Utilisateur:Ahmed mebarki

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Dar.elfene. Ahmedmebarki..... le trait comtenporain et le gattage......

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AHMED MEBARKI Est né en 1950 a touisset maroc

Il travail actuellement à la Maison de la Culture de Tlemcen dans un Club spécialement ouvert aux enfants. Il a organisé plusieurs expositions individuelles et collectives, et ce depuis le début de l’année 1985 au pays et à l’étranger. Il à obtenu à ce sujet plusieurs récompenses Nationales et Etrangères. retraite en 2011

Il a tous les regards et il n’a de regards que l’opportunité, il a tous les noms et il n’a de nom que sa passion; il a tous les pouvoirs et il n’a pouvoir que son corps; il a tous les horizons et il n’a d’horizon que son dessin.

Il est le protecteur du merveilleux, le contemporain du trait et le fils de la couleur simple. Peu de mots amènent sur son visage le sourire. Il à le sourire éternel, il est l’appréciateur du mets et du jus de sensibilités de ses toiles, de ses applications et ses coquetteries.

Il a le souvenir d’un regard intense qui cache les merveilleux rapports apparents et l’attenance des attitudes individuelles, et la vérité c’est qu’il s’agit de l’artiste Ahmed MEBARKI.

Dans la dernière production de cet artiste; il met à nu ses nouvelles recherches dans lesquelles il nous surprend par cette vue personnelle et éclatante de l’homme et de l’époque avec sa peine poétique et matérialiste, en plus de son changement à la matière utilisé préalablement dans ses oeuvres, car il sort avec de nouvelles possibilités et une utilisation poussée de la fumée et du feu, le cuivre étain y est spontanée et divers. Il s’apparente à l’intelligence puisqu’il y jaillit une énergie intérieure que nous n’y soupçonnâmes qu’auparavant.

Ces tâches qui représentent une bibliothèque de lumière et dans chaque lumière s’y trouve un livre complet par son volume ; ce sont les pages qui réunissent les représentations les plus vibrantes comme si elles se captivaient avec force et ainsi ces espaces sentimentaux qui se rapprochent doucement avec la véracité des choses réelles. Ambitionnant les règles de visions et de mécanismes et introduisant la voie du langage libre sur le sentiment global et diversifié; le résultat était officiel; composante cohérente, les traits harmonieux dans les couleurs et les formes survolant le langage des aspirations et des sentiment de cet artiste.

Dans ce contexte, il dit que dès le début, elles se traduisaient des choses perçues autour et exposées.

Ceci est un mélange des tableaux, de peinture d’huile et d’aquarelle (javel, grésil, café) qui se conforme avec la réalité d’une façon originale. En réalité, ses tableaux sont comme un théâtre où se transforme le tableau, les marques, les ombres et les rôles en un clin d’oeil.

La réalité du bonheur de l’issue aux contraintes des difficultés de la vie et ceci, est vu dans les catastrophes des stèles, du miroir, et de l’autre langue. On le trouve qui se métamorphose à la prévision de la réalité sociale et de la vie du peuple Algérien tout en restant toujours en relation avec l’ère ; avec les évolutions.

C’est pour cela que son style a eu une transformation continue tout cherchant une personnalité imaginaire dans l’art, les étapes de la souffrance des gens.

Toile d’Octobre et de la bataille pour accéder au monde de la femme où on y trouve le don et l’effort.

Une jeune fille au berceau et la femme d’hier; en plus de ça, il appelle du destin original et en profite pour peindre les traditions des Algériens dans leurs joies et leurs malheurs; dans leurs conseils et leurs marchés et ceci à travers une liste de couleurs représentant les coups du pinceau.

L’art de Ahmed MEBARKI se présente dans le jeu entre les apparences divisant les choses et il représente une cessation entre l’infini et l’esprit. Ahmed MEBARKI accepte les données du cerveau mais ces touches reviennent à sa forme originale et ça se voit dans les composantes de ses tableaux. Et leurs apparences sont connues mais en même temps se transforment et se distancient et vivent dans une voie lactée.

Ahmed MEBARKI possède une science personnelle dans l’espace, car il sait même mettre les points influents dans ses tableaux.

