Discussion:Joal-Fadiouth

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Histoire de Joal

UN VILLAGE ENRACINE DANS SES TRADITIONS ET OUVERT AU MONDE

FONDATION : Joal, un village traditionnel

Le terme Joong qui, à l'origine, sert d'appellation à Joal, est doublement symbolique : s'il désigne le nom du fondateur du village (Joong SENE), il indique aussi la nature du lieu où le village fut fondé (élévation-monticule).

Voici le récit de la fondation de Joal tel que le raconte certains historiens locaux : un groupe d'immigrants sérères venus de la contrée de Ngoxeem, pour la plupart des chasseurs et des cultivateurs, arrivèrent au lieu appelé jadis Nbaan à environ 5 km de Joal. La forêt était épaisse et beaucoup d'animaux sauvages s'y réfugiaient.

Un jour, un homme partit de ce village pour la chasse vers le sud. Il blessa une biche mais l'animal ne tomba pas sur le coup. Il continua sa course en laissant derrière lui une traînée de sang. Le chasseur se mit à sa recherche jusqu'à la tombée de la nuit et fut obligé d'arrêter la poursuite. N'osant plus rentrer à cette heure, il décida de monter sur un grand arbre pour se protéger des bêtes féroces.

Au cours de la nuit, quelque chose de mystérieux attira son attention : il vit soudain un arbre “ Mbélégne ” sortir du sol et grandir progressivement. Le chasseur remarqua ensuite qu'au fur et à mesure que l'aube avançait, l'arbre diminuait pour disparaître après.

Le lendemain, il alla rendre compte au chef du village, Joong SENE. Celui-ci proposa au chasseur de l'accompagner au lieu indiqué et à la même heure, la nuit, le même phénomène se produisit devant eux.

Ayant constaté cela, Joong retourna le lendemain à Nbaan en passant près du marigot où les animaux venaient régulièrement boire. Il tua une biche, alla offrir une partie de la viande à ses parents de Ngoxeem.

Il leur expliqua son aventure et leur demanda des conseils. Ceux-ci lui indiquèrent ce qu'il fallait faire pour retenir l'arbre. De retour à Nbaan, les “savants” du village lui offrirent une bande de tissu en coton ( a naf njoor ) qui avait aussi des effets et un pouvoir mystérieux.

Le soir, il partit seul dans la forêt, creusa un trou à l'endroit indiqué, y enterra les os de la biche. Dès que le “Mbéléñeem” fit son apparition, il utilisa la bande de tissu en prononçant des incantations. L'arbre mystico-religieux fut alors immobilisé. Il donna son nom au quartier de Mbéléñeen qui s'agrandit pour devenir “ Joong-Mbéléñeem ”.

A ce quartier, s'ajoutèrent ceux de Ndubaab (qui englobe les anciens quartiers de Soobeem, Baakem, Mbin Kuni), Mbuux-Juxam fondé par les ressortissants de Mbéléñeem.

Ces quartiers forment le Joal traditionnel. De nouveaux quartiers viendront s'y greffer plus tard : Afdaye-Diamaguène, Durant la période coloniale, santhie I et II après les Indépendances.

Une des particularités du Joalien autochtone est son attachement au Tim (lignée maternelle), par lequel il s'identifie par rapport au reste de son groupe ethnique local. Ces structures de base différenciées apparaissent à l'occasion des cérémonies traditionnelles telles que les funérailles, les mariages… rappelant ainsi l'originalité de l'organisation sociale, administrative du monde Sérère depuis les origines. A Joal, les plus anciennes familles connues grâce aux “Tims” sont : les Simala (les hommes de la mer), les Fata-Fata , les Rabor (maîtres du feu), les Fejor (maître de la terre et de la pluie), les Siwagna , les Jan-Jani , les Soos , les Yokaam , les Jaxanoor (maître de la mer et de la pêche).

