Voir la source de Réseau du Clot d'Aspres

[[Fichier:Coupe compléte en couleur.jpg deniére mouture3'.pdnDEFINITIF.jpg|vignette|upright=2.2|alt=Schéma en coupe d'un sous-sol.|Coupe nord-sud du réseau du Clot d'Aspres.]]

Le '''réseau du Clot d'Aspres''' est un ensemble de conduits souterrains situés majoritairement sous le vallon du Clot d'Aspres qui appartient à la [[Commune (France)|commune]] de [[Villard-de-Lans]] dans le Nord du [[Massif du Vercors|Vercors]], en [[Isère (département)|Isère]]. Ce vaste réseau [[karstique]] se compose de {{unité|42|kilomètres}} de galeries s'étageant sur {{unité|1066|mètres}} de dénivelé, entre le point le plus haut (amont de la grotte de l'Oréade {{unité|+74|m}}) et le point le plus bas ([[Siphon (spéléologie)|siphon]] du [[scialet]] des Nuits-Blanches plongé jusqu'à {{unité|-34|m}}).

Le réseau du Clot d'Aspres est ainsi le second « moins mille » du massif du Vercors. Les eaux du collecteur rencontrées au contact des [[Marne (géologie)|marnes]] [[hauterivien]]nes ressortent à l'[[exsurgence]] de Goule-Blanche<ref>{{Article|auteur=Robert Jean|auteur institutionnel=Fédération française de spéléologie|titre=Inventaire des plongées effectuées dans les siphons du vercors|périodique=Scialet : bulletin du CDS de l'Isère|lieu=Grenoble|éditeur=Comité départemental de spéléologie de l'Isère|numéro=2|année=1973|pages=41-53|issn=0336-0326|lire en ligne=http://cds38.org/wp/wp-content/uploads/1973/06/scialet02.pdf|consulté le=24 septembre 2020}}.</ref> dans les [[gorges de la Bourne]] à {{Unité|832|mètres}} d'altitude<ref name="Maurice Chazalet"/>.

== Géologie ==

Le réseau se développe uniquement dans les [[calcaire]]s [[urgonien]]s. Les [[marne (géologie)|marnes]] [[hauterivien]]nes sont atteintes au niveau du collecteur. On note la présence d'importantes galeries horizontales à un niveau intermédiaire de l'Urgonien.

[[Fichier:Version sud 2 modifié.jpg|centre|vignette|upright=3.0|alt=Photographie de crêtes et d'un vallon aride.|Le vallon du Clot d'Aspres vu du sud.]]

L'hypothèse est que les puits et le collecteur basal ont été creusés dès le [[Quaternaire]] ancien, (entre {{unité|750000|ans}} et [[MMe millénaire av. J.-C.|{{Unité|1.8|million}} d'années]]) ; les réseaux souterrains préexistants ont ensuite été décapités par le glacier local descendant dans le vallon de la Fauge<ref>{{Article|auteur1=Jean-Jacques Delannoy|auteur institutionnel=Association française de karstologie|titre=Le Vercors : un massif de la moyenne montagne alpine|périodique=Karstologia : revue de karstologie et de spéléologie physique de la Fédération française de spéléologie et de l'Association française de karstologie|lieu=Paris|éditeur=[[Fédération française de spéléologie]]|numéro=1|date={{1er|semestre}} 1984|pages=38|issn=0751-7688|lire en ligne=http://www.persee.fr/doc/karst_0751-7688_1984_num_3_1_2068|consulté le=19 mai 2017}}.</ref> jusqu'à la fin du [[Glaciation de Würm|Würm]] II, ({{Unité|50000|ans}})<ref>{{Vidéo}}Geneviève Rouillon/Guy Meauxsonne {{lien vidéo|date=2015|titre= «Le glacier de la Fauge» |url=http://vercorstv.wmaker.tv/Le-Glacier-de-la-Fauge_v858.html|consulté le =14 mai 2017|medium=4 min 23 s}}, hébergé sur VercorsTV.</ref>. 

La galerie dénommée « L'Autoroute du Soleil » a probablement été formée avant le creusement des gorges de la Bourne et le soulèvement du Vercors, c'est-à-dire il y a plus de [[DDe millénaire av. J.-C.|cinq millions d'années]]<ref>{{Ouvrage|langue=fr|auteur1=Serge Caillault|auteur2=Jean-Jacques Delannoy|auteur3=Dominique Haffner|auteur4=Thierry Krattinger|et al.=oui|titre=Spéléo sportive dans le Vercors|volume=2|lieu=Aix-en-Provence|éditeur=[[Édisud]]|collection=Spéléo sportive|année=1999|pages totales=208|format livre=24 cm|passage=23|isbn=2-7449-0088-5}}.</ref>.

Des datations d'un [[plancher stalagmitique]] de la grotte des Deux Sœurs ont permis de dater sa formation à l'interglaciaire [[Riss-Würm]]. Cela prouve que la grotte possédait encore son bassin d'alimentation il y a {{unité|100000|ans}}, bassin aujourd'hui disparu à la suite des dernières [[glaciations quaternaires]]<ref>{{Ouvrage|auteur1=Jean-Jacques Delannoy|titre=Recherches géomorphologiques sur les massifs karstiques du Vercors et de la transversale de Ronda (Andalousie)|sous-titre=les apports morphogéniques du karst|lieu=Lille|éditeur=[[Atelier national de reproduction des thèses]]|collection=Thèses à la carte|nature ouvrage=Thèse d’état : Géographie : Grenoble 1|année=1997|pages totales=678|format livre=24 cm|isbn=2-284-00526-8}}.</ref>{{,}}<ref>{{Lien web|auteur=Claude Beaudevin|titre=Circulation des glaciers dans l'ombilic grenoblois et en aval de Grenoble|url=http://www.geoglaciaire.net/index.php?option=com_content&view=article&id=185&Itemid=194|date=2011|site=geoglaciaire.net|éditeur=site personnel hébergé par Vonfio|consulté le=3 décembre 2016}}.</ref>.

== Explorations ==

[[Fichier:Photo clot d'aspres.2bmp.jpg|vignette|alt=Homme casqué, engagé à mi-corps dans une cavité dont l'accès est étroit.|Un méandre étroit du scialet des Brumes-Matinales.]]
[[Fichier:Entrée du scialet de La Bourrasque.jpg|gauche|vignette|alt=Deux accès rocheux dans le sol d'un vallon.|Entrées du scialet de la Bourrasque au milieu du vallon.]]

Les explorations du réseau ont débuté avec la visite de la grotte des Deux-Sœurs en [[1902]] par Fonne et Muller. En [[1952]] la section grenobloise du [[Club alpin français|CAF]] de [[Lyon]] avec la participation de [[Pierre Chevalier (alpiniste, spéléologue)|Pierre Chevalier]] découvre le réseau des Grenoblois avec arrêt à {{Unité|-181|m}}. Ceci permet en [[1954]], aux Lyonnais du ''Clan de la Verna'' d'atteindre un siphon à {{Unité|-315|mètres}}<ref>{{Lien web|titre=Plan de grotte des Deux Sœurs en 1979|url=https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/d/d6/Grotte_des_Deux_Soeurs_1979.jpg}}.</ref>{{,}}<ref>{{Lien web|auteur=Paul Courbon|titre=Chroniques-souterraines|sous-titre=Grotte des Deux Soeurs|url=http://www.chroniques-souterraines.fr/dossiers/Speleologie/01_Explorations/1956deux_soeurs.pdf|en ligne le=13 mars 2014|format=pdf|site=chroniques souterraines|consulté le=12 décembre 2016}}.</ref>{{,}}{{Note|groupe=alpha|En spéléologie, les mesures négatives ou positives se définissent par rapport à un point de référence qui est l'entrée du réseau, connue, la plus élevée en altitude.}}.

Sur le plateau, depuis le scialet de la [[Nymphe]]-Émue, situé {{Unité|200|mètres}} au-dessus de cette grotte, une descente de {{Unité|341|mètres}} est réalisée en [[1964]] par le ''Clan des Tritons'' de Lyon, sans réaliser de jonction.
En septembre [[1986]] un groupe de Drômois et le ''groupe spéléo Le Graoully'' trouvent la suite de la cavité. Les Drômois et les Lorrains découvrent des kilomètres de galeries à partir du scialet de la Nymphe-Émue et une nouvelle entrée : la grotte de l'[[Oréades|Oréade]], située sur le flanc extérieur est du Clot, sur la commune du [[Le Gua (Isère)|Gua]].

