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[[File:Kessler Heliodor.jpg|thumb|upright=1.5|"Die Vertreibung Heliodors aus dem Tempel", Öl auf Leinwand, ca.1670]]
[[File:Kessler Heliodor.jpg|thumb|upright=2|''Héliodore chassé du temple'' (vers 1670) huile sur toile.]]


'''Stephan Kessler''' (* 16 janvier 1622 à [[Donauwörth]]; † 31 août 1700 à [[Bressanone]]) est l'un des plus importants [[peinture baroque|peintres baroques]] [[Tyrol|tyrolien]]s. Artiste recheerché du clergé et de la noblesse urbaine, il peint entre autres des [[retable]]s et ds [[Peinture d'histoire|tableaux historiques]] bibliques. Il conçoit, en collaboration avec {{Lien |Caspar Feichtmayr | lang = de}}, la salle baroque de l'[[abbaye de Benediktbeuern]].
'''Stephan Kessler''' (* 16 janvier 1622 à [[Donauwörth]]; † 31 août 1700 à [[Bressanone]]) est l'un des plus importants [[peinture baroque|peintres baroques]] [[Tyrol|tyrolien]]s. Artiste recherché du clergé et de la noblesse urbaine, il peint entre autres des [[retable]]s et ds [[Peinture d'histoire|tableaux historiques]] bibliques. Il conçoit, en collaboration avec {{Lien |Caspar Feichtmayr | lang = de}}, une salle baroque du couvent de l'[[abbaye de Benediktbeuern]].


== Biographie ==
== Biographie ==


Concernant la vie de Stephan Kessler, il existe de nombreuses indications dispersées dans les [[archives]] de la région, portant sur des mariages, baptêmes, successions ou opérations immobilières, contrats et honoraires, sans qu'il soit possible d'en déduire une chronologie complète<ref name="Scheiber">Eduard Scheiber, « Archivalische Belege zu Stephan Kessler und dessen Familie », dans: ''Stephan Kessler. Ein Tiroler Maler der Rubenszeit'', (Catalogue d'exposition), Diözesanmuseum Hofburg Brixen, 2005, p. 25 et suivantes.</ref>.
La vie de Stephan Kessler est documentée par de nombreuses indications dispersées dans les [[archives]] de la région, portant sur des mariages, baptêmes, successions ou opérations immobilières, contrats et honoraires, sans qu'il soit possible d'en déduire une chronologie d'ensemble<ref name="Scheiber">Eduard Scheiber, « Archivalische Belege zu Stephan Kessler und dessen Familie », dans: ''Stephan Kessler. Ein Tiroler Maler der Rubenszeit'', (Catalogue d'exposition), Diözesanmuseum Hofburg Brixen, 2005, p. 25 et suivantes.</ref>.


Le père de Stephan, George Kessler, est peintre de profession et vient à Donauwörth depuis [[Wrocław]]. Stephan naît le 16 janvier 1622 à Donauwörth, et un séjour à [[Brixen]] en 1643 est documenté. Stephan obtient la citoyenneté en 1644, et on lui propose, au lieu du paiement des droits, de peindre un tableau pour l'hôtel de ville; on ne sait pas s'il a accepté cette proposition. En 1643, Kessler se marie une première fois, mariage dont sont issus sept enfants. À la mort de sa femme en 1492, il se marie une deuxième fois peu de temps après et, à la mort de sa deuxième femme, une troisième fois en 1698, deux ans avant sa mort<ref name="Scheiber">.
Le père de Stephan, George Kessler, est peintre de profession et vient à Donauwörth depuis [[Wrocław]]. Stephan naît le 16 janvier 1622 à Donauwörth, et un séjour à [[Brixen]] en 1643 est documenté. Stephan obtient la citoyenneté en 1644, et on lui propose, au lieu du paiement des droits, de peindre un tableau pour l'hôtel de ville; on ne sait pas s'il a accepté cette proposition. En 1643, Kessler se marie une première fois, mariage dont sont issus sept enfants. À la mort de sa femme en 1492, il se marie une deuxième fois peu de temps après et, à la mort de sa deuxième femme, une troisième fois en 1698, deux ans avant sa mort<ref name="Scheiber" />.