Les techniques utiles de l’artiste pour ses tableaux sont différentes comme : le cuivre, le fer, le bois, la pierre, le café, les produits chimiques, le grésil, le goudron, le safran, le bronze, la porphyre, le thé, les vêtements... Acquisition de ses oeuvres par le Musée National des beaux arts d’Alger — Musée Ahmed Zabana — Oran et Musée Nasreddine Dinet....museenational tlemcen



Collection Privée: France — Belgique — Maroc — Russie — Chine Populaire — Italie — Japon — Angleterre. Prix: 1er prix des arts plastiques — comité des fêtes ville de Tlemcen 1988. 2ème prix Affiche «ART» 1993 3ème prix Festival des rats plastiques — Souk Ahras — 1996.

Nombreuses expositions au pays et à. l’étranger.

            1er prix : Affiche environnement 99. 


sid ahmed bouali


NUANCES CONTRAIRES

Pour lui, l’art n’a pas de frontières au plan de l’expression. Comme l’artiste se déclare aussi chercheur en ce domaine, les formes adoptées par sa palette ne reflètent pas une esthétique définie, figée. Son œuvre est faite de tâtonnement, avec le vif besoin d’étonner….

L’artiste puisa dans la quotidienneté mille et un sujets qu’il enveloppe de visions techniques frappant notre curiosité, notamment avec ce relief. Composé de matériaux hétéroclites. Sous cet ange le visiteur est surprise de voir autant de techniques à la fois : figuratif, surréalisme, abstrait et jusqu’au fantastique.

Pour cette première exposition individuelle, Mebarki nous propose   d’un jet, tout ce qu’il le préoccupe en art. Dans l’ensemble de son exposition une dominante permet de se frayer un chemin dans la compréhension de l’œuvre picturale l’artiste est spontané notamment cette construction de peintures ou les personnages flottent dans l’espace , ou la manière de pantins désarticulés fiançailles ou encore fête rural illustrent parfaitement ce type de travail artistique ou les coloris colque dotés d’un bon éclairage ne se  complètent pas.

Formant une contradiction de palettes entre couleur chaudes et couleur froids , couleur amies et couleur ennemies tout ce la dans une même œuvre .

C’est tout cet esprit de dualité entre le contenu et le contenant a forme et le fond. Qui tout lattait de sa peinture. Deux œuvres semblent donner une meilleure mesure du talent de Mebarki (multitude humain et enterrement) ou il sort des sentiers battus pour aborder une conception plastique plus élaborée. Détaillée dans le graphisme surtout la première nommée qui lui indique clairement la voie artistique à suivre à approfondir.

Dans le tableau (chevaux en liberté) apparaît une  dernière technique celle du géométrisme.

Très primaire cette construction est composée d’éléments géométriques sur fond bleu. D’ou émerge en bouquet une cavalcade de chevaux voilà une œuvre que l’on sent situer à la limite de l’art..

Journal El Moujahid du27/02/1988

Propos recueillis  par M.BAGHDADI

« UN CRI QUI VIENT DE L’INTERIEUR »

L’artiste peintre Ahmed Meberki expose au théâtre  de Verdure d’Alger.IL dédie cette exposition à son ami Tahar Ouaman  qui est également  peintre.  

‘’A Tahar Ouaman, j’ai dédié la présente expo. Au silence par delà les années, au frère  et à l’artiste, lui qui connait votre blessure et le sommeil qu’il faut ‘’affiche-t-il à l’entrée de la salle d’exposition. En approchant profonde désarroi le ronge de l’intérieur, son ami  Ouaman  semble confirmer cette impression :’’IL y a un problème de justice vis-à—vis de l’artiste. 

Par ses œuvres, Ahmed MEBARKI -meilleur- il pour un meilleur statut de l’artiste en Algérie !

Cet autodidacte, né à Touiset au Maroc  en 1950, ne parle qu’avec parcimonie  de lui –même, et ne fait pas de grand discours sur la peinture.

Néanmoins, les cinquante deux travaux exposés (aquarelle et huile dont quelques compositions), semblent exprimer une grande révolte intérieure vu la violence des signes qui les composent.

D’ailleurs,  l’artiste légende ainsi  l’une de ses œuvres  des plus représentatives : ‘’les morts et les vivant : une peinture d’horreur n’est qu’une vision d’un esprit  qui n’est pas hors d’haleine mais d’un être vigilant, d’un savoir juste…..’’

La majeure partie de l’œuvre de Mebarki  est le fruit d’unt travail forcené appuyé sur des lectures, est un minimum d’attention est requis pour qu’en soit pénétré le sens saisies  les subtilités  et la grande beauté.

Car c’est là un amalgame de paysages mystérieux et d’éléments divers qui collent parfois avec violence au décor général.

