Voir la source de Règle de saint Albert

[[Fichier:Alberto Avog.JPG|thumb|Icône de saint [[Albert de Jérusalem|Albert]], [[Patriarche de Jérusalem|patriarche latin de Jérusalem]].]]
La '''règle de saint Albert''' est une charte de vie, rédigée par saint [[Albert de Jérusalem]] ([[Patriarche de Jérusalem|patriarche latin de Jérusalem]]) à la demande des [[ermite]]s installés sur les pentes du [[mont Carmel]] vers [[1209]]. 
Ce texte reprend des éléments de la [[règle de saint Augustin]], qui était alors la plus adaptée à la [[vie contemplative]] pour des ermites. 

Cette règle, en 1247, a été adaptée au mode de vie monastique des carmes réfugiés en Europe. Elle subit au cours des siècles plusieurs mitigations, mais les réformes de l'[[ordre du Carmel]] ramènent les différentes branches de l'ordre à se réapproprier la {{Citation|règle initiale}}. Cette règle de saint Albert est toujours en usage comme '''règle du Carmel''' (dans sa version de 1247) ; un texte de {{Citation|constitutions}} se charge de définir toutes les situations non prévues par la règle initiale.

==Histoire de la règle de Saint Albert==
===Origine===
[[Fichier:Saint Brocard et Saint Albert.jpg|thumb|Vitrail de la chapelle [[Notre-Dame du Mont-Carmel]] représentant [[Brocard du mont Carmel|saint Brocard]] et saint [[Albert de Jérusalem|Albert Avogadro]], carmel de Middletown, NY, USA.]]

La règle de saint Albert est une charte de vie carmélitaine, en vingt-quatre principes, rédigée à la demande des [[ermite]]s latins installés sur les pentes du [[mont Carmel]] en [[Palestine (région)|Palestine]] durant les [[croisade]]s. Cette règle primitive a été écrite par saint [[Albert de Jérusalem]]<ref group="Note" name="Comput">alors [[Patriarche de Jérusalem|Patriarche latin de Jérusalem]], vers [[1209]] (la date de [[1205]] est parfois évoquée pour le début de rédaction de la règle). Cette règle aurait été remise au supérieur de l'[[Ordre du Carmel]]</ref>. La mise en place de ce texte transforme la petite communauté d'ermites en un véritable {{Citation|Ordre au sens canonique du terme}}<ref name="SteinmannP28">{{harvsp|Steinmann|1963|p=28}}.</ref>. Cette règle est confirmée une première fois par le pape en 1226 puis en 1229<ref name="SteinmannP29"/>.

À la suite de la reconquête du [[royaume de Jérusalem]] par les [[Sultanat mamelouk d'Égypte|mamelouk]]s, puis de la perte de [[Saint-Jean-d'Acre]] par les [[croisé]]s, les ermites du mont Carmel se réfugient en Europe. Le pape [[Innocent IV]] en [[1247]] modifie légèrement cette règle pour l’adapter à la vie de religieux mendiants vivant dans des couvents en ville au lieu d'ermitages sur le mont Carmel<ref group="E" name="carmeXIIIs">Chapitre {{Citation|Les Carmes au {{XIIIe}} siècle}}.</ref>. La ''Règle du Carmel'', adaptée par [[Innocent IV]], est mitigée par [[Eugène IV]] en [[1432]] à la suite de la demande de certains moines<ref group="E" name="carmeXVs">Chapitre « Les Carmes au {{XVe}} siècle ».</ref>. Par la suite, de nombreux Carmes vont tenter de revenir sur les mitigations mises en œuvre sur la règle afin de {{Citation|retrouver les rigueurs primitives de la règle}}. Ce sera l'objet des multiples tentatives de réformes du {{s|XV}} au {{s|XVII}}<ref group=N>Voir le chapitre [[Grands_carmes#Les_tentatives_de_r.C3.A9formes|Les Tentatives de Réformes]].</ref>. Une des réformes ayant marqué l'histoire est la réforme thérésienne (menée par [[Thérèse d'Avila]]), qui a amené à la formation de l'[[ordre des Carmes déchaux]]<ref group=N>Voir le chapitre [[Ordre des Carmes déchaux#La réforme thérésienne du Carmel|La réforme thérésienne du Carmel]].</ref>.