Kessler hatte bald nach seiner Ankunft in Brixen eine Malerwerkstatt gegründet und diese mit großem unternehmerischen Geschick geführt. Schon nach kurzer Zeit erhielt er viele Aufträge von kirchlichen und adligen Auftraggebern. Er wurde über [[Province autonome de Bolzano|Südtirol]] hinaus bekannt und hatte Kunden in Städten wie [[Graz]] und [[Vienne (Autriche)|Wien]]. In späteren Jahren arbeiteten seine Söhne Michael, {{Lien|fr=Gabriel Kessler|lang=de|trad=Gabriel Kessler|texte=Gabriel}} und {{Lien|fr=Raphael Kessler|lang=de|trad=Raphael Kessler|texte=Raphael}} in seiner Werkstatt mit<ref>{{Lien web| autor=| hrsg=| url=http://www.suedtirol-altoadige.it/arte_storia/arte/periodo_controriforma3.php| format=| sprache=it| titel=Venti secoli d'arte in Alto Adige - Il periodo della controriforma - Pittura| titelerg=| werk=| seiten=| datum=| archiv-url=| archiv-datum=| zugriff=2011-01-17| kommentar=| zitat=| offline=}}</ref>.
Dès son arrivée à Brixen, Kessler ouvre un atelier qu'il dirige avec une grand habilité commerciale. En peu de temps, il reçoit de nombreuses commandes de clients religieux et aristocratiques. Il est réputé au delà de du [[Province Autonome de Bolzano | Tyrol du Sud]], et avait également des clients dans des villes comme [[Graz]] et [[Vienne (Autriche) | Vienne]]. Ultérieurement, il associe ses fils Michael, {{lien | fr = Gabriel Kessler | lang = de | trad = Gabriel Kessler | texte= Gabriel}} et Raphaël à son atelier<ref>{{Lien web| url=http://www.altoadige-suedtirol.it/arte_storia/arte/periodo_controriforma3.php | format=| langue=it| titre=Venti secoli d'arte in Alto Adige - Il periodo della controriforma - Pittura| éditeur= altoadige-suedtirol}}.</ref>.


== Œuvres ==
Peu de temps après sont arrivée à Brixen, Kessler ouvre un atelier qu'il dirige avec une grand habilité commerciale. Après peu de temps, il reçoit de nombreuses commandes de clients religieux et aristocratiques. Il est réputé au delà de du [[Province Autonome de Bolzano | Tyrol du Sud]], et avait également des clients dans des villes comme [[Graz]] et [[Vienne (Autriche) | Vienne]]. Des années plus tard, ses fils Michael, ont travaillé {{lien | fr = Gabriel Kessler | lang = fr | trad = Gabriel Kessler | textes Gabriel =}} et {{Lien | fr = Raphaël Kessler | lang = fr | trad = Raphaël Kessler | text =}} Raphaël dans son atelier avec <ref> {{Lien web | author = | ed = | url = http: //www.suedtirol-altoadige.it/arte_storia/arte/periodo_controriforma3.php | format = | language = it | title = secoli Venti d'arte à Alto Adige - Il periodo della controriforma - Pittura | titelerg = | travaux = | pages = | Date = | archive-url = | Archives jour = | = 2011-01-17 accès | comment = | quote = | hors-ligne =}} </ref>.


== Werk ==


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Image:Kessler Engelspieta.jpg|"Engelspietà", ca. 1650.
Image:Kessler Engelspieta.jpg|''Pietà avec ange'', vers 1650.
Image:Kessler Fuerstbischof Khuen.jpg|"Fürstbischof Johann Franz Khuen", 1685.
Image:Kessler Fuerstbischof Khuen.jpg|''Prince-évêque Johann Franz Khuen'', 1685.
Image:Kessler Antonius von Padua.jpg|"Der hl. Antonius von Padua", ca. 1650/60.
Image:Kessler Antonius von Padua.jpg|''Saint Antoine de Padoue''", vers 1650-1660.
Image:Kessler Gastmahl des Herodes.jpg|"Das Gastmahl des Herodes", ca. 1660.
Image:Kessler Gastmahl des Herodes.jpg|''Le Repas de Hérode'', vers 1660.
</gallery>
</gallery>


=== Allgemeines ===
=== Environnement ===


À l'époque de Kessler, il était de pratique courante parmi les artistes de se référer à des schémas picturaux élaborés par des collègues célèbres. Dans toute l'œuvre de Kessler on retrouve des emprunts plus ou moins détaillés de ce type, en quelque sorte des briques de base, qui sont utilisés dans le cadre de narrations variables. Un tel comportement n'est alors généralement pas condamné comme une tentative de [[plagiat]], mais plutôt reconnu comme preuve de savoir professionnel. En plus de quelques influences d'Allemagne et d'Italie, c'est surtout le travail du peintre [[Pierre Paul Rubens]] qui offre à Stephan Kessler des inspirations pour ses travaux de grand format, agrémentés de nombreux détails et riches en couleurs. Pour cela, les reproductions graphiques des tableaux de Rubens, alors déjà largement répandues, étaient
Zur Lebenszeit Kesslers war es gängige Praxis unter bildenden Künstlern, auf Bildformulierungen zurückzugreifen, die von berühmten Kollegen entwickelt worden waren. In Kesslers gesamtem Werk lassen sich mehr oder weniger ausführliche Bildzitate dieser Art erkennen, Bausteine gewissermaßen, die in wechselnden Handlungsrahmen eingesetzt wurden. Solches Verhalten wurde seinerzeit generell nicht als Versuch eines [[Plagiat]]s verurteilt, sondern im Gegenteil als Beweis von fachlichem Wissen anerkannt. Neben einigen Einflüssen aus Deutschland und Italien war es vor allem das Werk des [[:de:Flämisch|flämisch]]en Malers [[Pierre Paul Rubens|Peter Paul Rubens]], das Stephan Kessler für seine großformatigen, detailreichen und farbenfrohen Arbeiten Inspirationen lieferte. Dabei war hilfreich, dass die Bilder Rubens’ als grafische [[Reproduction|Reproduktion]]en längst weit verbreitet waren.
un support précieux<ref>Cet aspect de l’œuvre de Kessler a été mis en évidence dans l'exposition « Stephan Kessler. Ein Tiroler Maler der Rubenszeit » qui a eu lieu en 2005 au {{Lien|fr=Diözesanmuseum Brixen|lang=de|trad=Diözesanmuseum Brixen|texte=Diözesanmuseum}} de la {{Lien|fr=Hofburg (Brixen)|lang=de|trad=Hofburg (Brixen)|texte=Hofburg Brixen}} et dans les institutions annexes du [[Couvent de Novacella]], {{Lien|fr=Schloss Schenna|lang=de|trad=Schloss Schenna|texte=Schloss Schenna}} et {{Lien|fr=Schloss Fahlburg|lang=de|trad=Fahlburg|texte=Schloss Fahlburg}}.</ref>


