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Utilisateur:Charlot001/Brouillon

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Le 30 janvier 1933, le NSPDAP arrive au pouvoir dans le cadre d'un gouvernement de coalition minoritaire avec des conservateurs catholiques (Franz von Papen) ou proches des milieux d'affaires (Hugenberg, président des aciéries Krupp). Le parti nazi a développé dès 1920 un programme révisionniste dans le sens de révision des traités de Versailles. En effet, il affirme ses volontés expansionnistes en défendant la nécessité pour l'Allemagne de disposer d'un espace vital, de disposer de colonies, qui lui avaient été enlevées au traité de paix[1]. Minoritaire dans les années 1920, le parti n'en développe pas moins un programme des plus précis en termes d'expansionnisme extérieur.



Sommaire [masquer] 1 une continuité par rapport à la politique étrangère de la politique de Weimar 1.1 Un Anschluss pratiquement achevé en 1933 : l'Autriche, victime (?) consentante 1.1.1 L'Anschluss de 1918 à 1933 1.2 une continuité dans l'extension économique en Europe centrale et balkanique: les rivalités avec la France et l'Italie 2 La mise en oeuvre d'un programme révisionniste dès 1933 2.1 L'anschluss, 1933-1936 2.2 le réarmement, pierre angulaire de la politique nazie 2.3 des audaces contrôlées: de la Sarre à la Rhénanie 3 1936-1938: de l'accord sur l'Autriche aux arbitrages de Vienne: un essor redoublé 3.1 1936-1938 : la gestion de la dernière phase de l'Anschluss 3.2 le démembrement de la première Tchécoslovaquie 3.2.1 Les Etapes 3.2.2 significations pour la suite des évenements 4 1939-1945: une diplomatie dans la guerre 4.1 La déclaration de guerre et ses premières conséquences 4.1.1 LE pacte du 23 aout 1939 : un accord de deux voleurs, le Reich et l'URSS, sur le dos d'un troisième, la Pologne 4.1.2 La défaite de la France: le triomphe nazi 4.1.2.1 La commission de Wiesbaden 4.1.2.2 une France lâchant ses derniers alliés européens 4.1.2.3 Premièrs échecs : de Dunkerque au Blitz 4.2 1941 (1): vers la guerre mondiale 4.2.1 complications balkaniques et africaines 4.2.2 Barbarossa et ses conséquences 4.2.3 la guerre avec les Etats-Unis 5 1942-1945: le Reich en guerre 5.1 une diplomatie de moins en moins présente dans le monde: un effacement des diplomates 5.2 des alliés de moins en moins sûrs 5.3 Le reich et les états fantoches 5.3.1 liste de ces états 6 le personnel diplomatique allemand: symbole de l'absence de rupture entre 1920 et 1940 6.1 Notes

une continuité par rapport à la politique étrangère de la politique de Weimar[modifier]

en cours

Un Anschluss pratiquement achevé en 1933 : l'Autriche, victime (?) consentante[modifier]

L'Anchluss de 1938 n'est en réalité que la gestion par le gouvernement de Hitler de la dernière phase d'un Anschluss dont les prodomes ont débuté l'encre des traités de 1919 à peine sèche.


L'Anschluss de 1918 à 1933[modifier]

Dès sa fondation, la République d'Autriche allemande (l'Autriche étant considérée, depuis le système de Bach, comme l'ensemble territorial sur lequel règne la famille de habsbourg[2]) connaît une fort mouvement rattachiste[3]: des plébiscite, sur le modèle de ceux prévus par le traité de Versailles, sont organisés dans les Länder autrichien, par les autorités et donnnent des résultats sans équivoque en faveur du rattachement du Land au Reich. Rattachement auquel s'opposent les Alliés, et contraire aux traités de paix.

En outre, en 1926, un accord d'unification de la politique étrangère est signé entre le Reich et la République d'Autriche[4]: il stipule une union étroite entre les deux pays: union politique, diplomatique et militaire[5]; en d'autres termes, quand Vienne parle, c'est que Berlin a parlé. Donc dés 1926, l'Autriche est politiquement complètement satellisée au Reich, avec la complicité active de ses dirigeants, Seipel, Peter et Ramek, respectivement chancelier, secrétaire aux affaires étrangères et président de la République d'Autriche ; les vieilles rivalités économiques austro-allemandes[6] ont empéché un Anschluss complet à cette période.


une continuité dans l'extension économique en Europe centrale et balkanique: les rivalités avec la France et l'Italie[modifier]

en cours

La mise en oeuvre d'un programme révisionniste dès 1933[modifier]
L'anschluss, 1933-1936[modifier]

En 1933, avec l'arrivée au pouvoir de Dollfuss en Autriche, se met en place le régime du Ständestaat, appuyé sur la Heimwehr et l'église catholique. Ce régime va survivre jusqu'en 1938, avec comme opposants à droite les nazis autrichiens et à sa gauche le parti social-démocrate; il n'en reste pas moins une dictature fasciste et cléricale[7], à l'efficacité très relative, comparé à ses homologues allemand et italien.

