Dans l'article E. Dumas, M. Freulon, D. Davis et J.Y. Kervella, « Le rôle des vétérinaires des armées dans l’évolution de la médecine vétérinaire », Médecine et armées, vol. 36, no 5, , p. 487-496 (lire en ligne), il est précisé que l'exploitation phosphatière dans le pays a favorisé le développement de 2 ports. Le 1er, c'est Sfax, pas de doute. Le 2e est-il Tunis, pour les gisements exploités dans le Nord ? Christian COGNEAUX (d) 1 mars 2013 à 21:38 (CET)[répondre]