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Discussion utilisateur:Timgoure

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                           Timgour
             Par : MOKALEK OTHMANE.


Quand je passe chaque fois par elmijour, Eblouis par cette architecture, cette couleur Quand je passe dans les ruelles, Couvertes, courtes et langes, Soit à tadmait ou à t’azaguakht, Attirer par ce calme en or et cette magie d’être en sécurité Quand je prends un léger repos à coté de la mosquée où souque sidi moussa, Regardons ses vieillards, khoult, l’un a coté de l’autre, Changeant les aides de la vie quotidienne, Quand je m’an vais au jardin de la palmeraie ou à tahatait, Rencontrons dans mon passage, Des amis des proches, au tous simplement des timimouniens, Une seul aidée me passe par la tête, C’est que je sens, que je suis chez moi, chez moi ça veut dire, A timimoun ou Gourara, la vraie la plus ancienne, Gourara le passée le présent et le futur


                                                                    Othmane mokalek






                Les histoires de tante fanna


Tante fanna a la tête pleine d’histoire Les nuits d’été sous un toit dassquef a cote de trois verres de thé, Tante fanna serre dans ses bras un enfant au visage brun, Et lui raconte des histoires

Des hommes des femmes et des enfants Travaillent sous le soleil brûlant, Et des femmes brunes chantent des chants douloureux Sur les rives d’un fleuve puissant, Et doucement ils fondent Dans le flat de la voix de tante fanna, Et doucement ils se fondent, Dans l’ombre mystérieuse de l’ignorance qui plane Sur les histoires de tante fanna


Et l’enfant au visage sombre écoute, Il sait que tante fanna Ne les a tirées d’aucun livre, D’ailleurs, elle ne sait ni lire ni écrire, Mais qu’elles sortent Tout droit de sa propre vie, Et l’enfant au visage sombre écoute sagement Par un soir d’été Les histoires de tante fanna.


                                                                                      Othmane mokalek.








Est-ce que c’est vrai que tout dépend de tout, et que les choses en général se tiennent fortement par un lien ou autres choses, et qu’il n y a rien de séparé, mais le plus important, c’est que si les gens pouvaient changer, implique, que tout pourrait changer ?


DACCO, PIERRE
















                     GENERALITE


Ce qui me pousse a écrire se livre, ce n’est pas enfait de faire connaître la région de ‘’ Gourara’’. La preuve c’est que dés le début de 20ème siècle (1940-50), beaucoup d’ écrivens et chercheurs en anthropologies (étude de la dimension sociale de l’home), ethnologie (étude scientifique et systématique des sociétés, dans l’ensemble de leurs manifestations, linguistiques, coutumières, politiques, religieuses et économiques), préhistoriques, ont visités la région. Ils ont beaucoup contribuer à la connaissance de la population local, ses origines ses coutumes et religion, avant et après l’arrivé de l’islam, comme J.bisson (le Gourara, étude et géographie humaine, 1956) J.c.echallier (villages désertés et structures agraires anciennes du touat-gourara.1972), ce n’est pas aussi sa position importante géographique ou son architecture ou ses merveilles des systèmes irrigations les plus anciens au monde.

 Tout simplement c’est d’être ou d’essayer d’être, un anneau parmi cette grande chaîne de ceux qui ont consacrés leurs temps et leur vie pour éclairer une partie de l’histoire Gourara, ou la région touat-gourara. Notamment de l’algerie.

Aussi pour donner une autre dimension, vision et interprétation, comme quelqu’un qui a été grandis dans les bras de notre chaire timimoun. Il faut ajouter on autre que cet ouvrage, rassemble tous se que beaucoup d’écrivains algériens et étrangers on récolter durant leurs visite ou leurs recherche dans la région. Aussi pour réaliser le rêve de Mer.M.Mamri, lorsqu il a dit : « ceci n’est de toutes manières qu’un premier essai (dans son livre étude des traditions a Gourara, ahlil du Gourara 1985). Il reste a espéré que les habitants de Gourara eux-mêmes le complètent ».




                                                                                                     Othmane mokalek.















Je tiens à saluer la gentillesse de tous ceux qui m’ont aidé, mais je tiens particulièrement à remercier ceux, qui avec leurs aides, j’ai ressentie au fond de moi, leurs amours et respect à la région. Mes reconnaissances s’adresse également à tous, qui dans cette région si hospitalière, ont spontanément facilité mon travail.


                                                                                       Othmane mokalek


















Nous savons à présent que notre pays à besoin du moindre atome de notre savoir, de notre expérience.

                                                                                          Aicha lemcine.

















