Utilisateur:Gesornot

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Utilisateur : Gesornot

Si la pression partielle du CO2 est donnée de l'ordre

de la pression atmosphérique sur Mars, soit 600 Pa (pascal)

Même Gesornot peut se tromper.

Sur Terre

La pression atmosphérique est de l'ordre de 1 bar [1,29 (kg) x 9,8 / (cm²) ].

En pascal ( newton / m²) cela fait de l'ordre de 100 000 Pa.

Alors 400 ppm de CO2 a une pression partielle

dans l'atmosphère terrestre de 40 Pa et non 400.

Effet de serre et Fondamentaux du dérèglement climatique[modifier | modifier le code]

Lorsqu'ensemble, nous recherchons la vérité et que nous n'insultons personne, - nous respectons forcément tout le monde, - nous défendons l'intérêt général et, ainsi, chacun des intérêts individuels bien compris.

Critique pure : raison du doute[modifier | modifier le code]

« Ce n'est pas parce-qu'un événement A est suivi d'un événement B qu'il y a un lien de cause à effet entre-eux », « ce lien peut être le produit de notre imagination »... Il suffit, par exemple, qu'un événement C soit la cause commune des 2 événements A et B séparément pour justifier notre prudence quant à certaines affirmations.

Vers 1780 cette mise en garde a été précisée de la façon suivante : « Seule une loi universelle [régulièrement vérifiée par le calcul à la manière de Copernic] transforme le rapport de simple succession en celui de cause à effet ».

Problème du protocole scientifique suivi pour accréditer les « gaz à effet de serre » (GES)[modifier | modifier le code]

Les relevés de températures effectués depuis 2 siècles, dans les airs, sur les mers et sur les continents, n'ont pas les qualités statistiques pour représenter, en réduction, les différents champs de mesures. Ainsi n'étant qu'un biais de la réalité, ils ne peuvent être utilisés pour établir des moyennes sur des périodes couvrant des centaines de millénaires. Certains scientifiques essaient de réduire cette erreur de méthode en multipliant le nombre de points de mesure depuis quelques décennies.

- La seule courbe de la température moyenne des basses couches de l'atmosphère tracée à partir de ces «moyennes» n'offre ainsi que l'illusion de la précision et de la rigueur scientifique.

- La courbe de la concentration moyenne du CO2 au cours du temps établie à partir d'une dizaine de carottes de glace en 2 régions particulières du globe repose sur de trop nombreuses hypothèses.

Conclusion[modifier | modifier le code]

- donc il n'y a pas de courbe fiable, - donc il n'y a pas de loi entre le forçage radiatif des «gaz à effet de serre» et leurs concentrations, - donc il ne peut y avoir de modèle mathématique.

Si dans les programmes universitaires, comme dans ceux des classes préparatoires, cette loi est inconnue, heureusement d'autres lois abordées dès le lycée sont universellement validées. A défaut d'un objectif et d'une méthode globale, (Si le problème s'avérait mal posé, il ne pourrait recevoir que de mauvaises solutions), voici une série de...

Questions préparatoires[modifier | modifier le code]

- Rigueur des arguments ?[modifier | modifier le code]

Question n°1[modifier | modifier le code]
    * Pourquoi le forçage radiatif additionnel annoncé du CO2 ≈ 1 W / m2, correspond-il à l'énergie 
    qui suffit pour élever la température de toute l'atmosphère de 1°C en 4 mois alors qu'il 
    peine à faire la même chose sur les seules basses couches de cette atmosphère 
    en un siècle ?
  