Le ''Spéléo club du Veymont'' (SCV) trouve fin [[1987]] le scialet de la Bourrasque qui rejoint à {{Unité|-370|mètres}} l'aval du scialet de la Nymphe-Émue<ref>{{Lien web|titre=Coupe Deux Sœurs - scialet de la Bourrasque|url=https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/d/dc/Coupe_2_soeurs_bourrasque_%283%29.jpg}}.</ref>{{,}}<ref>{{Article|auteur=Gilbert Bohec|auteur institutionnel=Fédération française de spéléologie|titre=Le scialet de la Bourrasque |périodique=Scialet : bulletin du CDS de l'Isère|lieu=Grenoble|éditeur=Comité départemental de spéléologie de l'Isère|numéro=16|année=1987|pages=48-50 |issn=0336-0326|lire en ligne=https://www.dropbox.com/s/wqx38vwer2vtvjr/scialet%20n%C2%B016.pdf?dl=0|consulté le=19 septembre 2020}}.</ref>.

En [[1988]], le scialet des Brumes-Matinales est dévoilé jusqu'à une profondeur de {{Unité|-645|mètres}} par le SCV<ref>{{Lien web|titre=Coupe du scialet des Brumes-Matinales en 1988|url=https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/4/42/Brumes_Matinales_coupe_2.jpg}}.</ref>. Des spéléologues drômois, indépendants des clubs, trouvent aussi en 1988 le scialet du Pré de l'Achard et descendent jusqu'à {{Unité|-410|mètres}}.

Mi-août [[1989]], le scialet du [[blizzard (météorologie)|Blizzard]] est [[Désobstruction|désobstrué]] il s'avère qu'il rejoint les Brumes-Matinales à {{Unité|-521|mètres}}<ref>{{Lien web|titre=Jonction scialet du Blizzard-scialet des Brumes Matinales.|url=https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/6/62/Jonction_scialet_du_Blizzard-scialet_des_Brumes_Matinales._%282%29.jpg}}.</ref>{{,}}<ref>{{Article|auteur=Gilbert Bohec|auteur institutionnel=Fédération française de spéléologie|titre=Le scialet du Blizzard|périodique=Scialet : bulletin du CDS de l'Isère|lieu=Grenoble|éditeur=Comité départemental de spéléologie de l'Isère|numéro=18|année=1989|pages=73-79 |issn=0336-0326|lire en ligne=https://www.dropbox.com/s/gi0bfvcrzi4x7d3/scialet%20n%C2%B018.pdf?dl=0|consulté le=19 septembre 2020}}.</ref>. Dans la foulée le SCV explore le scialet du Silence jusqu'à {{Unité|-542|mètres}}.

En {{Date-||5|1990}}, le scialet des Nuits-Blanches est découvert par le ''Spéléo club du Veymont'' et rejoint le collecteur{{Note|groupe=alpha|En spéléologie un collecteur est une {{Citation|galerie principale recueillant les eaux des autres galeries<ref>{{Lien web|auteur1=David Pujol|titre=Glossaire|sous-titre=Collecteur|description=termes spéléologiques|url=http://www.speleologie.free.fr/lexique.htm|site=site personnel|en ligne le=mis à jour le 07 juillet 2009|consulté le=24 septembre 2016|page=C}}.</ref>}}.}} à {{Unité|-688|mètres}}<ref>{{Lien web|titre=Coupe du scialet des Nuits-Blanches en 1991|url=https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/1/16/Topo_Nuits_Blanches_SCV_1991_2.jpg}}.</ref>.

En [[1991]], les Drômois trouvent une jonction entre la grotte des Deux-Sœurs et le scialet de la Nymphe-Émue. Le réseau supérieur comprend désormais quatre entrées : les Deux-Sœurs, l'Oréade, la Nymphe-Émue et la Bourrasque. Dans l'été 1991, le SCV découvre des galeries qui mettent en communication les scialets des Brumes-Matinales, du Blizzard<ref>{{Lien web|auteur1=François de Felix|photographe=Serge Caillaut| titre=Exercices secours|sous-titre=Compte rendu de l’exercice de secours au scialet du Blizzard du samedi {{Date-|15 septembre 2012}}|url=http://www.sssi.fr/article213.html#more-213|site=Spéléo secours Isère|en ligne le=31 octobre 2012|consulté le=20 septembre 2016}}.</ref>, du Silence et du Pré de l'Achard<ref>{{Lien web|titre=Jonctions réseau du troisième âge-scialets du Silence et du Pré de l'Achard|url=https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/e/e7/Jonctions_r%C3%A9seau_du_troisi%C3%A8me_%C3%A2ge-scialets_du_Silence_et_du_Pr%C3%A9_de_l%27Achard.jpg}}.</ref>. Cet ensemble est désigné comme le réseau médian.

En mai [[1993]] le [[Siphon (spéléologie)|siphon]] du scialet des Nuits Blanches est plongé par Frédéric Poggia jusqu'à {{Unité|-34|mètres}}<ref>{{Article|auteur1=Frédéric Poggia|titre=France-Le scialet des Nuits Blanches -688|périodique=Info Plongée: bulletin de la commission plongée de la Fédération française de spéléologie|éditeur=commission plongée de la Fédération française de spéléologie|numéro=61|année=1993|page=14|lire en ligne=https://fr.calameo.com/read/000534681177ef427f050}}.</ref>.

L'amont du collecteur du Blizzard est repris par le groupe spéléo montagne de [[Fontaine (Isère)|Fontaine]] en juillet [[1994]], après l'escalade d'une cascade de 25 mètres. Une superbe rivière est remontée sur 700 mètres avec arrêt sur un siphon<ref>{{Article|auteur1=Alain Maurice|auteur institutionnel=Fédération française de spéléologie|titre=Les amonts du Blizzard|périodique=Scialet : bulletin du CDS de l'Isère|lieu=Grenoble|éditeur=Comité départemental de spéléologie de l'Isère|numéro=24|année=1995|pages=39-42 |issn=0336-0326|lire en ligne=https://www.dropbox.com/s/5y1ar6hv33xkk26/scialet%20n%C2%B024.pdf?dl=0|consulté le=20 septembre 2020}}.</ref>. Ce dernier est plongé en septembre [[1995]] par Frédéric Poggia et permet la découverte de 800 m de rivière avec deux nouveaux siphons et une trémie<ref>{{Article|auteur1=Bruno Fromento|auteur institutionnel=Fédération française de spéléologie|titre=Echos des profondeurs-France-Isère|périodique=Spelunca. |lieu=Paris|éditeur=Fédération française de spéléologie|numéro=76|année=1999|pages=5-6|issn=0249-0544 |lire en ligne=https://spelunca.ffspeleo.fr/199912_Spelunca_076.pdf|consulté le=6 juin 2020}}.</ref>.

Les réseaux aval et médian, puis amont et médian sont reliés en passant par le collecteur et en «bravant» les trémies par les ''Spéléos grenoblois du club alpin français'' (SGCAF) en [[2008]]<ref>{{Lien web|auteur=Jean Héraud|titre=Jonction Nuits Blances-Réseau Médian|url=http://www.sgcaf.fr/sgcaf-speleo-club-de-grenoble-la-speleo-dexploration/#1577186645675-d9072c2f-f397|site=Spéléos grenoblois du club alpin français|consulté le=29 avril 2020}}.</ref>{{,}}<ref>{{Lien web|auteur=Martin Gerbaux|titre=Jonction Réseau Médian-Réseau Supérieur|url=http://www.sgcaf.fr/sgcaf-speleo-club-de-grenoble-la-speleo-dexploration/#1577184932044-cc5dccbc-5cd7|site=Spéléos grenoblois du club alpin français|consulté le=29 avril 2020}}.</ref>, ce qui fait du réseau le deuxième -{{formatnum:1000}} du Vercors<ref>{{Article|auteur1=Martin Gerbaux|auteur2=Jean Héraud|auteur3=Pascal Collet|auteur4=Gilbert Bohec|auteur institutionnel=Fédération française de spéléologie|titre=Le réseau du clot d'Aspres, un nouveau -{{formatnum:1000}} sur le Vercors|périodique=Scialet : bulletin du CDS de l'Isère|lieu=Grenoble|éditeur=Comité départemental de spéléologie de l'Isère|numéro=37|année=2008|pages=17-20|issn=0336-0326|lire en ligne=https://www.dropbox.com/s/o6y2vtkldgrbq21/scialet%20n%C2%B037.pdf?dl=0|consulté le=19 septembre 2020}}.</ref>.