                   Introduction

Ce livre sur gourara, décrive le gourara avec beaucoup de précision. Les ouvrages firent par beaucoup ‘écrivains et chercheurs sur gourara-touat, on contribuer à la connaissance de sa culture et patrimoine, siton à titre d’exemple, J.bisson, lorsqu’en 1956 soulignait dans son ouvrage ‘villages désertés’, que parmi les particularités de la région de gourara. Sa relative isolement, au sud de l’algerie occidentale, du fait des obstacles naturels qui la séparent des zones de peuplement les plus dense. L’erg occidental constitue pour Gourara une vraie barrière, le coupant d’une part au nord de l’atlas saharien que prolongent les hautes plaines algero-oranaises, et d’autre part, à l’ouest de la vallée de la Saoura vers le sud du plateau du tadmait se dresse sur la route du tidikelt. C’est ce que J.bisson a écrit en 1956. La population est évaluaient à 2500 habitants en 1956 et saute en 1966 à 40215 habitants, 1987 à 54000 habitants. L’autre caractère distinctif de cette région, est d’être constitué en grande partie de sebkha (dépression d’argiles salées), aux dimensions variés et importantes. Sebkha s’étale sur une longueur de quatre-vingts kilomètres et se prolonge vers le sud par celles de deldoul, deldoul-ouled mahmmoud et de charouine, au bordure des qu’elles firent implantées les palmeraies. Là où la plante est utilisable par l’irrigation selon le système des foggaras, dont la concentration des ksour se fait-elle toujours le long des sebkhas, en amant des foggaras. C.OUGOUAG-KEZZAL, disaient dans un article publie par (C.R.A.P.E en 1973, p 163) « ‘’ le Gourara ‘’ comme Touat ‘’ sont des terrains privilégiés pour l’étude des mentalités, des traditions, coutumes et modes de vies traditionnelles. Ils offrent une réalité socio culturelle qui semble avoir été statique depuis plusieurs siècles, à l’abri des évènements historiques récents du monde moderne. » Trois compagnes de recherche archéologiques menés à gourara-touat ont permis de localiser plus de trois cents forteresses ou villages fortifiés ruinés sur l’ensemble de ces deux régions, ce qui a été conformé par le centre de recherche à Alger (R.A.P.E, 1973, p293), lorsqu il a mis au point en 1969 le programme de recherche Gourara, depuis 1970 jusqu au temps actuel, mener par des chercheurs et des centres de recherches national et étranger. Situé au sud-ouest de l’algerie par 29° N, limité au nord et à l’ouest par le grand Erg occidental, au sud par le plateau de tadmait, ouverte à l’est par le plateau de Mguiden, au sud-ouest vers le Touat, au nord-est vers Bichar.

Ces deux régions gourara-touat étaient un lieu de passage des grandes vois caravanières nord-sud, Humain-Tlemcen-Sijilmassa, vers le soudan et est-ouest, Fes-Sijilmassa-Ouargla-Qalaat Banni Hammad-Bijaya, puis par la suite Marakech-Sijilmassa-Ouargla, par la route du Mzab vers Sousse-Tunis-Ghadamès, puis Tripoli-L’egypt et l’orient, les voies caravanières commerciales étaient empruntées aussi pour le pèlerinages vers la mecque.





                    TIMGOUR

C’est un pays de palmerais qui s’égarement le long des sebkhas (dépressions argileuses à eau salée) les ksour, villages, se sont installés dans ces palmerais, irriguées par le système traditionnel des foggaras (foggaras, veut dire fajajir, mot arabe, faire jaillir l’eau, et son doublet fajara, creuser la terre), technique ancienne, Proche-Orient introduite très tôt aussi bien en Andalousie qu’au maghreb-el-arabie. D’après les sources orales, ce serait les descendants des barmicides qui l’auraient introduit au gourara-touat, avec une extension au nord et au sud. Les dates constituaient depuis X eme siècle jusqu au X X eme siècle un des principaux revenus, elles sont traquées1, de même que le sel avec le soudan contre d’autres denrées2, particulièrement l’or. Et encore par son éloignement servi de lieu de refuge surtout aux indésirable au pouvoir aussi bien du Maghreb el Arabie que de l’orient. Politiquement et administrativement, les populations du Gourara (Gourara : en tamazight Tigourarine, féminin pluriel de agrur, enclos, lieu habité, ksar, au agoror ensemble du peuple) ont vécu, du XV eme siècle, dans la mouvance3 du Maghreb occidental, soit par l’intermédiaire des confréries religieuses venues surtout du Tafilalt (Maroc), soit par le liais des représentants du pouvoir de certaines tribus arabes. On autre, il y a d’autre évènements qui sont contribuer au peuplement de la région citons :

 - conquêtes arabes
 - installation des sufrites à Sijilmassa.
       L’une des principales branches des kharijites qui s’en détacha sous l’autorité de Abdel l’ah Ben Jaafer de Basra en 65 on dit aussi en 76 avec Ziyad ben Asfar.
 - les sufrites s’emparèrent de Sijilmassa en (155/ 772) ou ils se maintinrent longtemps indépendants, cette branche fut importante surtout comme théoricienne de l’école kharijite dans le monde islamique.
 - ibadites fondateurs du Mzab à Tahert.
   Une des branches du nom de Abdel l’ah Ibn Abad, dont le premier soulèvement fut contre le calife Marwan || en 129/747.

Il s’empara de la Mecque et Médine réprimé par les omeyyades et les abbasides ce mouvement se propagea à Oman et au Maghreb el Arabie ou la dynastie Rostemide fonda Tahert en 147/764.

