Discussion:Rôle de la communauté internationale dans le génocide des Tutsi au Rwanda/Archives1

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L'article a besoin d'une révision sérieuse dans un sens encyclopédique. Dans son état actuel, et malgré trois corrections que j'ai effectuées dont celle d'une grosse erreur (qui donc peut ignorer que l'Allemagne n'avait plus de colonies après la première guerre mondiale ?), l'emploi systématique d'un vocabulaire émotionnel le fait plus ressembler à un tract qu'à un article d'information.

J'ignore ce que l'auteur a vécu de cette tragédie, mais s'il en est personnellement trop affecté pour garder son objectivité, il serait souhaitable qu'il laisse la place à quelqu'un capable de la conserver.

François-Dominique2 27 oct 2004 à 08:00 (CEST)

Tout à fait d'accord pour la première guerre mondiale. C'est un lapsus que j'aurai corrigé moi-même.
J'accepte que l'on enlève "diabolique" qui n'ajoute rien, car les faits parlent d'eux même. A moins que les ressorts psychologiques qui mènent à un génocide soient le fruit d'une oeuvre bienveillante ?
je ne comprends pas le refus du mot haine. Ce n'est pas la première fois que François Dominique refuse ce mot à propos du Rwanda. Il y a quelque chose de passionnel dans ce refus systématique. Ce n'est pas parce que je parle de haine que je suis passionnel. C'est un fait objectif et largement reconnu qu'on a entretenu une haine anti Tutsi au Rwanda. Refuser de le dire est tout à fait NON NEUTRE. Le journal Le Monde avait titré un article en utilisant ce mot en 1964 à propos de la haine antitutsi, 30 ans avant le génocide. Je le cite d'ailleur dans cet article. Ceux qui ont relativisé ce titre à l'époque n'ont pas mesuré avec justesse ce qui se préparait. Le passionnel qui a mené à ce génocide a bien existé. Refuser de parler du passionel c'est refuser de parler de tout ce qui touche aux actions humaines : politique, psychologie, religion, amour, haine etc. Que serait une encyclopédie sans cette dimension de l'homme ? Emmanuel Cattier 27 oct 2004 à 18:24 (CEST)

Le 28 novembre, j'ai modifié le texte qui m'avait fait mettre un désaccord de neutralité. Je l'ai signalé dans la page des articles non neutres. Cette modification n'a suscité aucune réaction. J'enlève donc le déaccord de neutralité qui n'a été traité par personne d'autre depuis deux mois. --Emmanuel Cattier 6 jan 2005 à 15:07 (CET)

Additions[modifier le code]

J'aimerais que cet article soit agrandi et amélioré, surtout les sections au fond où il n'y a rien écrit. Après que c'est fini, je le traduirai en anglais! PZFUN 1 fev 2005 à 06:53 (CET)

Modifications de Lucrece[modifier le code]

Opération Amaryllis[modifier le code]

Ces accusations oublient que la majorité des Tutsis concernés ont été massacrés les 7 et 8 avril, avant l'arrivée des troupes françaises (le 9).

Entre le 7 et le 8 avril ce sont surtout des démocrates Hutu qui ont été massacrés, ceux qui pouvait induire une résistance au génocide parmi les Hutu. Les massacres de Tutsi ont pris de l'ampleur au bout de quelques jours. Comment peut on affirmer implicitement qu'on a massacré un million de Tutsi en deux jours ! Cette affirmation est sans aucun fondement incohérente et propre à dédouaner Lucrece, pardon Paris, de toute accusation. NPOV

Un télégramme du 11 avril 1994, retrouvé par la mission d'information de l'Assemblée nationale, demande une évacuation de tous ceux qui pourront être joints, sans distinction ethnique. Or le téléphone est rare dans un pays très pauvre, sauf parmi les Européens, dotés depuis 1990 (et les exactions contre eux) d'un système perfectionné utilisant des moyens radios. L'ambassadeur de France au Rwanda a fait poser en avril 2005 une plaque en mémoire du personnel Tutsi de l'ambassade abandonné aux tueurs par la France. A cette occasion l'ambassadeur a présenté ses excuses au Rwandais pour ces personnes. Ces accusations reposent aussi sur les témoignages filmés. 2galement de nombreux rwandais ont donné leurs témoignages à ce sujet. Notamment Vénuste Kahimahe, technicien du centre culturel français, situé à proximité de l'ambassade à l'époque, a écrit un livre témoignage(KAYIMAHE Venuste, France-Rwanda : les coulisses du génocide. Témoignage d’un rescapé, Dagorno-L’esprit frappeur, 2002, 359 p) très précis sur ce refus de porter secours aux Tutsi, qu'il a lui-même subi. Il n'a du la vie qu'aux Belges.

