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Discussion utilisateur:DJ ZAP

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DJ ZAP né le 07/10/1992 au nabeul , tunisia travaillé technicien superière en informatique de gestion plus le deejaying biensur Profession: Etudiant * Deejay Producteur & Remixeur , Style Deep , Deep Progressive , Tech , Progressive electronic , minimal , hip ... , Années actives 2004 ===== >Aujourd'hui ,

Pour écouté Ma Musique Et Plus D'information Visiter Notre Page : http://www.facebook.com/dalikimou http://soundcloud.com/dj-zap-1 http://soundcloud.com/d-j-z-a-p Sexe : Masculin

Lieu actuel Nabeul N° 24 302 091 97 423 755

profil FaceBook : http://www.facebook.com/profile.php?id=100001099698233

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official website : www.dj-zap.webs.com%2F&h=CAQB0SKek

Dans son activité la plus courante, le disc-jockey sélectionne et passe des disques sur ses platines (disque microsillon, disque compact, fichier audio). On trouve ce métier principalement dans les boîtes de nuit, mais aussi dans certains bars et dans les fêtes de musique techno ou les rave parties. Il peut simplement enchaîner les morceaux de musique les uns après les autres en fonction des envies des auditeurs. Il peut aussi modifier ou superposer deux musiques, ou une musique et une version a cappella, et faire preuve de créativité et d'inventivité, voire utiliser des équipements spéciaux ou des ordinateurs pour refondre entièrement le morceau utilisé. Dans le milieu du « DJing », cette technique est connue sous le nom de bootleg ou encore de mashup ou medley. Depuis, le rôle du disc-jockey a pris de l'ampleur dans les musiques populaires récentes. Il est parfois reconnu comme un musicien à part entière (même si cela est sujet à polémiques, notamment auprès des « vrais musiciens »). Le DJ peut parfois produire une œuvre originale à partir de matériaux musicaux existants, soit qu'il joue un rôle de « découvreur » de titres passés inaperçus ou tombés dans l'oubli, soit qu'il combine avec talent des œuvres mineures. On peut considérer alors qu'il se réapproprie le travail d'autres musiciens, exploitant un matériau sonore qu'il serait incapable de créer lui-même. Cependant, le juste mélange des musiques diffusées, leur arrangement en live demandent une créativité certaine, et peut donc être considéré comme un art, qui diffère un peu de celui des musiciens.


Le bon DJ est celui qui sait créer une ambiance et faire danser les gens. Pour ce faire il utilise des platines (CD, vinyle, MP3) ainsi qu'une table de mixage ou un ordinateur qu'il contrôle avec des contrôleurs MIDI. La technique de base consiste à synchroniser deux titres, c'est-à-dire les mettre aux mêmes BPM et les jouer simultanément (avec sampler, si besoin). À partir de là, d'autres techniques sont accessibles (coupure de basse, cut...).


Il peut y avoir, dans le vocabulaire du DJ, un certain nombre de termes techniques : BPM : Battement par minute (mesure le tempo d'un morceau). Calage tempo (ou beatmatching) : synchronisation des rythmes de deux morceaux. Cellule : tête de lecture d'une platine vinyle. Cross-fader : fader placé horizontalement sur une table de mixage permettant de basculer d'une voie à l'autre (la courbe de « fondu » peut être linéaire, exponentielle, « tout ou rien » et/ou réglable selon le modèle). Facilite le fondu enchaîné. CUE : point de départ de la lecture sur un lecteur CD. Peut être le début de la chanson ou un point quelconque du morceau prédéfini sur platine CD. Fader : bouton à glissière permettant de modifier le volume sonore d'une voie (aussi appelé potentiomètre linéaire). Feutrine : sorte de tapis intercalé entre le vinyle et le plateau de la platine permettant de faire glisser le vinyle sans dommage. Ainsi pour faire Pause, un DJ jouant sur vinyles utilise rarement la touche Play/Stop. Pour arrêter un morceau il pose ses doigts sur le disque, qui doit donc pouvoir glisser sur la feutrine ou slipmat). Il peut alors le lancer (throwing) dans le rythme. Hamster style : méthode utilisée par les DJ à platines ou la configuration du crossfader est inversée, c'est-à-dire que la platine droite est à gauche du crossfader. Loop : boucle sonore composée d'un point d'entrée (loop-in) et d'un point de sortie (loop-out). Pitch bend : mécanisme (potentiomètre ou boutons) d'une platine (vinyle ou CD) permettant de modifier la vitesse de lecture (modification exprimée en pourcentage par rapport à l'original). Son réglage permet ainsi de synchroniser les beats de deux morceaux (entrant et sortant). Mashup ou versus : remix mixant la version a cappella d'un morceau avec l'instrumental d'un autre. Sample' : en français échantillon. Le sample est un court extrait ou une partie d'un morceau de musique, joué en boucle ou par intermittence. Il peut être déformé pour atteindre l'effet recherché. White label' : vinyle ne portant pas d'étiquette : il s'agit généralement d'un morceau produit par un DJ peu connu, et pressé en faible nombre d'exemplaires. Il permet souvent d'évaluer le potentiel club du disque avant pressage sous un vrai label. La plupart des bootlegs sont pressés en white.

