Discussion:Pierre des morts

Le contenu de la page n’est pas pris en charge dans d’autres langues.
Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Autres discussions [liste]
  • Admissibilité
  • Neutralité
  • Droit d'auteur
  • Article de qualité
  • Bon article
  • Lumière sur
  • À faire
  • Archives
  • Commons

Pourriez vous citer les sources qui vous ont servi à bâtir cet article car celui-ci est très pointu ? De même, comment savez vous que les corps étaient posés sur la pierre des morts et pouvaient y rester plusieurs jours ? On a l'impression que le corps pouvait être abîmé par des charognards....Merci de me répondre--Thélise (d) 30 avril 2010 à 11:16 (CEST)Thélise[répondre]

Pierre des morts[modifier le code]

Le terme de "pierre des morts" est ainsi défini dans le Thésaurus de l'architecture en usage au Ministère de la Culture (en France. Référence complète de l'ouvrage : Thésaurus de l'architecture / Inventaire général des monuments et richesses artistiques de la France ; [réd.] par Jean Davoigneau, Renaud Benoît-Cattin, Xavier de Massary... [et al.] ; sous la dir. de Monique Chatenet et Hélène Verdier ; publ. par la Sous-direction des études, de la documentation et de l'inventaire, Direction de l'architecture et du patrimoine, Ministère de la culture et de la communication. Paris : Éd. du Patrimoine : Caisse nationale des monuments historiques et des sites, Luisant : Impr. Durand, 2000. 169 p. ; 27 cm (Documents & méthodes ; 7) : "Grande pierre rectangulaire, parfois appelée banc des morts, placée devant l'entrée d'une église, sur laquelle on posait le cercueil avant la mise en terre". On trouve quelques exemples de tels édicules dans les dossiers réalisés par les services d'Inventaire du patrimoine culturel, mis en ligne par le biais des bases Mérimée et Palissy : ces exemples se trouvent en Région Bourgogne, Poitou-Charentes, Centre, Pays-de-la-Loire et Limousin, vont du 13e au 19e siècle et concernent des pierres situées soit près d'une église, soit près d'une croix de chemin. Lors des enquêtes réalisées dans les cantons foréziens de Boën et Montbrison pour le Service de l'Inventaire du patrimoine culturel de la Région Rhône-Alpes, nous avons en effet trouvé des pierres allongées devant certaines croix (ex. pour le canton de Boën : IA4200710 et IA4200717, croix dite "du reposoir". Les dossiers concernant le canton de Montbrison sont en cours de rédaction), et nous a indiqué qu'elles servaient à poser le cercueil pour prendre un temps de repos sur le chemin de l'église ou du cimetière. Nous n'avons pas recueilli de témoignage aussi précis concernant les décès en jasserie. Des indications de sources nous intéressent également ! --Caroline Guibaud (d) 6 avril 2011 à 16:33 (CEST)Caroline Guibaud, conservateur du patrimoine, Inventaire du patrimoine culturel de la Région Rhône-Alpes[répondre]

Proposition de suppression de cet article. Les pierres des morts n'existent pas[modifier le code]

Les pierres d'attente des morts comme les appelle leur inventeur Marcel Baudouin, n'existent pas. Personne n'en parle avant lui, aucune source d'archives, aucune source iconographique, aucun témoignage direct ni même indirect de ce genre de rite, ni écrit ni oral, rien, néant intégral de la documentation. C'est un pur délire, une hallucination collective des folkloristes qui se répétaient les uns les autres sans qu'aucun ait jamais trouvé le moindre début de commencement de preuve ou même d'indice. Ils s'imaginaient, au début du XXe siècle, que les campagnes avaient conservé des rites hérités de la préhistoire. Dans toute la France, on trouve partout des bancs, et ils ont halluciné là-dessus, c'est très étrange qu'on trouve encore des alllusions à cette théorie fumeuse. Pourtant il est notoire que Baudouin partait souvent dans de gros délires. --4 février 2021 à 04:45 (CET)Gaetan Poix (discuter)