Cette règle fait partie des dernières grandes règles monastiques mises en place, après celles de [[Règle de saint Augustin|saint Augustin]] et de [[Règle de saint Benoît|saint Benoît]]<ref group=N>La [[règle de Saint-Dominique]] et la [[règle de saint François]] ont été mises en place dans la même période : au début du {{s|XIII}}.</ref>.

=== Historique des évolutions de la règle ===
* Au début du {{s|XIII}}, [[Brocard du mont Carmel|saint Brocard]], le supérieur des ermites installé sur le mont Carmel, demande au [[Patriarche latin de Jérusalem]], saint [[Albert de Jérusalem|Albert Avogadro]], de fournir au groupe d'ermites une règle de la vie écrite<ref  group="E"  name="regle">Chapitre ''Plans annoté du Mont Carmel / Le couvent de Saint-Brocard à Wadi Siach (on le date de 1263)''.</ref>. Cette règle datée de [[1209]], définit le mode de vie des ermites, mais elle n'est pas en tant que telle une {{Citation|règle de vie monastique}}<ref name="carmelasso1">{{Lien web |langue=fr |auteur= |lien auteur= |coauteurs= |url=http://www.carmel.asso.fr/Les-origines-sur-le-Mont-Carmel.html|titre=Les origines sur le Mont Carmel |série= |jour= |mois= |année= |site= Le Carmel en France, par l’[[Ordre des Carmes Déchaux]] (France) : Provinces de Paris et d’Avignon-Aquitaine|éditeur=carmel.asso.fr|isbn= |page= |citation= |en ligne le= |consulté le= 7 août 2013 |id= }}.</ref> (car elle s'adresse à des [[ermite]]s, non des [[moine]]s vivant en commun). Cette règle a alors le statut de {{Citation|formula vitae}}.
* Le {{date|6|mars|1229}}, le pape [[Grégoire IX]] reconfirme la règle des carmes en y apportant une légère modification concernant la vertu de [[pauvreté évangélique]] qui doit s'appliquer aux frères et à la communauté (c'est-à-dire que la communauté monastique n'a pas le droit de posséder des bien, maisons, terres ou rentes)<ref group=N>Cette modification, issue de la [[règle de saint Dominique]], fait rentrer l'ordre des carmes dans la famille des ordres mendiants.</ref>. La règle de saint Albert obtient alors le statut de « regula bullata » (accordé par le pape)<ref name="SteinmannP29">{{harvsp|Steinmann|1963|p=29-30}}.</ref>.
* À la suite du chapitre général de l'ordre à [[Aylesford (Kent)|Aylesford]] (Angleterre), autour de [[1247]], les carmes envoient deux frères à [[Lyon]] afin de solliciter le pape [[Innocent IV]] pour une adaptation de leur règle primitive aux contraintes de la vie monachique en Europe (au lieu d'une vie érémitique sur le [[mont Carmel]]). En réponse à cette demande, le pape [[Innocent IV]] missionne deux [[Ordre des Prêcheurs|dominicains]] pour réviser la règle, après quoi, le {{date|1|octobre|1247}}, dans la bulle « Quae honorem Conditoris omnium », le pape [[Innocent IV]] fixe les contours définitifs de la Règle du Carmel<ref name="SteinmannP34">{{harvsp|Steinmann|1963|p=34}}.</ref>. C'est cette version de la règle qui sera considérée comme {{Citation|la règle primitive du Carmel}} lors des différentes réformes de l'ordre<ref group=N>Que ce soit par [[Jean Soreth]], [[Thérèse d'Avila]] ou d'autres.</ref>. Cette mise à jour de la règle intègre également quelques précisions et corrections sur des points douteux de la règle, et atténue quelques sévérités contenues dans la règle initiale (la {{Citation|Regula bullata}})<ref group=N>Par ce nouveau texte, le pape [[Innocent IV]] commence le processus d'assimilation des Carmes au statut d'[[ordre mendiant]] (statut partagé avec les [[Ordre des Prêcheurs|Dominicains]], les [[Ordre des frères mineurs|Franciscains]] et les [[Augustins]]).</ref>. Les corrections, peu nombreuses, concernent surtout l'organisation extérieure de l'Ordre et ponctuellement, la règle du silence qui est abrégée). Rien n'indique pour l'instant la mission d’[[apostolat]] (cura animarum) qui sera rajoutée ultérieurement<ref name="SteinmannP34"/>.