    CALCUL, sous votre contrôle
Forçage radiatif additionnel ou stockage énergétique additionnel de la Terre[modifier | modifier le code]
    (dû à l’accroissement du taux de concentration du CO2 «Gaz à Effet de Serre (GES)» au 20ème siècle)
  • Le forçage radiatif additionnel annoncé est de l'ordre de 1 Watt / mètre carré
  • Surface de la Terre (globe) = 510 x 10¹² m² (510 millions de km²)
  • Puissance radiative additionnelle terrestre de l'excédent de CO2 = 510 x 10¹² W
  • Energie radiative additionnelle (forçage) annuelle : 510 x 10¹² W x 24 (heures) x 365 (jours) ≈ 4 500 000 x10¹² Wh
                ≈ 4,5 x 10¹⁵ kWh  ①
Masse de l'air atmosphérique[modifier | modifier le code]
      La pression atmosphérique est environ celle produite par 1 kg d'air sur chaque centimètre carré.
      Il y a autant de kilogrammes d'air dans l'atmosphère que de  cm² de surface terrestre
  • Surface de la Terre = 510 x 10¹² m² = 5,1 x 10¹⁸ cm²
  • Masse de l'air atmosphérique ≈ 5,1 x 10¹⁸ kg
La chaleur spécifique de l'air est 0,28 Wh / kg / °C = 0,28 x 10-³ kWh / kg / °C[modifier | modifier le code]
      Il faut une puissance de 0,00028 kilowatt pendant une heure pour élever la température d'un kg 
      d'air de 1 degré centigrade (propriété physique). 
La capacité calorifique de tout l'air atmosphérique (pour 1°C)[modifier | modifier le code]
      C'est le produit de sa masse par sa chaleur spécifique : 5,1 x 10¹⁸ x 0,28 x 10-³  ≈ 
                  1,4 x 10¹⁵ kWh ➃
     Des résultats de  ① et ➃ nous déduisons que le forçage radiatif additionnel annoncé 
     de l'excédent de CO2 observé au 20ème siècle ne mettrait que 0,3 année -(4 mois seulement)-
     pour élever la température moyenne de toute l'atmosphère d'un degré centigrade. 
     (1,4 x 10¹⁵  /  4,5 x 10¹⁵  = 0,3 an).
     C'est en contradiction avec l'augmentation mesurée et calculée de 0,6 °C de la température 
      moyenne des seules basses couches de l'atmosphère sur tout un siècle.
     Il y a une impossibilité entre les résultats des calculs à partir des données annoncées 
     et la réalité observée. La différence est énorme de 1 à 300 fois (4 mois à un siècle)
     Où est l'erreur ?
Rappel de la question n°1[modifier | modifier le code]
    * Pourquoi le forçage radiatif additionnel annoncé du CO2 ≈ 1 W / m2, correspond-il à l'énergie 
     qui suffit pour élever la température de toute l'atmosphère de 1°C en 4 mois alors qu'il 
     peine à faire la même chose sur les seules basses couches de cette atmosphère 
     en un siècle ?

_______________________________________________________________________________________________________________________

Question n° 2[modifier | modifier le code]
      Pourquoi oublie-t-on que 15 ans de toute l'énergie consommée actuellement par l'humanité 
      suffisent pour élever la température de tout l'atmosphère de 1°C ?

_____Méthode

   Si nous estimons de façon quantitative l'impact de la consommation des énergies primaires sur 
   l'atmosphère, nous réduirons le nombre de jugements qualitatifs a priori qui conduisent à 
   discuter sans fin (: subjectivité contre subjectivité donc croyance contre croyance).

calcul - pour la 2ème question relative au DEREGLEMENT CLIMATIQUE – sous votre contrôle

Équivalence énergétique[modifier | modifier le code]

Une Tonne équivalent pétrole (Tep) <==> 11 666 kWh

Énergies primaires (non renouvelables) consommées annuellement dans le Monde[modifier | modifier le code]

≈ 9 000 MTep, source Agence Internationale de l’Énergie (AIE), soit 0,1 x 10¹⁵ kWh ① (9 000 x 106 x 11 666)

Capacité calorifique de l'air atmosphérique[modifier | modifier le code]
        1,4 x 10¹⁵ kWh ➃        (Voir le calcul effectué pour la question n°1).
Déduction[modifier | modifier le code]
     Des résultats de  ① et ➃ nous trouvons que les énergies primaires consommées annuellement 
     élèveraient la température moyenne de toute l'atmosphère d'un degré centigrade en 14 ans  
     (1,4 x 10¹⁵ / 0,1 x 10¹⁵ = 14 ans).


Commentaire et 1ère explication[modifier | modifier le code]

Compte tenu des pertes thermiques (d'énergie) vers l'espace, ce résultat est cohérent avec l'augmentation de 0,6°C des seules basses couches de l'atmosphère en 100 ans.

Les basses couches de l'atmosphère sont celles dans lesquelles se situent les stations de mesures météorologiques. Une épaisseur de 2 mètres contient la quasi totalité des thermomètres.