Le Deejaying ou le toasting désigne un artiste vocal parlant ou chantant généralement de façon monotone sur un rythme ou un battement. Les textes peuvent être écrits ou improvisés et certains mots coupés ou doublés dans les phrases afin de caler les phrases. Le toasting a été utilisé dans plusieurs traditions africaines, notamment par les griots. On peut dire que la coutume s'est exportée en Jamaïque par l'ascendance africaine et musicalement par l'empreinte des rasta sur la musique jamaïcaine. L'exercice de chant parlé qu'est le deejaying a énormément influencé le Hip-hop et donné le développement du MCing

Dans la Jamaïque des années cinquante, le rôle des deejays était d'animer les sound systems en commentant les chansons lancées par le selecter. Il pouvait présenter le titre ou lancer des interjections durant la lecture. Au fur et à mesure, le style ska et reggae à l'instar du jazz, commencèrent à voir naitre des artistes qui chantaient de manière énergique avec une vigueur croissante du début à la fin de la phrase et une mise en avant des mots par un procédé d'à-coup avec des fois onomatopées comme dans le scat. L'exploitation de ce potentiel musical se fit d'abord dans les sound systems, où ils pouvaient toaster sur les versions instrumentale des hits. Ces chanteurs sont progressivement devenus des artistes vocaux à part entière créant ainsi des albums seuls en collaborations avec des backing bands. On voit même apparaitre des genres intermédiaires comme le singjay, mélange de toasting et de chant. Le développement des styles rub-a-dub, dancehall reggae et ragga a engendré une forte augmentation du nombre de toasters qui se mélange désormais même au hip-hop.

Le remix

Une version remixée peut aller d'une simple « version longue » (qui réutilise alors la plupart des arrangements de la version originale) à une adaptation sous un genre musical radicalement différent de l'originale : des morceaux pop ou R'n'b peuvent par exemple être remixés en dance, house, techno, voire en acoustique ou en orchestration classique. Il peut aussi s'agir d'une version instrumentale dont le remixeur a ôté toute la partie vocale, ou une partie (dub remix, avec souvent des effets spéciaux tels que de l'écho). Plus simplement, un remix peut aussi être l'adaptation d'un morceau sous la forme voulue par un autre artiste, celui-ci y apportant alors une touche personnelle plus ou moins remarquable. Dans le cas du hip-hop et des genres qui lui ressemblent (rap, r'n'b, reggaeton…) on parle de remix pour des versions alternatives où figure (featuring en anglais, abrégé en feat. ou ft.) un artiste invité (guest star ou starring en anglais). Il y a par exemple le titre de Jamelia : Thank You (remix featuring Singuila) ou de Mario : I Don't Wanna Know (remix featuring Wallen). Un mégamix enchaîne plusieurs morceaux (comme un medley ou un pot-pourri, mais il s'agit d'un travail en studio), de différents artistes (par exemple Jive Bunny and The Mastermixers ont réalisés des mégamix célèbres de rock'n'roll), ou d'un seul artiste (les mégamix de Boney M, Modern Talking, Claude François sont célèbres également). Tom Moulton a inventé le format de vinyle « maxi 45 tours » (12″). Walter Gibbons a réalisé le premier remix sur maxi 45 tours (Double Exposure, « 10 Percent ») et a aussi réalisé le remix de Betty Lavette : « Doin' the Best That I Can ». Une « version longue » (extended version en anglais) est la forme la plus simple de remix : certains passages instrumentaux sont insérés au milieu ou à la fin du morceau. Idem pour une « version radio » (radio edit en anglais), généralement peu différente de la version album : intro supprimée ou bien différente, fondu en fermeture (fadeout) ou vraie fin arrivant plus tôt. Tous les remix ne sont pas distribués, certains sortent sur des White Label (disques promotionnels), d'autres sous forme de bootlegs (disques pirates) ; avec Internet, les DJ peuvent plus facilement diffuser leurs créations.

Le mashup ou mash-up est aussi dénommé bootleg, bastard pop ou vs (versus, dans le sens de telle pièce musicale contre telle-s autre-s) qui est un genre musical hybride puisqu'il consiste en l'association, dans un même morceau, de deux ou plusieurs titres existants, généralement les parties vocales d'un morceau sur la musique d'un autre. Cette association peut être faite par des musiciens ou par des DJs qui vont mixer les titres originaux (a cappella et instrumental) en calant les "tempos". Certains artistes proposent effectivement leurs morceaux en version "a cappella" le plus souvent sur les maxis ou les CD singles promo dont la diffusion, d'abord réservée aux DJs des radios FM, s'est élargie considérablement grâce à Internet. Les versions instrumentales sont plus courantes, surtout sur les singles et parfois sur les albums. On peut aussi utiliser un certain type de logiciels de karaoké pour atténuer la voix (en anglais, ils portent le nom de Vocal Remover), et il existe d'autres moyens détournés pour trouver des airs a cappella et des instrumentaux.