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Utilisateur:Agence R.I.M.C./Brouillon

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PDG : Christophe Darras, Parcours : Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne 2013 - 2014, Capacité en Droit 1ere et 2e Année N° Etudiant : 11339473 Centre Audiovisuel d'Etudes Juridiques des Universités de Paris (CAVEJ). 2e régiment de hussards Sergent · Sourdun · 1996 - 2001 Brigade de renseignement, Site Officiel : http://www.agencerimc.com

Agence R.I.M.C.

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L'agence R.I.M.C., est une Agence de Renseignement, d'Investigation Militaire et Civil, créée le 7 Novembre 2013, régie par la loi du 1er Juillet 1901 et le décret du 16 Août 1901. Fondée par Christophe Darras dans le cadre de la lutte contre les fausses accusations, la délation, l'affabulation, la diffamation, les dénonciations calomnieuses et les différentes formes de délits. Les agents de renseignement et d'investigation peuvent intervenir soit en tenue civile, soit en tenue d'intervention selon les missions qu'ils peuvent mener. Chaque année 80 % de familles se retrouvent confrontées au placement abusif de leurs enfants sans danger ni maltraitance, juste sur des risques potentiels ou suspicions. Déclenchés sur de simples dénonciations calomnieuses de l'Article 226-10 du code pénal, de faux rapports rédigés par des assistantes sociale et médico-sociale qui ne sont pas enregistrées à L'adeli comme l'exige l'Article 222 et 223 du code de la Famille et de l'aide social, arrêté du 22 juillet 1982, qui se permettent de violer l'article 26, l'article 18, l'article 12 des droits de l'homme ensuite se permettent de violer l'article 10 de la déclaration universelle des droits de l'homme et qui fabriquent des faux documents de l'article 441-1 du code pénal . Ce climat hostile a généré ces dernières années un doute sur les réels motivations du service de la protection de l’enfance. Cela met en danger tous ces enfants en pertes de repères et met inutilement en souffrance des familles, cela coûte chaque année des milliards, comme nous le fait remarquer la cour des comptes. Seul a peine 20% des placements effectués sont avérés, sont réellement des cas de maltraitance, mais on maintient malgré tout, les autres enfants placés souvent dans des conditions psychologiques déplorables, qui sont apparentés a de la maltraitance « institutionnelle ».