Le côté traditionnel du Joalien autochtone apparaît aussi à travers l'importance qu'il accorde aux “Sanctuaires” des génies protecteurs : Kuuta , Fassanda , Mama Guedj , etc.

JOAL : un port commercial

. Les sources anglaises

Il faut attendre 1588 pour voir mentionner Rufisque, Portudal et Joal dans une patente de la Reine Elisabeth 1ère d'Angleterre, datée du 3 mai 1588.

. Les sources hollandaises

Balthasar de MOUCHERON, armateur hollandais (calviniste d'origine normande), donnait ces instructions datées du 19 décembre 1598 au capitaine de vaisseau Proost : “Nous vous commettons commis principal pour conduire le bateau nommé “moorine” (…) vous relâcherez à la rade de Cabo Verde, Zioala et Porto Dale”.

. Les sources françaises

En 1679, le Roi du Sine signe le Traité de Nimègue, traité consacrant la prépondérance française sur la côte et cédant aux français une bande côtière de 6 lieues. Par arrêté du Roi du 12 septembre 1684 et 6 janvier 1685, Joal est explicitement cité.

. Les sources portugaises

- Joal fut la porte du Sine, comme Rufisque fut la porte du Cayor et Portudal celle du Baol. Avares d'ALMEIDA décrit : “ Joola comme étant un port important ”. chard RAINOLDS dans une lettre datée du 14 décembre 1591 écrit : “ Joal, ville située à 6 lieues de Palmarin : les merchandises sont des peaux, de la cire, des defenses d'éléphants, etc.”

- Francisco DE LEMS COELHO en 1636 : “Le port de Joal est bien reconnaissable à ses eaux calmes et stables, il est très agreeable et salubre”. Il conclut : “Si l'on me donnait le choix d'un de ces ports pour m'y fixer, je m'accommoderais bien volontiers à celui de Joal”.

. L'origine du nom “Joal”

- Selon le Père Henri GRAVRAND, Joal viendrait de la contraction des deux mots : JONG d'ALE qui donna JO-ALE.

- Une autre version, parmi d'autres, fait dériver le mot Joal du nom de la sœur de Sino ALBIS, appelé Joanna ALBIS. Voici comment les Portugais ont “acheté” (acquis) Joal en 1549 : un navigateur portugais du nom de Sino ALBIS, échoua un jour sur la place de Joal, alors qu'il était en route pour Bissau. Il débarqua sur la plage et vint à Ndoubab, à l'actuelle place publique. Il manquait de provision d'eau. Là, il vit une gueule tapée toute sale, sortir de la vase en agitant sa queue, faisant éclabousser la boue partout. Il suivit les traces du varan, déduisant l'existence d'un point d'eau. Il creusa à peine que l'eau jaillit de terre vers le ciel en un jet d'eau puissant : Il remplit ses fûts et au moment de s'en aller l'idée lui vint à l'esprit de construire un puits à cet endroit même, ainsi il pourrait se ravitailler en eau lors de ses prochains voyages.

Mais cette terre appartenait et relevait de la “juridiction du Roi du Sine, à l'époque WAGANE COUMBA SANDIANE FAYE (1534-1634). Le Jaraaf de Joal fut informé de l'intention du portugais et vint le trouver sur les lieux afin d'entamer les négociations et introduire la demande de ce dernier à la Cour Royale.
Une Ambassade fut dépêchée. Le Buur Sine donna son accord moyennant trois barriques d'alcool. Le marché fut conclu à l'insu des Sérères de Ndiongue qui habitaient non loin de là. Le Roi du Sine organisa un festin de trois jours et trois nuits. Un lopin de terre venait d'être vendu !
A cause de ce puits, les Portugais s'installeront petit à petit à Joal. Sino ALBIS mesura de long en large sa nouvelle propriété et y planta le drapeau portugais visible depuis l'océan. Toutes les fois qu'il quittait Lisbonne pour Bissau, il faisait escale dans sa propriété qu'il dénomma “Joanna ALBIS”, du nom de sa sœur.
Avec l'acquisition de ce puits, “Piipa” ou “Ngass a Mak”, Joal sera divisée en deux ; la partie habitée par les Sérères de Ndiongue-Mbéléñeem et l'autre par les “Nègres-Portugais” de Ndoubab.
Les Portugais seront suivis par les Hollandais et les Français, ce que confirme l'Abbé Boilat dans ses Esquisses sénégalaises : “La ville de Joal, l'une des plus importantes du Royaume du Sine, est un ancien comptoir portugais, qui fut pris par les Hollandais, repris par les Français, aujourd'hui entièrement abandonné des uns et des autres, comme ceux de Rufisque et de Portudal. Cette ville était autrefois très commerçante. On y prenait, d'après monsieur DURAND, des vivres pour des navigateurs et pour Gorée”.

