La Légende de Pendragon
La Légende de Pendragon | |
Auteur | Antal Szerb |
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Pays | Hongrie |
Genre | Roman |
Version originale | |
Langue | Hongrois |
Titre | Rózsakereszt |
Éditeur | Franklin Társulat |
Lieu de parution | Budapest |
Date de parution | |
Version française | |
Traducteur | Natalia Zaremba-Huzsvai et Charles Zaremba |
Éditeur | Alinea |
Lieu de parution | Paris |
Date de parution | |
Type de média | Livre papier |
Nombre de pages | 242 |
ISBN | 2-7401-0000-0 |
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La Légende de Pendragon (titre original : Rózsakereszt) est le premier roman de l'auteur hongrois Antal Szerb, publié en 1934.
Le texte
[modifier | modifier le code]Le roman a paru d'abord en hongrois sous le titre Rózsakereszt, modifié par la suite en A Pendragon legenda. Il est paru pour la première fois en France sous le titre La Légende de Pendragon, corrigé par la suite en La Légende des Pendragon.
Résumé
[modifier | modifier le code]Dans le château de Pendragon, au Pays de Galles, les portes grincent, les lumières s'éteignent, un mystérieux cavalier traverse la pelouse. Le comte de Gwynedd, dans son laboratoire secret, expérimente sur des espèces semi-éteintes. Janos doit endurer la compagnie de Maloney, un Irlandais qui soutient que le Connemara est le siège de la civilisation. Osborne, lui, est l'archétype de l'Anglais de la classe supérieure. Batky, un zoologiste réputé dans sa Budapest natale, apparemment rationnel, est confronté à l'inexplicable et au surnaturel[1].
Analyse
[modifier | modifier le code]Le fascisme dans ses premières manifestations est présent dans l'ouvrage, car Antal Szerb, juif né dans une famille de convertis catholiques, était bien conscient de ce que l'avenir lui réservait[note 1]. Ce n'est qu'à la fin du livre que l'on se rend compte que derrière le pastiche, il y a le sentiment de fragilité humaine à l'égard de forces plus sombres[1].
Références historiques
[modifier | modifier le code]Réception et critiques
[modifier | modifier le code]- Selon Géza Hegedüs (de), La Légende de Pendragon est « l'un des chefs-d'œuvre les plus littéraires de la littérature hongroise. »[2]
- György Poszler (hu) l'a appelé « un chef-d'œuvre philosophique miraculeux. »[3]
Éditions
[modifier | modifier le code]Éditions hongroises
[modifier | modifier le code]Éditions françaises
[modifier | modifier le code]- La Légende de Pendragon, traduction de Natalia Zaremba-Huzsvai et Charles Zaremba, Alinea, 1990
- La légende des Pendragon, traduction par Natalia Zaremba-Huzsvai et Charles Zaremba, édition revue et corrigée, Éditions Viviane Hamy, 2012
Adaptation au cinéma
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Antal Szerb est mort dans un camp de travail en 1945
Références
[modifier | modifier le code]- Paul Bailey.
- (hu) « Szerb antal [a magyar irodalom arcképcsarnoka] », sur oszk.hu (consulté le ).
- György Poszler, Ars poetica, ars teoretica: válogatott tanulmányok, Magvető, 2006, p. 156 lire sur Google Livres
- « A Pendragon legenda » [vidéo], sur PORT.hu (consulté le ).
Bibliographie
[modifier | modifier le code]- (en) Paul Bailey, « The Pendragon Legend, by Antal Szerb, translated by Len Rix », The Independant, .
- (hu) Wirágh András, « A kedvező megvilágítás „hermeneutikája” : Észrevételek A Pendragon legenda olvasandóságáról », Iskolakultúra,