Le Juge d'instruction
Le Juge d'instruction | |
Publication | |
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Auteur | Anton Tchekhov |
Langue | Russe |
Parution | , dans Le Journal de Pétersbourg no 127 |
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Le Juge d'instruction est une nouvelle de six pages d'Anton Tchekhov, publiée en 1887.
Historique
[modifier | modifier le code]Le Juge d'instruction est initialement publié dans la revue russe Le Journal de Pétersbourg, numéro 127, du , sous le pseudonyme A.Tchekhonte[1].
En 2011, Nuri Bilge Ceylan utilise cette nouvelle dans son film Il était une fois en Anatolie[2].
Résumé
[modifier | modifier le code]Un juge raconte à un médecin de campagne une histoire peu ordinaire : une femme avait prévue au jour près sa mort. Enceinte, elle affirmait que cela arriverait après l’accouchement.
Le juge n’a jamais rien trouvé pour expliquer le geste. Le médecin, qui sait qu'il n'y a pas d'effet sans cause, pense qu’elle s’est suicidée par poison. De fil en aiguille, il découvre qu'elle avait découvert l'infidélité de son mari.
Le juge avoue que le mari, c’était lui. Il n’avait jamais imaginé qu'elle pourrait en arriver là. Il est anéanti.
Notes et références
[modifier | modifier le code]- Voir Dictionnaire Tchekhov, page 139, Françoise Darnal-Lesné, Édition L'Harmattan, 2010, (ISBN 978 2 296 11343 5)
- (en) « Pewnego razu w Anatolii (2011) » [vidéo], sur Internet Movie Database (consulté le ).
Édition française
[modifier | modifier le code]- le Juge d'instruction, traduit par Édouard Parayre, Édition Gallimard, Bibliothèque de la Pléiade, 1970 (ISBN 2-07-010550-4)