Utilisateur:Ayurveda

Eric,

Tu vas être heureux, je t'accorde du temps, mais vite alors !

Depuis tant de temps, j'avais même oublié ton existence. Pourquoi tant de haine ? Je ne veux pas attiser des suppositions, je me tairai alors.

Mais subitement, tu reviens, comme si le fait que je sois en vie est trop pour toi : rassures-toi, la vie me passera, comme à d'autres.

Mais vraiment, es-tu malheureux à ce point que tu te couches dans la volonté de me nuire pour te réveiller noyé dans la même pensée ? Crois-tu que je vaille la peine d'occuper tes nuits et maintenant, je le sais, tes jours ? Qu'ai-je fait sinon de refuser ton harcellement, il y a si longtemps ? Oh pardon, tu me harcelles et ça te fait jouir.

Pourtant ta boite donne l'impression de bien marcher, jusqu'à présent, en tous les cas : je dois te l'avouer, hier, j'ai expliqué à plein de monde en Corrèze ta façon de faire (préfet, police, élus,...), tant elle est inquiétante pour la sécurité des miens. Je ne sais pas ce qui a pu provoquer ta volonté de fouiller, jour et nuit, dans ma vie pour en exhumer des fragments, sinon, une forme d'admiration, un sentiment d'infériorité, voir une violence à l'égard de mes proches ? Tu as déjà eu dans le passé de telles réactions, mais à 44 ans, je t'imaginais plus serein.

Tu dois cependant exulter que je t'écrive à cette heure tardive en réponse à ta médiocrité (j'ai cette franchise que tu ignores, mais je sais déjà que tu me répondras que tu es "zen", "cool" comme ton sosie, Patrick Juvet que tu admires au point de tout faire pour lui ressembler).

Ceci-dit, chacune de tes braves, courageuses, fiers, mâles * et anonymes attaques, dans leur jalousie, est une reconnaissance de mon travail et de ta médiocrité.

(j'ai passé 7 min 33 au chonono avec toi : pas mal, tu peux être content)

Merci Eric.

• Tu es mal baisé à ce point ?