Le {{date-|26 octobre 2015}}, le SGCAF découvre l'entrée d'un puits de {{Unité|70|mètres}} nommé Jeunesse d'Automne. Le scialet, en communiquant avec les Nuits-Blanches le {{Date-|28|11|2015}}, appartient au réseau du Clot d'Aspres<ref>{{Article|auteur=Clément Garnier|titre= Recherches sur le vallon de la Fauge 2015 : scialet Jeunesse d'automne|périodique= Scialet : bulletin du CDS de l'Isère|lieu= Grenoble|éditeur=Comité départemental de spéléologie de l'Isère|numéro=44|année=2015|page=5-22|ISSN= 0336-0326|lire en ligne=https://www.dropbox.com/s/1mjlrgywzdd4xqd/scialet%20n%C2%B044.pdf?dl=0|consulté le=23 septembre 2020}}.</ref>. La jonction entre les deux cavités se fait à l'aplomb du siphon terminal des Nuits-Blanches<ref>{{Vidéo}} {{Lien web|auteur1=Clément Garnier|auteur institutionnel=Équipe SGCAF|titre=Jeunesse d'automne 7|description=reportage vidéo avec écrits|éditeur=[[YouTube]]|url=https://www.youtube.com/watch?v=4GgkZvVHPtI|consulté le=27 juillet 2017|extrait={{Heure|0|3|37}}}}.</ref>.

En [[2015]], [[2016]] et [[2017]], les explorations se concentrent en aval. L'enjeu est de savoir si la grotte du Clot d'Aspres{{Note|groupe=alpha|texte=la grotte du Clot d'Aspres a pour coordonnées{{Coord|45.025863|5.576080|type:landmark|format=dms||display=inline}}.}}  (''Clan des Tritons'')<ref>{{Article|auteur=Guy Lamure|titre=La grotte du Clot d'Aspres|périodique=Spéléo Dossiers|numéro=37|année=2012|page=55-58|url=http://archivescds69.cdspeleo69.fr/Speleo_Dossiers/SD37.pdf|format=pdf|consulté le=29 avril 2020}}.</ref>, les scialets de la Chambre-Froide{{Note|groupe=alpha|texte=le scialet de la Chambre-Froide a pour coordonnées{{Coord|45.02955205|5.57973428|type:landmark|format=dms||display=inline}}.}} et du [[scialet Candy|Candy]]{{Note|groupe=alpha|texte=le scialet Candy a pour coordonnées{{Coord|45.02858113|5.57688724|type:landmark|format=dms||display=inline}}.}} (SGCAF) communiquent avec le réseau<ref>{{Lien web|auteur1=Clément Garnier|titre=Le réseau du Clot D'Aspres communiquera-t-il un jour avec le scialet Candy ?|description=diaporama lors du {{Ordinal|52|congrès}} régional de spéléologie de 2016 organisé par le Comité départemental de spéléologie de Savoie|url=https://www.dropbox.com/s/03uyzipsbf69oen/GarnierClosdAspres%5B1%5D.pdf?dl=0 |format=pdf|en ligne le=21 avril 2016|consulté le=12 octobre 2016}}.</ref>{{,}}<ref>{{Vidéo}} {{Lien web|auteur1=Adrien Ragiot|auteur institutionnel=Équipe SGCAF|titre=Explo au scialet Candy|description=reportage vidéo avec écrits|url=https://www.youtube.com/watch?v=sYMvG6NjsIc|éditeur=[[YouTube]]|consulté le=14 novembre 2017|extrait={{Heure|0|6|16}}}}.</ref>. Une nouvelle cavité, le Puits Sans Fond-Arche de Noé, située sous le sommet Agathe, l'une des Deux-Sœurs, fait aussi partie du réseau mais aucune jonction n'a pu être encore réalisée en [[2019]]<ref>{{Vidéo}} {{Lien web|auteur=Barnabé Fourgous|date=2019|titre=Spéléo hivernale sous Agathe|description=reportage vidéo|url=https://www.vercors-tv.com/Speleo-hivernale-sous-Agathe_v1241.html|consulté le =28 juin 2019|extrait={{Heure|0|9|32}}}}.</ref>.

== Coupes des scialets du Clot d'Aspres ==
<gallery mode="packed" caption=>
Coupe 2 soeurs bourrasque (3).jpg|Coupe schématique grotte des Deux Soeurs - scialet de la Bourrasque. 
Scialet de La Bourrasque en janvier 1988.jpg|Coupe du scialet de la Bourrasque en 1988.
Brumes Matinales coupe 2.jpg|Coupe du scialet des Brumes Matinales en 1988.
Partie centale du réseau.jpg|Partie centrale du réseau du Clot d'Aspres.
Coupe du scialet du silence.jpg|Coupe du ''scialet du Silence'', second gouffre le plus visité du vallon.
Scialet du Blizzard.jpg|Le ''scialet du Blizzard'', regard privilégié sur le réseau du Clot d'Aspres.
Topo Nuits Blanches SCV 1991 2.jpg|Coupe développée du scialet des Nuits Blanches en 1991.
Coupe et plan Jeunesse d'Automne.jpg|Coupe et plan Jeunesse d'Automne.
Le réseau du Clot d'Aspres avec le scialet Candy.jpg|Le réseau du Clot d'Aspres avec le scialet Candy.
</gallery>

== Description ==

=== Entrées ===

[[Fichier:Début du vallon du clot d'aspres.jpg|vignette|gauche|redresse|alt=Vallon rocheux.|Début du vallon du Clot d'Aspres où se trouvent trois entrées du réseau{{Note|groupe=alpha|Les entrées des scialets du Silence, des Brumes-Matinales et du Blizzard sont visibles en passant la souris sur [[c:File:Début du vallon du clot d'aspres.jpg|cette illustration]] sur [[Wikimedia Commons]].}}.]]
[[Fichier:Brumes matinales et vallon.jpg|vignette|droite|redresse=1|alt=Schéma d'un vallon.|Brumes-Matinales et vallon du Clot d'Aspres.]]

Les ruines de la bergerie du Clot d'Aspres, au bord d'une [[doline]], sont le point de départ d'une sente dirigée vers le sud. Celle-ci permet l'accès à toutes les cavités du plateau qui sont positionnées en amont du scialet des Brumes-Matinales.

Au nord se situent les scialets des Nuits Blanches et Jeunesse d'Automne.

Au pied du col des Deux Sœurs, versant [[Drac]] se trouve la grotte des Deux-Sœurs sur la commune de [[Le Gua (Isère)|Le Gua]] ; la grotte de l'Oréade et la grotte Agnès sont au-dessus dans la même falaise.

Les différentes entrées du réseau du Clot d'Aspres sont repérées sur le Géoportail<ref>{{Lien web|titre=Les cavités du réseau du Clot D'Aspres|url=https://www.geoportail.gouv.fr/carte?c=5.580954040181015,45.01947563547884&z=14&l0=GEOGRAPHICALGRIDSYSTEMS.MAPS.SCAN-EXPRESS.STANDARD::GEOPORTAIL:OGC:WMTS(1)&d1=1498483(1)&l2=ORTHOIMAGERY.ORTHOPHOTOS::GEOPORTAIL:OGC:WMTS(1)&d3=1498631(1)&permalink=yes|site=geoportail.gouv.fr|consulté le=7 aout 2017}}.</ref>.

