Discussion:Débuts de la mécanisation automobile des armées françaises
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Brouillon/documentation
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[modifier le code]de:Scotte Dampfwagen - de:Sociéte de Chaudières et de Voitures à VapeurNoch 1905 wurde eine solche von der französischen Armee getestet, aber nicht übernommen. Für die Société de Secours aux Blesses militaires baute Scotte einen Train Ambulance, ein dampfbetriebenes Krankentransportfahrzeug mit Anhänger.
Un des premiers dérivés du Canon de 75 mm modèle 1897, l' auto-canon de 75 De Dion-Bouton modèle 1910[1], destiné à la défense contre aéronefs (ballons) aux armées, est un modèle extrêmement novateur, avec son canon sur la plateforme d'un camion qui peut être mis en batterie en moins de cinq minutes. Il se révèle cependant mal adapté au tir contre avion, du fait du manque d'appareil de préparation de tir et de sa limite de pointage en azimut (268 gr). Une version sur remorque permettant le tir tout azimut fut plus tard produite (1916-1917) plus longue à mettre en œuvre et donc incapable de « relever » rapidement en cas de contre-batterie. Trente pièces à tir « vertical » (soit vingt auto-canons et dix pièces « semi-fixes ») furent commandées aux ateliers de Puteaux (futur AMX) et réalisés en 1913. Des sections d'auto-canons sont formées dès 1916. À l'Armistice sont en ligne 196 auto-canons et « remorques » pour un total de 858 pièces tous systèmes confondus (le nombre de pièces détruites durant le conflit n'est pas connu).
- Notice sur les châssis de Dion-Bouton, type FZ pour auto-canon de 75, et type GO pour auto-caisson de 75 : Description, fonctionnement, Établissements De Dion-Bouton, , 62 p. (lire en ligne).