JOAL : une commune aux grandes potentialités

Depuis le 1er février 1966, Joal forme avec les villages de Fadiouth et de Ngazobil, la commune de Joal-Fadiouth, par la Loi no. 66-20.
 Trois (3) maires s'y sont succédé : Jean COLLIN, Emmanuel Sobel DIOUF et Paul NDONG (l'actuel maire). Estimée à 35.000 habitants, la population de la commune, en majorité Sérère, appartient au milieu agricole : la culture du mil, du riz, de l'arachide, constitue l'essentiel de la production. Les atouts majeurs de la commune résident dans le tourisme qui prend de l'ampleur et dans la pêche qui est la principale activité économique.
Sur le plan socioculturel, l'influence due à la cohabitation ancienne avec les Européens détermine un type particulier de Sérères. Le Joalien reste enraciné dans son folklore d'une diversité exceptionnelle non encore entamée, malgré une grande ouverture de la culture vers l'extérieur, à l'image d'un de ses illustres fils : LEOPOLD SEDAR SENGHOR.
 A Joal, l'enracinement et l'ouverture se lisent quotidiennement dans les faits et gestes des populations qui ont donné au Sénégal et au monde entier l'exemple de ce que devra être la civilisation de l'universel (du donner et du recevoir), car c'est dans ce creuset culturel de Joal que ce penseur a puisé son inspiration et bati son inspiration et son génie avant d'éclore à la face du monde.
Histoire de Fadiouth

Vers le 13 ème siècle, des querelles tribales avaient divisé l' E mpire du Ghana que Soundiata KEITA venait de conquérir. En ce moment, Massa Waly Siguirane DIONE , très ambitieux et assoiffé de pouvoir, tenta en vain de faire un coup d'Etat. Par crainte de mourir sur l'échafaud, Massa Waly et sa suite prirent la fuite et vinrent s'installer en Guinée portugaise à Gabou . Là, le jeune prince acquit une popularité. Toujours rêveur, il décida d'assujettir la région ; mais les rois du pays s'opposèrent à son action : parmi ces rois, figurait le redoutable Sountoubabang qui dut livrer une guerre contre Massa Waly.

Au bout de sept ans, Massa Waly sortit victorieux. Pour des questions de stabilité politique, il maria en secondes noces la nièce de son vassal. Le ménage fut prépondérant et Massa Waly se laissa berner, comme par malheur, par les caprices de sa femme et lui révèla le secret de sa puissance. Ainsi donc s'annonce le drame de notre histoire (HISTORIQUES). Par une belle matinée, alors que son mari dormait, cette ménagère se déguisa en garde et rapporta à son frère, fidèle compagnon de Massa, le talisman de celui-ci, qui dit-on, faisait l'effroi de ses ennemis.

