Discussion catégorie:État médical lié à l'obésité

Difficultés intellectuelles de la Personne agée, dues aux troubles de la fonction du glucose et de l'insuline

J'ai lu un article récent (ref. en cours de recherche) exposant que des déficits intellectuels - passagers, parfois fréquents - de personnes agées pouvaient être provoquées par un mauvais équilibre du sucre, de l'insuline et de la tolérance aux deux. Des confusions de diagnostic avec des maladies dégénératives (Altzheimer et similaires) pouvaient se produire.

Je souhaite qu'une synthèse de ce qui est connu sur ce sujet puisse être regroupée dans un des articles existants sur ces sujets. Et j'appelle donc les personnes qui travaillent sur ces sujets à expliquer leur savoir, ou a transmettre les informations sérieuses connues, comme les hypothèses très sérieuses concernant ceci. Je les remercie vivement d'avance. Geuten (d) 9 novembre 2008 à 03:12 (CET)

Difficultés pour la reprise d'exercices physiques adaptés.

Un obèse qui a maigri depuis 2 ans de plus de 40 Kg, et tient son poids stable (avec toutes les difficultés de négocier avec lui-même des "récompenses" autres que la nourriture) a de grandes difficultés à se mettre à l'exercice physique adapté, avec un régularité suffisante. L'exercice physique (une marche à 5 km/H pendant 40 minutes, p. ex.) adapté est très dur au démarrage. Des douleurs anciennes (à des muscles ou articulations étrangères à l'exercice) se "réveillent", un besoin de compensation (au circuit de la récompense) se met à hurler (la gomme de nicotine calme un peu l'ancien fumeur que l'obèse ou ancien obèse a souvent été), des impressions plus positives (pas seulement psychologiques !) se manifestent après une 1/2 heure à 1 heure, et s'arrêtent dès l'arrêt de l'exercice. L'obèse ou ex obèse devrait répéter un grand nombre de fois ces exercices élémentaires (marche, vélo, natation réelle, de 40 minutes à 1 heure), avant d'arriver à aller plus loin (exercices plus longs, puis un peu plus intenses).

Je connais pas mal d'amis qui ont aussi perdu du poids, l'ont stabilisé, et n'arrivent pas ("cela fait trop mal !") à faire cet efforts d'exercices nécessaire pour réacclimater les cellules à mieux utiliser sucre et insuline. Le "mal", pour être sincère, existe vraiment au physique, mais il est surtout psychologique (je pense au circuit de le récompense; pourtant beaucoup sont sous antidépresseurs suite à l'arrêt de leur drogue-surbouffe).

Ici, je fais un appel aux personnes compétentes (clubs sportifs, services de revalidation physique, et autres) pour qu'une aide adaptée à la reprise de l'exercice pour être faite de manière bien "coachée". Et que des adresses (sérieuses) puissent être connues via les endocrinologues, association concernées par le diabète, etc.

Merci mille fois d'avance ! Geuten (d) 9 novembre 2008 à 03:12 (CET)