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Discussion:Intrépide (Borda III)

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Nom du navire

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Le vaisseau L'Intrépide, renommé Borda (tout court, sans quantième "III" ni "IV") en 1890 fut le quatrième vaisseau école de l'école navale, et le troisième Borda (après l'ex-Commerce de Paris et l'ex-Valmy) et non le quatrième (l'Orion, premier vaisseau école avait conservé son nom).

Le supposé quantième ("II", "III" ou "IV"), parfois ajouté au nom de Borda dans les historiques des bâtiments école de l'école navale, est une erreur (ou une fantaisie) car inutile[1] : de la même façon que les Jeanne d'Arc se succèdent dans la marine sans se superposer[2], il n'y a jamais eu en service dans la marine qu'un seul Borda à la fois.

Voir à ce sujet la Discussion sur les Borda de l'École navale.

Il conviendrait donc de rectifier le titre de l'article en supprimant le "IV" dans la parenthèse "(Borda IV)" et en précisant "troisième du nom".

Ou bien, si la rectification ne peut être faite, d'abroger l'article et d'en reprendre le fond dans un nouvel article ?

--Fondudaviation (discuter) 24 août 2015 à 11:01 (CEST)[répondre]

  1. La présence simultanée dans la marine de plusieurs bâtiments portant le même nom, mais différenciés par un quantième est exceptionnelle ; on peut mentionner celle des ravitailleurs d'hydravions Pétrel N… (de 1931-1945) au nombre de 8 (Pétrel 1Pétrel 8), de quelques (rares) unités réquisitionnées pendant la guerre et dont les noms (civils) étaient conservés : les dragueurs auxiliaires Corsaire (AD.371) et Corsaire II (AD.391), Fezzara II (AD.231), Gladiateur IV (AD.385), Goéland X (AD.167), Marie Thérèse I (AD.224) et Marie Thérèse II (AD.149), entre autres, ainsi que des trois patrouilleurs auxiliaires Air France I, Air France III et Air France IV.
  2. Le porte-hélicoptères de 1961-2010 a vécu les trois premières années de son existence sous le nom de La Résolue tant que le croiseur de 1931-1964 était encore en service