 - invasions hilaliennes puis rivalités des mérinides.
   Dynastie qui régna sur le Maghreb el Arabie du milieu du XII eme siècle au milieu du XV eme siècle, leur capitale fut Fès. Ils furent de grands bâtisseurs et leurs cours connurent les hommes célèbres de l’époque Ibn Khaldoun, ibn Batouta, ibn Khatib.
 - Ziyyanides.
   Dynastie qui régna de la première moitié du XII eme siècle du Maroc jusqu'à Bijaya. 
    1 : traquées : serrer et compresser dans des sac.                2 : denrées : marchandise quelconque distinée à
      3 : mouvance : influence.                                                            La consommation alimentaire. 

Ils avaient soutenu les derniers Almoahides contre les Mérinides ceux-ci au pouvoir devinrent leurs principaux ennemis.

 - de Tlemcen et des hafsides de Tunis pour les routes commerciales.

San oublier bien sur les confréries et marabouts qui ont approfondit la religion et ont apportés les connaissances théologiques (étude concernant la région) et mystiques (qui concerne les mystères de la région) étendues, dont le rayonnement continue à se faire sentir. Connaître le passé, c’est comprendre le présent, la question qui été depuis longtemps, c’est, quelle sont les premiers hommes ou populations dans la région de Gourara ? Désigné sous le nom de dont les lieux d’origines des populations qui s’y sont fixés sont elles du Maghreb ? Tigorarine du soudan, En fait, les chercheurs ont savaient peu de choses, faute de la rareté des recherches de l’évolution de ces populations venues s’installer en cette région intermédiaire, mais aussi la rareté de documents.















          AU 1er Siècle après j.c :


des recherches anthropologiques1, ethnologiques2 et archéologiques faites par le (C.R.A.P.E), témoignent en faveur d’un peuplement très ancien vraisemblablement composé d’éléments noirs, proches parents des populations soudanaises occupent la région, qu’en reste t’il aujourd’hui ? personne jusqu’à maintenant n’a pu déterminer la part résiduelle de cette population originale de Gourara Touat, il est sur néanmoins que le 1er siècle après j.c a vu l’installation des populations blanches appelées plus tard berbères, d’après A.G.P.Martin. L’origine des noirs remontés –telle à un peuplement préhistorique ? cependant, le caractère attirons soudanais de ce type ethnique (société humaine réputée homogène) permet de penser que la pratique de l’esclavage a su alimenter un courant d’immigration venu de l’Afrique occidental, surtout, Mali, Niger et l’immigration due à la famine ou a la recherche des terres fertiles.


           Du 1er AU VIII eme siècle :

La révolté des juifs de ‘’ cyrénaïque ‘’ ( Cyrène, parie nord-est de la libye3 dynastie grecque Veme siècle avant j.c ) eut par conséquence la répression romaine, ordonnée par ‘’trajon’’ ( empereur romain, 98-117 ), et leur dispersion vers l’ouest et le sud de cette époque (118 après j.c), date un nouvel apport de population aux juiveries vers le sud, à travers le Sahara, d’oasis en oasis, l’arrivée des premiers juifs probablement jusqu’au niger. L’élément berbère, lui provient du nord, mais il n’a pas déferlé en une seul vague sur le ‘’gourara’’, il est difficile sur le plan linguistique de le distinguer de l’élément noir car l’un et l’autre utilisent le même parler ‘’Znatiya’’, reconnu comme apparenté à celui de la langue ‘’Tamazight’’. C’est donc vraisemblablement à partir du IIème siècle et tout au long des siècles qui suivent que des berbères ‘’Znatas’’ du ‘’gourara’’ se judaïsèrent et demeurèrent en liaison avec les autres groupes judaïsés de l’Afrique du nord ou du sud marocain, leurs liens ne devaient pas être seulement religieux, mais aussi et plus largement culturels et économiques. ‘’Echallier, j.c ‘’ mentionne dans son livre qu’une inscription provenant du ‘’touat’’ est daté de l’an (1283), l’écritures et les formules en sont très caractéristiques, il est donc vraisemblable qu’au moins cinq inscriptions hébriques ont été retrouvées dans le ‘’Gourara-Touat ‘’ par des chercheurs.

1 : Anthropologique, anthropologie : sciences humaines et sociales. 2 : Ethnologique : étude linguistique, coutumières, politiques, religieuse et économiques des sociétés. 3 : les cotes nord de l’Afrique.

Donc d’après le (C.R.A.P.E ) , celles que l’on peut trouver au ‘’ Gourara ‘’ , parmi les sources , sont essentiellement des textes arabes et des inscriptions , soit libyco berbères , soit hébraïques , il fouit ajouter les ouvrages écrites par des européens au en langue européenne , on autre , selon une tradition orale , recueillie à Timimoun , les berbères venus du Maroc , auraient détruit tous les documents possédés par les gens du ‘’ Gourara ‘’ vers ‘’ 1830 ‘’ .