Colette Braeckman a accusé les militaires d'avoir évacué des dignitaires du régime, mais cette accusation repose uniquement sur un témoignage non identifiable. Colette Braeckman elle-même a renoncé à ces accusations. Faux, sauf information que je n'aurai pas. Colette Braeckmann n'a jamais remis en cause ce qu'elle a écrit dans ses articles et dans ses livres. Afirmation NPOV--Mutima 7 décembre 2005 à 08:13 (CET)[répondre]

Mutima c'est bien gentil ce que tu dis mais c'est faux le tri selectif n'est pas si évident car 394 rwandais y compris des tutsis ont été ramené dans l'opération amarélys y compris des enfants d'un orphelat, les 5 enfants d'agathe assassiné et un diplomate tustis certes beaucoup ont été laissé mais les belges, l'italie, le canada n'ont pas fait mieux ils ont fait pire...Alex

Le coup du téléphone[modifier le code]

Ce n'est pas un problème de communication qui a empêché l'évacuation des employés Tutsi, puisque même ceux qui se trouvaient dans les mêmes bâtiments que les expatriés au moment de l'évacuation se sont retrouvés au bord de la route. Les témoignages des rescapés comme des génocidaires concordent sur ce point. Ces derniers n'en croyaient d'ailleurs pas leurs yeux. De là, prétexter que le téléphone n'existait pas et que les maisons n'avaient pas de numéro... Inisheer :: Canal 16 7 mai 2006 à 14:31 (CEST)[répondre]

Que vous le vouliez ou non, cet argument a été invoqué et il est très valable. Si vous voulez, on va vous parachuter au fin fond de l'Afrique, avec pour mission de retrouver des gens que vous n'avez jamais vus, sans téléphone ni numéro. Je sens qu'on va rire... Vos prétendus témoignages sont de pures affabulations téléguidées par le FPR. L'employé rwandais sauvé par Amaryllis est très content et ne trouve rien à reprocher aux militaires.
Audition de M. Marlaud
« M. Jean-Michel Marlaud a souligné que, dans un premier temps, aussitôt après l’opération d’évacuation, ce genre de critiques n’était nullement apparu et qu’il disposait, bien au contraire, de nombreuses lettres l’estimant particulièrement réussie. Les critiques ne sont apparues que plus tardivement sans qu’il soit possible de déterminer leur provenance et leurs auteurs.
Il a reconnu que certains incidents avaient pu se produire sans que l’on puisse en conclure pour autant qu’il y ait eu une volonté délibérée d’abandonner qui que ce soit.
Par ailleurs, le fait de dire que les employés tutsis de l’ambassade auraient été abandonnés sous-entend qu’il aurait été procédé à un tri, sur présentation de la carte d’identité. Il est vrai que malheureusement, un seul employé de l’ambassade a pu être évacué avec sa famille. Il s’agissait du reste d’un Tutsi mais sans doute est-il difficile pour certains d’imaginer la façon dont les choses se passent quand, à 20 heures 30, dans un quartier de Kigali, s’écrase un avion. On ne pense pas effectivement à décrocher son téléphone pour appeler l’ambassade.
L'ethnie de chacun était connue par les collègues et les voisins, pas besoin de faire des contrôles d'identité. Inisheer :: Canal 16 7 mai 2006 à 17:29 (CEST)[répondre]
M. Bernard Cazeneuve a souhaité savoir si l’établissement préalable de fichiers informatisés recensant les ressortissants français avait, comme l’ont laissé entendre les militaires de l’opération Amaryllis, facilité leur évacuation. Evoquant les propos tenus par M. Michel Cuingnet, Chef de la Mission de Coopération, selon lesquels il avait vu des employés tutsis de la Mission de Coopération se faire massacrer, il a demandé pourquoi rien n’avait été fait pour les protéger.
M. Jean-Michel Marlaud a souligné qu’il existait au Rwanda, comme partout, un plan de sécurité de la communauté française, mais que les employés rwandais de l’ambassade, dont le lieu de résidence était inconnu, ne figuraient pas sur ce plan, ce qui montrait qu’il n’est jamais très simple de monter une opération d’évacuation de ce type. Le principe consistait à répartir la population française en îlots dont chacun était placé sous la responsabilité d’un chef d’îlot, qui n’était pas nécessairement un membre de l’ambassade. Il lui était adjoint deux ou trois personnes selon l’importance de l’îlot et il était équipé de moyens radio lui permettant de garder le contact avec l’ambassade dans l’hypothèse où le téléphone ne fonctionnerait pas. Les réunions organisées de façon hebdomadaire ou tous les quinze jours avec les chefs d’îlot et leurs adjoints avaient pour objectif, d’une part, de transmettre des consignes d’ordre général et, d’autre part et surtout, de mettre à jour les listes des ressortissants, de vérifier leur présence au Rwanda et de déterminer leur lieu d’habitation. Ce système a, semble-t-il, globalement bien fonctionné puisqu’aucune critique n’a porté sur l’évacuation des ressortissants français, voire des étrangers qui avaient pu se signaler.
S’agissant du massacre des employés de la résidence de M. Michel Cuingnet, il conviendrait de lui poser la question. En tout état de cause, l’ambassade ne disposait pas de moyens d’intervention dans les jours qui ont suivi l’assassinat du Président Habyarimana, la seule force disponible sur place était la MINUAR. »

Lucrèce 7 mai 2006 à 16:34 (CEST)[répondre]