Dans le contexte autrichien de 1934, guere civile, instauration des corporations... Dolfuss est assassiné par un commando nazi, et une première tentative d'Anschluss échoue devant la détermination de Mussolini à défendre les intérêts économiques italiens en Autriche[8]. Cependant, dès 1935, cette opposition italienne cesse, en raison des crédits octroyés par l'Allemagne à l'Italie, en vue de la conquête de l'Ethiopie, puis pour le financement de l'intervention italienne au coté des nationalistes.



le réarmement, pierre angulaire de la politique nazie[modifier]

en cours

des audaces contrôlées: de la Sarre à la Rhénanie[modifier]

Selon les termes du traité de Versailles[9], La Sarre a été occupée par la France au titre des réparations, le temps pour la France de remettre en état ses charbonnages, sabotés par les Allemands durant leur retraite en 1918. Cette occupaton est destinée ♦à durer 15 années à compter du 1/1/1920[10]; à la fin de l'année 1934, la rétrocession en pleine souveraineté de la Sarre au Reich fait l'objet d'un intense propagande[11], pour présenter comme une victoire quelque chose d'automatique et de garanti par les traités internationaux. en cours

1936-1938: de l'accord sur l'Autriche aux arbitrages de Vienne: un essor redoublé[modifier]

en cours

1936-1938 : la gestion de la dernière phase de l'Anschluss[modifier]

l'accord du 11 juillet 1936, signé, une fois les hypothèques italiennes levées, entre Schuschnigg et Papen, qui resserre davantage encore les liens entre la République d'Autriche et le Reich sur certains aspects de la politique intérieure. A partir de ce moment, l'Autriche n'est plus un pays indépendant de fait, car il ne dispose plus des symboles de son indépendance, conservés en 1926[12]: par exemple, la nonciature ferme et devient un simple bureau. Seyss-Inquart entre au gouvernemnt pour participer au pilotage des derniers détails de l'intérieur. La comédie de février et mars 1938 n'est destinée qu'à forcer la main aux puissances occidentales et à accélerer la phase ultime, prévue pour l'automne[13]

le démembrement de la première Tchécoslovaquie[modifier]

en cours

Les Etapes[modifier]

en cours

significations pour la suite des évenements[modifier]

en cours

1939-1945: une diplomatie dans la guerre[modifier]

en cours

La déclaration de guerre et ses premières conséquences[modifier]

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LE pacte du 23 aout 1939 : un accord de deux voleurs, le Reich et l'URSS, sur le dos d'un troisième, la Pologne[modifier]

en cours

La défaite de la France: le triomphe nazi[modifier]

en cours

La commission de Wiesbaden[modifier]

en cours

une France lâchant ses derniers alliés européens[modifier]

en cours

Premièrs échecs : de Dunkerque au Blitz[modifier]

en cours

1941 (1): vers la guerre mondiale[modifier]

en cours

complications balkaniques et africaines[modifier]
Barbarossa et ses conséquences[modifier]
la guerre avec les Etats-Unis[modifier]
1942-1945: le Reich en guerre[modifier]

en cours

une diplomatie de moins en moins présente dans le monde: un effacement des diplomates[modifier]

en cours

des alliés de moins en moins sûrs[modifier]

en cours

Le reich et les états fantoches[modifier]

EN cours (toute la section)

liste de ces états[modifier]

Dès le démembrement de la Tchécoslovaquie, apparaissent les deux premiers de ces états:

le protectorat de Bohême-Moravie, que l'historiographie ne range pas dans cette catégorie, car, si les institutions tchécoslovaques perdurent, il est placé sous la tutelle directe d'un Reichsprotektot, ayant rang de ministre. la Slovaquie, dirigée par le Catholique Mgr Tiso En 1941, l'occupation militaire de la péninsul balkanique permet le démembrement de la Yougoslavie et la création de deux états:

l'état libre de Croatie, royaume dont le roi est un prince de la maison de Savoie et le Polgavnik est Ante Pavélic[14] la Serbie, soumise à un régime militaire collaborateur.

le personnel diplomatique allemand: symbole de l'absence de rupture entre 1920 et 1940[modifier]

en cours

Notes[modifier]

1.↑ Poidevin, L'Allemagne et le monde, Masson, 1983 (concerne la période 1871-1980) 2.↑ J. Ancel, Peuples et nations des Balkans 3.↑ A. Lacroix-Riz, le Vatican, l'Europe et le Reich, op.cit 4.↑ K.J. Siegfried, Klerikal Fascismus. Zur Entstehung und socialen funktion des Dolfusses Regimes in Österreiech: Ein Beitrag zur Fascismus diskussion, 1979 5.↑ A. Lacroix-Riz, le Vatican, l'Europe et le Reich, Colin 1996. 6.↑ P. Renouvin: histoire des relations internationales 7.↑ Klérikal fascismus, op.Cit. 8.↑ Renouvin, Histoire des relations internationales, op. cit (tout le paragraphe) 9.↑ Pierre Renouvin, le traité de Versailles. 10.↑ Pierre Renouvin, le traité de Versailles. 11.↑ Kershaw, l'opinion allemande sous le nazisme. 12.↑ Renouvin, Lacroix-Riz 13.↑ Siegfried, Klérikal Fascismus, et Renouvin 14.↑ Rivelli, le génocide occulté