Martin  ( dans son livre ,oasis sahariennes ,p 45-46 ) , parlé d’une nouvelle immigration juive au ‘’ Touat–Gourara ‘’  et de la fondation d’une synagogue à ‘’ Tmentit ‘’  en 517 , les ksour de ‘’ Timimoun ‘’ , ‘’ tahtait ‘’  seraient de cette époque  selon ‘’ martien ‘’ , mais ‘’ Echallier ‘’ ( dans villages désertés ,p : 53-59 ) parlé des berbères judaïses  au non , bâtissent d’importantes forteresses de pierres circulaires  ou para-circulaires ,   les trois inscriptions  libyco-berbères , témoins d’une implantation ‘’ zénéte ‘’  ancienne découvertes à ‘’ El-kaf ‘’ , ‘’ El-guasba ‘’ , ‘’ Gsar-Fraoun ‘’ et ‘’ Zamoutha ‘’ , viennent s’ajouter à une liste de ( 190 ) inscriptions déjà relevées par les chercheurs ,( parmi eux ‘’ j . c . Echallier ‘’ ) , dans l’ensemble du ‘’ Touat-Gourara ‘’ .

les arabes forment le troisièmes groupes , diffèrent par la langue mais aussi par le mode de vie ; derniers arrivés en date , ils se sont adaptés peu à peu aux conditions de vie imposés par la natures . Fait curieux à cet ordre chronologique correspond une hiérarchie des éléments ethniques dont la quelle la supériorités d’un groupe est inversement proportionnelle à son antériorité, est-ce le savoir ? la force ? ou le destin ? , cela semble tenir depuis six siècles à la prééminence( supériorité absolue sur les autres ) des données religieuses qui , tout en unifiant ces trois éléments sous une foi commune , ont accordé une place privilégiée à celui qui détenant traditionnellement le savoir , parce que dépositaire d’une culture arabo-islamique pouvait jouir par la même du pouvoir, mais cette stratification sociale n’existe plus aujourd’hui . « Si l’on admet qu’une partie au moins de sites berbères anciens étaient occupés avant l‘islamisation de ces régions on doit constater que touts les cimetières anciens associes à ces sites apparaissent comme étant des cimetières musulmans.Il nous fut malheureusement impossible d’effectuer des fouilles dans ces cimetières , mais cependant les observations faites sur place nous conduisent à penser qu ’une partie au moins de ces nécropoles1 est anti-islamique , et fut islamisée ultérieurement on trouve en effet de nombreuses sépultures ( lieu au l ’on inhume un corps ) du type tumulus ( sur les quelles de petites témoins de pierres semblent avoir été ajoutes tandis que l ’orientation des tombes varie de la direction est-ouest à la direction nord-sud dans tous les cas la coutume de déposer un ou plusieurs vases brisés sur la tombe paraient ancienne et il peut s ’agir de la survivance d ’ une habitude antérieure à l ’islam  » , ( j . Echallier, villages désertes, 1972).

En 1971, la fouille du site médiéval de ‘’ tahtait ‘’, (par la tradition orale), que le village de ‘’ tahtait ‘’ avait du être fonde vers le   X eme siècle de l’ère chrétienne 

1 : nécropoles : grands cimetières.


   par un groupe berbère , une quatrième série de sondages fut également effectuée , à titre de comparaison , sur le site ‘’ d’Ouled-El-Haj ‘’ , voisin de ‘’ tahtait , dans le cas du village    ‘’ d’Ouled-Kassem ‘’ , Situé à  une quinzaine de kilomètres un peut près au sud de Timimoun , est le village parmi  les plus anciens des villages qui auraient  été édifiés vers le dixième siècle de 1er  ère chrétienne et que la grande période               de construction se prolonge jusqu’au   XVI eme siècle .

L’architecture des ksour à-t-elle connu durant le moyen âge des transformations radicales , il semble que celles-ci ne vont s’opérer qu’ou cours du XVI eme siècle avec une construction à plan carré ou rectangulaire et la nécessité de se défendre contre les armes à feu , le plan circulaire ou para-circulaires ne cesse d’être employé de même dans l’architecture religieuse , les mosquées de types ‘’ Mzab ‘’ , dés XIII eme et le XI Veme siècle selon la tradition , témoignent de l’extension de la foi ‘’ ibadites ‘’ , dont les traces disparaissent alors progressivement du ‘’ Touat ‘’ , mais demeurent dans le ‘’ Gourara ‘’ , là ou le processus de passage à la foi Sunite à été accéléré par les confréries au XV eme siècle . Les sites de ‘’ Tagelzi ‘’ et de ‘’ Tinekram ‘’, signalés par des informateurs comme d’anciens ‘’ ksour ‘’ judaïsés se qui confirme ‘’ j. c. Echallier ‘’.






