Discussion:Circuit intégré logique
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Logiques ou numériques[modifier le code]
Je pense que cet article fait une confusion (malheureusement courante) entre numérique et logique. Un microprocesseur et un DSP sont des circuits intégérs numériques, une porte ET est un circuit logique. Je renomme. --GaAs 7 octobre 2006 à 07:20 (CEST)
- Changer le titre n'a malheureusement pas résolu cette confusion, ni toutes les autres concernant d'autres concepts, ni les problèmes de cohérence avec les liens de Wikipedia qui pointent vers cet article.
- Entre autres, parce qu'il traite des technologies de fabrication des circuits intégrés, l'article reçoit la redirection du "Familles logiques", sujet qui ne concerne pas seulement les circuits intégrés logiques mais également les composants intégrés construits à base de fonctions logiques, dont notamment les circuits intégrés numériques.
- Les microprocesseurs, par exemple, sont des circuits intégrés (composants physiques) généralement constitués d'un ensemble de circuits logiques (structures théoriques) destiné à réaliser des fonctions complexes (notamment logiques et arithmétiques). Ce sont des circuits intégrés numériques, mais pas des circuits intégrés logiques. Pourtant, on présente ici des informations d'ordre général qui, très majoritairement, concernent aussi les microprocesseurs.
- Je pense donc qu'il y a un problème quant à la définition du sujet de cet article. De plus, quel qu'il soit ce sujet, le contenu actuel apparaît comme assez approximatif et relativement incomplet, et exigerait d'être profondément remanié... mais pour ce faire, il faudrait-il commencer par se mettre d'accord sur la question traitée. 90.2.231.116 (discuter) 22 septembre 2023 à 12:39 (CEST)
ECL[modifier le code]
ECL ne veut pas dire Emitter Common Logic mais Emitter Coupled Logic, soit logique couplée par les émetteurs. Ceci provient du fait que la sortie est sur l'émetteur d'un transistor bipolaire: il s'agit donc d'un collecteur commun justement et pas d'un émetteur commun comme la TTL usuelle ! Ceci permet une basse impédance pour attaquer des charges capacitives, et donc assurer un délai de charge bref. En outre, un tel étage ayant un gain en tension de 1 ne risque pas de saturer, ce qui évite l'accumulation de charges dans la jonction, et le délai pour les en retirer à la prochaîne commutation. (En plus, l'entrée est sur un différentiel qui n'est jamais saturé non plus). --Almipa (d) 15 novembre 2011 à 13:34 (CET)
CMOS > HCT[modifier le code]
J'ai vu dans mon BTS électronique que les circuits HCT étaient des circuits compatibles TTL composés UNIQUEMENT de composants CMOS, afin de bénéficier des avantages de cette technologie >> consomation et plage de tension.
la tension d'utilisation n'est donc pas de 4,5 à 5,5V mais de 3V à 18V
mais je ne sais pas où vérifier cette information. Mon prof avait un master dans le domaine, mais l'erreur est humaine ^^'
Néanmoins son explication tien la route et paraît plus logic que de garder l'ancienne polarisation après évolution, qui est connu pour être contraignante.
-- Réponse (en l'absence de lien "[répondre]") --
Les circuits de la série HCT (HCMOS compatibles TTL) doivent être alimentés entre 4,5 à 5,5V, d'une part parce que la définition des niveaux logiques TTL l'impose, d'autre part parce que la technologie HCMOS fixe une limite absolue de 7V pour la tension d'alimentation Vcc (au-delà, les circuits peuvent présenter des dysfonctionnements ou être endommagés). Les circuits de la série HC (HCMOS non compatibles TTL) peuvent être alimentés par une tension comprise entre 2V et 6V. Ce sont les circuits de la série 4000 (technologie CMOS, plus ancienne) qui peuvent être alimentés entre 3V à 18V.
Datation des Technologies[modifier le code]
Leur datation sommaire serait bienvenue
--Lf69100 (discuter) 6 février 2016 à 01:50 (CET)
Tout-ou-rien[modifier le code]
L'article actuel définit les circuits intégrés logiques comme des « circuits intégrés (CI) travaillant en tout-ou-rien (TOR) ».
Or, il existe des circuits logiques qui, en pratique, ne fonctionnent pas en « tout ou rien », mais dans des modes de fonctionnement à deux niveaux qui n'y sont assimilés que du point de vue logique.
Par exemple, dans la technologie ECL, les circuits logiques sont constitués de structures symétriques dont les transistors ne sont jamais saturés ni bloqués. Les niveaux logiques y sont représentés par la polarité des signaux différentiels reçus ou produits, dont les limites de tension théoriques sont par ailleurs notablement éloignées des tensions d'alimentation Vcc et -Vee. Les termes « tout » et « rien » sont donc impropres pour décrire le deux états possibles présentés par de tels circuits. 90.2.222.122 (discuter) 24 septembre 2023 à 12:21 (CEST)