Les œuvres traduisent une grande habilité à manier les couleurs ; elles ne portent  pas pour autant de litres précis et le visiteur est libre d’interpréter les signes tels qu’il les voit. Est c’est là ou réside la modernité :

‘’L’œuvre se veut ouverte et peut dés lors se prêter à de multiples interprétation ‘’

L’œuvre de Mebarki nous apprendre à voir autrement, tel que dans nos rêves ou dans mos cauchemars.

Il s’agit d’abord d’une symphonie, d’un chant de couleurs, parfois discordant, déchirent pour signifier les ruptures de la vie moderne .Sons amalgame de formes est de couleurs nous fait constamment hésiter ou  vaciller entre le rêve et la réalité.

N’est-ce pas assez pour dire que le a poésie y coule de source ? Et à nous qui avant soif de nous y abreuver.

Journal liberté du 7/01/1993

Propos recueillis par BENALLIA SALIM

ENTRETIENT AVEC L’ARTISTE AHMED MEBARKI

‘’Le dire des signes et des couleurs’’

Dès son enfance, Ahmed MEBARKI démontre déjà une passion pour l’art plastique.

quatrepersonnalités le découvrent tout en l’encourageant-à développer  son art. S’il s’agit   du Pr Sid Ahmed MAROUF, du peintre sculpteur batnéen  BELAKH  et de l’écrivain  Sid Ahmed BOUALI.benmalek ahmed

C’est de puis 1974 qu’il s’affirme en tant que tel en exposant partout individuellement et collectivement ; il compte, a ce jour, pré d’une centaine d’œuvres qui caractérisent sur une variété de thèmes, sa personnalité.  Propre, il exerce  aujourd’hui   en qualité d’animateur culturel chargé de l’activité arts plastiques au sein de la maison de la culture de Tlemcen.

Ses dernières expositions se sont tenues au palais de la culture Moufdi Zakaria  .Alger ,du 9 au 23 octobre 1995 et a la galerie Mohamed khedda ( El ……..du 30octobre au ‘’l’ordre meut’’ en ce qui me concerne, par l’assemblage calligraphique de la rabe  de tamazigh et du Français.  L.S. qu’est le propre de votre technique artistique ?

A.M : Ma technique artistique  et un procédé personnel qui consiste à brûler la première  couche de peinture et à refaire le tableau avec d’autres teintes. Ceci me permet d’obtenir des couleurs chaudes et originales qui apportent au thème choisi plus de dimension et de contenance.

L.S : votre art vous permet-il d’en vivre ?

A : Très peu, malheureusement. Car il n’y’a  pas de marché de l’art dans notre pays, mais deux à trois œuvre sont écoulées à chaque exposition par l’intermédiaire de l’UNAC dont je suis membre

LS :Un mot pour terminer

A.M : Je dédie ces deux exposition d’Alger  à Mohamed Dib et à Moufdi Zakaria  les rendent hommage à M’Hamed  Issiakhem à l’occasion du 10 anniversaire de sa mort fin décembre

Je dois ajouter toute ma reconnaissance a l’association Mohamed Dib de Tlemcen qui  m’a soutenu dans la réalisation  technique et organisationnelle de cette exposition.

Journal soir d’Algérie

Propos recueillis par Abdelkader Bendamâche.

AHMED  MEBARKI

Les couleurs amies

Ahmed Mebarki peint peut-être comme on écrit des lettres à soi-même.

Ahmed Méberki et Autodidacte, il ne parle qu’avec parcimonie de lui-même ente fait pas de grande discours sur la peinture. Animateur de la section des arts  plastique pour enfant à la maison de la culture de la Tlemcen, il a à son actif plusieurs expositions individuelles et collectives.

Ahmed Méberki peint, peut être, comme on écrit des lettre à soi-même, lorsqu’on devient son meilleur confident ‘’la solitude et ma seule famille’’ confie t-il.

Pour tout logis, il occupe une pièce à la maison de la culture avec un lit et une chaise comme seul mobilier Lui qui ‘’se sent proche de ceux qui souffrent ‘’revendique quelque part sa peinture comme un acte de solidarité  sans                  sarigue entre ‘’les couleurs amie (par exemple, le bleu, le blanc , le vert )et ‘’les couleurs ennemies’’(le rouge, le noir).Selon le regarde du moment ,il recompose ‘’ le cercle de ses amitiés ‘’.

Parfois de petits volumes, en bois ou on bronze, rehaussent certaines de ses toiles aux quelles ‘’un passage par le feu ‘’de les gérés traces de brulures semblent donnes comme un arrière –goût de cendres.