Le réseau du Clot d'Aspres{{Note|groupe=alpha|Les coordonnées génériques du Clot d'Aspres sont {{Coord|45.022085|5.574550}}.}}, est composé, du sud au nord, des cavités suivantes :
{{clr|left}}
* la grotte Agnès {{coord|45.0032840|5.5796330|type:landmark|format=dms||display=inline}}; 1870 m
* la grotte des Deux-Sœurs (ex réseau supérieur){{coord|45.0043572|5.5809891|type:landmark|format=dms||display=inline}} ; 1840 m
* la grotte de l'Oréade (ex réseau supérieur){{coord|45.00665765|5.58060855|type:landmark|format=dms||display=inline}} ; 2017 m
* le scialet de la Nymphe-Émue (ex réseau supérieur){{coord|45.006844|5.576358|type:landmark|format=dms||display=inline}} ; 2030 m
* le scialet du Mistral{{coord|45.010578|5.575330|type:landmark|format=dms||display=inline}} ; 1960 m
* le scialet de la Bourrasque (ex réseau supérieur){{coord|45.012077|5.576491|type:landmark|format=dms||display=inline}} ; 1885 m
* le scialet du Pré de l'Achard (ex réseau médian){{coord|45.01511047|5.57685053|type:landmark|format=dms||display=inline}} ;1828 m
* le scialet du Silence (ex réseau médian) {{coord|45.017368|5.57639616|type:landmark|format=dms||display=inline}} ; 1845 m
* le scialet du Blizzard (ex réseau médian){{coord|45.019602|5.576113|type:landmark|format=dms||display=inline}} ; 1804 m
* le scialet des Brumes-Matinales (ex réseau médian) {{coord|45.020817|5.575485|type:landmark|format=dms||display=inline}} ; 1768 m
* le scialet des Nuits-Blanches (ex réseau inférieur){{coord|45.023216|5.576592|type:landmark|format=dms||display=inline}} ; 1760 m
* le scialet Jeunesse d'Automne (entrée aval){{coord|45.025805|5.578343|type:landmark|format=dms||display=inline}} 1666m.

Les cotes positives et négatives dépendent du scialet de la Nymphe-Émue, qui est l'entrée la plus haute du réseau, et donc le point de référence.

=== Galeries ===
Du sud au nord du vallon et en considérant les galeries les plus en amont vers l'aval, il est possible de décrire quatre parties.

Les entrées de la première partie sont la ''grotte des Deux Sœurs'' et la ''grotte Agnès''. À leur niveau se distinguent d'une part les galeries horizontales qui suivent le [[pendage]] des couches calcaires et qui sont de dimensions moyennes (réseau d'entrée, des enragés, des grenoblois et réseau [[Lesdiguières]] qui est la voie d'accès de la grotte Agnès), et d'autre part des éléments verticaux avec les [[Puits à eau|puits]] et son collecteur. En effet une série de puits et de galeries de dimensions modestes amène au collecteur qui suit le pendage descendant vers l'ouest et se termine sur un siphon à -{{unité|513|m}}.

Les entrées de la seconde partie sont le ''scialet de la Nymphe-Émue'', la ''grotte de l'Oréade'', le ''scialet du Mistral'' et le ''scialet de La Bourrasque''. Le ''scialet de la Nymphe-Émue'' donne accès à une série de puits entrecoupée de méandres étroits se développant à contre pendage. Le puits des tritons ({{Unité|110|m}}) recoupe à -{{Unité|256|m}} un gros méandre {{Note|groupe=alpha|En spéléologie un méandre est une {{Citation|galerie très étroite mais assez haute. En principe les roches des méandres sont très tranchantes <ref name="David Pujol">{{Lien web|auteur1=David Pujol|titre=Glossaire|sous-titre=Méandre|description=termes spéléologiques|url=http://www.speleologie.free.fr/lexique.htm|site=site personnel|en ligne le=mis à jour le 07 juillet 2009|consulté le=24 septembre 2016|page=C}}.</ref>}}.}} amont-aval<ref name="Maurice Chazalet">{{Ouvrage| auteur1=Maurice Chazalet| titre=Recherche du réseau de la Goule Blanche| lieu=Lyon| éditeur=clan des Tritons de Lyon| année=1966| pages totales=29| lire en ligne=https://www.dropbox.com/s/7mscdsfpcjands4/Recherche%20et%20%C3%A9tude%20du%20r%C3%A9seau%20de%20la%20Goule%20Blanche.pdf?dl=0| consulté le=21 septembre 2020|champ libre= édité pour le prix De Joly }}.</ref>. En amont se trouvent la ''grotte de l'Oréade'' et un autre réseau {{Incise|les ailes du désir}} remonté jusqu'à +{{Unité|74|m}}. En aval, après une série de puits s'arrêtant à -{{Unité|368|m}}, se trouve une galerie de {{Dunité|4|4|m}}. Cette galerie suit le pendage et rencontre de nombreuses arrivées dont l'une correspond au ''scialet du Mistral'' {{Incise|réseau du trou noir|stop}}. Dès -{{Unité|450|m}} la galerie devient plus grande et plus ébouleuse. Dans la salle ''noir, c'est noir'' débouche le ''scialet de La Bourrasque''. La large galerie se poursuit jusqu'au réseau des cascades du fond à -{{Unité|633|m}}. Une trémie{{Note|groupe=alpha|En spéléologie une trémie est un {{Citation| passage assez étroit et dangereux car il est très instable du point de vue  qu'un éboulement peut se produire à tout instant car le plafond est constitué de sable et de gravier<ref>{{Lien web|auteur1=David Pujol|titre=Glossaire|sous-titre=Trémie|description=termes spéléologiques|url=http://www.speleologie.free.fr/lexique.htm|site=site personnel|en ligne le=mis à jour le 07 juillet 2009|consulté le=24 septembre 2016|page=C}}.</ref>}}.}} donne accès à la rivière du ménisque qui après un siphon continue jusqu'au scialet du Blizzard<ref>{{Article|auteur1=Cédric Clary|auteur2=Thierry Krattinger|auteur3=Nicolas Renous|auteur institutionnel=Fédération française de spéléologie|titre=Les réseaux du vallon du Clot d'Aspres|sous-titre=Contribution à l'inventaire des cavités et à l'étude du bassin d'alimentation de Goule blanche|périodique=Les spéléos drômois : bulletin périodique du comité départemental de spéléologie de la Drôme|lieu=Valence|éditeur=Comité départemental de spéléologie de la Drôme|numéro=10|année=1994|pages=73-123|issn=0991-0735|lire en ligne=https://www.dropbox.com/s/q08menct5qfqu53/LSD%20n%C2%B010-1994-R%C3%A9seaux%20sup%C3%A9rieurs%20du%20Clot%20d%27Aspres%202%282%29.pdf?dl=0|consulté le=23 septembre 2020}}.</ref>.

Les entrées de la troisième partie sont le ''scialet du Pré de l'Achard'', le ''scialet du Silence'', le ''scialet du Blizzard'' et le ''scialet des Brumes-Matinales'' où se distinguent deux types de réseaux. L'un est constitué d'une galerie horizontale perchée {{Unité|200|mètres}} au dessus des marnes hauteriviennes. Cette galerie ''l'Autoroute du Soleil'' que l'on peut suivre sur plus de {{Unité|1500|mètres}} a une section de {{Dunité|8|5|m}}. Elle s'arrête sur des trémies débouchant dans les puits terminaux du scialet du pré de l'Achard et elle est perforée par des puits donnant dans des réseaux inférieurs. L'autre réseau est constitué d'une série de puits descendant jusqu'aux marnes et recoupant fortuitement cette galerie. Le ''scialet du Pré de l'Achard'' donne accès à des puits entrecoupés de passages étroits qui butent sur les marnes hauteriviennes à -{{Unité|410|m}}. Avant le puits terminal un long méandre rejoint le fond du ''scialet du Silence'' ainsi que le ''scialet des Brumes-Matinales''. Le ''scialet du Silence'' amène à des puits et à quelques méandres confortables recoupant un actif, lequel s'arrête sur un siphon situé à -{{Unité|542|m}}<ref>{{Article|auteur1=Gilbert Bohec|auteur institutionnel=Fédération française de spéléologie|titre=Le scialet du Silence|périodique=Scialet : bulletin du CDS de l'Isère|lieu=Grenoble|éditeur=Comité départemental de spéléologie de l'Isère|numéro=19|année=1990|pages=32-38 |issn=0336-0326|lire en ligne=https://cds38.org/wp/wp-content/uploads/2011/10/scialet19.pdf|consulté le=19 septembre 2020}}.</ref>. Le ''scialet du Blizzard'' permet l'accès à ''l'Autoroute du Soleil'' à -{{Unité|320|m}} et débouche sur le collecteur à -{{Unité|500|m}}. En aval il rejoint le scialet des Brumes Matinales puis le scialet des Nuits Blanches. En amont après une rivière et un siphon le scialet de La Bourrasque est accessible. Le ''scialet des Brumes-Matinales'' conduit au gouffre le plus physique<ref name=Brumes>{{Article|auteur1=Gilbert Bohec|auteur institutionnel=Fédération française de spéléologie|titre=Le scialet des Brumes-Matinales|périodique=Scialet : bulletin du CDS de l'Isère|lieu=Grenoble|éditeur=Comité départemental de spéléologie de l'Isère|numéro=17|année=1988|pages=50|issn=0336-0326|lire en ligne=https://www.dropbox.com/s/4dkz5x6k907mo2x/scialet%20n%C2%B017.pdf?dl=0}}.</ref> du secteur. Une série de puits entrecoupés de passages étroits recoupe à -{{Unité|300|m}} une grosse galerie ''l'Autoroute du Soleil''. D'autres puits conduisent au collecteur à -{{Unité|520|m}}. En aval, un puits de {{Unité|30|mètres}}, suivi d'un parcours, conduit au scialet des Nuits-Blanches tandis qu'un autre s'arrête dans une salle ébouleuse à {{Unité|645|mètres}} de profondeur.