=== Art sacré ===
Pour la durée de vie Kessler est que ce était une pratique courante parmi les artistes visuels pour attirer sur des formulations d'écran qui ont été élaborés par des collègues célèbres. Dans toute l'œuvre de Kessler image plus ou moins détaillée des citations de ce type indique blocs, pour ainsi dire, qui ont été utilisés dans le cadre d'une action variable. Un tel comportement est à ce moment généralement pas comme une tentative de [[plagiat]] s condamnés, mais plutôt accepté comme preuve de connaissances professionnelles. En plus de quelques influences de l'Allemagne et l'Italie, ce est surtout le travail de [[: fr: flamands | flamande]] le peintre [[Pierre Paul Rubens | Peter Paul Rubens]] de la Kessler Stephan pour son grande échelle, hautement travaux détaillés et colorés Inspirations livré. Il était utile que les tableaux de Rubens que graphique | avaient depuis longtemps étendre bien en [[Reproduction Reproduction]].


Kessler est fréquemment sollicité par le [[clergé]] [[Catholicisme | catholique]] pour la réalisation de [[retable]]s. On les trouve dans de nombreuses église du Tyrol, et sont aussi conservés, pour certains d'entre eux, dans des musées, notamment au musée municipal de [[Merano]] et dans le musée rgional du Tyrol. En outre, Kessler peint des portraits de saints, des scènes de la vie du Christ et d'autres représentations de l'histoire biblique.

2005 wurde an Stephan Kessler in einer großen Sonderausstellung mit dem Titel „Stephan Kessler. Ein Tiroler Maler der Rubenszeit“ erinnert, in der zahlreiche Bilder aus Privatbesitz zum ersten Mal überhaupt der Öffentlichkeit zugänglich gemacht wurden. Die Ausstellung fand im {{Lien|fr=Diözesanmuseum Brixen|lang=de|trad=Diözesanmuseum Brixen|texte=Diözesanmuseum}} in der {{Lien|fr=Hofburg (Brixen)|lang=de|trad=Hofburg (Brixen)|texte=Hofburg Brixen}} sowie in den Außenstellen Augustiner Chorherrenstift [[Couvent de Novacella|Kloster Neustift]], {{Lien|fr=Schloss Schenna|lang=de|trad=Schloss Schenna|texte=Schloss Schenna}} und {{Lien|fr=Schloss Fahlburg|lang=de|trad=Fahlburg|texte=Schloss Fahlburg}} (Südtirol) statt. Der Rezensent einer Lokalzeitung urteilte anlässlich dieser Ausstellung: ''„Die üppigen Dekorationen, die prunkvollen Kostüme, die hinreissenden Momentaufnahmen mit Kindern, die hingebungsvollen Musikanten, die ausgelassenen, wirbelnden, erotisch anmutenden Tanzszenen, die wollüstigen „leichten Mädchen“ stehen im krassen Gegensatz zu [seinen] frommen Szenen aus dem Alten und Neuen Testament mit der dem Barock eigenen Sinnlichkeit und Körperlichkeit.“''<ref> NN: ''Der Tanz um das Goldene Kalb. Ausstellung Stephan Kessler im Schloss Schenna''. In: ''Dorfzeitung Schenna'', Ausgabe vom 27. Juni 2005, S. 15</ref>

2005 Stephan Kessler dans une grande exposition intitulée "Stephan Kessler. Un peintre tyrolien temps Rubens », se souvient lorsque de nombreuses images d'une collection privée pour la première fois, le public avait accès. L'exposition a eu lieu dans le {{Lien | fr = Musée diocésain Brixen | lang = fr | trad = Musée diocésain Brixen | text = Musée diocésain}} en {{Lien | fr = Hofburg (Brixen) | lang = fr | trad = Hofburg (Brixen) | texte = Hofburg Brixen}} et Augustins dans les bureaux extérieurs Canons [[Couvent de Novacella | Neustift Monastère]], {{Lien | fr = Château Scena | lang = fr | trad = Château Scena | text = Château Scena}} et { {Lien | fr = verrouillage Fahlburg | lang = fr | trad = Fahlburg | text = Château Fahlburg}} au lieu de (Tyrol du Sud). L'examinateur d'un journal local a statué à l'occasion de cette exposition: '' "Les décorations luxuriantes, des costumes somptueux, les instantanés ravissantes avec des enfants qui ont consacré musiciens qui ont sauté, tourbillonnant, érotiques scènes de danse de sondage, les voluptueuses" Loose Women "sont en contraste frappant avec [son] scènes religieuses de l'Ancien et du Nouveau Testament avec la sensualité baroque et physique '' '<ref> NN:' 'La danse autour du veau d'or.. Exposition Stephan Kessler dans le château de Scena ''. Dans: '' Scena village journal '', édition du 27 Juin 2005, p 15 </ref>

