Utilisateur:EMA Project
EMA Project, (Explorer of Multidimensional Areas) est une start up fondée en 2011 et lancée en 2015. Elle est la première compagnie mondiale à proposer à ses clients des voyages interdimensionnels. À bord de capsules spécialement conçues pour cette expérience, les voyageurs peuvent découvrir de nouveaux mondes changeant totalement ou partiellement de notre propre monde.
La compagnie est américaine, mais son siège social est basé à Genève, en Suisse
Histoire[modifier | modifier le code]
Origines[modifier | modifier le code]
EMA Project a pour origine, le projet d’Edgar J. Fields, un scientifique passionné par les univers parallèles, né en 1923, qui à l’âge de 22 ans, décide de fonder ses études sur le voyage inter-dimensionnel. Peu à peu, il rassemble à sa cause de nombreux chercheurs et scientifiques. Il est alors repéré et engagé avec son équipe, par l’armée américaine, et plus particulièrement par Lockheed Corporation, un constructeur américain de l’aérospatial.
En effet, dans le contexte inquiétant de la Deuxième guerre mondiale, puis de la Guerre Froide, les États-Unis voient dans le voyage inter-dimensionnel le moyen de se protéger d’une possible catastrophe nucléaire.
Pour permettre aux recherches d’avancer en toute confidentialité, une grande base contenant l’équipement et les technologies nécessaires à l’équipe de scientifique est construite en 1945 dans l’état du Nevada, en plein désert et dans le plus grand secret.
Les premières recherches (1940-1946)[modifier | modifier le code]
Einstein a dit : “Dieu ne joue pas aux dés”. Partant du constat que rien n’arrive par hasard et que tout existe potentiellement, Edgar J. Fields démarre des recherches sur l’existence d’autres dimensions. En se basant sur le paradoxe de Schrödinger, il met en place des expériences et développe des principes fondamentaux pour ses recherches.
En 1943, le démarrage des expérimentations sur les fentes d’Young, résultant d’un phénomène de décohérence, lui permet de mettre en avant l’existence d’un pont interdimensionnel.
En 1946, il découvre avec son équipe de chercheurs les premiers tunnels de flux de particules magnétiques permettant d’envoyer de la matière dans une autre dimension.
Les avancées des découvertes militaires (1946-1989)[modifier | modifier le code]
Edgar J. Fields est capable d’envoyer de la matière, mais un problème majeur subsiste : il est impossible de faire voyager une matière organique sans qu’elle se désagrège lors du contact avec le tunnel.
Fort des derniers équipements technologiques et d’une équipe de scientifiques à la pointe, les avancées des recherches d’Edgar J. Fields sont fulgurantes, et en 1947, la solution est trouvée. En enveloppant la matière organique de carbonadium, matériau résistant à toute force magnétique, le phénomène de désagrégation est résolu.
De très nombreux tests sont alors effectués, impliquant l’envoi de capsules en carbodanium renfermant de la matière à différents niveaux de l’espace. Il en résulte que la stratosphère est l’endroit privilégié pour passer dans une autre dimension.
Grâce à ces découvertes et avancées technologiques, ils réussissent rapidement à envoyer plusieurs capsules, dans de nouvelles dimensions, notamment avec des animaux à bord. Pour l’anecdote, le premier d’entre eux a avoir réussi le voyage, une chatte du nom d’Emma, fut envoyé en 1957. C’est elle qui déterminera en partie par la suite le nom de l’actuelle agence.
Malheureusement, la création des tunnels de flux de particules et l’envoi de capsules dans la stratosphère demandent une quantité très importante de matériels et de moyens, ainsi qu’un temps conséquent, pour une durée de vie éphémère. De plus, le carbonadium, très rare et donc très coûteux, ne pouvait être obtenu qu’en très petite quantité.
Pour ces raisons, les recherches ont progressé assez lentement jusqu’aux années 90.
L’armée abandonne le projet (1989-1992)[modifier | modifier le code]
Compte-tenu de la fin de la Guerre froide, et considérant que les découvertes ne conduisent pas sur des résultats suffisamment concrets, l’armée décide d’arrêter le projet, et cesse de financer les recherches d’Edgar J. Fields.
Cela ne le démotive pas pour autant, et malgré la perte d’un grand nombre de moyens (tant financiers que matériels), l’équipe continue ses recherches. La nouvelle base s’implante en Suisse, à proximité de la ville de Genève. Edgar J. Fields décide de s’expatrier là-bas pour rejoindre sa femme et son fils qui y vivent depuis de nombreuses années.