Les entrées de la quatrième partie sont le ''scialet des Nuits-Blanches'' et le gouffre ''Jeunesse d'Automne''. Le ''scialet des Nuits-Blanches'' livre accès, jusqu'à la profondeur de {{Unité|300|mètres}}, à une série de puits entrecoupés de courts méandres. Un méandre partiellement aquatique et une série de ressauts amènent à -{{Unité|340|m}} sur un grand méandre. Une autre série de verticales arrosées donne sur une galerie à -{{Unité|580|m}}. Il s'agit du départ du réseau de Vlad. Un méandre plus étroit, coupé de quelques ressauts, amène à -{{Unité|688|m}} dans le collecteur<ref>{{Vidéo}} {{lien vidéo|people=Bertrand Hauser (Images et vidéos), Clément Garnier (montage)|titre= «Le collecteur du Clot d'Aspres»|description=reportage vidéo avec écrits|url=https://www.youtube.com/watch?v=PV784XUCg9E&feature=youtu.be|éditeur=[[YouTube]]|consulté le=18 février 2020|extrait={{Heure||3|32}}}}.</ref> où un siphon se présente. Le scialet Jeunesse d'Automne arrive au dessus des puits terminaux précédant le siphon<ref>{{Lien web|titre=coupe du scialet Jeunesse d'Automne|url=http://www.sgcaf.fr/sgcaf-speleo-club-de-grenoble-la-speleo-dexploration/#1577189211364-a5218c99-a504|date=2015|site=sgcaf.fr|consulté le=1 mai 2020}}.</ref>. Le collecteur a été remonté jusqu'à une trémie donnant accès au scialet des Brumes Matinales<ref>{{Article|auteur1=Clément Garnier|titre=Réseau du Clot d'Aspres|périodique=Spéléo |lieu=Corenc|éditeur=Spéléo magazine|numéro= 95|année= septembre 2016|pages=20-22|issn=1629-1573|consulté le =17 octobre 2016}}.</ref>.

<gallery mode="packed" caption="Plan schématique du Réseau du Clot d'Aspres en 2020"  heights="200px">
Plan simplifié du réseau du clot d'aspres en 2007.jpg|alt=Shéma noir et blanc.
</gallery>

== Toponymie ==
« L'Autoroute du Soleil » est le nom d'une galerie horizontale particulièrement vaste et longue dont la direction est plein sud<ref name="Brumes" />.

En amont du siphon {{Unité|-400|m}} du scialet du Blizzard, le collecteur est dénommé « rivière du Ménisque ». En effet, un plongeur parti mener seul l’exploration d’un siphon y est victime d’une [[luxation]] de [[rotule]]. Néanmoins il refait surface et aidé de ses seuls compagnons, sans autre secours, il parvient à l’air libre<ref>{{Article|auteur1=Serge Caillault|responsabilité1=dir. publication|titre=Coup de Blizzard pour Frédo|périodique=Spéléo|lieu=Fontaine |éditeur=Spéléo Magazine |numéro=20|année=1995|mois=12|pages=1|issn=1629-1573 |lire en ligne= }}.</ref>.

Le réseau de Vlad ([[Vlad III l'Empaleur]]) tient son nom du fait qu'un spéléologue a échappé de peu à l'empalement sur une barre à mine glissée dans son sac<ref>{{Lien web|auteur1=Martin Gerbaux|titre=Nuits-Blanches 2001-2002|sous-titre=Scialet des Nuits-Blanches, réseau de VLAD|url=http://www.sgcaf.fr/?page_id=331|site=Spéléos grenoblois du club alpin français|consulté le=1 décembre 2016}}.</ref>.

Le nom réseau Lesdiguières dans la grotte des Deux Sœurs a été donné par le clan Lesdiguières des [[Eclaireurs de France]] de Grenoble, l'un des premiers clubs explorateurs de la grotte en [[1942]] <ref>{{Article| auteur=Michel Le Bret| titre=Recherche du réseau de la Goule Blanche| périodique=Annales de spéléologie XVII, fascicule 1| lieu=Paris|année=1962|pages =43-67|lire en ligne=https://www.dropbox.com/s/d8okpxeqjmsb43j/Annales%20de%20sp%C3%A9l%C3%A9ologie%20XVII.I-Recherches%20du%20r%C3%A9seau%20de%20la%20Goule%20Blanche..pdf?dl=0|consulté le=22 septembre 2020}}.</ref>.

== Vues ==
<gallery perrow="6" mode="packed" mode="nolines" caption="Les scialets">
Entrée de la grotte des Deux Soeurs.jpg|alt=Ouverture entre deux rochers.|Grotte des Deux-Sœurs.
Entrée du scialet de la Nymphe émue située à 2035 m.jpg|alt=Entrée d'une cavité apparemment souterraine.|Nymphe-Émue.
Entrée du scialet du Blizzard.jpg|alt=Dépression herbeuse en enfilade entre deux pentes rocheuses.|Blizzard{{Note|groupe=alpha|L'entrée du scialet du Blizzard est visible en passant la souris sur [[c:File:Entrée du scialet du Blizzard.jpg|cette illustration]] sur [[Wikimedia Commons]].}}.
Entrée du scialet des Nuits Blanches.jpg|alt=Pente rocheuse avec au sommet des épineux.|Nuits-Blanches{{Note|groupe=alpha|L'entrée du scialet des Nuits-Blanches est visible en passant la souris sur [[c:File:Entrée du scialet des Nuits Blanches.jpg|cette illustration]] sur [[Wikimedia Commons]].}}.
Entrée du scialet du Pré de l'Achard.jpg|alt=Entrée d'une cavité au milieu d'herbe et de roches.|Pré de l'Achard{{Note|groupe=alpha|L'entrée du scialet du Pré de l’Achard est visible en passant la souris sur [[c:File:Entrée du scialet du Pré de l'Achard.jpg|cette illustration]] sur [[Wikimedia Commons]].}}.
Puits du centenaire.jpg|alt=photo d'un homme en descente dans une cavité.|Brumes-Matinales (puits du Centenaire).
Entrée du scialet des Brumes Matinales.jpg|alt=Sol couvert d'herbe et de roches.|Brumes-Matinales{{Note|groupe=alpha|L'entrée du ''scialet des Brumes-Matinales'' est visible en passant la souris sur [[c:File:Entrée du scialet des Brumes Matinales.jpg|cette illustration]] sur [[Wikimedia Commons]].}}.
Numérisation0003 modifié.jpg|alt=Spéléologue en descente dans une cavité.|Brumes-Matinales ({{Unité|-200|m}}).
Entrée du scialet du Silence.jpg|alt=Sol couvert d'herbe et de roches.|Silence{{Note|groupe=alpha|L'entrée du scialet du Silence est visible en passant la souris sur [[c:File:Entrée du scialet du Silence.jpg|cette illustration]] sur [[Wikimedia Commons]].}}.
Entrée du scialet du Mistral.jpg|alt=Au sein d'une zone pentue dont le sommet est vu, couverte d'herbe et de roches, bâche au sol à l'entrée d'une cavité.|Mistral{{Note|groupe=alpha|L'entrée du scialet du Mistral est visible en passant la souris sur [[c:File:Entrée du scialet du Mistral.jpg|cette illustration]] sur [[Wikimedia Commons]].}}.
Entrée du scialet Jeunesse d'Automne.jpg|alt=Homme casqué descendant en rappel au milieu de la végétation.|Jeunesse d'Automne{{Note|groupe=alpha|L'entrée du scialet Jeunesse d’Automne est visible en passant la souris sur [[c:File:Entrée du scialet Jeunesse d'Automne.jpg|cette illustration]] sur [[Wikimedia Commons]].}}.
Puits des ancétres dans jeunesse d'Automne.jpg|alt=Spéléologue en descente dans une cavité.|Jeunesse d'Automne (puits des Ancêtres).
</gallery>