Devant ce dilemme, Massa s'interrogeait s'il fallait combattre l'ennemi et devenir son sujet ou fuir pour ensuite faire de nouvelles conquêtes. Il refusa la sujétion, la servitude de Sountoubabang et rassembla ses troupes. Il procéda à un vote à main levée. Il disait : que ceux qui se sentent honorer de ma gloire passée veuillent me suivent car, pour rien au monde, je ne deviendrai jamais l'esclave de mon esclave. De ces termes, l'assemblée lui renouvela sa confiance en se conformant à ses vœux et ils quittèrent Gabou.

L'EXODE DE MASSA WALY

Partis de Gabou (guinée Bissau), Massa et sa suite entreprirent un long voyage vers le Nord. Ils traversèrent la Casamance et à ce propos, notons la création du village « soce » Alsa, Sani Mintaleng Diouma, la Gambie ; et atteignirent le Saloum. La traversée de ce fleuve s'effectue par une pirogue provenant du nom « NDOUNE » ; d'ou l'appellation des îles du Saloum : GA NDOUNE. Là, on vivait de pêche et de cueillette. Dans cette région sérère, nous pouvons noter la fondation de l'île de Nodior et celle de Dionewar par les fils de Dioural. De Sangomar, Massa et son entourage gagnèrent le village de Diakhanore, une famille de la lignée des Diakhanoras y reste et c'est pourquoi les Diakhanoras de Fadiouth ont des biens matériels à Diakhanor ; notamment dans le domaine des palmiers. Puis les Massa arrivèrent à Ngoundoumane que les « Hiokames » occupèrent et à Fakao créé par les « Siwagna ».

RECHERCHE DE SITE FAVORABLE ET SEPARATION

Accablés de fatigue dans leur poussée vers le Nord, Massa et ses gens se reposèrent à Fata. La soif les avait gagnée. Anecdote : au moment où la foule migratrice, les yeux en haut, implorait de l'eau, un pigeon s'envola du gouffre du baobab et ses ailes laissèrent tomber des gouttes d'eau. Toute la foule s'écria « fatalé », c'est-à-dire de l'eau, de l'eau ; et se précipita vers le gouffre et se désaltéra. Après rafraîchissement, Massa resta sept jours à Faboura, transformé en sept ans par la légende. Ses émissaires inspectèrent la région et trouvèrent que le climat de Mbissel était favorable pour leur roi Guelwar. Massa s'installa donc à Mbissel qu'il choisit comme capitale où il mourut par une égratignure d'un coq. A ce moment, une partie de la tribu vint à Tindine : ce lieu offrait certes un asile mais son eau était saumâtre et Moussa Molonko y trouva la mort. Ils quittèrent Tindine pour Fadiouth. Cette île entourée par de très profonds bras de mer fut choisie comme lieu sûr qui abriterait ses habitants contre tout envahisseur quelqu'il soit malgré la salinité de l'eau. Pendant que certains défrichaient le terrain, d'autres se mirent à la recherche d'une eau potable. L'histoire d'une gueule tapée les conduisit à Diong (Joal) au marigot de Ngassamack connu actuellement au nom de Pipa . A Diotyo, actuel cimetière de Fadiouth, mourut Ndiagor.

LE FONDATEUR DE L'ILE

Massa était un homme sympathique et très ouvert. Aussi fit -il la connaissance du père de Fadiara-Fadiouth, un roi bambara du temps de leur amitié, renforcée par le mariage de Fadiara et d'une nièce à Massa. Cette femme de Fadiara était sûrement une Diakhanora ; d'où l'appartenance de l'île à la famille maternelle de Tiboye, elle-même Diakhanora.

Le fondateur de l'île serait donc Fadiara , du Bambara Fadioudia. Le premier habitant mort et enterré dans l'île fut Ndagne qui s'est vu attribu er le titre de fondateur par la légende. Au cours du règne de Massa, la capitale passa successivement de Mbissel à Djilass, puis à Ndiongolor et à Diakhao.

HABITANTS DE FADIOUTH AU 12 ème ET 13 ème SIECLE

On peut dire que les premiers habitants de Fadiouth étaient des Socés d'origine . Ils se sont, au cours de leur voyage, unis aux Sérères du Sine venus de la rive gauche du fleuve sénégal parcequ'ayant refusé de se soumettre aux conquérants musulmans.