=== Sakrale Kunst ===

Von einzelnen Stiftern und vom [[Catholicisme|katholischen]] [[Clergé|Klerus]] wurde Kessler häufig beauftragt, [[Retable|Altarretabel]]n zu gestalten. Seine Altarbilder befinden sich in zahlreichen Kirchen Tirols, werden heute aber auch in einigen Museen aufbewahrt, unter anderem im [[Merano|Meran]]er Stadtmuseum und im Tiroler Landesmuseum. Darüber hinaus malte Kessler Heiligenbilder, Szenen aus dem Leben Christi und andere Darstellungen der biblischen Geschichte.

De donateurs individuels et de la [[Catholicisme | catholique]] [[CLERGE | clergé]] Kessler a souvent été commandé [[retable | Altarretabel]] n décision. Ses tableaux d'autel sont dans de nombreuses églises dans le Tyrol, mais conservés aujourd'hui dans certains musées, dont le [[Merano | Merano]] qu'il Musée de la ville et Tiroler Landesmuseum. En outre, Kessler peint des images de saints, des scènes de la vie du Christ et d'autres représentations de l'histoire biblique.


Am bekanntesten ist sein langgestrecktes Bild vom „Gastmahl im Haus des Simon“ von 1660, das im [[Chanoines réguliers de saint Augustin|Augustiner-Chorherren]]stift [[Couvent de Novacella|Kloster Neustift]] über der barocken Täfelung an der Nordwand des [[Réfectoire|Refektorium]]s angebracht ist. Es ist 10.20 m breit, 2.35 m hoch und mit einer Fläche von ca. 24.5 m² ein ungewöhnlich großes Leinwandbild. Das zentral angelegte Hauptmotiv ist die Fußwaschung Christi durch [[Marie de Magdala|Maria Magdalena]]. Die linke Tischhälfte lässt sich auf einen Rubensstich zurückführen. Andere Partien verweisen auf Gastmahl-Bilder von [[Paul Véronèse|Paolo Veronese]] - das gilt für den architektonischen Rahmen sowie für den [[Apôtre|Apostel]] mit weißem Bart ganz rechts außen und den sitzenden Hund in der rechten Bildhälfte. Auf dessen Halsband hat der Maler das Wappen des seinerzeit amtierenden [[Prévôt (religion)|Propst]]es angebracht, dazu seine eigenen Initialen (S.K.). Die Figur eines stehenden Dieners mit Bierkrug am rechten Bildrand wird gelegentlich als Selbstbildnis Kesslers interpretiert<ref>„Stephan Kessler. Ein Tiroler Maler der Rubenszeit.“ Ausstellungskatalog, S. 230 ff. Diözesanmuseum Hofburg Brixen, 2005.</ref>.
Am bekanntesten ist sein langgestrecktes Bild vom „Gastmahl im Haus des Simon“ von 1660, das im [[Chanoines réguliers de saint Augustin|Augustiner-Chorherren]]stift [[Couvent de Novacella|Kloster Neustift]] über der barocken Täfelung an der Nordwand des [[Réfectoire|Refektorium]]s angebracht ist. Es ist 10.20 m breit, 2.35 m hoch und mit einer Fläche von ca. 24.5 m² ein ungewöhnlich großes Leinwandbild. Das zentral angelegte Hauptmotiv ist die Fußwaschung Christi durch [[Marie de Magdala|Maria Magdalena]]. Die linke Tischhälfte lässt sich auf einen Rubensstich zurückführen. Andere Partien verweisen auf Gastmahl-Bilder von [[Paul Véronèse|Paolo Veronese]] - das gilt für den architektonischen Rahmen sowie für den [[Apôtre|Apostel]] mit weißem Bart ganz rechts außen und den sitzenden Hund in der rechten Bildhälfte. Auf dessen Halsband hat der Maler das Wappen des seinerzeit amtierenden [[Prévôt (religion)|Propst]]es angebracht, dazu seine eigenen Initialen (S.K.). Die Figur eines stehenden Dieners mit Bierkrug am rechten Bildrand wird gelegentlich als Selbstbildnis Kesslers interpretiert<ref>„Stephan Kessler. Ein Tiroler Maler der Rubenszeit.“ Ausstellungskatalog, S. 230 ff. Diözesanmuseum Hofburg Brixen, 2005.</ref>.