<gallery mode="packed">
Fichier:Dalles de lapiaz.jpg|alt= Vue des dalles calcaires à l'est du Clot d'Aspres|{{left|Le ''vallon du Clot d'Aspres'' et [[la Grande Moucherolle]]}} 
Fichier:Aretes du gerbier.jpg|alt=Vue panoramique d'un paysage montagneux rocheux.|{{centrer|Le ''vallon de la Fauge'' et le ''vallon du Clot d'Aspres''}}
Fichier:Au pied des falaises.jpg|alt= Vue des falaises au pied du col des Deux Sœurs|{{right|Les falaises des ''Deux Sœurs''}}
</gallery>

== Notes et références ==
=== Notes ===
{{Références|groupe=alpha|taille=36}}

=== Références ===
{{Références}}

== Voir aussi ==
{{autres projets| commons=Category:Réseau du Clot d'Aspres}}

=== Bibliographie ===
* {{Article|auteur=Michel Le Bret|titre=Recherche du réseau de la Goule Blanche|lieu=Paris|périodique=Annales de spéléologie XVII/I|année=1962|éditeur=[[Fédération française de spéléologie]]|page=43-67|lire en ligne=https://www.dropbox.com/s/d8okpxeqjmsb43j/Annales%20de%20sp%C3%A9l%C3%A9ologie%20XVII.I-Recherches%20du%20r%C3%A9seau%20de%20la%20Goule%20Blanche..pdf?dl=0|consulté le=22 septembre 2020}}.
* {{Ouvrage|auteur1=Maurice Chazalet|titre=Recherche du réseau de la Goule Blanche|lieu=Lyon|éditeur=clan des Tritons de Lyon|année=1966|pages totales=29|lire en ligne=https://www.dropbox.com/s/7mscdsfpcjands4/Recherche%20et%20%C3%A9tude%20du%20r%C3%A9seau%20de%20la%20Goule%20Blanche.pdf?dl=0|consulté le=21 septembre 2020}}.
* {{Article|auteur1=Gilbert Bohec|responsabilité1=auteur et responsable publication|auteur2=Baudouin Lismonde|responsabilité2=responsable publication|auteur institutionnel=[[Fédération française de spéléologie]]|titre=Vercors|sous-titre=La grotte des Deux-Sœurs|périodique=Scialet : bulletin du CDS de l'Isère|lieu=Grenoble|éditeur=Comité départemental de spéléologie de l'Isère|numéro=6|année=1977|pages=15-20 |issn=0336-0326|lire en ligne=http://cds38.org/wp/wp-content/uploads/1976/12/scialet06.pdf|format=pdf|consulté le=17 septembre 2016}}.
* {{Article|auteur1=Jean-Jacques Delannoy|auteur2=Richard Maire|titre=Les grandes cavités alpines. Répartition et contexte hydrogéologique|lire en ligne=http://www.persee.fr/doc/karst_0751-7688_1984_num_3_1_2072|périodique=revue Karstologia|année=1984|volume=3|page=61|consulté le=13 juin 2017}}.
* {{Article|auteur1=Jean-Jacques Delannoy|auteur institutionnel=Association française de karstologie|titre=Le Vercors : un massif de la moyenne montagne alpine|périodique=Karstologia : revue de karstologie et de spéléologie physique de la Fédération française de spéléologie et de l'Association française de karstologie|lieu=Paris|éditeur=[[Fédération française de spéléologie]]|numéro=1|date={{1er|semestre}} 1984|pages=34-45|issn=0751-7688|lire en ligne=http://www.persee.fr/doc/karst_0751-7688_1984_num_3_1_2068|consulté le=13 juin 2017}}.
* {{Article|auteur1=Jean-Jacques Delannoy|auteur2=Christophe Aubert|auteur3=Dominique Haffner|auteur4=Thierry Krattinger|auteur5=Christian Pomot|auteur6=Philippe Holliger|auteur institutionnel=Association française de karstologie|titre=Les apports du Chronomètre géologique 234 U - 230 Th dans la karstogenèse de la Grande Moucherolle-Rochers de la Balme (Vercors)|périodique=Karstologia : revue de karstologie et de spéléologie physique de la Fédération française de spéléologie et de l'Association française de karstologie|lieu=Paris|éditeur=[[Fédération française de spéléologie]]|numéro=7|date={{1er|semestre}} 1986|pages=11-20|issn=0751-7688|lire en ligne=http://www.persee.fr/doc/karst_0751-7688_1986_num_7_1_2114?|consulté le=8 juillet 2017}}.
* {{Article|auteur1=Gilbert Bohec|auteur institutionnel=Fédération française de spéléologie|titre=Le scialet de la Bourrasque |périodique=Scialet : bulletin du CDS de l'Isère|lieu=Grenoble|éditeur=Comité départemental de spéléologie de l'Isère|numéro=16|année=1987|pages=48-50 |issn=0336-0326|lire en ligne=https://cds38.org/wp/wp-content/uploads/2020/10/Scialet-16.pdf}}.
* {{Article|auteur1=Gilbert Bohec|auteur institutionnel=
Fédération française de spéléologie|titre=Le scialet des Brumes-Matinales|périodique=Scialet : bulletin du CDS de l'Isère|lieu=Grenoble|éditeur=Comité départemental de spéléologie de l'Isère|numéro=17|année=1988|pages=40-55 |issn=0336-0326|lire en ligne=https://cds38.org/wp/wp-content/uploads/2020/10/Scialet-17.pdf|consulté le=19 septembre 2020}}.
* {{Ouvrage|auteur1=Jean Philippe Grancolas|auteur institutionnel=Club Spéléo Tritons|titre=Moucherolle souterraine|lieu=Lyon|éditeur=Comité départemental de spéléologie du Rhône|année=1988|format=pdf|isbn=|issn=0755-8813|lire en ligne=http://archivescds69.cdspeleo69.fr/Speleo_Dossiers/SD_HS_88.pdf|consulté le=5 janvier 2017}}.
* {{Article|auteur1=Gilbert Bohec|auteur institutionnel=Fédération française de spéléologie|titre=Le scialet du Blizzard|périodique=Scialet : bulletin du CDS de l'Isère|lieu=Grenoble|éditeur=Comité départemental de spéléologie de l'Isère|numéro=18|année=1989|pages=73-79 |issn=0336-0326|lire en ligne=https://cds38.org/wp/wp-content/uploads/2020/10/Scialet-18.pdf}}.
* {{Article|auteur1=Gilbert Bohec|auteur institutionnel=Fédération française de spéléologie|titre=Le scialet du Silence|périodique=Scialet : bulletin du CDS de l'Isère|lieu=Grenoble|éditeur=Comité départemental de spéléologie de l'Isère|numéro=19|année=1990|pages=32-38 |issn=0336-0326|lire en ligne=https://cds38.org/wp/wp-content/uploads/2011/10/scialet19.pdf}}.
* {{Article|auteur1=Gilbert Bohec|auteur institutionnel=Fédération française de spéléologie|titre=Le scialet des Nuits-Blanches|périodique=Scialet : bulletin du CDS de l'Isère|lieu=Grenoble|éditeur=Comité départemental de spéléologie de l'Isère|numéro=20|année=1991|pages=43-53 |issn=0336-0326|lire en ligne=https://cds38.org/wp/wp-content/uploads/2011/10/scialet20.pdf}}.
* {{Article|auteur1=CDS 93|auteur institutionnel=Fédération française de spéléologie|titre=Deuxième jonction Brumes-Matinales Blizzard|périodique=Scialet : bulletin du CDS de l'Isère|lieu=Grenoble|éditeur=Comité départemental de spéléologie de l'Isère|numéro=21|année=1992|pages=53-55 |issn=0336-0326|lire en ligne=https://cds38.org/wp/wp-content/uploads/2011/10/scialet21.pdf}}.
* {{Article|auteur1=Frederic Poggia|auteur institutionnel=Fédération française de spéléologie|titre=Plongées en vercors et ardèche|sous-titre=scialet des Nuits Blanches|périodique=Scialet : bulletin du CDS de l'Isère|lieu=Grenoble|éditeur=Comité départemental de spéléologie de l'Isère|numéro=21|année=1992|pages=204|issn=0336-0326|lire en ligne=https://cds38.org/wp/wp-content/uploads/2011/10/scialet21.pdf}}.
* {{Article|auteur=Jean Philippe Grancolas|auteur institutionnel=Club Spéléo Tritons|titre=Grotte des Deux Soeurs|sous-titre=réseau des Grenoblois|numéro=23|périodique=Spéléo dossiers|lieu=Lyon|éditeur=Comité départemental de spéléologie du Rhône|année=1991-1992|pages=83-89|format=pdf|issn=0755-8813|lire en ligne=http://archivescds69.cdspeleo69.fr/Speleo_Dossiers/SD23.pdf|consulté le=27 septembre 2020}}.
* {{Article|auteur1=Cédric Clary|auteur2=Thierry Krattinger|auteur3=Nicolas Renous|auteur institutionnel=Fédération française de spéléologie|titre=Réseaux supérieurs du Clot d'Aspres|sous-titre=Contribution à l'inventaire des cavités et à l'étude du bassin d'alimentation de Goule blanche|périodique=Les spéléos drômois : bulletin périodique du comité départemental de spéléologie de la Drôme|lieu=Valence|éditeur=Comité départemental de spéléologie de la Drôme|numéro=10|année=1994|pages=73-123|issn=0991-0735|lire en ligne=https://www.dropbox.com/s/q08menct5qfqu53/LSD%20n%C2%B010-1994-R%C3%A9seaux%20sup%C3%A9rieurs%20du%20Clot%20d%27Aspres%202%282%29.pdf?dl=0|consulté le=23 septembre 2020}}.
* {{Article|auteur1=Gilbert Bohec|auteur institutionnel=Fédération française de spéléologie|titre=Exploration de l'amont du scialet du Blizzard|périodique=Scialet : bulletin du CDS de l'Isère|lieu=Grenoble|éditeur=Comité départemental de spéléologie de l'Isère|numéro=23|année=1994|pages=18-19 |issn=0336-0326|lire en ligne=https://cds38.org/wp/wp-content/uploads/2020/10/scialet-23.pdf|consulté le=19 septembre 2020}}.
* {{Article|auteur1=Alain Maurice|auteur institutionnel=Fédération française de spéléologie|titre=Les amonts du Blizzard|périodique=Scialet : bulletin du CDS de l'Isère|lieu=Grenoble|éditeur=Comité départemental de spéléologie de l'Isère|numéro=24|année=1995|pages=39-42 |issn=0336-0326|lire en ligne=https://cds38.org/wp/wp-content/uploads/2020/10/scialet-24.pdf|consulté le=20 septembre 2020}}.
* {{Article|auteur1=Gilbert Bohec|auteur institutionnel=Fédération française de spéléologie|titre=Le réseau du Clot d'Aspres|périodique=Spelunca. |lieu=Paris|éditeur=Fédération française de spéléologie|numéro=61|année=1996|pages=13-22|issn=0249-0544 |lire en ligne=https://spelunca.ffspeleo.fr/199603_Spelunca_061.pdf|consulté le=18 septembre 2016}}.