On est bien d'accord: rien n'a été prévu, rien n'a été fait, personne n'a rien vu puisqu'au bout de deux jours, il ne restait sur place que les génocidaires et leurs futures victimes. Alors qu'on ne vienne pas prétexter l'absence de moyens de communication dernier cri, ça n'aurait strictement rien changé. Les génocidaires se sont d'ailleurs très bien débrouillés sans. Quand bien même cet argument a été évoqué (tiens donc, les articles des autres langues n'en parlent aucunement), il n'est pas vraiment à l'honneur de ceux qui tentent ainsi de se défendre. Inisheer :: Canal 16 7 mai 2006 à 17:30 (CEST)[répondre]
Ce ne sont pas mes témoignages, mais ceux recueillis par Jean Hatzfeld et de Gil Courtemanche, entre autres, qui citent également des génocidaires (mais bon, je suppose qu'eux aussi sont téléguidés par le FPR). Il n'était pas question de retrouver des gens perdus dans la jungle, mais bien des personnes sur place, dans les locaux évacués, qui ont regardé partir les camions aux trois-quarts vides. Citer une des rares exceptions ne dédouane personne. Inisheer :: Canal 16 7 mai 2006 à 17:29 (CEST)[répondre]
Manifestement, c'est trop vous demander de citer et de sourcer. Vous devriez vous concentrer sur les articles consacrés à la belote. Lucrèce 8 mai 2006 à 15:31 (CEST)[répondre]
Lucrèce fait de la propagande pour cacher ce qui se passe au Rwanda. L'actuel ambassadeur de France au Rwanda a fait poser une plaque à l'ambassade pour commémorer les employés Tutsi "abandonnés" par la France lors de l'opération Amaryllis. En avril 2005, le jour du dévoilement de cette plaque, il a présenté ses "plus vifs regrets" aux Rwandais :
« L'ambassadeur de France à Kigali, Dominique Decherf, a exprimé jeudi soir au nom de la France "ses plus vifs regrets" pour les employés rwandais de l'ambassade "abandonnés à leur sort" lors du génocide de 1994 au Rwanda.
La démarche que j'effectue ce soir est une démarche officielle. Elle bénéficie de toute l'approbation des autorités françaises", a-t-il déclaré au cours d'une cérémonie commémorative de l'évacuation des derniers résidents français de Kigali lors du génocide.
 »Voir l'article du nouvel Observateur.--Mutima 24 mai 2006 à 23:26 (CEST)[répondre]
Que notre actuel gouvernement baisse sa culotte devant le dictateur Kagame n'a rien d'étonnant. Mais cela ne change pas les faits, établis par l'ambassadeur Marlaud quand il n'avait pas des ministres veules pour lui imposer de dire n'importe quoi. Lucrèce 24 mai 2006 à 23:41 (CEST)[répondre]

Opération Turquoise - Bisesero[modifier le code]

Dans la Phrase Des journalistes étaient présents à Bisesero et n'ont pas la même version que l'armée française. suppression de et n'ont pas la même version que l'armée française.  :Voir paragraphe Bisesero sur le site de l'assemblée nationale. Ce paragraphe montre déjà qu'il y a un problème entre la version de l'armée et Paris Match. On y remarque aussi une erreur de date juillet au lieu de Juin. Mais surtout les députés ont omis de dire plusieurs autres journalistes étaient présents : Vincent Hugeux de L'express, Patrick de Saint-Exupéry du Figaro, Corine Lesnes du Monde, Raymond Bonner du New York Times. Ces deux derniers, Bonner et Lesnes ont relaté le dialogue le 29 juin 1994 entre François Leotard et les journalistes précisément et contrairement à ce qu'affirme Lucrece, sur les rescapés découvert le 27 juin à Bisesero. Les autres ont parlé dans leurs articles dès juillet 1994 de ce problème, contrairement à ce que dit Lucrece. Lire aussi le livre de Saint-exupéry L'inavouble et le rapport de la Commission d'enquête citoyenne qui sont beaucoup plus dociumentés sur cette affaire. Le livre de Péan tente de contrer ces ouvrages. On peut lire le prérapport de la CEC sur son site Opération Turquoise [Modification non neutre].--Mutima 7 décembre 2005 à 08:12 (CET)[répondre]

Comme je l'ai déjà dit, Corine Lesnes n'a rien écrit contre l'armée française à propos de Bisesero. Quant à Vincent Hugeux et Raymond Bronner, vous avez toujours refusé d'en citer une seule ligne. Lucrèce 24 mai 2006 à 23:51 (CEST)[répondre]
manipulation saint éxupéry à fait une manip comme l'ont montré steven smith et pierre péan ...Et comme l'a expliqué la commission quillès mais aussi le journaliste présent sur place michel peyrard...Bisséro c'est une manip la france n'a rien à se reprocher!!alex
Le négationnisme français ne pourra rien contre les faits. De plus ils sont juridiquement imprescriptibles, car liés au génocide.--Mutima 24 mai 2006 à 23:44 (CEST)[répondre]

Désaccord de neutralité[modifier le code]

Lucrece a pour bible Bernard Lugan (voir ci-dessous discussion sur les sources) et Péan qui s'appuie aussi sur cet auteur. Il a modifié l'article pour le transformer en thèse de l'armée française notamment sur les opérations ci-dessus, telle que même le rapport des députés français apparait comme un document subversif (à part sur Bisesero où il est très en deça des faits) !