                  VIII  eme  AU  XVI eme siècle


Beaucoup d’événements politiques au ‘’ Maroc ‘’ eut des conséquences importantes dans l’histoire de ‘’ Gourara ‘’ , en 701 avec les ‘’ Omeyyade ‘’ ( dynastie de califes arabes , qui régna à ‘’ damas ‘’ de 661 à 750 , tomba sous les coups des ’’abbasides ‘’, mais un rescapé de la famille ‘’ Abd Al Rahman 1er ‘’ , fonda l’émirat de ‘’Cordoue ‘’ ( 756 / 1031 ), érigé en califat rival de Bagdad ( 929 )) ; ( 740 ) avec la résistance berbères à la domination des ‘’ Omeyyade ‘’ ; en ( 757 ) avec ‘’ les sufrites , ibadites et kharijites ‘’ Le bouleversement intervenu dans l’équilibre des tribus berbères à la suite de la conquête et des soulèvements qui s’ensuivirent au cours du VIIIème siècle amena un nouveau peuplement en majorité ‘’ znatas ‘’ , d’après ‘’ Martin ,A.G. P ‘’ , ces Zénètes s’installent dans ‘’ Touat , Tsabit ,Tigourarine ‘’ et ‘’ bouda ‘’ , Martin situe cet exil dés la conquête du ‘’ Maghreb ‘’ par ‘’ Uqba BenOu-Nafii ‘’ , mais à supposer que ce mouvement d’immigration ait commencé alors , il prit certainement plus d’ampleurs dans les décennies Des communautés ‘’ Zénètes -kharijites ‘’ ( Kharijites , Elkhawarije ,doctrine religieuse et politique d’une secte musulmane , qui fit dissidence en 657 ) dans le commerce transsaharien et la diffusion de l’islam ,aussi l’islamisation s’était faite au sud du Sahara par l’intermédiaire des ‘’ znatas ibadites ‘’ dites ‘’Hamalat-El-ILm ‘’ et aussi , la place et le rôle des communautés judaïsés au Gourara , dont l’existence et l’implantation de ces communautés dont le centre se trouvaient à ‘’ Tmentit ‘’ et dont les descendants , depuis le débuts du seizième siècle , ont toujours constitué un groupe à part au sein des population ‘’ gourara-touat ‘’ . Dés le seizième siècle date de l’islamisation des membres de ces communautés, ceux-ci sont toujours connus sous le nom de ‘’ Mhajriya‘’ , il sont repérés , situes au sien de la communautés d’origine Zénètes , ne cessent pas parait-il de pratiquer l’endogamie et conservent des liens avec ‘’ Tmentit ‘’, leur ancienne capitale . Pendant plus de trois siècles , les tribus ‘’ Zénètes ‘’ vinrent chercher refuge au ‘’ Gourara ‘’ , tout changement politique au ‘’ Maghreb El Arabie ‘’ se traduisent par un afflue de tribus ‘’ Zénètes ‘’ dans les oasis , donc l’arrivée de nouveaux éléments Zénètes fuyant devant le poussée ‘’fatimide ‘’politique et militaire autant que religieux , bref , aux échanges des biens et des idées participent donc les Zénètes aussi bien kharijites que judaïsés , mais ce qui concerne l’art de bâtir , se sont les populations judaïsées comme à Sijilmassa , qui apprennent aux autres les techniques de construction dans les ksour , ils se multiplient , surtout au sud de la ’’sebkha ‘ de Timimoun ,signalé par ‘’ Echallier ‘’ . On constate l’extension de ces Zénètes et leurs techniques de construction, aussi à la fin du même siècle, d’autres tribus Zénètes du ‘’ Maghreb El Arabie se réfugient encore au Gourara après la répression de la révolte Zénète dirigée par ‘’ Abu-Yazid-Makhlad ‘’ contre les fatimides et celles ‘’ d’Abu-L-Karim ‘’ et ‘’ Abu-Khazar ‘’ (C.R.A.P.E, p 254, 1973).


