Discussion:Manoir de la Chaperonnière/À faire
Novice de wiki je me permets de mettre de la matière "brut sur ce sujet" le texte est copier de page web dont je cite les source (je sais qu'il ne faut pas copier mais je pense etre dans la partie discussion et pouvoir dans ce sens apporter une contribution ou du moins un point de départ)--86.73.116.141 (d) 23 octobre 2011 à 22:23 (CEST):
légende (http://assiette.noah.free.fr/index.php?page=17&titre=La%20Dame%20de%20la%20Chaperonniere): La Dame de la Chaperonnière
Entre Jallais et Beaupréau est un antique manoir sur le cours de l'Evre en Anjou. C'est uujourd'hui une simple ferme mais sa construction date du XIVème siècle. Elle a été construit sur les ruines d'un chateau datant du IXème siècle. C'était le Chateau du duc d'Anjou : Foulque. La maison s'appellait La Chaperonnière et tire son nom de son premier propriétaire, Jean Chaperon, seigneur du lieu et ondateur dune des plus puissantes familles d'Anjou. Jean Chaperon vivait à la fin du IXème sièle et répondait souvent à l'appel de son suzerain, le sire du Grand-Montrevault.
Un matin du mois de juin 1086, Jean Chaperon épousa la fille du baron de Rochefort-sur-Loire. C'était la fête au chateau et cela devait durer huit jours mais le sixième jour un messager arriva face à Jean Chaperon et lui donna un message qui était signé de Grand-Montrevault. Il disait que l'ouest de la France prennait les armes contre les Musulmans. Il le priait donc de le rejoindre sans tarder. Il fit donc ses adieux à son épouse en lui précisant que des imposteurs risquaient de se manifester pour lui donner de ses nouvelles. Ils décida alors de couper son alliance en deux et en donna une moitié à sa bien-aimée en lui précisant que seul le détenteur de l'autre moitié pourrait parler en son nom.
Jean Chaperon participa donc à la guerre contre les Musulmans en Espagne. Battu près de Badajos, le roi Alphonse se défend péniblement. C'est alors que de vaillants chevalier arrivèrent autour du comte de la Marche, Hugues de Lusignan, et du seigneur de Montmorillon pour aider le roi de Castille. Durant une grande bataille près de Soria, un des compagnons de Chaperon se ditingue particulièrement, le sire de Jallais. Mais la guerre se prolonge.
A La Chaperonnière, la pauvre épouse se languit. Jusqu'au jour où on lui annonce le retour de seigneurs venant de la guerre, mais son mari n'est pas parmi eux. Certains affirme qu'il aurait été tué. La pauvre épouse pleure en attendant... Sept ans ont maitenant passé et le seigneur de Rochefort dit à sa fille qu'il n'est pas bon rester seule. Elle finira par se remarier et la veille du mariage un festin réunis les seigneurs alentour. C'est à ce moment qu'un voyageur arrive au chateau. Jean Chaperon, parce c'est lui, regarde tout le monde sans qu'on le reconnaisse.
Le seigneur de Rochefort lui fait conter ses aventures. Il dit qu'il a combattu pour délivrer Jérusalem. Il explique qu'il a été fait prisonnier en Espagne et emenné en Afrique. Puis, s'étant échapper, il parveint à rejoindre la Syrie et les armées des Croisés. Ayant finit son récit, il dit qu'il est maintenant chez lui puisqu'il est Jean Chaperon. Personne dans l'assemblé ne croit bien entendue et donc il explique d'histoire de l'anneau cassé en deux qu'il ressort de ses poches. Son épouse sortit alors l'autre moitié et se rendit bien sur compte que les deux s'ajustait exactement.
Il retouva donc sa femme, son domaine et sa notorièté qui n'a plus cesser de s'acroitre au fil des ans. On chante encore ses exploits au pays de Chemillé ou de Beaupréau. Dans les Mauges, on disait encore récemment d'un omme qui enreprennait un long voyage : "Que Dieu le garde. Pourvu qu'il ne fasse pas comme Jean Chaperon !...".
Histoire : http://www.culture.fr/sections/regions/pays_de_la_loire/organisme/JEP-ORGS109592 La terre doit son nom, comme la rue Chaperonnière à Angers, à la puissante famille Chaperon qui la possèda jusqu'à la fin du XVè s. Le château actuel dut être construit par Jehan II du Plessis et Guyonne de la Rochefoucault, dont les armes accolées surmontent la porte de la tour.
autre source :