* Le {{date|3|février|1256}} le texte de la règle est à nouveau confirmé par [[Alexandre IV (pape)|Alexandre IV]].
* Le {{date|22|mai|1262}} [[Urbain IV]] renouvelle cette confirmation de la règle.
* Le {{date|1|juillet|1269}} [[Nicolas IV]] réédite cette confirmation<ref group="N">Bien qu'indiqué dans une source du Carmel, il semble y avoir une coquille, au moins dans la date, le pape [[Nicolas IV]] ayant régné 20 ans plus tard. L'année [[1269]] correspond à [[Urbain V]].</ref>.
* En [[1317]], le pape [[Jean XXII]] accorde aux Carmes l'exemption totale de la juridiction épiscopale (liberté vis-à-vis de l'évêque du lieu). 
* En [[1326]], le pape [[Jean XXII]] assimile définitivement les Carmes aux autres ordres mendiants de l'époque, permettant ainsi aux Carmes de prêcher, enseigner et confesser dans l’Église<ref group="E" name="carmeXIIIs"/>.
* En [[1435]], et en réponse à une demande de mitigation de la règle faite par les Carmes, le pape [[Eugène IV]] via la bulle « Romani Pontificis » (datée du {{date-|15 février 1432}} soit la date de la demande) accorde aux Carmes de pouvoir {{citation|librement et licitement demeurer et se promener "dans leurs églises, et dans les cloîtres de celles-ci et dans les lieux y attenant aux heures convenables", en outre, il donne la faculté de manger de la chair trois jours par semaine, excepté durant l'Avent et le Carême ainsi qu'aux autres jours où cela est généralement prohibé.}}<ref group="E" name="carmeXVs"/>.
* Le {{date|5|décembre|1469}}, le pape [[Pie II]] concède au prieur général de l'Ordre la faculté de dispenser du jeûne aux jours où l'abstinence était levée.
* Le {{date|28|novembre|1476}}, le pape [[Sixte IV]] accorde, par la bulle « Dum attente meditatatione », des libertés plus grandes appelées communément « Mare magnum », qui octroient de nombreux avantages aux ordres mendiants.
* En [[1562]], [[Thérèse d'Avila]] fonde un premier couvent de carmélites réformée revenant à {{Citation|la règle primitive}}. C'est le début du mouvement de réforme thérésien qui amènera à la création de l'[[Ordre des Carmes déchaux]]<ref>{{harvsp|Steinmann|1963|p=82-104}}.</ref>
* En [[1783]], le pape [[Pie VI]] incorpore définitivement la mitigation (des carmes chaussés)<ref group=N name="mitig">La mitigation de la règle était essentiellement contenue dans les Constitution de l'Ordre, les constitutions assouplissant la règle de saint Albert.</ref> à la règle de l'Ordre des Grands Carmes<ref  group="E" name="carmeXVs"/>.
* En 1889, les Grands Carmes réécrivent la règle carmélitaine d'après la règle de la [[Réforme de Touraine]] (donc une règle peu mitigée). Après une dernière révision, cette règle est mise en place en 1904, unifiant tous les couvents de l'ordre sous la même règle<ref name="cv184">{{harvsp|Steinmann|1963|p=184-185}}.</ref>.
* En 1935, les carmélites chaussées reprennent la même règle que les frères carmes, appliquant une unité de pratique (de règle) dans tous les couvents de l'ordre<ref name="cv184"/>.