Pour plus de clareté, il faudrait montrer la thèse de Péan/Lugan pour ce qu'elle est : la thèse de l'état major français (il suffit par exemple de comparer l'audition du général Quesnot devant les députés (dont certains éléments n'ont pas été retenus par les députés) et les affirmations de Lugan sur les jours qui ont suivi l'attentat du 6 avril 1994. Quant aux affirmations sur le retournement de Colette Braeckman j'attends qu'on m'en apporte les références il n'aurait pu se faire qu'en 2005, car en 2004 elle est venue témoigner devant la Commission d'enquête citoyenne et a confirmé ses écrits. --Mutima 5 décembre 2005 à 07:37 (CET)[répondre]

mutima désinformation la fameuse cec qui n'est en fait que survie et ses partenaires se basent sur le témoignage manipulé par le fpr janvier afrika des années 92/93 mais il se garde bien de parler de la lettre du même janvier afrika de novembre 94 ou il parle à propos du fpr de crime et même de "double génocide"

Comme je vous l'ai déjà expliqué, Colette Braeckman a reconnu dans un entretien accordé à Pierre Péan s'être fait enfumer sur l'attentat contre Juvénal Habyarimana. Son livre de 2003 Les Nouveaux prédateurs, elle dresse un portrait de Paul Kagame contradictoire avec sa position antérieure (apologie de ce criminel contre l'humanité).
Vous n'avez rien eu à répondre tous mes arguments et à ceux de Bernard Lugan et de Pierre Péan. Vous vous contentez de gémir et d'injurier. Lucrèce

Je n'ai pas besoin de gémir, il y a une levée de bouclier très perceptible contre Péan dans les médias. RFI a refusé une émission avec lui sur la pression des journalistes. Ce soir dans "C dans l'air" on a pu voir qu'il ne connait pas du tout le Rwanda et qu'il n'est qu'un mercenaire de l'information. Il n'a même pas répondu à la question êtes-vous allé au Rwanda ? Son bouquin est un tissus serré de mensonges, c'est du négationnisme à l'état brut. Non franchement vous n'êtes pas très convaincants. Et je ne suis nullement inquiet sur le résultat de cette campagne... le plus drôle est que Le Monde, qui ne nous aime pas, a même mis le Contre-sommet de Bamako sur sa une en citant Survie...tellement ils en veulent à Péan ! Non franchement tout cela est amusant surtout quand vous restez "droit dans vos bottes" quand on vous montre que votre source sur Lugan s'est excusée d'avoir été trompée par Lugan ! Heureusement que le ridicule ne tue pas car Survie serait attaqué pour crime contre les négationnistes français !--Mutima 6 décembre 2005 à 19:35 (CET)[répondre]

Toujours pas le moindre argument, sauf : les médias n'en disent pas que du bien ! Que c'est puissant ! Le FPR a copieusement enfumé ce tas d'incapables qu'on appelle la majorité des journalistes, ils ne vont pas se renier. Quant aux journalistes du Monde, certains sont animés d'une telle haine contre Pierre Péan que s'il retrouvait la trace d'un médecin ayant découvert le vaccin contre le sida mais mort en glissant dans l'escalier, ces gens-là trouveraient encore le moyen de vitupérer le livre.
Vous n'avez rien à répondre sur les faits, or c'est cela seul qui importe. Quid de Bisesero, Bigogwe, tout ça ? Lucrèce

Tu m'amuses « Lucrece » retournes donc dans Astérix pour défendre Paris occupé par les Romanix contre les irréductibles Gaulois. Les services français n'ont pas le courage d'agir ouvertement sur Wikipédia. Il leur faut des pseudos. Ce sont des lâches qui déshonorent la France. Les militants de Survie sont des français qui honorent la France car ils agissent ouvertement. Mais l'honneur de la France est tellement bafoué par les menteurs, notamment sur les événements du Rwanda et le soutien d'une certaine clique française au Hutu Power génocidaire, que les militants de Survie n'arriveront pas tout seul à reconstruire une France honorable, digne de l'humanité, dans le coeur des Africains. Quels événements permettront de retourner ce désastre français en Afrique ? --Mutima 7 décembre 2005 à 08:11 (CET)[répondre]

Mes sources[modifier le code]

Vous me prenez pour un imbécile qui ne pourrait pas justifier ses affirmations ?

Sur Amaryllis, les remarques viennent de Bernard Lugan, François Mitterrand, l'armée française et le Rwanda, pp. 184/187. Que vous le vouliez ou non, la majorité des employés tutsis ont été massacrés avant l'arrivée des troupes françaises. L'ambassadeur Marlaud a déclaré devant la mission d'information : « Il serait monstrueux de laisser entendre qu'un tri aurait été opéré dans le personnel de l'ambassade [...]. »

Colette Braeckman a reconnu qu'elle s'était fait enfumer à 99 % par le FPR devant Pierre Péan, qui raconte cela en détail dans son livre Noires fureurs, blancs menteurs (chapitre 16).