Il y a dans ses tableaux comme le brouillon d’un cri, en même temps larme contenue et bras ouvert ouverts.

Homme modeste jusqu’à l’effacement, Ahmed  Mébarki se  réapproprie, dans ses ouvres une présence que ‘’les couleurs amies ‘’ suggèrent accueillante.

Journal El Watan du 17/12/1991

Propos recueillis par Amine Bouali

L’ARTISTE PEINTRE MEBARKI AHMED EXPOSE AU MUSEE D’ART ET D’HISTOIRE DE TLEMCEN

TLEMCEN - Une exposition "Symphonie d'un chant de couleurs" de l'artiste peintre Mebarki Ahmed, se tient au musée d'art et d'histoire de la ville de Tlemcen jusqu'au 21 septembre courant.

Artiste contemporain, Mebarki du haut de ses 64 ans ne cesse d'innover dans les thèmes et les techniques qui ressortent clairement dans ses nouvelles œuvres présentées dans cette exposition, où se mêlent et s'entremêlent des couleurs douces et vives exprimant des "sentiments de paix et de violence dans un monde qui bouge".

Dans la simplicité de ses toiles, des expressions profondes se dégagent et reflètent les sentiments humains de la paix, de l'amour et du défi qu'il relève par l'utilisation de symboles signifiants le feu et la fumée et le cuivre étain.

L'artiste tente, à travers la trentaine de toiles exposées, fruit de longues années de labeur et des sculptures qui mélangent l'acier au bois, de montrer aux visiteurs des notions de l'art

Contemporain et de l'abstrait qui le distinguent de nombreux artistes et font de véritables œuvres artistiques très appréciées par les connaisseurs et par les amoureux de l'art en général.

Actuellement retraité du secteur de la culture, Mebarki expose depuis les années 80 en Algérie et également à l'étranger.

Sa longue expérience lui a valu de nombreuses distinctions dont le premier prix des arts plastiques à Tlemcen en 1988 le second prix de l'affiche d'art en 1993, le troisième prix du festival des arts plastiques de Souk Ahras en 1966 et le premier prix de l'affiche de l'environnement en 1999.

Ayant encadre des années durant un atelier de dessin pour enfants, cet artiste a consacré son parcours artistique à la production et à la formation de plusieurs générations d'artistes. De par sa générosité, il est très apprécié dans le monde artistique tant local que national.

Sa détermination et sa volonté de poursuivre ses recherches artistiques et techniques font de lui et de ses récentes œuvres un artiste créateur qui donne beaucoup à l'art plastique algérien.

                                      Propos recueilli par Mettalsi Abdelkrim



Un chant des couleurs

Ahmed MEBARKI, travaillant la gouache et la peinture, paraît y rechercher - et réussit dans une certaine mesure - un équilibre dans une floraison de formes, alliant la figuration en raccourci à la profusion de sens propre à la pure abstraction.

Venant d'un homme modeste jusqu'à l'effacement, son œuvre appuyée sur beaucoup de persévérance, nourrie de toute l'expérience concrète d’un autodidacte passionné, est à son image : discrète comme lui. Elle est aussi en pleine évolution, il est le premier à le reconnaître. Si elle continue d'exiger de lui de constants efforts d’application, de travail orienté à partir de lectures et de réflexions, elle parait en droit d’attendre, de l'amateur, un minimum d'attention. A ce prix peuvent en être pénétrer la signification, saisies les subtilités et dans l’ensemble la beauté, parfois l’horreur ou le tragique.

Il ne se prive dès lors d'aucun atout qu'il peut y trouver. Néanmoins tout l'art classique, et pas seulement la peinture de chevalet,  semble avoir épuisé tous ses thèmes, ses moyens d'expression. Il remonte aussi à une époque qui n'est pas la nôtre. On ne pourrait refaire Botticelli, Rubens, non plus qu'on ne le saurait pour Mohammed Racim ou Issiakhem. Il n'y a d'ailleurs à cela pas la moindre utilité. Chaque grand artiste est unique en son genre :  il suffit d'un seul pour enrichir l'humanité.

Pour tout nouvel artiste, il n'est d'autre choix possible que d'être soi-même en l'étant pleinement; d'appartenir sans réserve à une terre, à un ciel, à un type d'homme; de se laisser imprégner par eux, inonder par une qualité de lumière; de garder au fond du cœur et des yeux leurs couleurs spécifiques, de manière à pouvoir en restituer le reflet dédoublé, l'âme, la quintessence.

