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ROBERT HUPKA[modifier | modifier le code]

Robert Hupka a vu toute sa vie transformée par deux rencontres

Robert Hupka et Arturo Toscanini[modifier | modifier le code]

D’origine viennoise, mais obligé de se réfugier aux États-Unis au moment de l’Anschluss, Robert Hupka a vécu à partir de la guerre à New-York.

Passionné de musique aussi bien que de photographie, et fasciné par la personnalité de Toscanini, il assiste aussi bien aux répétitions qu’aux concerts du maestro italien, et en réalise des photographies devenues célèbres, dont il tire en 1963, avec un texte de Samuel Antek, un livre intitulé “This was Toscanini”[1].

Robert Hupka et la Pietà de Michel-Ange[modifier | modifier le code]

Lorsqu’en 1964 la Pieta fut envoyée aux Etats-Unis pour l’Exposition Internationale de New-York, Robert Hupka fut chargé de composer le programme musical pour le pavillon du Vatican où elle était exposée, puis de réaliser une photo pour le disque souvenir.

Ainsi commençait ce qui allait devenir, durant deux années, une véritable “aventure d’âme” : “une fois lancé, écrit Robert Hupka, il ne me fut plus possible de m’arrêter, jusqu’au moment où le navire qui ramenait la statue en Italie eut disparu de ma vue”. “J’ai pris des milliers de photos en couleur et en noir et blanc, avec de grands et de petits appareils, avec des objectifs de 35 à 400 mm, en utilisant les lumières du pavillon ou mes propres projecteurs, la photographiant sous tous les angles à toutes les heures du jour et de la nuit. Cette expérience ne saurait être décrite par des mots, je me trouvais en présence du mystère de la vraie grandeur”[2].

Le livre[modifier | modifier le code]

Huit ans après que Robert Hupka ait pris ces photographies, le 21 mai 1972, jour de la Pentecôte, à Rome, un fou frappa la statue de quinze coups de marteau, dont certains, atteignant le visage de la Vierge Marie, détruisirent l’incomparable beauté créée par Michel-Ange.

La nouvelle stupéfia le monde entier, et lorsque Robert Hupka l’apprit à New-York, il sut qu’il ne pouvait garder pour lui ce trésor de beauté qu’il lui avait été donné de contempler dans des circonstances si exceptionnelles.

Ainsi publia-t-il en 1975 un livre[3] présentant cent cinquante de ses plus belles photographies.

Livre très précieux, puisque toutes les photographies en ont été prises avant l’attentat, et nous livrent donc la statue – même si celle-ci a été depuis remarquablement restaurée – dans une pureté originelle désormais irrémédiablement perdue.

Mais livre exceptionnel aussi car là où la vitre pare-balle, depuis l’attentat, empêche les visiteurs d’approcher le chef-d’œuvre de Michel-Ange, ne leur permettant de le voir que de loin et de face, Robert Hupka le leur restitue dans toute son incomparable splendeur, leur permet de se tenir au plus près du marbre, au plus près des visages de Jésus et de Marie, comme de découvrir la grandeur tragique du dos ou la douceur enveloppante du mouvement de la Vierge.

Et grâce à des concours de circonstances inattendus, que le photographe raconte dans son livre, se découvrent des perspectives totalement inédites, comme la saisissante vue de dessus, ou le visage du Christ comme « endormi » dans la caisse où on va réenvelopper la statue pour la ramener en Italie.

C’est ce même livre qui est aujourd’hui toujours réédité, à l’identique, par les Éditions Arstella[4].

En 1997, les Editions Arstella réalisent également un porte-folio présentant sur planches libres douze des plus belles de ces photographies de la Pietà, dont deux visages de la Vierge reproduits à la taille réelle de la statue[5].

L’exposition[modifier | modifier le code]

Le directeur du Canton Art Institut, dans l’Ohio (U.S.A.), Manuel Albacete, ayant eu entre les mains les photographies de Robert Hupka, en est profondément touché. Il décide de réaliser, en 1979, avec le concours de l’auteur, et à partir des négatifs originaux, une première exposition.

Grâce au concours amical du Canton Art Institut, les Editions Arstella organisent alors la venue en France de l’exposition.