Sur Bisesero, Patrick de Saint-Exupéry, le seul journaliste présent qui ose accuser la France (à ma connaissance) dit en 2004 l'inverse de ce qu'il écrivait en 1994, que cela vous plaise ou non. Pierre Péan le décrit minutieusement dans le chapitre 24 de son livre.

Sinon, je me permets de vous conseiller de chercher vos sources ailleurs qu'au cabinet noir du FPR en France (cf. encore une fois Pierre Péan).

Lucrèce 2 décembre 2005 à 21:45 (CET) Voici qui est Bernard Lugan : site de ses étudiants de Lyon III Autant dire que cet auteur est extrêmement controversé, ce que confirme une recherche sur Google. Comme Lugan Péan est chargé de rétablir la vérité de l'Etat major français. Vos sources sont tout à fait contestables. C'est "blancs menteurs"...--Mutima 3 décembre 2005 à 15:28 (CET)[répondre]

Sauf que le rapport d'Henri Rousso, un grand historien et pas un simple étudiant lui, dit l'inverse de cette page diffamatoire que je connaissais, bien évidemment. Bernard Lugan a des idées politiques pour le moins contestables, mais il ne les mélange pas à son travail scientifique, c'est cela seul qui importe. Allez-vous réclamer le retrait des références à Pierre Chaunu, bien plus mouillé avec l'extrême droite que son collègue lyonnais ? Dois-je vous faire l'injure de vous rappeler que Bernard Lugan a été nommé expert auprès du TPIR ? Et pour ce qui est d'Internet, savez-vous qu'en cherchant ainsi, on en arrive à soutenir que les extraterrestres ont débarqué sur la Terre ?

manipulation de lucrèce votre idole patrick saint éxupéry à aussi été comme lugan à radio courtoisie!!!et puis lugan lui au moins il à un doctorat d'histoire et à vécu au rwanda ce qui n'est pas le cas de votre autre idole chrétien qui n'a même pas un dea et qui est très contesté par des chercheurs comme reetjens ou lemarchand!!alex

Bernard Lugan, pas plus que Pierre Péan, n'a été chargé par personne de quoi que soit. Par contre, les deux ont eu l'idée de s'adresser aux militaires français, ah oui, effectivement quelle horreur, ils n'ont le droit que se taire, ces gens-là, français et militaires, vous n'y pensez pas !
Enfin, vous ne manquez pas de toupet en contestant mes sources : les contempteurs de la France sont tous des propagandistes du FPR, qui a 7 millions de morts sur la conscience dixit la justice espagnole !
Lucrèce 3 décembre 2005 à 15:38 (CET)
Décidément vous avez de bien mauvaises informations. Bernard Lugan n'a jamais été expert auprès du TPIR. Il a seulement été cité par des présumés génocidaires pour leur défense comme témoin expert ce qui est plus qu'une nuance. La défense qualifie d'expert qui elle veut. Je vois aussi que vous faites le lien entre Péan et les militaires français. c'est un aveu dont nous n'avions pas besoin pour le comprendre. Wikipédia n'est pas chargé de la défense des militaires français, mais simplement de donner des informations les plus fiables possibles sur les articles traités.[1]
Vous le faites exprès, ou réellement vous ne comprenez rien ? Vous ne répondez à aucun de mes arguments, et vous vous enferrez dans l'erreur, en allant jusqu'à dénier son statut d'expert à Bernard Lugan, qui n'est nullement réfuté par le texte que vous produisez. Et je n'ai fait aucun lien entre Pierre Péan et les militaires, j'ai simplement ironisé sur la haine pathologique qu'ont les groupies du FPR contre la France (même et surtout si c'est leur patrie) et les militaires. Wikipedia est une encyclopédie, elle doit donc s'efforcer de dire la vérité, et pas de diffuser la propagande de criminels contre l'humanité tels le FPR. Lucrèce 3 décembre 2005 à 20:22 (CET)
Merci de me traiter de propagandiste du FPR et d'une manière générale vous êtes d'une agressivité à la limite de l'insulte parce que je vous apporte des objections sérieuses. Bernard Lugan n'est pas expert du TPIR, mais expert de la défense de génocidaires devant le TPIR. Le TPIR a ses propres experts. Si vous ne faites pas la différence c'est que vous vous manquez de connaissances sur ce sujet.
Les autorités françaises ont maintes fois montré qu'elles considéraient le FPR comme leur ennemi et le Hutu Power, auteur du génocide, leurs amis. De nombreux textes de militaires le montrent. Le témoignage du gendarme du GIGN, Prungnaud présent à Bisesero, est venu le confirmer dans le magazine le Point et au micro de France culture en 2005. Dans cette dénonciation de l'ennemi ils amalgament, comme vous, les Tutsi de l'intérieur du Rwanda au moment du génocide et le FPR. Il y avait certainement des espoirs des premiers envers les seconds. Toute la politique de la France, face à la crainte actuelle de la justice, et de continuer de diaboliser le FPR. Certes le FPR a commis des crimes de guerre et des crimes contre l'humanité au Rwanda et au Zaïre, mais au même titre que les alliés pendant la seconde guerre mondiale. Certes il n'y a pas eu d'enquête approfondi sur ces crimes, mais on trouve quand même des enquêtes, notamment dans le livre d'Alison Desforges "Aucun témoin ne doit survivre". Alison Desforges actuellement très mal acceptée par le FPR. Toutes les enquêtes éditées en France sont bourrées de relants négationnistes et de tentatives de justifications de la politique française au Rwanda. Elles sont complètement NPOV car la France est juge et partie. La France, avec l'Espagne et l'Opus dei qui défend les intérêts catholiques dans le génocide, sont le fer de lance du négationnisme actuellement.--Mutima 4 décembre 2005 à 13:12 (CET)[répondre]
Des objections sérieuses ? Vous voulez rire ? Vous ne donnez aucun argument, aucune référence précise à l'appui de vos dires. Le FPR a tué beaucoup, beaucoup plus de gens que les fous furieux des milices hutues. Il est coresponsable du génocide des Tutsis qu'il a sciemment provoqué en assassinant le président Habyarimana. La comparaison avec les alliés est une ineptie et une obscénité.
Que de négationisme...