Du XI eme siècle , beaucoup de mouvement nés , vont exercer une poussée convergente et amener un nouveau peuplement au Gourara , ‘’ les almoravides ‘’ ( confréries de guerriers et dynastie berbères qui régna sur le Maghreb El Arabie et l’Andalousie de 10 61 à 1147 , elle fut fondée par ‘’ Yusuf-Ibn-Tachfin ‘’ ) prirent Sijilmassa en 10 53 , il est certain que ces événements eurent leurs répercussions dans Gourara , notamment sur l’activité commerciale des ‘’ Znatas Ibadites ‘’ ou judaïsés et surtout sur la diffusion de l’islam kharijite , les ‘’ Banu-Hilal ‘’ , envoyés d’Egypte par les fatimides du Caire , pénètre en ‘’ Ifriquiya1 ‘’ et dans le Maghreb central et provoquent le déplacement de tribus ‘’ znatas ‘’ vers le sud ,Martin . A. G. P, dans son livre ‘’ oasis sahariennes ‘’ , confirme que l’historien ‘’ Al-Ziyani ‘’, parle d’une attaque des oasis sahariennes sans préciser les quelles par les almoravides en 1041 avant la prise de ‘’ Sijilmassa ‘’ . Si l’on ne peut suivre ici dans le détail l’implantation des nombreuses tribus arabes ou arabisés , il est certain , comme le remarquent ‘’ J. Bisson ‘’ dans ( fondation de Timimoun , p 95 ) que la localisation des ksour arabophones t ’elle existe aujourd’hui , date de la deuxième moitié du XII eme siècle , aux tribus arabes proprement dites ’’Hilaliénne‘’ ( tribus d’Arabie central qui émigra en Egypte au VIII eme siècle et envahit le Maghreb au XI eme siècle ) s’ajoutent des groupements berbères arabisés , venus non plus de l’est mais du nord-ouest , chassés probablement par les Almoahidines ( adeptes du mouvement réformiste lancé par ‘’ Mohammed-Ibn-Tumart ‘’ entre 1078 et 1081 / 1130 , dont les dirigeants ont fondé une dynastie berbère qui régna sur le nord de l’Afrique et sur l’andalouse de 1147 à 1269 ) du ‘’ Sousse , Maroc ‘’ , ces groupements berbères viennent aussi du ‘’ Mzab‘’,après la répression Almoahidines consécutives à l’incursion2 des Banu-Chaniya en Ifriquiya , ils dévastèrent ‘’ouargla‘’ en 1226 ou 1229 , d’après ‘’ Martin ‘’ . Au début du XII eme siècle , donc , chassant devant eux les tribus Zénètes , des arabes commencent à nomadiser dans le ‘’ Mguiden ‘’ et certain s’installent dans le Tinerkouk et jusqu’au nord de la ‘’ sebkha ‘’ de Timimoun , autour des ‘’ Tibchirine ‘’ , d’après Al-Hilali ‘’ ( d’après Martin ), que les arabes se seraient aussi installés aux environs de ‘’ Tahtait ‘’ et ‘’ Zaouiat-Sid-El-Haj-Bel-Kacem ‘’ à ‘’ Talmine ‘’ et enfin dans ’’ Taghouzi ‘’ à ‘’ Charouine ‘’ et ‘’ Ajdir ‘’ , mais aussi d’autre part après la fondation de ‘’ Marrakech ‘’ , ( nouveau port terrestre du trafic saharien occidental ) les Almoravides chassent les ‘’ znatas ‘’ de ‘’ Fez ‘’ en 1063 , puis dix ans plus tard ,se rendent maître de tout le Maghreb y compris ‘’ Sijilmassa ‘’ et les oasis de sa dépendances . Parallèlement se serait produit une émigration de ‘’ znatas ‘’ marocains appelés ‘’ILoumen et Ouamanou ‘’ vers le Gourara, a cette arrivée de nouvelles populations, venues du nord-est et du nord-ouest, correspondrait le déplacement de berbères judaïsés.

1 : Ifriquiya : la partie nord-ouest de l’Afrique du nord. 2 : incursion : invasion.


Les tribus de ‘’ Mharza ‘’ ( nom des premiers tribus hilâliennes qui s’introduisirent au Gourara au début du XII eme siècle , les hilaliens sont des tribus d’Arabie centrale qui émigra en Egypte au VIII eme siècle et envahit Le Maghreb au XI eme siècle ) , occupent le ‘’ Tinerkouk ‘’ et s’établissent près des centre Zénètes , par ailleurs , la chute de l’empire ‘’ Almoravides ‘’sous les coups des ‘’ Almoahides ‘’, entraîne quelques représentants des vaincus à se réfugier au Gourara . ‘’ Ibn-Khaldoun ‘’( Abd Al Rahman 1332 / 1406 , historien et philosophe arabe ‘’Tunisie‘’ ) dans son livre ( tradition des berbères , p 62 ) et d’après Martin dans ( oasis , p 91 ) , citant qu’au milieu du XIII eme siècle , lors de la rivalité qui mit aux prises deux prétendants au trône ‘’ Almoahide Yahya-Ben Nasser de Marrakech et Mâmoun d’Andalousie ‘’ , ‘’ les hilaliens ‘’ prirent parti pour l’un ou L’autre et se divisent en deux groupes adverses , ‘’ Yahmed ‘’ ( alliée des ‘’Ziyanides ‘’ ) et ‘’ sufiyan ‘’ ( ou ‘’ sfayna ‘’ alliée des ‘’ Almoahides ‘’puis des ‘’ mérinides ‘’ ) se transportèrent chez les arabes du Gourara , un autre glissement s’est opéré de cette division entre dans hilaliens à la distinction entre tribus arabisées ‘’ Mhboub ‘’ et les ‘’ znatas Maloul ‘’ , se glissement à un système lentement élaboré d’alliances entre les protégés ‘’ znatas ‘’ et leurs protecteurs arabes , s’il n‘y eut pas simple superposition de la division entre ‘’ hilaliens ‘’ à la division entre arabes et znatas de Gourara , on fut du clan des ‘’ sufiyan ‘’ quand on tint pour les princes ‘’ Almoahidone ‘’et du clan des ‘’ Yahmed ‘’ quand on soutient la fortune naissante des émirs ‘’ mérinides ‘’ , puis parfois on changea de camp mais toujours les deux tribus restant ennemis et opposées l’une à L’autre , alors les tribus ‘’ Mhboub ‘’ se déclarèrent ‘’ Yahmed ‘’ et que les ‘’ mérinides ‘’ étant alliés aux arabes et les ‘’Maloul ‘’ ( znatas ) ne purent que se dire sufiyan , partisans des ‘’Almoahidines ‘’ berbères ,néon moins , « la distinction Yahmed – sufiyan et le partage d’influence qu’elle implique devient alors une composante essentielle de l’histoire locale . »M. Mammri


 Fin, XVI eme siècle début, XV eme siècle


Tandis que les znatas ibadites et leur éloignement plus au sud furent contraints par les arabes de se réfugier dans les régions plus reculées que le Touat Gourara.

