imam. De cette manière, le shiisme s'étendit considérablement pendant l'imamat du cinquième Imam. Parmi les oeuvres du quatrième Imam le livre nommé : " Sahifah Sadjdjadiyah " qui consiste en cinquante sept prières se rapportant aux plus sublimes sciences divines est connu comme " le psautier de la famille du Prophète." republic

APRES KARBALA L'Imam avait suivit son père dans le désert de Karbala, bien quêtant en âge de se battre, l'Imam Zayn al abidine tomba gravement malade et inapte à porter les armes contre l'armée des injustes. Il fut donc empêché de participer à la bataille et fut épargné du martyr par la volonté d'Allah. Epargné du martyr si l'on peut dire car Il fut envoyé avec sa tante Zayneb al Koubra et les autres femmes à Damas et exhibé de ville en ville comme preuve du triomphe de Yazid. Après une période d'emprisonnement, il fut renvoyé avec tous les honneurs à Médine, car Yazid, après avoir affirmé sa victoire contre al Hussein (as) criât au complot de ses subalternes voulant ainsi concilier le peuple qui réagissait (bien tard) vis-à-vis de ce qui s'était passé. (Il faut souligner que les gens de l'irak. avaient prêté allégeance à al Hussein (as) puis ne l'avait finalement pas soutenu, ce qu'ils se sont reprochés amèrement par la suite. Ce qui explique les débuts d'émeutes de ceux-ci, comme pour se racheter du pêché qu'ils avaient commis) Par la suite, sur ordre d'un autre Calife Omeyyade bien mal nommé Abdal Malik, il fut enchaîné tel un animal et expatrié de Médine vers Damas pour être finalement renvoyé plus tard vers Médine. Le Messager de Dieu (P) disait : « Al-Hassan et al-Hussein sont les deux maîtres des jeunes du Paradis. Celui qui les aime m’aime et celui qui les déteste me déteste » Les titres de l’Imam Sajjâd Les titres de l’Imam Sajjâd sont : Abu al-Hasan, Abu al-Husayn, Abû Muhammad, Abû Abd allah.

Ses attribues Ses attribues sont : Zayn al-‘Âbidîn, Sayed as-Sâjidîn, Sajjâd, Hâshimî, ‘Alawî, Madanî, Qurayshî, ‘Ali-Akbar. également Dul al-ththafinât, est une autre attribue de lui, liée au fait qu’il se prosternait beaucoup (dans ses prières). Précisons aussi qu’il était connu durant sa vie, sur les noms de ‘Ali al-Khayr, ‘Ali al-Asghar, ‘Ali al-‘Âbid (3).

Sa naissance et sa mort

La plupart des historiens sont d’accord sur la date de sa naissance qui était durant la 38ème année de l’hégire. Ainsi il était présent pendant une partie de la vie de l’Imam ‘Ali (a), ainsi qu’à l’époque de l’imamat de l’Imam Hasan (a) et celui de l’Imam Husayn (a). Il était également témoin des pressions de Muawiya sur les chiites irakiens. Précisons aussi que certains historiens considèrent son année de naissance, le 48ème année de l’hégire(4), mais cela ne semble pas être fiable d’après d’autres faits historiques attribués à son époque et ceux qui considèrent son âge 23 ans au moment de l’événement de Karbala

Il est devenu le quatrième imam du prophète après la mort de son père. Il était le seul fils survivant de l'imam Hussein parce que ses trois frères avaient été tués dans l'incident de Karbala, tout comme leur père.Imam a accompagné son père lors d'un voyage à Karbala, mais il a été empêché de se battre pour cause de maladie et incapable de porter des armes. Il a été envoyé à Damas avec des femmes après une période d'emprisonnement et envoyé à Médine avec tous les captifs parce que Yazid Réconcilier le public avec lui-même. .globe.

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Chiites et sunnites de A à Z », (consulté le )
  2. « Iran », (consulté le )
  3. « l'iran des safavides la naissance d'un état chiite XVIe-XVIIIe-siecles », (consulté le )
  4. Mohammad-Ali Amir-Moezzi, « Culture Société, Le chiisme : du mysticisme à la théologie politique », (consulté le )
  5. « poids et influence de la religion de chiite en iran », (consulté le )
  6. « Quand l'iran devint chiite. religion et pouvoir chez les safavides (16e-17e s.) », (consulté le )
  7. « Ce que le chiisme doit à la pensée iranienne », (consulté le )
  8. (en) « Islam: Shiism », (consulté le )
  9. « Chiites », (consulté le )
  10. Fârès Gillon, « quelles-sont-les-particularites-du-chiisme » (consulté le )