Mi-juin 1994, Colette Braeckman, journaliste au quotidien belge Le Soir, reçoit par porteur une lettre datée du 29 mai et signée d’un « chef de milice à Kigali ». Il écrit : « L’avion du président Habyarimana a été abattu par deux militaires français du DAMI (Détachement d’assistance militaire à l’instruction) au service de la CDR [l’extrême droite rwandaise - NDLR] dans le but de déclencher le carnage [...]. Il n’y avait que très peu de CDR au courant de ce complot, quatre personnes plus les deux Français, personne de la famille du Président, quatre chefs CDR dont moi [...]. Les Français ont mis des uniformes belges pour quitter l’endroit et être vus de loin par deux soldats de la garde nationale [...]. L’un des Français s’appelle, je crois, Étienne et est jeune [...] ».

oui elle et krop ils se sont bien planté en implicant la france dans l'attentat du pt habyarimana manip en fait c'était l'oeuvre du fpr voir smith, onana, le juge bruguière, péan et le témoignage de l'ex fpr abdul riguziza! alex Cherchant à recouper ce témoignage, Colette Braeckman découvre qu’un soldat français répondant au surnom d’Étienne « se trouvait effectivement au Rwanda à ce moment. Cet "Étienne" était en réalité le nom de code d’un instructeur de tir français qui avait travaillé au Rwanda, P. E., le nom de code commençant, comme de coutume, par la première lettre du nom de famille. "Étienne", spécialiste de tir mortier et portant le grade de sergent, qui faisait partie du DAMI, avait quitté Kigali avec l’opération Noroît en décembre 1993. Il était discrètement revenu au Rwanda en mars 1994 et depuis l’été, il se trouve au Burundi. » En décembre 1993, l’opération Noroît sonnait le départ du contingent de militaires français opérant au Rwanda depuis 1990, date de l’offensive du FPR. Officiellement, seuls 25 coopérants militaires devaient rester présents au Rwanda. Pourtant de nombreux témoignages font état, dès février 1994, de la présence, à Kigali et Butare notamment, d’une douzaine de membres du DAMI en civil. A des amis, l’un des ces militaires devait déclarer qu’il se trouvait au Rwanda « avec quelques copains, pour une mission de courte durée ». « Plusieurs témoins affirment avoir reconnu, en février, onze de ses membres revenir en civil dans la capitale rwandaise, et l’on ne manque pas de traces de cette présence officieuse. » « Par la suite, certains de ces "soldats inconnus" devaient gagner Goma [au Zaïre] depuis Gitarama, où se trouvait alors le gouvernement intérimaire rwandais, et déclarer qu’ils avaient "laissé des hommes derrière eux » [c’est-à-dire déploré des morts dans leurs rangs - NDLR]. D’autres témoignages corroborent la thèse de la présence de militaires français sur le site de tir des missiles au moment de l’attentat. Parmi eux, celui de Paul Henrion, citoyen belge, ami du défunt président rwandais et qui a passé sa vie au Rwanda. Il confie à Colette Braeckman avoir vu « le 6 avril, à 10 heures du matin, sur la route de Massaka des militaires installés derrière une mitraillette quadruple [et] deux lanceurs portatifs. [...] Certains de ces hommes, qui portaient l’uniforme des gendarmes rwandais et/ou les bérets noirs de la garde présidentielle, avaient mis leur béret à l’envers, à la mode française, alors que les Rwandais portent leur béret du même côté que les Belges. J’ai pensé qu’il pouvait s’agir de soldats français d’origine martiniquaise ou guadeloupéenne comme il y en avait beaucoup au Rwanda ». A 20h15, soit quinze minutes avant l’attentat, M. Henrion repasse sur les lieux pour constater : « À ma grande surprise ils étaient toujours là, en position de tir. Par la suite, Massaka a été rasée et des milliers d’habitants tués. Comme si l’on avait voulu supprimer tous les témoins ». L’opération de tir sur l’avion présidentiel, « opération militaire minutieusement préparée », a été effectuée par des professionnels qualifiés avec du matériel hautement sophistiqué. « Tous les témoins qui, de près ou de loin, ont assisté au lancer des roquettes sont formels : la précision du tir ne peut qu’être l’oeuvre de professionnels, des étrangers vraisemblablement, car aucun militaire rwandais n’a jamais été formé à une telle technique et l’armée nationale ne dispose pas de missiles dotés d’un système de détection à infrarouges. En outre, l’appareil était pourvu d’un leurre permettant de déjouer le premier tir. Pour faire mouche, il fallait donc très vite, avant que le dispositif ne se remette en place, tirer un second coup. Ce qui fut fait, à la seconde près, par des tireurs qui connaissaient vraisemblablement le système de défense de l’avion. » L’engin utilisé pour abattre le Falcon, « un missile portable SAM [SAM 16 "Gimlet" - NDLR] de la série Strela » fournit lui aussi de troublantes informations. Filip Reyntjens, proche de l’ancien régime rwandais et auteur d’un livre d’enquête sur les 72 heures qui suivirent l’attentat, a retrouvé le numéro de série du lanceur utilisé. Ayant remonté la piste, il affirme : « Les deux lanceurs [qui] ont été récupérés par l’armée rwandaise trois semaines après l’attentat auraient fait partie d’un lot qui a été vendu en 1988 par l’ancienne Union soviétique à l’Irak. En février 1991, ces missiles ont été saisis par la France comme une sorte de butin de guerre à l’occasion de la guerre du Golfe [...] Ils ont été emmenés en France, pays qu’ils n’ont officiellement jamais quitté. » « La France sait tout, après avoir envoyé le 10 avril 1994 un commando de la DGSE collecter les éléments de preuve sur place. Les militaires belges, qui ont mené leur propre enquête [pour éclaircir les circonstances de la mort, le 7 avril 1994, de dix paracommandos belges - NDLR], font état de l’implication dans l’attentat de deux de leurs collègues français (Esteban (ou Étienne) et Thadée... » A ce jour, l’enquête est pourtant suspendue... Les Nations unies, qui voudraient également y voir plus clair, n’ont toujours pas eu l’autorisation d’examiner l’épave de l’avion.La France garde le silence ou dément. Elle n’apporte en tous cas aucune preuve réfutant les éléments toujours plus précis qui la mettent gravement en cause.