Le plus connu est son image allongée de la «Fête dans la maison de Simon" de 1660, qui, dans [[Chanoines Réguliers de Saint Augustin | chanoines augustins]] plume [[Couvent de Novacella | Monastère Neustift]] les lambris baroque sur le mur nord des [[Réfectoire | réfectoire]] s est attaché. Ce est 10,20 m de large, 2,35 m de haut et d'une superficie d'environ 24,5 m² inhabituellement grande de l'image de la toile. Le centre-échelle sujet principal est le lavement des pieds de Christ par [[Marie de Magdala | Marie-Madeleine]]. La moitié gauche de la table peut être attribuée à un Rubens bas. D'autres rôles se réfèrent aux images de banquet de [[Paul Véronèse | Paolo Veronese]] - cela se applique au cadre architectural et pour la [[Apôtre | apôtre]] avec une barbe blanche extrême droite et le chien assis dans la moitié droite de l'image. Sur le col du blason de les peintres de son temps dans le bureau [[Prévôt (religion) | prévôt]] qu'il attache à ses propres initiales (SK). Le chiffre d'un serviteur de standing avec chope de bière sur le bord droit est parfois interprétée comme un autoportrait Kessler <ref> "Stephan Kessler. Un peintre tyrolien temps Rubens. "Catalogue de l'exposition, la page 230 et suiv. Musée diocésain Hofburg Brixen., 2005 </ref>.
Le plus connu de ses tableau est le panneau très allongé du ''Repas dans la maison de Simon'' de 1660 qui est fixé au dessus du lambris baroque sur le mur nord du [[réfectoire]], dans le [[Couvent de Novacella ]] des [[Chanoines réguliers de Saint Augustin]]. Il a une largeur de 10,20 mètres et une hauteur de 2,35 mètres. Sa superficie est d'environ 24,5 m². C'est une taille inhabituelle pour un tableau sur toile. Le sujet principal au centre est le lavement des pieds du Christ par [[Marie de Magdala | Marie-Madeleine]]. La moitié gauche de la table est proche d'une gravure de Rubens. D'autres parties se réfèrent aux images de banquets de [[Paul Véronèse]] ; cela est vrai pour le cadre architectural et pour l'[[apôtre]] à la une barbe blanche situé à extrême droite et le chien assis dans la partie droite. Sur le collier du chien l'artiste a peint le blason du [[Prévôt (religion) | prévôt]] en alors en fonction, avec ses propres initiales (SK). Le personnage du serviteur debout avec chope de bière sur le bord droit est parfois interprété comme un autoportrait de Kessler<ref name="Cata">''Stephan Kessler. Ein Tiroler Maler der Rubenszeit'', (Catalogue d'exposition), Diözesanmuseum Hofburg Brixen, 2005, p. 230 et suivantes.</ref>.


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Image:Kessler Gastmahl Simon total.jpg|"Das Gastmahl im Haus des Simon", Übersichtsbild.
Image:Kessler Gastmahl Simon total.jpg|''Repas dans la maison de Simon'', vue d'ensemble.
Image:Kessler Gastmahl Simon links aussen.jpg|"Das Gastmahl im Haus des Simon", linker Bildrand.
Image:Kessler Gastmahl Simon links aussen.jpg|''Repas dans la maison de Simon'', bord gauche.
Image:Kessler Gastmahl Simon Mitte.jpg|"Das Gastmahl im Haus des Simon", Mittelteil.
Image:Kessler Gastmahl Simon Mitte.jpg|''Repas dans la maison de Simon'', partie centrale.
Image:Kessler Gastmahl Simon rechts aussen.jpg|"Das Gastmahl im Haus des Simon", rechter Bildrand.
Image:Kessler Gastmahl Simon rechts aussen.jpg|''Repas dans la maison de Simon'', bord droit.
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</gallery>


=== Profane Kunst ===
=== Art profane ===

Zu den Auftraggebern von Kesslers [[:de:Profan|profan]]en Bildern gehörten oft Schlossbesitzer. Sie bestellten in der Regel [[Peinture d'histoire|Historienbilder]] und Porträts, aber auch Bilder über Festlichkeiten oder die verschiedenen Jahreszeiten. Manche Bilder, zum Beispiel ''Türkischer Sklavenmarkt'' oder ''Kolumbus vor dem Kaziken'' zeigen, dass auch erotisch-fremdländische Themen gefragt waren. Beim Tiroler Adel waren Darstellungen des ''[[Fils Prodigue|Gleichnisses vom verlorenen Sohn]]'' beliebt, von denen sechs Folgen bis heute erhalten sind, jede Folge umfasst vier oder sechs Bilder. ''„Im Mittelpunkt steht barocke Festkultur, die moralisch hinterfragt wird. […] All diese Bilder dienen letztlich der Erbauung und Belehrung, wobei die Augenfreude nicht zu kurz kommen sollte.“''<ref> {{Lien|fr=Helmut Stampfer|lang=de|trad=Helmut Stampfer|texte=Helmut Stampfer}}: ''Von Fest und Historien – Zu Stephan Kesslers profanen Bildern''. In: ''Stephan Kessler (1622–1700). Ein Tiroler Maler der Rubenszeit''. Brixen 2005</ref>