Elles en tirent une nouvelle version, peu à peu profondément remodelée et développée, qui, faisant sortir de la nuit l’œuvre de Michel-Ange, lui donne une intensité émotionnelle extraordinaire.

L’exposition commence alors, en France et en Europe, dans les lieux et sous les parrainages les plus prestigieux, une tournée dont chaque étape connait un très grand retentissement[6].

Rome, en 2004, en a été l’une des plus marquantes, puisqu’elle y était présentée, en collaboration avec le Vatican, à cent mètres de l’original, dans la superbe salle dite “Braccio di Carlomagno” dessinée par Le Bernin, et qui est située sur la place Saint-Pierre elle-même, entre la basilique et la colonnade.

Et c’est bien là qu’a éclaté avec le plus d’évidence l’importance des photographies de Robert Hupka. L’Osservatore Romano exprimait en ces termes l’impression laissée sur le visiteur : « Le visiteur passe d’une photo à l’autre comme s’il se déplaçait « à l’intérieur » de l’œuvre. L’aspect dramatique et l’émotion suscitée par les photos sont ainsi exaltés et la sculpture, photographiée sous tous les angles, sous diverses lumières, et « fragmentée » en centaines de détails (les lèvres de la Vierge, le bras retombant du Christ, le pied portant les stigmates, le visage du Christ), semble soudainement contenir toute la gamme des sentiments humains, et fait revivre une présence impossible à percevoir lorsqu’on regarde la statue de face, telle qu’elle apparait au pèlerin dans la basilique Saint-Pierre. »[7]

Quant aux titres de la presse italienne, ils reprirent comme un véritable leitmotiv la même expression : « Una rivelazione !...Une révélation !» … :

-« Michel-Ange et l’autre Passion / La Pietà que vous n’avez jamais vue » (La Republica)

- « La Pietà jamais vue comme cela » (Il Messagero)

- « La Pietà révélée » (Famiglia Cristiana)

– « La Pietà de Michel-Ange : une révélation » (Voce di Popolo)

– « La Pietà di Michelangelo, chef-d’œuvre révélé » (La Vita Cattolica)

– « La Pietà jamais vue comme cela : d’en-haut / Un document exceptionnel pour l’histoire de l’art » (Dipiù)

Ou encore Reuters pour le Washington Post : « Photos of the Pietà - Better than the real thing ?  - Photos de la Pietà : mieux que la statue réelle ? »[8]

Robert Hupka et l’exposition[modifier | modifier le code]

Que ce soit à Czestochowa, Paris, Vienne ou Madrid, Robert Hupka venait spécialement participer à chacune des principales étapes de cette exposition à laquelle il tenait tant.

Lorsqu’il sut que l’exposition allait être présentée à l’intérieur même des sanctuaires de Notre-Dame de Lourdes[9], bien que gravement malade et devant subir une lourde opération, il préféra repousser son hospitalisation pour être présent au vernissage, le 24 mars 2001, prier une dernière fois la Vierge dans la grotte, et se plonger dans la piscine.

De retour à New-York, il subissait coup sur coup deux interventions, des suites desquelles il devait décéder peu après, le 3 juillet 2001.

Au même moment paraissait son dernier interview, publié dans le numéro de Lourdes Magazine consacré à l’exposition, et dans lequel il confiait à François Vayne : « Voyez-vous, j’ai quitté l’Autriche en 1938, pour fuir le nazisme. Mes parents, baptisés dans la foi chrétienne, étaient de race juive. Ils sont morts en camp de concentration. La détresse infinie que j’ai éprouvée à cette époque m’a probablement rapproché du Christ dans sa passion. J’ai sans doute reconnu dans la Pietà non pas l’illustration d’un drame passé, mais l’actualité de notre histoire personnelle et collective, souhaitant dès lors mettre mes dons au service de ce mystère de compassion et d’espérance »[10].