Dites-donc, le courageux anonyme, si vous croyez que c'est en invectivant jusqu'à la diffamation et en balançant des pavés non sourcés que vous allez intimider qui que ce soit, vous vous fourrez le doigt dans œil jusqu'à l'omoplate. Cette histoire d'attentat, même Colette Braeckman reconnaît que c'est une grosse manipulation, que tout ce qu'elle a écrit à ce sujet est fondé sur des affabulations. Désolé, mais c'est ainsi et chacun peut le vérifier au chapitre 16 de Noires fureurs, blancs menteurs. Même Survie, depuis au moins un an, n'ose plus accuser la France telle c'est gros, débile et mensonger. Lucrèce 15 décembre 2005 à 21:44 (CET)
Survie n'a absolument jamais pris position sur cette question. Voir cette page. Par contre Survie remarque, depuis le 6 avril 1994, les gesticulations étonnantes et contradictoires de différents acteurs français et journalistes très controversés, tels que Stephen Smith et Charles Onana qui affirment n'importe quoi, alors qu'aucune enquete n'a été menée à son terme et en particulier aucun "rapport bruguière" n'a été publié et ne sera publié, j'en ai maintenant l'intime conviction. C'est amuse gueule pour les médias. Bruguière n'est toujours pas allé au Rwanda et les seuls militaires français à avoir examiné les lieux l'ont fait dès le 6 avril au soir et sont tenu au secret défense et n'ont pas transmis leurs conclusion au rapporteur spécial de l'ONU chargé de cette question en 1994. S'il y avait des preuves accablantes en faveur d'une thèse on le saurait. pour l'instant les éléments d'enquêtes que les miltaires français ont réunis ont été cachés (dissimulés ?) à la communauté internationale.--Mutima 1 janvier 2006 à 19:12 (CET)[répondre]
La France n'a jamais présenté la faune des massacreurs comme ses amis, elle défendu, et encore pas assez ce pauvre Juvénal Habyarimana pris en tenaille entre les bouchers du FPR et les bouchers d'Hutu power. Sinon, Mme Des Forges, c'est encore un perroquet du FPR.
Je relèverai pour finir votre perle : un juge espagnol est forcément inféodé à l'Opus dei et l'Opus dei est forcément mouillée avec les génocidaires du Rwanda (comme si elle n'avait pas d'autres chats à fouetter en Europe et en Amérique latine). Le juge Garzon, il a mis Oussama Ben Laden en examen parce qu'il veut persécuter les musulmans sur ordre de l'Opus ? Grotesque au superlatif.
C'est du Thierry Meyssan, tout simplement. Lucrèce 4 décembre 2005 à 13:37 (CET)
J'en finis une bonne foi pour toute avec le statut d'expert de Bernard Lugan, qui lui a été conféré par l'ONU et par elle seule : [2] Lucrèce 4 décembre 2005 à 13:49 (CET)