Les clients de Kessler [[: fr: Profane | profanes]] s images souvent entendu propriétaires du château. Vous avez commandé dans la norme [[Peinture d'histoire | Histoire Images]] et des portraits, mais aussi des photos de fêtes ou les différentes saisons. Certaines images, telles que '' marché aux esclaves turque '' ou '' Columbus avant le cacique '' show qui ont été posées même sujets exotiques érotiques. Lorsque la noblesse tyrolienne étaient des représentations de la '' [[Fils Prodigue | parabole du fils prodigue]] '' populaire, dont six implications ont reçu, chaque séquence comprend quatre ou six images. '' "L'accent est mis sur la culture du festival baroque qui est moralement contesté. [...] Toutes ces photos servent en définitive l'édification et l'instruction, les yeux étant la joie ne doivent pas être négligés '' '<ref> {{Lien |. Fr = Helmut Stampfer | lang = fr | trad = Helmut Stampfer | text = Helmut Stampfer }}: '' De histoires dures et - à Stephan Kessler images profanes ''. Dans: '' Stephan Kessler (1622-1700). Un peintre tyrolien temps Rubens ''. Brixen 2005 </ref>
Les aristocrates ou propriétaires de châteaux parmi les clients de Kessler privilégiaent souvent des sujats profanes. Ils commandes des [[Peinture d'histoire | peintures d'histoire]] et des portraits, mais aussi des images de fêtes ou représentant les différentes saisons. Certaines images, telles que ''Le marché aux esclaves turques '' ou ''Christophe Colomb Columbus avant le cacique '' montrent que des sujets exotiques érotiques étaient appréciés. La noblesse tyrolienne appréciait particulièrement des représentations de la ''[[Fils Prodigue | parabole du fils prodigue]]'' populaire, dont six séries sont conservées, chaque séquence comprenant quatre ou six images. « ''L'accent est mis sur la culture baroque de la fête qui est moralement interrogée [...] Tous ces tableaux servent en définitive l'édification et l'instruction, tot en négligeant pasoù le plaisir des yeux'' »<ref>Helmut Stampfer, « Von Fest und Historien Zu Stephan Kesslers profanen Bildern » dans: ''Stephan Kessler. Ein Tiroler Maler der Rubenszeit'', Diözesanmuseum Hofburg Brixen, 2005.</ref>.


=== Deckenmalerei ===
=== Peintures de plafonds ===


Zu den {{Lien|fr=Deckengemälde|lang=de|trad=Deckengemälde|texte=Deckengemälde}}n, die Kessler geschaffen hat, gehören die acht {{Lien|fr=Marienleben|lang=de|trad=Marienleben|texte=Marienleben}} in der Liebfrauenkirche von [[Abbaye de Säben|Säben]] und die Saaldecke im Schloss Fahlburg in {{Lien|fr=Prissian|lang=de|trad=Prissian|texte=Prissian}}. Am bekanntesten sind seine Deckenbilder im großen barocken Festsaal im Westflügel des Konvents von Kloster Benediktbeuern. Er schuf sie zusammen mit Caspar Feichtmayr in der Zeit von 1672 bis 1675. Sie zeigen unter anderem die vier Elemente, die Erde als Einheit von Mensch, Tierwelt und Pflanzen sowie antike Göttergestalten, die das Reich der Planeten darstellen. Dort malte er auch zwischen 1675 bis 1680 den zwölfteiligen {{Lien|fr=Monatsbildzyklus|lang=de|trad=Monatsbilder|texte=Monatsbildzyklus}} ''Reigen der Monate''. Auch im Schloss Schenna befinden sich noch sieben von zwölf im Jahr 1675 entstandenen Monatsbildern.
Zu den {{Lien|fr=Deckengemälde|lang=de|trad=Deckengemälde|texte=Deckengemälde}}n, die Kessler geschaffen hat, gehören die acht {{Lien|fr=Marienleben|lang=de|trad=Marienleben|texte=Marienleben}} in der Liebfrauenkirche von [[Abbaye de Säben|Säben]] und die Saaldecke im Schloss Fahlburg in {{Lien|fr=Prissian|lang=de|trad=Prissian|texte=Prissian}}. Am bekanntesten sind seine Deckenbilder im großen barocken Festsaal im Westflügel des Konvents von Kloster Benediktbeuern. Er schuf sie zusammen mit Caspar Feichtmayr in der Zeit von 1672 bis 1675. Sie zeigen unter anderem die vier Elemente, die Erde als Einheit von Mensch, Tierwelt und Pflanzen sowie antike Göttergestalten, die das Reich der Planeten darstellen. Dort malte er auch zwischen 1675 bis 1680 den zwölfteiligen {{Lien|fr=Monatsbildzyklus|lang=de|trad=Monatsbilder|texte=Monatsbildzyklus}} ''Reigen der Monate''. Auch im Schloss Schenna befinden sich noch sieben von zwölf im Jahr 1675 entstandenen Monatsbildern.
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Les {{lien | peintures fr = de plafond | lang = fr | trad = peintures de plafond | text = peinture de plafond}} n, Kessler a créés comprennent les huit {{Lien | fr = Marienleben | lang = fr | trad = Marie vie | paroles = Marienleben}} dans l'église de Notre-Dame de [[Abbaye de Saeben | Saben]], et le plafond de l'auditorium dans le château de Fahl dans {{Lien | fr = Prissian | lang = fr | trad = Prissian | text = Prissian}}. Ses peintures du plafond de la grande salle de bal baroque dans l'aile ouest de la Convention de Benediktbeuern les plus connus sont. Il l'a créée en collaboration avec Caspar Feichtmayr dans la période de 1672 à 1675. Ils montrent, entre autres choses, les quatre éléments, la terre comme une unité de personnes, la faune et les plantes et les anciennes divinités représentant le royaume de la planète. Il a également peint entre 1675-1680 douze parties {{Lien | fr = Mois du cycle de | lang = fr | trad = Mois Photos | text = Le cycle de mois}} '' danse du mois ''. Dans le château de Scena aussi sont encore sept des douze créé en 1675 mois images.
Les {{lien | peintures fr = de plafond | lang = fr | trad = peintures de plafond | text = peinture de plafond}} n, Kessler a créés comprennent les huit {{Lien | fr = Marienleben | lang = fr | trad = Marie vie | paroles = Marienleben}} dans l'église de Notre-Dame de [[Abbaye de Saeben | Saben]], et le plafond de l'auditorium dans le château de Fahl dans {{Lien | fr = Prissian | lang = fr | trad = Prissian | text = Prissian}}. Ses peintures du plafond de la grande salle de bal baroque dans l'aile ouest de la Convention de Benediktbeuern les plus connus sont. Il l'a créée en collaboration avec Caspar Feichtmayr dans la période de 1672 à 1675. Ils montrent, entre autres choses, les quatre éléments, la terre comme une unité de personnes, la faune et les plantes et les anciennes divinités représentant le royaume de la planète. Il a également peint entre 1675-1680 douze parties {{Lien | fr = Mois du cycle de | lang = fr | trad = Mois Photos | text = Le cycle de mois}} '' danse du mois ''. Dans le château de Scena aussi sont encore sept des douze créé en 1675 mois images.