Cependant, au vu de ce contexte difficile, les recherches restent assez stationnaires.
1992, la concrétisation[modifier | modifier le code]
En 1992, l’équipe de scientifiques fait une découverte qui va accélérer considérablement les recherches. Le docteur en mécanique quantique, Christopher Helpsen, trouve le paramètre permettant d’ouvrir les tunnels quasi instantanément. Le procédé exact est hautement confidentiel, mais on sait que cela concerne l’angle de la trajectoire et la vitesse de la capsule.
Cette même année, la chercheuse Marie Freemin découvre un alliage métallique amorphe, ayant l’apparence du verre, et les propriétés du carbonadium. Grâce à ce matériau, la construction d’une capsule interdimensionnelle beaucoup plus sécuritaire et pouvant transporter des êtres humains sans présenter aucun risque peut démarrer. C’est encore avec cet alliage que sont composées les capsules actuelles.
Mystère en lien[modifier | modifier le code]
La question des OVNIS[modifier | modifier le code]
Au démarrage des recherches scientifiques, de nombreuses capsules dites “de voyage interdimensionnel” sont envoyées dans l’espace de façon strictement confidentielle depuis la base militaire.
Cependant, le 26 juin 1957, Kenneth Arnold, pilote américain, raconte sur les ondes de KWRC (une radio de Pendleton, dans l'Oregon) l'observation qu'il a faite quarante-huit heures plus tôt alors qu'il volait dans son avion privé près du mont Rainier, dans l'État de Washington. Il rapporte avoir vu, sans pouvoir les identifier, neuf objets en forme de galets plats, très brillants et très rapides, volant en direction du Mont Adams depuis le Mont Rainier.
Ces “ovnis” étaient en réalité les capsules de recherches. Craignant pour la conservation du secret, Edgar J. Fields décide de réduire considérablement les expérimentations concrètes pour s’axer plus en profondeur sur l’aspect théorique de sa découverte afin de poursuivre les recherches sans prendre autant de risque. De nouvelles normes très strictes sont mises en places, et les envoies de capsules se font alors beaucoup plus rares et discrets.
La zone 51[modifier | modifier le code]
Cette base, tenue aux secrets militaires durant des décennies, est en fait celle qu’on appelait la zone 51 [1] , aussi appelée Dreamland, Watertown, The Ranch, Paradise Ranch, The Farm, The Box, Groom Lake, Neverland ou encore The Directorate for Development Plans Area. Jusqu’en 2015, cette zone était encore un réel mystère, faisant fantasmer des milliers de personnes à travers le monde.
Aujourd’hui nous pouvons donc affirmer que cet endroit a servi de refuge pour les études d’Edgar J. Fields et son équipe, et a donc accueilli de très nombreuses expériences dans la plus grande confidentialité.
Expérience Philadelphie[modifier | modifier le code]
On peut potentiellement faire le rapprochement de l’histoire d’EMA avec l’expérience Philadelphie [2]. Cette expérience, réalisée en 1943, avait pour but de rendre invisible et de téléporter dans une autre dimension le destroyer USS Eldridge. Cependant, l'expérience se serait mal déroulée. Certains membres d'équipage seraient devenus fous, invisibles ou partiellement fusionnés avec le bateau lors de la dématérialisation de ce dernier. Ces conséquences auraient convaincu la Marine d'abandonner le projet. Mais c’est ce projet qui a amené Edgar J. Fields à redoubler d’effort afin de trouver la solution au voyage interdimensionnel.
La naissance d'EMA Project[modifier | modifier le code]
À la mort de Edgar J. Fields en 2011, son fils, Alan R. Fields, récupère les droits du projet. Ayant grandi avec la même passion que son père, et l’ayant accompagné dans ces recherches durant les dernières années, il décide de reprendre le projet. Il monte l’agence EMA (Explorer of Multidimensional Areas) Project à Genève afin de démocratiser cette incroyable invention auprès de la population mondiale. En effet, EMA propose à ses clients d’expérimenter le voyage interdimensionel et ce dans la dimension de leur choix. Ainsi ils pourront comme ils le souhaitent découvrir un monde où la gravité serait inversé, où l’ère glaciaire n’aurait pas pris fin, où encore un monde ou Edison n’aurait pas inventé l’électricité par exemple.
C’est en 2015 que le véritable lancement du projet a lieu avec la mise en place d’un concours afin d’offrir la possibilité à quiconque de vivre l’expérience de son choix à bord d’une capsule EMA.