Discussion:Thomas Malory

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Pour la cohérence dans le traitement[modifier le code]

J'ai fait cette traduction pour Archibald Tuttle qui semble fort compétent dans le domaine arthurien; je l'ai placée directement puisque c'était une nouveauté mais désormais je m'abstiendrai de faire de grosses retouches et je me contenterai de les lui communiquer ; je me demande si tout le monde ne devrait pas opérer de la même façon. Je viens en effet de traduire de l'allemand Agnès de Poitou, article fort long et qui souffre, selon moi, d'avoir été écrit par différents auteurs qui ne se sont pas concertés : il existe une contradiction entre les affirmations du début et celles de la fin. Il faudra que le responsable s'affaire à la résoudre. Gustave G. 8 février 2006 à 17:02 (CET)[répondre]

Malory et Boorman[modifier le code]

Critique de l'affirmation : "Le Morte D'Arthur a fourni aussi la substance du film de 1981 de John Boorman, Excalibur, où se retrouvent tous les éléments du livre."
Cette opinion se fonde certainement sur une confiance exagérée dans le générique du film, qui prétend "Excalibur" adapté de "Le Morte Darthur" de Malory.
A l'examen, le film de John Boorman s'en inspire, certes, mais vraiment 1.très librement et, surtout, 2.de manière créative :
1. D'une part, compte tenu de la longueur de l'œuvre écrite (1071 pages en édition française (1) et de sa diversité (Malory inclut jusqu'au roman de Tristan et Iseult), il ne saurait évidemment être question d'adapter cinématographiquement "tous les éléments du livre". Boorman a donc opéré :

  • une multitude de coupes franches, bien trop nombreuses pour être recensées, portant non sur de seuls détails, mais sur des récits substantiels du Malory (Balin et Balan, Tristram et La Beale Isoud - on notera cependant une référence à Tristan dans l'emploi de l'opéra wagnérien correspondant, etc.),
  • et des condensations toujours intelligentes, telles la contraction de l'épée de l'enclume avec Excalibur donnée par la Dame du lac, la confusion de Galaad en Perceval, et parfois audacieuses telles l'assimilation d'Arthur au Roi méhaigné, de Morgan le Fay, Margawse et Nimue en la personne unique de Morgan.

2. Mais, d'autre part, et plus remarquable, des inventions Boormaniennes contrarient toute hypothèse d'auto-limitation du cinéaste à l'adaptation de Malory :

  • Boorman semble s'inspirer d'autres sources, la rencontre Perceval-Lancelot rappelant l'initiation du naïf Perceval à la chevalerie dans le Conte du Graal de Chrétien de Troyes ;
  • Boorman semble inventer - dans le respect du "code Arthurien" : à titre d'exemples non exhaustifs, le duel Arthur-Lancelot et la pêche de Merlin, la tentative d'assassinat de Morgan par Merlin, le "dragon universel", l'énigme du Graal et sa résolution n'ont pas, en l'état de nos connaissances, de précédent.

--André Breton (d) 1 septembre 2008 à 02:32 (CEST)[répondre]

Notes et références[modifier le code]

1 Traduction française de "Le Morte Darthur" : Thomas Malory : Le Roman du Roi Arthur et de ses chevaliers de la table ronde (Le Morte d'Arthur) Traduit de l'anglais par Pierre Goubert . - Librairie de l'Atalante, 2002 . - 1071 p.
2 Texte intégral sur la toile de "Le Morte Darthur" (anglais) :

--André Breton (d) 1 septembre 2008 à 01:53 (CEST)[répondre]

Anoblissement[modifier le code]

Je ne sais pas où vous avez trouvé qu'il a été anobli. Dans Wikipedia en Anglais, il est écrit qu'il aurait été adoubé chevalier, qui ne vaut pas anoblissement en Angleterre. Il n'était d'ailleurs pas stylé "Lord" mais "Sir". E.Polti (discuter) 1 janvier 2021 à 16:21 (CET)[répondre]