Le signe, le symbole, l'abstraction simplifiée et encore déchiffrable sont, de toute évidence, dans nos antiques traditions, les mieux ancrées. Parmi tant d'œuvres picturales en pleine éclosion dans notre pays, celle de MEBARKI se démarque par une heureuse alliance entre deux genres d’expression. Symbiose préméditée et patiemment élaborée,  elle ne se refuse, pour éviter de s'appauvrir, ni la densité du signe abstrait ni une ébauche de figuration pour ce que celle-ci offre de signifiant plus accessible.

Sa modernité réside dans ce qu'elle se veuille ouverte et puisse se prêter à de nombreuses interprétations, fussent-elles contradictoires. Quoi qu'il en soit, ne l'oublions pas, l'œuvre d'art trouve sa raison d'être dans la communication, la transmission à l'autre d'un message, d'une sensibilité, d'un état d'âme. La richesse d'une oeuvre se mesure à sa charge polysémique. Au fait que le plus grand nombre puisse se reconnaître en elle. Et cela s'il est vrai — ce dont nous n'avons pas à douter -— que la beauté comme le tragique, d’essence indicible, tiennent aussi bien dans le regard qui voit que dans la chose vue.

Des gouaches, des tableaux de MEBARKI,  se dégage une impression d'irréalité nocturne. Des objets connus, des êtres vivant souffrants, y sont décelables pour un œil exercé ou un regard qui s'attarde. Qu'un seul élément, pour étrange qu'il soit, puisse y être identifié, tout un monde vient se construire autour et, perdant son aspect chaotique et agressif, est rendu à notre familiarité.

Le réalisme dans le domaine de l'art se trouve récusé de nos jours. Le monde et la vie se sont révélés plus complexes qu'on ne l'a cru. La perception du réel dépend en définitive des intermittences de notre lucidité, des hauts et des bas de notre niveau de conscience, jamais égal à lui-même. La plupart du temps, ou nous ne voulons pas, ou nous ne pouvons pas, ou nous ne savons pas voir, ce qui s'appelle voir.

Pour nous y aider, il y a des œuvres d'artistes-peintres. Celle de MEBARKI pourrait être du nombre. Elle nous apprend à voir autrement. Tel que dans nos rêves agités ou nos cauchemars émergeant de nombreuses couches de ténèbres. D’abord un chant des couleurs inouï. Vassili Kandinsky, en libérant la peinture de l'objet, des contraintes de la figuration, ne lui assignait pas d'autre but à l'avenir.

Primauté de la couleur. Que son chant s'élève dans le silence de plomb qui nous entoure, en dépit de tous les gémissements de jungle et les piaillements de basse-cour. Discordant, parfois déchirant, il signifiera les ruptures de la vie moderne. Pareil amalgame de formes monstrueuses, de couleurs agressives, effervescentes, nous fait vaciller entre l'inconscience et l'état de veille. Une poésie de volcan en pleine éruption y coule de source, pour ainsi dire. Torrentueuse, elle avance vers nous. Pour en avoir pris quelques gorgées, nous avons trouvé le breuvage brûlant et corrosif. Attention d'en approcher sans vous protéger de votre scaphandre d'amiante.

Les techniques utiles de l'artiste pour ses tableaux sont différentes comme : le cuivre, le fer, le bois, la pierre, le café, les produits chimiques, le grésil, le goudron, le safran, le bronze, la porphyre, le thé, les vêtements... Acquisition de ses oeuvres par le Musée National des beaux arts d'Alger — Musée Ahmed Zabana — Oran et Musée Nasreddine Dinet.

Collection Privée:

France – Belgique – Maroc – Russie – Chine Populaire – Italie – Japon – Angleterre – Pologne – Roumanie – Tunis – Lybie – Charika – Etats-Unis.

Œuvres acquises par :

·       Le musée des beaux arts – Alger

·       Le musée national Ahmed Zabana – Oran

·       Le musée Nasr Eddine Dinet – Bousaada

·       Le musée d’art et d’histoire – Tlemcen

Prix:

§  1er prix des arts plastiques - comité des fêtes ville de Tlemcen 1988.

§  2ème prix Affiche «ART» 1993

§  3ème prix Festival des arts plastiques - Souk Ahras - 1996.

§  1er prix : Affiche environnement 99.

§  2ème prix Maghnia – Tlemcen 1985 – 1986

§  3ème prix Journée Bechar des arts plastiques 2007 – 2008

§  Wissam Oujda – Maroc, 1989.    

§                                                                   Sid ahmed bouali

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