Les excuses de 20 minutes au sujet de vos sources[modifier le code]

Votre citation de l'article de 20 minutes est tout à fait intéressante car l'association Survie dont je fais partie a écrit à 20 minutes pour protester contre cet article et a eu les excuses de la journaliste : [...]Après vérification, il s'avère effectivement que ce Bernard Lugan est très peu recommandable, et que j'aurais dû vérifier auparavant de quoi il retournait exactement le concernant. Je vous prie donc d'accepter mes excuses. Je suis moi-même affligée de n'avoir pas eu la vigilance nécessaire avant de l'interviewer[...]'' Je souligne au passage l'honnêteté et la franchise de cette journaliste. Donc c'est moi qui en fini avec ceci Bernard Lugan n'a pas de "statut d'expert" "conféré par l'ONU". C'est de la propagande par abus de confiance d'une journaliste. Vous ne trouverez aucun document de l'ONU l'attestant. Et je peux même vous faire lire ceci : de l'ONU :Conférence mondiale contre le racisme, la discrimination raciale, la xénophobie et l'intolérance qui y est associée où l'on peut lire, Intervenant à son tour pour mettre en lumière les formes contemporaines de racisme, le Président Abdoulaye Wade du Sénégal a dénoncé le racisme intellectuel qui est le fait de certains historiens qui, comme le Professeur Bernard Lugan de l'Université de Lyon lll (France), donnent une fausse interprétation de l'histoire en affirmant que toutes les thèses soutenues par des écrivains africains ne sont pas fondées et que la contribution des Noirs à l'histoire de l'Afrique est dérisoire.--Mutima 4 décembre 2005 à 15:55 (CET)[répondre]

Ces excuses ne prouvent absolument pas que Bernard Lugan n'a pas reçu le statut d'expert auprès de l'ONU, mais simplement que 20 minutes se fait facilement enfumer, ce qui n'a rien d'étonnant. Quant au président Wade, lui non plus, ce n'est pas quelqu'un de très recommandable. Les Sénégalais ont de plus en plus de mal à le supporter et ils ont bien raison : à cause de ce gusse, le Sénégal rejoint les pays les moins avancés !
Donc, si je résume :
— Vous n'avez rien à dire sur vos sources comme officines du FPR ;
— Vous n'avez rien à dire sur les 7 millions de pauvres gens massacrés par le FPR ;
— Vous n'avez rien à dire sur la responsabilité du FPR dans le génocide des Tutsis de l'intérieur ;
— Vous n'avez rien à dire pour justifier votre anathème contre Bernard Lugan et surtout rien à dire contre le rapport d'Henry Rousso, LA référence dans ce domaine.
Lucrèce
Les blancs menteurs existent vraiment. Ils cherchent à trainer dans leurs pé-ân-eries tous les français qui essayent d'être honnêtes et cherchent et luttent pour connaitre la vérité contre les raisons d'Etat au sujet de la France au Rwanda, au sujet du Rwanda, de l'ancien comme du nouveau, et en ont assez de voir les thermites françafricaines ronger de leur négationnisme lucratif et parisien les structures de notre démocratie française. Nous pouvons nous tromper, c'est normal, mais petit à petit nous avons pu établir un certain nombre d'éléments qui ont provoqué le déluge de contrevérité dont Lucrèce se fait l'apôtre ici ...
--Mutima 1 janvier 2006 à 19:22 (CET)[répondre]
en fait mutima tu n'as rien prouvé du tout sinon que tu es au serve du cec et de survie alors bien sur les gens comme smith,onana, péan, gouichaoua, qui commencent à sortir des choses génantes pour kagamé et ses "idiots utiles" vous inquiètent au plus haut point alex!!
Voilà ce que je pense du négationnisme français du génocide. Il est clair que tout ce petit monde que vous citez est très inquiet à cause des plaintes de rwandais devant le tribunal aux armées... ils ont sorti une volée de bouquins pour essayer de faire croire que la France n'a rien à voir avec tout cela. Mais c'est un vrai flop médiatique parce que les faits sont tenaces. Les gens sérieux qui approfondissent ce sujet voient bien que la France est profondément impliquée dans le génocide au Rwanda et que le négationnisme français est aussi virulent et agressif qu'inefficace.--Mutima 24 mai 2006 à 23:06 (CEST) :[répondre]
Ce que vous pensez n'a pas d'intérêt en soi, cela ne vaut que s'il y a argument. Or vous êtes sacrément sec. Me répondre, cinq mois plus tard, par les mêmes injures que d'habitude, c'est plus que court, ce n'est même pas dérisoire, c'est inexistant. Je vais tout de même vous donner une information, car ma bonté est sans limites : vous n'avez pas fini de souffrir et de calomnier, d'ici quelque temps vous allez probablement devoir riposter à une belle brochette de gens sérieux, pour certains très critiques vis-à-vis de la France avant 2005. Lucrèce 24 mai 2006 à 23:59 (CEST)[répondre]
Et bien je vous donne un moyen de prouver que ce que je dis n'a vraiment aucun intérêt : en ne répondant plus à mes arguments futiles.--Mutima 9 juillet 2006 à 10:35 (CEST)[répondre]