À noter que différentes réformes du {{s-|XV}} au {{s-|XVII}}, telle la [[Réforme de Touraine]], visaient une réforme des Constitutions de l'ordre, et non la règle elle-même<ref group=N name="mitig"/>.

===Importance de la règle aujourd'hui===
La règle de saint Albert continue d'être appliquée (avec quelques adaptations) aujourd'hui dans l'[[ordre du Carmel]], tant dans la branche historique de l'ordre (les [[Grands Carmes]]), que chez les carmes réformés par Thérèse d'Avila (l'[[ordre des Carmes déchaux]]). Si les carmes déchaux ont repris la règle de saint Albert {{Citation|dans toute sa rigueur}} lors de la fondation du premier couvent par Thérèse<ref>{{Lien web |langue=fr |auteur= |lien auteur= |coauteurs= |url=http://www.carmel.asso.fr/La-reforme-theresienne-au-16e.html|titre=La réforme thérésienne au {{s-|16}} en Espagne|série= |jour= |mois= |année= |site= Le Carmel en France, par l'Ordre des Carmes déchaux (France) : Provinces de Paris et d’Avignon-Aquitaine|éditeur=carmel.asso.fr|isbn= |page= |citation= |en ligne le= |consulté le= 7 avril 2016 |id= }}.</ref>, les carmes chaussés sont également revenus à la règle initiale lors de leur dernière réforme (entre 1889 et 1902, et en 1925 pour les carmélites)<ref name="cv184"/>. Cette règle<ref group=N>Nous faisons ici référence à la règle modifiée en 1247 par le pape [[Innocent IV]].</ref> est donc toujours en service chez les carmes et les carmélites (les constitutions de l'ordre se chargeant de préciser les points non abordés dans la règle).

Chez les laïcs rattachés à l'Ordre du Carmel, la règle de saint Albert est toujours rappelée en en-tête des constitutions de l'ordre (laïque), montrant la prééminence (et l'enracinement) des constitutions propres dans la règle érémitique établie par saint Albert<ref>Exemple dans l'[[OCDS]] : {{Lien web|langue=fr|url=http://www.ocd.pcn.net/ocds_Afr.htm|titre= Règle de saint Albert et les constitutions de l'Ordre Séculier du Carmel Thérésien|série=
|auteur=Luis Arostegui Gamboa ocd|lien auteur=|coauteurs=|jour=16|mois=septembre|année=2003|site=Carmes Déchaux, Curie Générale du Carmel Thérésien |éditeur=ocd.pcn.net|page=|citation=|en ligne le=|consulté le=7 avril 2016|id=}}.</ref>.

== Contenu ==
Ce texte court de 24 paragraphes reprend des éléments de la [[règle de saint Augustin]] qui était alors la plus adaptée pour la [[vie contemplative]] des [[ermite]]s du [[mont Carmel]]. Albert accentue le caractère fraternel de la règle carmélitaine. Il insiste également sur le fait que les biens sont communs à tous, et qu'aucun frère ne doit avoir de biens en propre<ref name="magnificat">{{Ouvrage|langue=fr|titre=Magnificat|sous-titre=Septembre 2012 N° 238|éditeur=[[Magnificat (mensuel)|Magnificat]]|année=2012|passage=p. 220 Martyrologe de saint Albert de Jérusalem|isbn=}}.</ref>. La règle de saint Albert s'appuie aussi largement sur la [[Bible]] qu'elle cite abondamment, directement ou indirectement, aussi bien dans le [[Nouveau Testament]] que dans l'[[Ancien Testament]]<ref group=N>Se reporter au document sur les constitutions de l'[[OCDS]] qui reprend le texte de la règle en y intégrant les références bibliques ([http://www.ocd.pcn.net/ocds_Afr.htm lire en ligne]).</ref>, sans pour autant citer explicitement ces versets<ref name="regle">{{Lien web|langue=fr|url=http://www.carm-fr.org/approfondir/r%C3%A8gle-de-saint-albert|titre=Règle de saint Albert|série=|auteur=|lien auteur=|coauteurs=|jour=|mois=|année=2013|site=Les Grands Carmes en France|éditeur=carm-fr.org|page=|citation=|en ligne le=|consulté le=7 avril 2016|id=}}.</ref>. 

La règle aborde les points suivants :
* la nomination et l'obéissance au Prieur de la communauté<ref>{{§|4}} de la règle.</ref> ;
* le choix des lieux de vie (désert ou habitation qui leur est donnée)<ref>{{§|5}} de la règle.</ref> ;
* l'individualisation de la cellule du moine<ref>{{§|6}} de la règle.</ref> ;
* le repas en commun sous l'[[Écoute (thème biblique)|écoute de la parole de Dieu]]<ref>{{§|7}} de la règle.</ref> ;
* la prière continue, méditée nuit et jour, sauf quand le moine est occupé à des tâches matérielles justifiées<ref>{{§|10,11 et 20}} de la règle.</ref> ;
* le renoncement à toute propriété individuelle ou collective<ref>{{§|12 et 13}} de la règle.</ref> ;
* l'établissement d'une chapelle ou oratoire au milieu des cellules<ref>{{§|14}} de la règle.</ref> ;
* l'écoute et la [[correction fraternelle]]<ref>{{§|15}} de la règle.</ref> ;
* le jeûne journalier<ref group=N>Le {{Citation|jeûne}} évoqué ici signifie de ne se nourrir que de pain et d'eau. Il ne s'agit pas de rester sans manger.</ref> sauf le dimanche et au cours de la période allant de la fête de l'Exaltation de la [[Vraie Croix|Sainte Croix]] jusqu'au jour de [[Pâques]]. La faiblesse physique ou la maladie dispensent du jeûne (la viande pouvant être prise pour retrouver des forces et guérir)<ref>{{§|16}} de la règle.</ref>. En voyage, le carme prendra le repas qui lui sera donné sans suivre de règle particulière<ref>{{§|17}} de la règle.</ref> ;
* l'occupation par le travail, pour vivre du fruit de son labeur<ref>{{§|20}} de la règle.</ref> ;
* le nécessaire silence pour rester dans l'humilité et la vertu<ref>{{§|21}} de la règle.</ref>.