Compte tenu de la masse volumique de l'air au niveau du sol [1,3 gramme / litre (ou 1 000 cm3)] et du fait qu'une colonne d'air de 2 mètres de haut et de 1 cm2 de surface de base a un volume de 200 cm3, la masse de l'air de cette colonne est de 0,26 grammes [1,3 gramme x 0,2 litre]. L'air d'une colonne de même section pour toute l'atmosphère a une masse de ≈ 1000 grammes (Cf. pression atmosphérique). La masse des basses couches de l'atmosphère et celle de toute l'atmosphère sont donc dans un rapport de 0,26 / 1 000 soit 1/4 000ème. Pour chauffer, de 0,6°C, cette couche de 2 mètres d'épaisseur il ne faut donc que 0,0035 année [14 ans x 1/4 000ème], soit environ un jour de toute la consommation d'énergie primaire par l'humanité.

Ce sont alors le charbon, le gaz, le pétrole et l'énergie nucléaire - en chauffant toute l'atmosphère,- (- en la faisant passer par de nouveaux équilibres successifs, - en la chauffant, couche après couche, de proche en proche du niveau du sol à la stratosphère, jour après jour,) _ qui ont permis d'obtenir progressivement l'accroissement mesuré de 0,6 °C des températures moyennes au niveau du sol au 20ème siècle.

Toutes ces énergies fossiles et nucléaires [0,1 x 10¹⁵ kWh en tout] ne sont pas injectées dans l'atmosphère de façon uniforme. Ceci perturbe localement de nombreux équilibres (températures, pressions, degrés d'humidité...) et donc agit sur le climat. Les énergies fossiles et nucléaires perturbent le climat. __________________________________________________________________________________________________________________

    Ce forçage calorifique, cette énergie produite en majorité sur des fuseaux horaires de 
    l'hémisphère Nord converge, par la circulation atmosphérique, vers le pôle Nord qu'elle 
    échauffe et s'évacue vers l'espace avant d'atteindre le pôle Sud.
    

* Question n° 3

     Pourquoi le CO2 retrouvé en Antarctique n'y produit-il pas un effet aussi spectaculaire 
    que celui que certains voudraient lui imputer sur la banquise du pôle Nord ?

- Incohérence ?[modifier | modifier le code]

  * Question n° 4
    Pourquoi ne pas dire que l'énergie plaquée au sol par «l'effet de serre additionnel» 
    au-dessus du glacier du Groenland mettra 4 000 ans pour le fondre ?
  * Question n° 5
    Pourquoi «l'effet de serre additionnel» mondial aura-t-il besoin d'environ 300 ans 
    (1 200 x 10¹⁵ kWh / 4,5x10¹⁵ kWh) pour élever d'un degré la température de la machine 
     thermique «océans, terres et atmosphère, hors fonte des glaciers» ?
  * Question n° 6
    Pourquoi tout le CO2, qui a une capacité calorifique globale faible (1/20ème de celle 
    des nuages) et dérisoire (1/ 3 000ème de celle de l'atmosphère, dont l'air est un isolant),
    produirait-il un « effet de serre » si décisif ?

- Explication chiffrée ?[modifier | modifier le code]

   La puissance moyenne du rayonnement solaire qui arrive au sol, après avoir joué à cache cache 
   avec les nuages, est de l'ordre de 170 W / m².
  * Question n° 7
    Qui garantit que l'énergie solaire reçue chaque année au sol par la Terre est constante en 
    régime normal ? Sur 11 ans ? D'autres cycles ?
  * Question n° 8
    Qui peut décrypter les rôles respectifs du forçage radiatif additionnel annoncé des «GES» 
    ~ 1 W / m² 
    et de la variation « orbitale » de ~ 7 % de la puissance solaire au sol au cours de l'année :
     12 W /m²?

A Paris, sur 105 km², il est consommé l'équivalent du 1/4 de l'énergie reçue par ailleurs du soleil.

  * Question n° 9
    Des colonnes d'air chaud au-dessus de Paris comme sur d'autres villes sont-elles, à tour de rôle, 
    le battement d'aile du papillon parmi des millions d'autres, qui produit les tornades aux USA, 
    les tempêtes en Europe, les typhons en... Malaisie ?
  * Question n° 10
    Une colonne d'air chaud au-dessus de Grenoble fait-elle fondre la neige et les glaciers 
    avoisinants ?

