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Sainte-Bonite[modifier | modifier le code]

« Bonite était une bergère d'Alvier qui gardait son troupeau sur les rives de l'Allier. La fillette tomba un jour sur une troupe de soldats qui s'étaient embusqués dans les roseaux de la rivière pour surprendre Brioude et s'en emparer. Ils ne relâchèrent l'enfant qu'après lui avoir fait promettre de ne révéler à aucun “âme qui vive”, la présence de l'ennemi. Bonite vint à Brioude et s'écria sans regarder personne : Peïra, peïra, ieu te dise que lis Anglais sount vès la ribeira.. L'alarme fut donnée après réflexion et Brioude fut sauvée [1] »


Peu de sources

Présentation historique de la sorcellerie en Auvergne[modifier | modifier le code]

A voir manuscrits et ouvrages en magasin[modifier | modifier le code]

  • Ep 0010, Institutio sacra baptizandi, aliaque sacramenta qua simplex sacerdos conferre potest administrandi juxta ritum Ecclesiae Catedralis Claromontensis atq ; sancti Flori. Avec l'Instruction des Curez & Vicaires pour faire le Prosne...Et les Statuts de Monseigneur l'Illustrissime & Reverrendissime Cardinal de la Roche-foucault Evesque de Clairmont, 1608. Statuts synodaux du 21 octobre 1599

Contes et légendes liés à la sorcellerie en Auvergne[modifier | modifier le code]

  1. ROUCHON Ulysse, Contes et légendes de la Haute-Loire, Moulins, Crépin-Leblond, 1947, p.101

Château de La Chaux-Montgros[modifier | modifier le code]

Georges de Bussac, Le Château assassiné, extrait de la revue "Auvergne", n°117, 1946[modifier | modifier le code]

Inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis le 13 juillet 1926.

"Ce toit était encore il y a 15 ans, encore intact". Vers la fin du 18e, les propriétaires (De Tane ou De Viry) remplacèrent les toitures du 16e. En 1944 les troupes allemandes avaient élevé une toiture de fortune et ont tenté d'y mettre le feu sans succès.

Brique employée comme motif décoratif comme à St-Germain-en-Laye. Terrasses superposées au pied du château, descendaient vers un beau jardin à la française. Côté Nord : un beau portail Renaissance en pierre de taille. A la hauteur du premier étage était le pont-levis. Les parois de la cage d'escalier sont en extrêmement douces au toucher, faites de "comblanchien" ou marbre de Nonette. Sur toute la largeur du bâtiment côté Nord, se situe la grande salle qui selon la légende aurait été fondé le tribunal de commerce de Billom par la reine Catherine de Médicis.

Lucien Montmory, Près de Vic-le-Comte, le château de La Chaux-Montgros, ses seigneurs - son histoire, autoédition, 1978[modifier | modifier le code]

Le château culmine à 650 mètres d'altitude.

Localité que l'on rencontre dans les archives du 15e : Lachal Montgros et La Chalin-Montgros.

Une liève de 1650 mentionne un échange, daté du 24 décembre 1484, entre Bertrand de Latour, Comte d'Auvergne, et François de La Guesle (écuyer de la Cour du Comté) et Lauragais (bailli et gouverneur du Comté d'Auvergne qualifié de La Chalin Montgros en 1479). En 1526, Catherine de Médicis, nièce des Comtes de Latour, Comtes d'Auvergne, hérita des biens de la famille.

Construction commencée vers la fin du 15e, semble avoir été stoppée en 1500. En 1551, dans les archives de l'Evêché, il est fait mention d'une messe rendue de temps en temps par le vicaire de Sallèdes. Cela prouve qu'il y avait un oratoire, que le château devait être à peu près terminé.

Le 29 mars 1574, Catherine de Médicis signe des lettres permettant l'érection d'un baillage, de rendre la justice, sur les terres de la Chaux-Montgros, en faveur de Jean de la Guesle (procureur général au parlement de Paris). Ces lettres furent successivement confirmées par Charles IX en mai 1574 (enregistrées à la Cour des Comptes) ; Henri III le 18 novembre 1577 et Marguerite de Valois en octobre 1601.

Vers 1740, la seigneurie de La Chaux-Montgros fut acquise par la famille de Tanne, originaire d'Allemagne, dont un des descendant vint épouser une dame de Chadieu vers 1689. La famille acheta le château pour 42 000 livres.

Jean-Baptiste Fouilhoux, Fiefs et châteaux forts relevant de la comté d'Auvergne (capitale Vic-le-Comte), Clermont-Ferrand, impr. générale, 2, cours Sablon, 1926, p. 215-226[modifier | modifier le code]

https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5738526z/f219.item.r=lachaux%20montgros

Les premiers seigneurs furent les De La Guesle qui possédèrent la terre jusqu'en 1625, date à laquelle le château passa dans les mains de la famille de Châteauvieux de Vienne, par le mariage de Marie de La Guesle et de René de Châteauvieux de Vienne. Leur fille Marie-Françoise se maria avec le marquis puis duc Charles de La Vieuville (25 septembre 1649). Il semblerait que le château cessa d'être habité à ce moment-là.

Vers 1740 : la famille de Tane ou Tana achète le château (seigneurs de Monton, Corent, Les Martres, Chadieu). La famille est originaire d'Allemagne, possède des terres dans le Piémont et . Antoine, Comte de Tane, apparait pour la première fois dans les archives, comme "Seigneur de La Chaux-Montgros et de Sallèdes". Une lettre datée du 12 janvier 1786, écrite par M. du Sonnier à M. Redon, nous apprend les conditions d'achat du château par les de Tane et son démantèlement partiel :

un ou deux couverts des corps de logis et d'une charpente superbe, pour en faire des portes, fenêtres et parquets dans le corps de logis neuf de Chadieu. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5738526z/f223.item.r=lachaux%20montgros

5 mai 1762, Antoine de Tane et son fils vendent la terre de La Chaux-Montgros à Guillaume Matussièr de Sauxillanges (écuyer, seigneur de La Chaux-Montgros, de Sallèdes et le La Faye, conseiller du roi...). Mais la vente n'aura finalement pas d'effet, ayant été opposée par le fils du garant, Pons de Belestat.

Dès 1786, le château était de nouveau en vente. Jean-Baptise Artaud de Viry, receveur particulier des finances de Clermont, l'acheta. Le nom de Jean-Baptiste de Viry de la Chaux-Montgros est mentionné le 17 mars 1789 dans un procès-verbal de la noblesse de la sénéchaussée de Clermont.

Selon la légende, pendant la Terreur, les prêtres réfractaires armés avaient fait du château un haut lieu de réunion et de résistance.

1551 : fondation d'une vicairie par François de la Guesle, pour pouvoir célébrer des messes pour éviter de les donner dans l'église paroissiale de Sallèdes. Les procès-verbaux des visites pastorales du 25 juin 1665 et 5 mars 1672, confirment la présence d'une telle chapelle, ornée

Exemples requêtes wikidata[modifier | modifier le code]

Volcans de la chaîne des puys ayant un élément wikidata : https://w.wiki/5S9j

Géologues ou botanistes nés dans le PDD : https://w.wiki/5S9g

TEST à voir avec NV (12-07-22) : https://w.wiki/5SGN "Volcans du Massif central dont l'altitude n'est pas renseignée"

https://w.wiki/5Sd6