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Discussion utilisateur:Matthilde

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La libre circulation des travailleurs des nouveaux Etats membres

A partir du 1er mai 2004, la libre circulation des travailleurs europeens, impliquants les nouveaux etats, n'est plus restrictive, malgre tout une periode de transiton allant jusqu'en 2011 a toutefois été ménagée aux anciens Etats membres souhaitant limiter cette liberté.Un bilan devait être dressé par chaque Etat membre, au 1er mai 2006, afin de décider d’éventuelles ouvertures de certains secteurs d’activité, ou au contraire du maintien des mesures restrictives.Passe 2011,la liberté de circulation des travailleurs dans l’Union devra être complète. Pour l’heure, l’Espagne, le Portugal et la Finlande ont clairement annoncé leur intention de rejoindre l’Irlande, le Royaume-Uni et la Suède en levant complètement les mesures transitoires. Les Pays-Bas et la Grèce devraient suivre la même voie. D’autres demeurent encore réticents. La France a annoncé, quant à elle, une ouverture progressive et maîtrisée en fonction des besoins de main-d’œuvre.

-Situation en France et consequence de leur reticence ;

Plus de 10.000 Roumains travaillent illégalement au noir en France et font bénéficier leur pays de précieuses rentrées financières. La libre circulation des travailleurs permet a chacun de pouvoir venir travailler, bien souvent en "noir" ce qui impliquent que aucune charges ne sont retenues sur le salaire de celui, ci ce qui, malgre le desavantage de ne pas avoir droit a une securitee sociale ni une suretee de l'emploi, a l'avantage de permettre de gagner de plus gros salaires ensuite destine a etre renvoie vers leur pays ou la situation economique est faible. Trois économistes de la Société Académique Roumaine (SAR), Daniel Daianu, Bogdan Chiritoiu et Liviu Voina ont prouvé que les fonds monétaires liés à l'émigration (qui correspondent exactement au budget de l'enseignement supérieur roumain) constituent une source importante de financement du déficit de compte courant. Au premier trimestre 2005, ce déficit était de 899 millions d'euros, d'après la Banque nationale de Roumanie. Les émigrants légaux et illégaux ont réinjecté 598 millions d'euros dans l'économie locale. Soit 66% du déficit. Les législateurs roumains ne s'y sont d'ailleurs pas trompés. La réglementation roumaine limitait jusqu'à présent les mouvements transfrontaliers. Mais la nouvelle loi roumaine sur la libre circulation à l'étranger (2005) ouvre désormais les portes en grand, puisqu'elle garantit le droit des Roumains à « voyager, émigrer et revenir à tout moment dans le pays » (article 2). Et les 67.000 passeports, que la police des frontières roumaines avait confisqués à leurs compatriotes clandestins, viennent de leur être rendus