Bibliographie[modifier | modifier le code]

1°- Sur Robert Hupka et la Pietà de Michel-Ange

-         Edition :

-         - Michelangelo Pietà

           Photographed by Robert Hupka

           150 photographies et texte de Robert Hupka en 6 langues

           Éditions Arstella 2015 (7° édition)

           ISBN : 2.912687.01.2

           - Pietà di Michelangelo

           Fotografie di Robert Hupka

           Porte-folio de 12 photographies sur planches libres

           Avec 2 tracés du Nombre d’Or sur transparents et textes en 3 langues

           Éditions Arstella 2017 (3° édition)

           ISBN : 2.912687.00.4

- Le Figaro Hors-Série de mai 2010 – « Vatican -Trésors secrets des papes »

p.6 - 17 : « La prière de Michel-Ange »

2) – Sur l’exposition « Pietà de Michel-Ange », à partir des photographies de Robert Hupka

TÉLÉVISION

- France 2, Journal Télévisé de 13 h - Daniel Bilalian

           Dimanche de Pâques 30 mars 1997

- La 5°, Les Écrans du Savoir

           Mardi 18 février 1997

- Arte, Metropolis

           Samedi 22 février 1997

- France 3, Parole d’Expert – Valérie Expert

           Samedi 1° mars 1997

- Paris Première, J.T.S. – Jérôme Cassou

           Mercredi 26 mars 1997

- Canal +, Tout va bien – Jérôme Bonaldi / Alix de Saint-André

           17 novembre 1997

- RTL Belgique, Journal Télévisé

           24 septembre 2008

- Télé Bruxelles, Journal Télévisé

           24 septembre 2008

- RTBF, Journal Télévisé

           25 septembre 2008

- RTBF /Arte Belgique

           9 octobre 2008

RADIOS

- France Info, Quelle Époque Épique – Yolène de La Bigne

           Samedi 1° mars 1997

- Radio Notre-Dame, L’Invité de … Denise Dumolin

           Mardi 4 mars 1997

- Radio Courtoisie, Le Libre Journal – Philippe Lejeune

           Mardi 11 mars 1997

- France Inter, Carrefour des Religions – François Foucart

           Mercredi 16 mars1997

- RTL, Journal de 18 h – Jean-Marie Lefevre

           Mercredi 26 mars 1997

PRESSE

- Le Figaro-Magazine n°16324 du 8 Février 1998 - Couverture et p.40 - 50 - « La Pietà œuvre divine ».

- La Croix du 22 février 1997 - « La « Pietà » dans le détail jusqu’au vertige » – Nathalie Crom.

- L’homme nouveau du 2 février 1997 – « Michel-Ange : Pietà de marbre et de ferveur » - Hélène Esquier.

- Libération du 24 février 1997 - « Michel-Ange mitraillé » - Elisabeth Lebovici.

- Paris Notre-Dame du 27 février 1997, p.12 – « La Pietà explorée par l’objectif » - Christophe de Galzain.

- Le Parisien du 1° mars 1997 - « Le secret de Robert Hupka » - Elisabeth Santacreu.

- Le Journal du Dimanche du 9 mars – « Cent Pietà de Michel-Ange ».

- France Catholique N°2587 du 7 mars 1997 – Couverture et p.20 – 24 « La Pietà de Michel-Ange Un mystère de beauté » Ariane Grenon / Entretien avec Robert Hupka par Denis Lensel « Une dévorante aventure ».

- La Vie du 27 mars 1997, p.32 – 34 – « Dolcissima Pietà » - Agnès Cazenave.

- Le Monde du 29 mars 1997 - « Une nuit avec Michel-Ange ».

- L’École de l’Art n°17 d’avril-mai-juin 1997, p 2 - 4 -« Objectif Pietà – Une classe de CM2 découvre le chef-d’œuvre de Michel-Ange en compagnie du photographe Robert Hupka » - Cécile Abdesselam.

- Die Presse du 27 mars 1998, p.8 - « Mystik und Mythos ».

- Die Presse du 4 avril 1998, p.8 - « Die Pietà photographisch umarmt » - Von Susanne Kummer.

- Kleine Zeitung du 10 avril 1998, Couverture et p.4-5 - « Faszinierende Dokumente eines Seelenabenteuers » - Von Michael Tschida.

- Neue Zeit du 10 avril, p.11 - « Ehrenzeichen für Fotos der Pietà ».

- Blanco y Negro n°27 de février 2000 - Couverture et p.30-39 - « La Pietà divinas proporciones – Viaje a la intensa belleza de una obra maestra ».