=== Öffentlich zugängliche Werke ===
=== Œuvres accessibles au public ===


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! Titre
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| ''Die Opferung Isaaks''
| ''Die Opferung Isaaks''
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| Städtische Kunstgalerie im [[Donauworth#Sehenswürdigkeiten|Deutschordenshaus]], Donauwörth
| Städtische Kunstgalerie im [[Donauworth#Sehenswürdigkeiten|Deutschordenshaus]], Donauwörth
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| ''Engelspietà''
| ''Poetà avec ange''
| um 1650
| um 1650
| 153 x 110 cm
| 153 x 110 cm

Version du 2 février 2015 à 16:49

Héliodore chassé du temple (vers 1670) huile sur toile.

Stephan Kessler (* 16 janvier 1622 à Donauwörth; † 31 août 1700 à Bressanone) est l'un des plus importants peintres baroques tyroliens. Artiste recherché du clergé et de la noblesse urbaine, il peint entre autres des retables et ds tableaux historiques bibliques. Il conçoit, en collaboration avec Caspar Feichtmayr, une salle baroque du couvent de l'abbaye de Benediktbeuern.

Biographie

La vie de Stephan Kessler est documentée par de nombreuses indications dispersées dans les archives de la région, portant sur des mariages, baptêmes, successions ou opérations immobilières, contrats et honoraires, sans qu'il soit possible d'en déduire une chronologie d'ensemble[1].

Le père de Stephan, George Kessler, est peintre de profession et vient à Donauwörth depuis Wrocław. Stephan naît le 16 janvier 1622 à Donauwörth, et un séjour à Brixen en 1643 est documenté. Stephan obtient la citoyenneté en 1644, et on lui propose, au lieu du paiement des droits, de peindre un tableau pour l'hôtel de ville; on ne sait pas s'il a accepté cette proposition. En 1643, Kessler se marie une première fois, mariage dont sont issus sept enfants. À la mort de sa femme en 1492, il se marie une deuxième fois peu de temps après et, à la mort de sa deuxième femme, une troisième fois en 1698, deux ans avant sa mort[1].

Dès son arrivée à Brixen, Kessler ouvre un atelier qu'il dirige avec une grand habilité commerciale. En peu de temps, il reçoit de nombreuses commandes de clients religieux et aristocratiques. Il est réputé au delà de du Tyrol du Sud, et avait également des clients dans des villes comme Graz et Vienne. Ultérieurement, il associe ses fils Michael, Gabriel (de) et Raphaël à son atelier[2].

Œuvres

Environnement

À l'époque de Kessler, il était de pratique courante parmi les artistes de se référer à des schémas picturaux élaborés par des collègues célèbres. Dans toute l'œuvre de Kessler on retrouve des emprunts plus ou moins détaillés de ce type, en quelque sorte des briques de base, qui sont utilisés dans le cadre de narrations variables. Un tel comportement n'est alors généralement pas condamné comme une tentative de plagiat, mais plutôt reconnu comme preuve de savoir professionnel. En plus de quelques influences d'Allemagne et d'Italie, c'est surtout le travail du peintre Pierre Paul Rubens qui offre à Stephan Kessler des inspirations pour ses travaux de grand format, agrémentés de nombreux détails et riches en couleurs. Pour cela, les reproductions graphiques des tableaux de Rubens, alors déjà largement répandues, étaient un support précieux[3]

Art sacré

Kessler est fréquemment sollicité par le clergé catholique pour la réalisation de retables. On les trouve dans de nombreuses église du Tyrol, et sont aussi conservés, pour certains d'entre eux, dans des musées, notamment au musée municipal de Merano et dans le musée rgional du Tyrol. En outre, Kessler peint des portraits de saints, des scènes de la vie du Christ et d'autres représentations de l'histoire biblique.