- Comment la loi des GES existerait-elle ?[modifier | modifier le code]

  * Question n° 11
    Comment est mesurée la concentration du gaz carbonique (CO2 ) dans l'atmosphère ?... et où ?
  * Question n° 12
    Quel est le “mécanisme quantique” et quel est le calcul du forçage radiatif ?
  * Question n° 13
    Le réchauffement d'une molécule, d'un groupe de molécules, de CO2 par une flamme est-il de nature
    différente lorsque celui-ci est obtenu par des rayons InfraRouges (IR) ?
  * Question n° 14
    Quelle est la loi physique qui lie la concentration des « gaz à effet de serre » à la température ?
    Questions n° 15 et 16
    Accessoirement où peut-on trouver les formules et les calculs qui établissent que 
  * la vapeur d'eau, présente dans l'atmosphère pour 0,3 % ~3 000 parties par million, et le CO 2 pour 
   0,037 % ~ 370 ppm, participent respectivement pour 55 % et pour 25 %, à «l'effet de serre» (passage de 
   -18°C à plus de +15°C = + 33°C de la température moyenne annuelle des couches basses ? 
  * 100 ppm de CO2 de plus pourraient accroître la température de 1 à... 6 °C ?

- Comparaison scientifique ?[modifier | modifier le code]

L'atmosphère de Vénus, qui reçoit 2 fois plus d'énergie solaire, peut, à température égale, stocker ≈ 90 fois plus d'énergie que celle, 90 fois moins dense, de la Terre. C'est un édredon ≈ 90 fois plus isolant. La quantité de CO2 y est 200 000 fois plus importante que sur Terre, la vapeur d'eau 50 fois. Pourtant la température au sol n'est que 3,3 fois plus élevée (173+15) x 3,3 ≈ 173+450 °K (450 °C).

   * Question n° 17
     Pourquoi lorsque les molécules de «gaz à effet de serre» sont 200 000 fois plus nombreuses 
      ne sont-elles que 60 fois (3,3 ⁴/ 2) plus efficaces ?

- Anachronisme de fait ?[modifier | modifier le code]

Les périodes chaudes repérées dans les glaciers des pôles accompagneraient systématiquement les augmentations mesurées des concentrations de «gaz à effet de serre» (CO2) depuis 400 000 ans au moins (dixit des climatologues). Ceci tend à prouver que les «gaz à effet de serre» étaient produits dans les temps anciens par une cause naturelle antérieure au réchauffement, donc non du fait de l'homme. Or nous sommes dans une période interglaciaire (de réchauffement) qui a débuté il y a 10 000 ans.

     * Question n° 18
       Pourquoi cette cause n'opère-t-elle plus depuis 10 millénaires, en ne produisant plus de 
      «gaz à effet de serre» (du CO2 en particulier) cela pour la 1ère fois ?

- etc... autres questions[modifier | modifier le code]

   * Question n° 19
    Comment les cernes de croissance de quelques arbres donneraient-elles (au 1/10ème °C près)
    une valeur de la température moyenne des couches basses de l'atmosphère terrestre des années
    correspondantes ?
   * etc...

Gesornot (d) 3 juin 2011 à 10:03 (CEST)Gesornot (d) 22 août 2011 à 09:23 (CEST)


effet de serre : une TRES mauvaise dénomination du point de vue de la physique[modifier]

bonjour, Je tiens à rappeler: une serre en verre ne piège pas les Infra-Rouge lointain comme semblent le croire bon nombre de personnes. La partie de réchauffement dans une serre est dûe pour majorité à l'arrêt des pertes de chaleur par Convection et un peu par Conduction. Si vous n'êtes pas convaincu, lisez le fond de l'article sur "Greenhouses" dans l'article de Wilki anglais.

(Attention l'effet appelé "effet de serre" existe, je n'ai pas dit le contraire, je dis juste que sa dénomination n'est pas adaptée à l'effet !!!)


Cet article est suivi par le projet Écologie

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c'est l'ensemble des metamorphoses planétaires necessitant une intervention plus efficace