- Epoca  du 13 février 2000, p.68 - 69 - « La Piedad de Miguel Ángel, Imàgenes de Robert Hupka » - M.I.H.

- El Mundo du 1° mars 2000 p.6 - « La exposición muestra la Piedad desde ángulos inéditos »(viene de pagina uno « La CAM expone 101 fotos del hombre que « salvó » a La Piedad de Miguel Angel ») - Rafael Jose Alvarez.

- ABC du 2 mars 2000 - « La capilla del Obispo disecciona en más de cien imágenes la Pietà de Miguel Angel » - Lucía Dorronsoro.

- La Razón du 2 mars 2000 - « Las mil y una caras de « La Piedad » - Laura Puentes.

- Ecclesia du 6 mars 2000, p 12 – « Una visión de la Piedad de Miguel Ángel desde ángulos ineditos » - Miguel de Santiago.

- Alfa Omega n°204 du 16 mars 2000, p.8 - « Hupka redescubre a La Piedad ».

- Lourdes Magazine n°103 – juin/juillet 2001, couverture et p.16 - 26 « L’œuvre de Marie, c’est le Christ ».

           > édité et diffusé en 5 langues : Français, Anglais, Italien, Espagnol, et Néerlandais.

- La Republica du 6 mars 2004 - « Michelangelo e l’altra Passione – La Pietà che non avete mai visto » - Orazio La Rocca.

- Il Messagero du 16 mars 2004, p 42. - « La Pietà mai vista così » - Danilo Maestosi.

- L’Osservatore Romano du vendredi 19 mars 2004, p.3 - « Un intimo colloquio con la « Pietà » di Michelangelo » – Maurizio Fontana.

- Avvenire du 19 mars 2004 - « Pietà », nelle foto il segreto di Michelangelo » - Gian Maria Vian.

- Vanity Fair n°13 du 25 mars 2004, p.20 -21 - « Vanity Porfolio » - « Siamo tutti spagnoli ».

- Famiglia Cristiana n°13 du 28 mars 2004, p 80- 81 - « La Pietà rivelata » - Alfredo Tradigo.

- Vita du 19 mars 2004 - « La Pietà che non è a portata d’uomo » - Luca Doninelli.

- Voce di Popolo du 28 mars 2004, p.17 - « La Pietà di Michelangelo : una rivelazione »

- La Vita Cattolica du 1° avril 2004 - « La Pietà di Michelangelo, capolavoro rivelato » - G. Reb.

- Vita du 4 avril 2004 - « La Pietà nascota di Hupka ».

- Gente n°17 du 22 avril 2004, p.102 – 105 - « La Pietà vista da vicino » - Philippe Daverio.

- Dipiù du 26 avril 2004, p.64 – 65 - « La Pietà mai vista così : dall’alto / Un documento eccezionale per la storia dell’arte ».

- L’Osservatore Romano du 26/27 avril 2004, p.13 - « Un’avventura dell’anima » - Giuseppe Costa.

- Foto cult de mai 2004, p.42 – 45 - « Michelangelo nell’obiettivo » - Francesco del Conte.

- L’Osservatore Romano / Hebdomadaire en langue française n°22 du 1° juin 2004 - « Une aventure de l’âme ».

- Città Nuova n°11 du 10 juin 2004, p.62 – 63 - « Ecco la Madre » - Giovanni Salandra.

- Reuters / Washingtonpost.com du 24 mars 2004 – « Photos of the Pietà - Better than the real thing ? » - Philipp Pullella.

> id, entre autres, sur

- Reuters / Know.now et Reuters / Yahoo !News/Asia du 25 mars 2004,

- Reuters / Mired News, Excite, Lycos du 26 mars 2004,

- Reuters/ Outlook du 12 avril 2004,

- Reuters / Malaya.com et Reuters / Sarawak Tribune des 9 et 12 avril 2004

- Reuters / Guardian Unlimited du 26 mars 2004 – « New side to Piet » - Philipp Pullella.

- Reuters / The Star du 26 mars 2004 – « The photos that reveal the full glory of the Pietà » - Philipp Pullella.

- Kathweb du 16 mars 2004 – « Robert Hupka’s berühmte Pieta’ – Bilder sind im Vatikan zu sehen ».

