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Biographie Esprit toujours en recherche, Jonathan Benichou s’imprègne tout au long de son parcours musical de l’héritage des écoles pianistiques françaises et russes dont il tire une synthèse personnelle, à l’image de ses origines, de cultures multiples. Il est invité par des Festivals renommés en France, tels que ceux de Radio France, Deauville, « Jeunes Virtuoses » à Antibes, Menton, Auvers-sur-Oise, « Révélations Talents » à Strasbourg, le Festival de Puteaux, Bagatelles Paris. Il est encore l’invité de salles et de lieux renommés comme l’Auditorium du Louvre, le Sénat, la salle Gaveau, le théâtre de l’Athénée Louis Jouvet, la Fondation Polignac, le Palais des Festivals à Cannes, l’Opéra de Nice, l’Arsenal de Metz, le Pin Galant à Mérignac. A l’étranger, il se produit sur les scènes d’Amérique du Nord et du Sud : le Carnegie Hall de New York, le Théâtre culturel de Sao Paulo au Brésil, la Bibliothèque Luis Angel de Bogota, le Théâtre Amira de la Rosa de Barranquilla, l’Auditorium Luis Calvo à Bucaramanga ainsi que l’Université de Medellin, ou encore la Quinta de San Pedro à Santa Marta en Colombie. Dans les pays d’Europe de l’Est, dans les salles de la Philharmonie de Iasi en Roumanie, la Philharmonie Smetana en Tchéquie, Théâtre de Gdansk en Pologne, ainsi qu’au Conservatoire de Saint-Pétersbourg, la Philharmonie de Vladivostok, la Philharmonie de Rostov-sur-le Don en Russie, la salle d’Orgue et la Philharmonie à Chisinau en Moldavie, la Philharmonie de Tiraspol en Transnistrie, le Musée littéraire de Odessa, la Philharmonie de Khmelnitski et Tcherkassy en Ukraine, en Biélorussie, Salle Rachmaninov à Moscou, qui tous, incarnent des lieux mythiques de la vie musicale. Attiré par la recherche de langages musicaux alternatifs, il compose plusieurs œuvres pour piano comme «Réminiscences» l’œuvre imposée pour le concours international Alain Marinaro qui est édité, Suite "Transmutation", La Princesse exilée, Imploration, Fantaisie, Valse oubliée, la Suite Alkimia et participe au spectacle mêlant calligraphie et danse dont il compose les interludes musicaux sur les 19 poèmes de Hannah Senesh et la bande originale de divers courts-métrages en collaboration avec des jeunes réalisateurs et ne cesse d’approfondir de nouvelles idées sonores dans le cadre de projets multidisciplinaires ou instrumentaux. En musique de chambre, il joue régulièrement avec de nombreux partenaires avec qui il entretient une complicité qui le mène à se produire dans de nombreuses formations. Il poursuit un partenariat avec Hélios Azoulay et l’Ensemble de musique incidentale et joue des œuvres écrites dans les camps de concentration en se produisant en France, Allemagne, Belgique. Jonathan Benichou participe à des émissions de radio et de télévision sur France Musique, RFI, Arte, Mezzo, Fr2, Fr3, ainsi qu’à l’étranger. Depuis toujours passionné par la musique de son temps, Jonathan Benichou crée le concerto Carpe Diem de Sacha Chmykov, des pièces pour piano de Marc-Olivier Dupin à l’Auditorium du Louvre, pour L’Eneide de Virgile en collaboration avec la Comédie-Française, le quatuor pour clarinette, cordes et piano ‘Court Studies’ de Thomas Ades, ou encore la sonate ‘Le Rêve du monde’ d’Olivier Greif pour laquelle il collabore à l’édition avec la maison Symétrie. Il est invité à se produire dans la «Fantaisie concertante» pour piano et orchestre de Thierry Escaich avec l’Orchestre Philharmonique de Rouen en présence du compositeur. Tout récemment il enregistre les Variations Goldberg de Jean Sébastien Bach édité par le label Calliope. Paru en 2003 sous le label Triton, son premier enregistrement offrant le Trio de Chostakovitch et le Trio d’Olivier Greif avec ses partenaires, le violoniste Yan Orawiec et violoncelliste Dimitri Maslennikov, reçoit 5 diapasons, ainsi que le « Coup de Cœur » du magazine Piano. En 2009 Jonathan Benichou consacre son premier CD en piano seul au compositeur Alexandre Scriabine, qui est également récompensé par 5 Diapasons et un « Coup de Cœur » de la FNAC. Parmi un vaste répertoire qu’il ne cesse d’explorer, Jonathan Benichou se consacre passionnément à l’œuvre de J.S. Bach qui le mène, comme Greif et Scriabine, sur des chemins d’une grande rigueur, et d’une absolue beauté musicale. Jonathan Benichou se fait remarquer et récompensé par les Festivals et les Concours internationaux, est par les prestigieuses Fondations de France, la Natexis Banque Populaire de Paris, Drouet Bourgeois, Gould (USA) et la Fondation de Rostropovitch. Né à Nice il débute le piano à 6 ans au Conservatoire à Rayonnement Régional de Nice et obtient un Premier Prix avec félicitations du jury mention Très Bien à l’âge de 12 ans dans la classe d’Odile Poisson. Très vite remarqué par ses dons exceptionnels, il donne des concerts dès l’âge de 10 ans, en soliste, ou avec orchestre. Il entre à 14 ans au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris, dans la classe de Jacques Rouvier et obtient un Premier Prix avec mention Très Bien, ainsi que le Diplôme de formation supérieure. Il poursuit ses études avec Rena Shereshevskaya et il part ensuite se perfectionner durant deux ans au Mannes Collège de New York, dans la classe de Pavlina Dokovska. Remarqué par Mstislav Rostropovitch Il est invité au Conservatoire Tchaïkovski de Moscou par sa Fondation, pour suivre les cours avec Vera Gornastaeva. Il se perfectionne encore avec Grigory Gruzman au Conservatoire Supérieur de Hambourg en Allemagne et à l’Ecole Cortot à Paris avec Rena Shereshevskaya. Parallèlement Il reçoit les conseils d’Aldo Ciccolini, Eteri Andjaparidze, Vladimir Feltsman, Misha Katz, Pnina Zaltsman, Dmitri Bachkirov, Nicolai Petrov, Mikhail Voskresensky.