* {{Ouvrage|auteur1=Jean-Jacques Delannoy|titre=Recherches géomorphologiques sur les massifs karstiques du Vercors et de la transversale de Ronda (Andalousie)|sous-titre=les apports morphogéniques du karst|lieu=Lille|éditeur=[[Atelier national de reproduction des thèses]]|collection=Thèses à la carte|nature ouvrage=Thèse d’état : Géographie : Grenoble 1|année=1997|pages totales=678|format livre=24 cm|passage=251-265|isbn=2-284-00526-8|lire en ligne=https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00691560|consulté le=29 septembre 2020}}
* {{Article|auteur1=Christophe Arnoud|auteur institutionnel=Fédération française de spéléologie|titre=Bilan d'activités d'une crise de motivation|périodique=Scialet : bulletin du CDS de l'Isère|lieu=Grenoble|éditeur=Comité départemental de spéléologie de l'Isère|numéro=28|année=1999|pages=29-31 |issn=0336-0326|lire en ligne=https://cds38.org/wp/wp-content/uploads/2020/10/scialet-28.pdf|consulté le=20 septembre 2020}}.
* {{Ouvrage|langue=fr|prénom1=Serge|nom1=Caillault|prénom2=Dominique|nom2=Haffner|prénom3=Thierry|nom3=Krattinger|prénom4=Jean Jacques|nom4=Delannoy|titre=Spéléo sportive dans le Vercors-Tome 2|lieu=Aix-en-Provence|éditeur=[[Édisud|Edisud]]|année=1999|mois=avril|pages=17-62|isbn=2-7449-0088-5}}.
* {{Article|auteur1=Bernard Vidal|auteur2=Denis Delamarre|auteur3=Jean-François Gaucher|auteur4=Gilbert Bohec|auteur institutionnel=
Fédération française de spéléologie|titre=Scialet du Silence-réseau du {{7e}} Art et planches dans le secteur du Silence|périodique=Scialet : bulletin du CDS de l'Isère|lieu=Grenoble|éditeur=Comité départemental de spéléologie de l'Isère|numéro=30|année=2001|pages=54-59 |issn=0336-0326|lire en ligne=https://cds38.org/wp/wp-content/uploads/2020/11/scialet-30.pdf|consulté le=20 septembre 2020}}.
* {{Article|auteur1=Martin Gerbaux|auteur institutionnel=Fédération française de spéléologie|titre=Scialet des Nuits-Blanches, réseau de Vlad|périodique=Scialet : bulletin du CDS de l'Isère|lieu=Grenoble|éditeur=Comité départemental de spéléologie de l'Isère|numéro=31|année=2002|pages= 44-46|issn=0336-0326|lire en ligne=https://cds38.org/wp/wp-content/uploads/2020/11/scialet-31.pdf|consulté le=20 septembre 2020}}.
* {{Article|auteur1=Martin Gerbaux|auteur2=Jean Héraud|auteur3=Lionel Revil|auteur institutionnel=Fédération française de spéléologie|titre=Scialet des Nuits Blanches et Scialet du Silence|périodique=Scialet : bulletin du CDS de l'Isère|lieu=Grenoble|éditeur=Comité départemental de spéléologie de l'Isère|numéro=32|année=2003|pages=49-55 |issn=0336-0326|lire en ligne=https://cds38.org/wp/wp-content/uploads/2020/11/scialet-32.pdf|consulté le=20 septembre 2020}}.
* {{Article|auteur1=Lionel Revil|auteur institutionnel=Fédération française de spéléologie|titre=Scialet des Nuits Blanches-Réseau des trois gelés|périodique=Scialet : bulletin du CDS de l'Isère|lieu=Grenoble|éditeur=Comité départemental de spéléologie de l'Isère|numéro=33|année=2004|page=42|issn=0336-0326|lire en ligne=https://cds38.org/wp/wp-content/uploads/2020/11/scialet-33.pdf|consulté le=20 septembre 2020}}.
* {{Article|auteur1=Alain Figuier|auteur institutionnel=Fédération française de spéléologie|titre=Grotte des Deux-Sœurs|périodique=Scialet : bulletin du CDS de l'Isère|lieu=Grenoble|éditeur=Comité départemental de spéléologie de l'Isère|numéro=35|année=2006|pages=34-36 |issn=0336-0326|lire en ligne=https://cds38.org/wp/wp-content/uploads/2020/11/scialet-35.pdf|consulté le=20 septembre 2020}}.
* {{Article|auteur1=Jean Héraud|auteur institutionnel=Fédération française de spéléologie|titre=Nuits-Blanches|périodique=Scialet : bulletin du CDS de l'Isère|lieu=Grenoble|éditeur=Comité départemental de spéléologie de l'Isère|numéro=36|année=2007|pages=24-31 |issn=0336-0326|lire en ligne=https://cds38.org/wp/wp-content/uploads/2020/11/scialet-36.pdf|consulté le=20 septembre 2020}}.
* {{Article|auteur1=Robert Crozier|auteur2=Jean-Philippe Grandcolas|auteur institutionnel=Fédération française de spéléologie|titre=Le scialet du Mistral|périodique=Scialet : bulletin du CDS de l'Isère|lieu=Grenoble|éditeur=Comité départemental de spéléologie de l'Isère|numéro=37|année=2008|pages= 32|issn=0336-0326|lire en ligne=https://cds38.org/wp/wp-content/uploads/2023/03/scialet-37-V5.pdf|consulté le=19 septembre 2020}}.
* {{Article|auteur1=Martin Gerbaux|auteur2=Jean Héraud|auteur3=Pascal Collet|auteur4=Gilbert Bohec|auteur institutionnel=Fédération française de spéléologie|titre=Le réseau du clot d'Aspres, un nouveau -{{formatnum:1000}} sur le Vercors|périodique=Scialet : bulletin du CDS de l'Isère|lieu=Grenoble|éditeur=Comité départemental de spéléologie de l'Isère|numéro=37|année=2008|pages=17-20|issn=0336-0326|lire en ligne=https://cds38.org/wp/wp-content/uploads/2023/03/scialet-37-V5.pdf|consulté le=19 septembre 2020}}.
* {{Ouvrage|langue=fr|auteur1=Gilbert Bohec|titre=Le réseau souterrain du Clot d'Aspres|éditeur=Généalogie et histoire locale|collection=Les cahiers du Peuil|année=2008|format livre=30 cm|isbn=|issn=1256-6314}}
* {{Article|auteur=Jean-Louis Dabène|auteur institutionnel=Fédération française de spéléologie|titre=La grotte Agnès|périodique=Scialet : bulletin du CDS de l'Isère|lieu=Grenoble|éditeur=Comité départemental de spéléologie de l'Isère|numéro=38|année=2009|pages=57 |issn=0336-0326|lire en ligne=https://cds38.org/wp/wp-content/uploads/2022/05/scialet-38.pdf|consulté le=20 septembre 2020}}.
*{{Article|auteur= Guy Lamure|auteur institutionnel=Fédération française de spéléologie|titre=Compléments à l'inventaire de la Moucherolle & la grotte du clot d'aspres|périodique=Spéléo-dossiers|lieu=Lyon|éditeur=Comité départemental de spéléologie du Rhône|numéro=37|année=2012|pages=44-54 & 55-59|issn=0755-8813|lire en ligne=http://archivescds69.cdspeleo69.fr/Speleo_Dossiers/SD37.pdf|format=pdf|consulté le=6 janvier 2016}}.
* {{Article|auteur=Clément Garnier|auteur institutionnel=Fédération française de spéléologie|titre=Recherches sur le vallon de la Fauge 2015|sous-titre=scialet Jeunesse d'automne|périodique=Scialet : bulletin du CDS de l'Isère|lieu=Grenoble|éditeur=Comité départemental de spéléologie de l'Isère|numéro=44|année=2015|pages=5-22 |issn=0336-0326|lire en ligne=https://www.dropbox.com/s/1mjlrgywzdd4xqd/scialet%20n%C2%B044.pdf?dl=0|consulté le=23 septembre 2020}}.
* {{Article|auteur=Clément Garnier|titre=Réseau du Clot d'Aspres|périodique=Spéléo |lieu=Corenc|éditeur=Spéléo magazine|numéro= 95|année= septembre 2016|pages=20-22|issn=1629-1573|consulté le =17 octobre 2016}}.
* {{Article|auteur=Clément Garnier|auteur institutionnel=Fédération française de spéléologie|titre=Vallon de la Fauge |sous-titre=scialet des Nuits Blanches et scialet Jeunesse d'automne|périodique=Scialet : bulletin du CDS de l'Isère|lieu=Grenoble|éditeur=Comité départemental de spéléologie de l'Isère|numéro=45|année=2016|pages=22-23 |issn=0336-0326|lire en ligne=https://www.dropbox.com/s/b41lali354c0yzk/scialet%20n%C2%B045.pdf?dl=0}}
* {{Article|auteur=Clément Garnier|auteur institutionnel=Fédération française de spéléologie|titre=Les explorations en cours au vallon de la Fauge |sous-titre=Jeunesse d'automne: bientôt l'extérieur|périodique=Scialet : bulletin du CDS de l'Isère|lieu=Grenoble|éditeur=Comité départemental de spéléologie de l'Isère|numéro=46|année=2017|pages=5-7|issn=0336-0326|lire en ligne=https://cds38.org/wp/wp-content/uploads/2024/04/SCIALET_46.pdf}}
* {{Article|auteur=Barnabé Fourgous|titre=Brèves de l'Association Spéléo Vercors-le P200|périodique=Scialet : bulletin du CDS de l'Isère|lieu=Grenoble|éditeur=Comité départemental de spéléologie de l'Isère|numéro=48|année=2019|pages=5-7|issn=0336-0326|format=pdf}}.
* {{Article|auteur=Clément Garnier|titre=Clot d'Aspres-Les dessous du Vercors|périodique=[[L'Alpe]] |lieu=Grenoble|éditeur=Glénat|numéro= 96|date= Printemps 2022|pages=58-63|présentation en ligne=https://www.lalpe.com/|isbn=978-2-344-05145-0|consulté le =28 février 2022}}.
* {{Ouvrage|auteur=Clément Garnier|titre=Azimut 0°, l'aval du Clot d'Aspres, 30 ans d'exploration spéléo|lieu=Grenoble|éditeur=Comité départemental de spéléologie de l'Isère|date= janvier 2022|pages totales=172|isbn=978-2-902670-78-9|présentation en ligne=https://cds38.org/wp/wp-content/uploads/2022/02/Affiche-sortie-livre-Clot-dAspres.jpg|consulté le =28 février 2022}}.
* {{Article|auteur=Clément Garnier|titre=Tentatives pour trouver une nouvelle entrée au réseau du Clot d'Asppres dans les amonts du scialet Jeunesse d'Automne|périodique=Scialet : bulletin du CDS de l'Isère|lieu=Grenoble|éditeur=Comité départemental de spéléologie de l'Isère|numéro=49|année=2020|pages=35-39|issn=0336-0326|format=pdf}}.
* {{Article|auteur=Gilbert Bohec|titre=Le scialet du Mistral|périodique=Scialet : bulletin du CDS de l'Isère|lieu=Grenoble|éditeur=Comité départemental de spéléologie de l'Isère|numéro=49|année=2020|pages=25-28|issn=0336-0326|format=pdf}}.