- Gazzetta del Sud du 19 mars 2004 – « La Pietà « sconosciuta » - Grazie alle foto la scultura appare come nessuno l’ha mai vista » - Nicoletta Castagni.

- Culturalwebb.it du 19 mars 2004 – « La Pietà come nessuno potrà più verderla » - Maurizio Pizzuto.

- Catholic.net du 19 mars 2004 – « Michelangelo’Pietà, as Rarely Seen ».

- Occhiaperti.net du 28 mars 2004 – « L’intensità ultraterrena nelle foto di Hupka / La Piet di Michelangelo vista da vicino ».

- èItalia de mai 2004 – « Robert Hupka / una rivelazione del capolavoro di Michelangelo ».

- L’Eventail n°17 de septembre 2008, p 44 – 52 - « La Pietà romaine de Michel-Ange telle que vous ne pourrez plus la voir » - José-Noël Doumont.

- Le Soir du 25 septembre 2008, p.35 - « L’amour total, en noir et blanc » - Dominique Legrand.

- Femmes d’aujourd’hui du 25 septembre 2008, p.44 - « La Pietà, beauté inaccessible ».

- Metro du 26 septembre 2010 p.16 - « Ode aan de piëta van Michelangelo in 120 foto’s ».

- Paris Match / Belgique du 2 octobre 2008, p 145 – 147 - « La Pietà, Le miracle et la perfection » - Frédéric Loore.

- TIJD du 17 octobre 2008, p.32 - « Een meesterwerk van dichtbij bekijken ».

- Touring Explorer du 1° novembre 2008, p.102 – 103 - « La Pieta di Michelangelo » - MarittaVan Casteren.

- De Huisarts du 13 novembre 2008, p.38 - « Meesterwerk onder de loep : de Piëta van Michelangelo » - Christophe Dosogne.

>>> Site internet : www.la-pieta.org

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. « This was Toscanini », The Vanguard Press, New York,‎
  2. « MICHELANGELO PIETÁ - Photographed by Robert Hupka », Crowm Publisher, New York,‎ , p. 85
  3. Cf. ci-dessus, note 2
  4. Éditions Arstella, Angers, 7° édition 2015
  5. Éditions Arstella, Angers, 1997, troisième édition 2017
  6. Parmi les principales étapes de ce voyage, outre les sanctuaires de Notre-Dame de Lourdes évoqués par ailleurs : Czestochowa, où elle avait été organisée à l’occasion de la venue du Saint-Père et des VIèmes Journées Mondiales de la Jeunesse; Paris, où le Haut-Patronage du Président de la République et le superbe numéro spécial que lui a consacré le Figaro-Magazine lui ont conféré un grand retentissement médiatique ; Vienne, ville natale de Robert Hupka, qui l’a fait Citoyen d’Honneur ; Madrid, où, exceptionnellement placée sous le Haut–Patronage de sa Majesté la Reine Sophie, et présentée dans l’ancienne chapelle de prière des Rois Catholiques spécialement rouverte pour l’occasion, elle a connu un immense succès populaire, ou encore Bruxelles, où dans le cadre prestigieux du Parc du Cinquentenaire et sous le Haut-Patronage de sa Majesté la Reine Paola et de Monsieur Hans-Gert Pöttering, Président du Parlement Européen, elle était pour la première fois organisée dans une structure conçue spécialement pour l’exposition.
  7. L’Osservatore Romano / Hebdomadaire en langue française n° 22 du 1er juin 2004, p.10
  8. « Michelangelo e l’altra Passione / La Pietà che non avete mai visto ».(La Republica), « La Pietà mai vista così » (Il Messagero), - « La Pietà rivelata » (Famiglia Cristiana), « La Pietà di Michelangelo : una rivelazione » (Voce di Popolo), « La Pietà di Michelangelo, capolavoro rivelato » (La Vita Cattolica), « La Pietà mai vista così : dall’alto / Un documento eccezionale per la storia dell’arte » (Dipiù)… (cf. références complètes dans les sources ci-dessus)
  9. Elle y sera présentée pendant plus de deux ans et demi, du 24 mars 2001 au 30 novembre 2003.
  10. Lourdes Magazine N.103 – Juin / Juillet 2001, p.4 et 5