STRUCTURES POLITIQUES

Les familles qui fondèrent l'île étaient venues tout au long de leur voyage avec des esclaves. Mais la structure sociale n'admettait pas qu'un esclave habitât la même maison que son maître. Les esclaves furent donc envoyés à Diong.

LES VILLAGES ENVIRONNANTS

Mbodiène : fondé par Gagane MBODJ après que Hamat BA eût pillé la région de Mbeye (Gambey)

Ndianda : date de Yigo où se sont succédé Satiep et Pierre NDIAYE

Fadiara : s'appelait Wadia, c'est-à-dire habité pour quelques temps

Mbagana : c'est-à-dire on les a tous exterminés

FADIOUTH AU 19 ème SIECLE

Pendant de sept siècles, Fadiouth a vécu dans la tranquillité. Cependant, les habitants de l'île payaient l'impôt (sahara shara) au Bour Sine. La coopération avec les Blancs se faisait seulement dans le domaine de la vente des esclaves.

FADIOUTH A-T-IL FAIT DE GUERRE ?

Après la colonisation du Sénégal par les Français, Fadiouth fut rattaché à la région du Sine-Saloum. Fadiouth n'a jamais été dominé parce que l'île était pratiquement inaccessible et était défendue par des esprits, pour la plupart, bienfaiteurs sauf si la paix de ses habitants se trouvait menacée de l'extérieur. C'est ainsi que nous pouvons noter les échecs du Sine-Saloum qui avait voulu prendre d'assaut le village et dont les envahisseurs se sont vus noyés ou déroutés par des flèches et des abeilles.

Les chefs de village qui se sont succédé sont : Diangoh - Latyr Diofté - Hamad Yingué - Nguessa Bandé - Moundor Diouf - Waly Tening Thioro - Fodé Ndié Ndiaye - Khalidou Yaliss - François Sangol Sarr - Gilbert Boucar Ndiaye( actuel chef de village).


Sites touristiques de Joal

- Fasanda - Maam Geej - Kuta

- Les LOMB (Cimetière des ancêtres) - Quai de Pêche - Mbin Jogoye (Musée): Maison familiale du président Senghor - Ruines d'anciennes maisons coloniales - Eglise Notre dame de la purification (Fondée vers 1600) - Ngasamaak (puits creusé par les colons Portugais le 28 Mai 1817) - La Mosquée - Cimetière Catholique de Joal - L'Ecole Saint Tomas de Villeneuve

Fadiouth : Sites

- Toute l'île entièrement revêtue de coquillages - Tour de l'île en pirogue - Cimetière marin revêtue de coquillages blancs sur la colline de Djotyo surplombant l'île et la passerelle empruntée pour y accéder - Les 2 passerelles en bois l'ancienne construite en 1960 et la nouvelle terminée en 2003 - Les greniers sur pilotis où étaient stockées les récoltes et le bois de chauffe tiré des palétuviers qui encerclent l'île - Forêts de palétuviers et leurs méandres appelées bolongs _ Parcs ostréicoles - L'église Saint François-Xavier - La mosquée

C'est du copié/collé. La personne ne s'est pas même donné la peine d'enlever les copyright ! On peut tirer des informations a la rigueur, mais le copier/coller est interdit. Si quelqu'un veut bien s'occuper de ca... --Darunia 4 novembre 2006 à 12:26 (CET)[répondre]

Tout l'article est un copier/coller venant du site [1] j'avais commencé à rectifier certains points de détail lorsque je m'en suis rendu compte --Ltdm

Grand nettoyage en vue[modifier le code]

Je vais essayer de faire le ménage dans ce tissu de plagiats, mais ça risque de prendre du temps... Ji-Elle 4 avril 2007 à 06:57 (CEST)[répondre]