          Les znata judaisés ,eux aussi eurrent a souffrir de l ‘arriver des nouvelles populations,                                                                        danc a la fin du XII eme siecle les oasis ne parvinrent plus a nourir leurs habitants dont le nombre croissait sans cesse , et la communoute judaisée fut de la péste , cette péste fit mourir les juifs en grand nombre ce qui rèste d’eux n’eut plus ni influence ni puissance et dut vivre sous la protéctions des musulnans .                                                                    
        Malgré des revers de fortune, cette communauté parvient a conserver un rôle influent aux  XIV eme et XV eme siècle lorsque le Touat Gourara acquiert une importance t’elle sur la route de l’or, mais en 1269, des juifs sont expulsés de ksour du Timi vers des destinations inconnus.
           Durant tout le X eme siècle et jusqu‘au milieu du XI eme siècle les Umayyades d'Andalousie et fatimides de Kairouan,d'Almahdiya , puis du Caire s'efforcent de contrôler soit par l’intermédiaire de leurs alliés respectifs , Znata et Sanhadja (L’ un des principaux groupes de tribus berbères , selon une classification historique héritée d’ ibn -Khaldoun ), les marches de l’ or sur  les routes transsahariennes , donc le Gourara subit les contre coups de ces bouleversements et des renversement d alliances que connait alors le Maghreb- el -Arabie .
          C’est au IX eme siècle que les conséquences des évènements survenus au Maghreb el Arabie sont déterminantes dans l’histoire du Gourara - Sijilmasa en passant par le Jrid - Ouargla et Tahert se met en place la façade méridionale du commerce Maghrébin tournée vers l’Afrique occidentale.
           Les idrîsides de Fez ( descendants de Abdelah-Hassan-Ben-Hassen-Ben Ali, le quatrième calife , fondateurs de la première dynastie au Maghreb El Arabie en 172 / 779 ;  les idrîsides venus de l‘ouest Maghrébin , Uthmanides venus de l‘orient a Gourara , implantés au fonds des ksour , fondateurs de confréries et qui par leurs enseignements ont joue un rôle prépondérant dans la vie culturelle et religieuse de la région ) et de Tlemcen  eux aussi sont obligés pour commercer avec les pays du soudan de passer par Gourara Touat .
         Nous voyons apparaitres pour la première fois , avec ces tribus des personnages religieux qui  acquièrent une grande influence sur les populations arabisées du Gourara  « le premier est un pieux des arabes Morabitines Abu-Muhammed du pays de Marrakech  fondateur de Tabelkoza dans le Tinerkouk , cette influence qu’est soit en vertu de leur piété soit  disons , attachement respectueuse a dieu et a la religion et donc reconnues sous le nom des  ‘’Mrabtines’’ , soit du fait de leur appartenance a une famille proche ou loin qui se réclame fortement de la descendance du prophète , surtout  les idrîsides et donc les alides reconnues sous le nom de Chorfa  » M.Mammri .
           Donc c‘est au milieu du XV eme siècle , le gourara-touat , voit apparaître les premiers représentants des confréries (au XVII eme siècle la création d‘un centre d‘enseignement religieux a Zaouiat-Edebbagh en 1618 / 1619 ) et au moment ou le mouvement soufi s'organise en dehors du pourvoir , profitant du déclin de la dynastie mérinide et de l‘émiettement de l‘état marocain , et au moment aussi ou les populations judaïsées acquièrent un rôle d’intermédiaires indispensables pour le changement de l‘or et du sel , celui-ci importe des mines de Tghaza , leurs influences arrivèrent jusqu‘au sud-ouest  puis au Niger afin de faire profiter de leurs expérience dans les techniques irrigations , mais vers le nord aussi , ils sont en relation avec le juiveries du Tafilalt et du Tlemcen et d'ifriquiya ( ifriquiya = nom arabe de la partie du nord ouest  d'Afrique, la Tunisie et  l‘Algérie orientale,d‘après  Mohammed Abdetimgourl Karim El Maghili El Tlamsani,dans son livre Musbah El Arwah Fi Usul ElFalah , édition Rabah Bunar , 1968 , p 53 ) .
           Les fondateurs de Zaouïas se multiplient, tant dans les villes que dans les compagnes  sous l‘action des Mrabtines et des Idrissides, la confrérie Quadiriya s‘infiltre au Sahara avec les tunisiens fin du XIV eme siècle, début XV eme siècle et  la confrérie des Idrissides, ou Chadliya est animée par les Idrissides et s'étend vers le Sahara sous l'influence d‘Aljazuli (mort en 1465).
          Ces confréries rivalisent entre elles pour assurer leurs influence religieuse et leurs puissance socioéconomique, répandant leurs doctrines jus qu’aux empires du mali et du Gao. Par contre, les communautés judaïsées ont acquis une place enviable, qui  les fait entrer en concurrence directe avec les autres confréries, et c‘est dans ce contexte qu il nous faut comprendre la réaction du réformateur de Tlemcen Al Maghili contre les juifs de sijilmasa puis du Gourara Touat. C‘est aussi a la fin du XV eme siècle  que l’affaiblissement des Znata judaïsés ou ibadites  ne correspond pas a une disparition de leurs communautés, mais a une dispersion. Aussi déterminant fut l’implantation des confréries religieuses et zaouïas  organisées autour des Idrissides    ( alides ou Uthmanides) venus de Tafilalt et de l’orient , et des marabouts (hommes pieux), a la suite du grand mouvement mystique qui s'étendit sur le monde Maghrébin musulman a partir du XII eme siècle et dont l’influence se fit sentir jus qu’aux mali et  le soudan , ce mouvement fut éxacérbé1 par les sévices2 , inquisitions et massacres causes en andalouses qui animèrent des vagues de réfugies puis surtout de par         les invasions portugaises sur les cotes marocaines et assauts des espagnoles sur le nord .
           