La référence à un frère {{Citation|B.}} dans la règle ({{§|1 et 21}}), prieur de l'ordre au moment de l'établissement de cette règle, a été interprété dans la tradition carmélitaine comme une référence à [[Brocard du mont Carmel|Brocard]], second prieur de l'ordre (d'après cette même tradition)<ref name="SteinmannP28"/>.

== L'ordre du Carmel ==
[[Fichier:CoA Order of Carmelites.jpg|thumb|Blason du Carmel, reprenant une partie de sa devise : {{Citation|Je suis rempli d’un zèle jaloux pour le Seigneur Sabaot !}} ({{Réf Bible|1R|19|14|display=court|auteur=Crampon}}) {{Citation|Il est vivant le Seigneur devant qui je me tiens}}. ({{Réf Bible|1R|18|15|display=court|auteur=Crampon}}) .]]
{{Article détaillé|Ordre du Carmel|Grands Carmes|Ordre des Carmes déchaux}}

== Bibliographie ==
* {{plume}} {{Ouvrage|langue=fr|prénom1=Anne-Elisabeth|nom1=Steinmann|titre=Carmel Vivant|lieu=Paris|éditeur=St Paul|collection=Terre et Louange|année=1963|mois=4{{ème}} trimestre|pages totales=384|consulté le=31 mars 2016}}.
* {{Ouvrage|langue=fr|prénom1=Dominique|nom1=Sterckx|titre=La règle du Carmel|sous-titre=Structure et Esprit, parole de vie pour aujourd'hui|lieu=Toulouse|éditeur=[[Éditions du Carmel]]|collection=Carmel Vivant|année=2006|mois=août|pages totales=463|isbn=978-2-84713-063-8|consulté le=7 avril 2016}}.

== Notes et références ==
=== Notes ===
{{Références |groupe=Note}}
{{references|taille=30|group="N"}} 
=== Références ===
{{Références|taille=30}} 
{{references|taille=30|group="E"}} 

==Annexes==
=== Bibliographie ===
* {{Ouvrage|langue=fr|auteur1=Bruno Secondin|titre=La règle du Carmel|sous-titre=un projet spirituel pour aujourd'hui|éditeur=Paroles et Silence|collection=Grands Carmes|année=2004|mois=mars|pages totales=230|isbn=978-2-84573-180-6|consulté le=16 octobre 2017}}. 

=== Voir aussi ===
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}}
* [[Ordre du Carmel]]
* [[Grands Carmes|Histoire des premiers carmes]]

===Liens externes===
* {{autorité}}
* [http://www.carm-fr.org/approfondir/r%C3%A8gle-de-saint-albert La règle sur le site des Grands Carmes]
* [http://www.ocd.pcn.net/ocds_Afr.htm La règle et les constitutions dépendant des Carmes Déchaux]
* {{lien web|langue=fr|auteur=|lien auteur= |coauteurs= |format=PDF|url=http://abbaye-saint-hilaire-vaucluse.com/De_l%27eremitisme_chretien_d%27Orient,_aux_Carmes_et_Carmelites_d%27Occident.pdf|titre=De l'érémitisme chrétien aux Carmes|série= |jour= |mois= |année= |site=Abbaye St Hilaire du Vaucluse|éditeur=|isbn= |page= |citation= |en ligne le= |consulté le=5 avril 2016}} 

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[[Catégorie:Ordre du Carmel]]