=== Liens externes ===
*{{lien web|titre= Situation des cavités du Vercors (en vert pour le Clot d'Aspres)|url= https://www.google.com/maps/d/viewer?mid=1wPDliSqCtwkOb8QiNr_jzfYfOzw&hl=en_US}} sur google.com/maps.
*{{Vidéo}}Geneviève Rouillon/Guy Meauxsonne {{lien vidéo|date=2015|titre=Le Vallon de la Fauge 1:Géomorphologie|url=http://vercorstv.wmaker.tv/Le-Vallon-de-la-Fauge-1-Geomorphologie_v841.html |consulté le =14 mai 2017|medium=6 min 44 s}}, hébergé sur VercorsTV.
*{{lien web|titre= Vallon de La Fauge et Crête des Jaux|url= http://www.geol-alp.com/h_vercors/lieux_vercors/la_fauge.html#clotdaspres|site=geo-alp.com|consulté le=9 juillet 2017}}.
*{{vidéo}} {{lien vidéo|people=Clément Garnier|titre=Azimut 0°, l'aval du Clot d'Aspres, 30 ans d'exploration spéléo|lieu=Grenoble|date= janvier 2022|éditeur=[[Youtube]]|url=https://www.youtube.com/watch?v=j4_Lvmy2ESA|consulté le =14 mars 2022|extrait={{Heure||3|02}}}}.

=== Articles connexes ===

* [[Massif du Vercors]]
* [[Villard-de-Lans]]
* [[La Grande Moucherolle]]
* [[Liste des cavités naturelles les plus longues de l'Isère]]
* [[Liste des cavités naturelles les plus profondes de l'Isère]]
* [[Scialet Candy]]
{{Palette|Grandes cavités mondiales}}

{{Portail|Isère|spéléologie|géologie}}

{{DEFAULTSORT:Clot d'Aspres}}
[[Catégorie:Gouffre en France]]
[[Catégorie:Grotte du massif du Vercors]]
[[Catégorie:Grotte en Isère]]