     1 :exacerbé :pousser.                                         2 : sévices : le pouvoir



           L’extension du mouvement maraboutique vint consolider la restauration de l’islam sunite amorcée des le début du XI eme siècle au Maghreb El Arabie, par Muziz-ben-badis  cette grande vague de maraboutisme pénétra les villes et encore plus profondément  les milieux ruraux.
          L‘action d‘el Maghili , qui s’inscrit dans le cadre du développement de l’influence        des confréries , ne fut pas qu‘une flambée de violence , l‘empreinte des zaouïas va demeurer profonde et a charouine , une oeuvre d'El Maghili (( signaler en 1973 par les chercheurs du C.R.A.P.E), Tanbih El Ghafilin sert de manuel pour l’enseignement traditionnel, entrant aujourd'hui dans le circuit des échanges modernes , il risque de voir disparaître rapidement ce patrimoine de notre chère gourara-touat qu’il convient de recueillir avant qu’il ne soit trop tard )).
               L’origine du procédé d’irrigation


           Le procédé d‘irrigation par foggaras , selon Neiger ( le Touat , p 170m 1904) aurait été introduit par les juifs , probablement au XI eme siècle , ainsi Al-Tinilani( historien arabe), prétend lui que l’origine des Fougaras remonterait a une première immigration arabe au X eme siècle , il fourrait donc reprendre l’étude de l’irrigation par Fougaras et ce c’est concernant les puits à balanciers et aussi le rôle des arabes dans l’extension des foggaras répandues seulement dans la moitie septentrionale du Sahara  dont certaines traditions attribuent l’introduction à des influences orientales  , est très douteux , il est certain que l’origine des foggaras est proche orientale, mais sans doute bien antérieur à l’islamisation , mais que peutons nous dire aussi sur le rôle qui a jouer,la première population noire vers le I er siècle de son existence ?

‘’ Les Fougaras ‘’ des environs de ‘’ Madrid ‘’ sont bien un apport arabe, comme pour l’Andalousie, les oasis artificielles de ‘’ Marrakech ‘’ fondation des ‘’ almoravides au XI eme siècle, sont–elle contemporaines des foggaras du ‘’ Touat Gourara ‘’ ? Ou bien les ‘’ almoravides ‘’ ont-ils empraité ce système au ‘’ Znata ‘’ judaïsé ? c’est plus probable,dans le point de vue de Capot Rey ( le Sahara , p : 195 , 1953 ) , car les ‘’znatas ‘’ seront encore réputés pour leur compétence en matière d‘irrigation ( et appelé à ce titre au ‘’ Niger ‘’ au XI eme siècle ) , dans la ‘’ sebkha de Timimoun au XVI eme siècle ou les ‘’ znatas ‘’ l‘ont transmis au soudan ( Ali Saadi , Tarikh As Soudan , p : 112 ) .Ce pendant si les arabes ont pus faire leurs apparition dans la région au X eme siècle ( d ‘après Martin , des ‘’ bédouins ‘’ , ils nomadisent dans le bas Touat , vers le Reggane et les talus ouest du Tademaït ) , leurs influence dans le Gourara ne pourra se faire sentir qu‘à la fin du XI eme siècle ( C.R.A.P.E , p : 255 , 1973 ), entre-temps , le ‘’maghreb-el-arabi ‘’ et ‘’ Touat ‘’et le Sahara occidental auront connu des évènements qui bouleversent l ‘équilibre des forces antagonistes ( Znata-Senhaja ), en tout état de cause l’introduction de nouvelles techniques d’irrigation , au X eme et XI eme siècle est à mettre en rapport avec l’ arrivée de nouveaux immigrants et avec la nécessité de mettre en valeur de nouveaux terrains pour l’ alimentation de sédentaires plus nombreux , en fait , quel que soit leurs origines , les’’ foggaras ‘’ de gourara-touat trouve une lace avec les sept merveilles du monde , il convient de les recueillir avant qu’ il ne soit trop tard .




























                                                                                 Bibliographies : 
                               
               
             

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C'est bon--Great11 (d) 25 octobre 2009 à 04:55 (CET)[répondre]