Am bekanntesten ist sein langgestrecktes Bild vom „Gastmahl im Haus des Simon“ von 1660, das im Augustiner-Chorherrenstift Kloster Neustift über der barocken Täfelung an der Nordwand des Refektoriums angebracht ist. Es ist 10.20 m breit, 2.35 m hoch und mit einer Fläche von ca. 24.5 m² ein ungewöhnlich großes Leinwandbild. Das zentral angelegte Hauptmotiv ist die Fußwaschung Christi durch Maria Magdalena. Die linke Tischhälfte lässt sich auf einen Rubensstich zurückführen. Andere Partien verweisen auf Gastmahl-Bilder von Paolo Veronese - das gilt für den architektonischen Rahmen sowie für den Apostel mit weißem Bart ganz rechts außen und den sitzenden Hund in der rechten Bildhälfte. Auf dessen Halsband hat der Maler das Wappen des seinerzeit amtierenden Propstes angebracht, dazu seine eigenen Initialen (S.K.). Die Figur eines stehenden Dieners mit Bierkrug am rechten Bildrand wird gelegentlich als Selbstbildnis Kesslers interpretiert[4].

Le plus connu de ses tableau est le panneau très allongé du Repas dans la maison de Simon de 1660 qui est fixé au dessus du lambris baroque sur le mur nord du réfectoire, dans le Couvent de Novacella des Chanoines réguliers de Saint Augustin. Il a une largeur de 10,20 mètres et une hauteur de 2,35 mètres. Sa superficie est d'environ 24,5 m². C'est une taille inhabituelle pour un tableau sur toile. Le sujet principal au centre est le lavement des pieds du Christ par Marie-Madeleine. La moitié gauche de la table est proche d'une gravure de Rubens. D'autres parties se réfèrent aux images de banquets de Paul Véronèse ; cela est vrai pour le cadre architectural et pour l'apôtre à la une barbe blanche situé à extrême droite et le chien assis dans la partie droite. Sur le collier du chien l'artiste a peint le blason du prévôt en alors en fonction, avec ses propres initiales (SK). Le personnage du serviteur debout avec chope de bière sur le bord droit est parfois interprété comme un autoportrait de Kessler[5].

Art profane

Les aristocrates ou propriétaires de châteaux parmi les clients de Kessler privilégiaent souvent des sujats profanes. Ils commandes des peintures d'histoire et des portraits, mais aussi des images de fêtes ou représentant les différentes saisons. Certaines images, telles que Le marché aux esclaves turques ou Christophe Colomb Columbus avant le cacique montrent que des sujets exotiques érotiques étaient appréciés. La noblesse tyrolienne appréciait particulièrement des représentations de la parabole du fils prodigue populaire, dont six séries sont conservées, chaque séquence comprenant quatre ou six images. « L'accent est mis sur la culture baroque de la fête qui est moralement interrogée [...] Tous ces tableaux servent en définitive l'édification et l'instruction, tot en négligeant pasoù le plaisir des yeux »[6].

Peintures de plafonds

Zu den Deckengemälde (de)n, die Kessler geschaffen hat, gehören die acht Marienleben (de) in der Liebfrauenkirche von Säben und die Saaldecke im Schloss Fahlburg in Prissian (de). Am bekanntesten sind seine Deckenbilder im großen barocken Festsaal im Westflügel des Konvents von Kloster Benediktbeuern. Er schuf sie zusammen mit Caspar Feichtmayr in der Zeit von 1672 bis 1675. Sie zeigen unter anderem die vier Elemente, die Erde als Einheit von Mensch, Tierwelt und Pflanzen sowie antike Göttergestalten, die das Reich der Planeten darstellen. Dort malte er auch zwischen 1675 bis 1680 den zwölfteiligen Monatsbildzyklus (de) Reigen der Monate. Auch im Schloss Schenna befinden sich noch sieben von zwölf im Jahr 1675 entstandenen Monatsbildern.

Les peintures de plafond (fr) n, Kessler a créés comprennent les huit Marienleben (fr) dans l'église de Notre-Dame de Saben, et le plafond de l'auditorium dans le château de Fahl dans Prissian (fr). Ses peintures du plafond de la grande salle de bal baroque dans l'aile ouest de la Convention de Benediktbeuern les plus connus sont. Il l'a créée en collaboration avec Caspar Feichtmayr dans la période de 1672 à 1675. Ils montrent, entre autres choses, les quatre éléments, la terre comme une unité de personnes, la faune et les plantes et les anciennes divinités représentant le royaume de la planète. Il a également peint entre 1675-1680 douze parties Mois du cycle de (fr) danse du mois . Dans le château de Scena aussi sont encore sept des douze créé en 1675 mois images.

Œuvres accessibles au public

Titre Année Dimensions Technique Lieu de conservation
Die Opferung Isaaks um 1650/60 51 x 94 cm Öl auf Holz Städtische Kunstgalerie im Deutschordenshaus, Donauwörth
Poetà avec ange um 1650 153 x 110 cm Öl auf Leinwand Brixner Dom
Jehu lässt die Baalsdiener hinrichten um 1660 162 x 228 cm Öl auf Leinwand Landesmuseum Joanneum, Graz
Gastmahl im Haus des Simon 1660 235 x 1010 cm Öl auf Leinwand Augustiner Chorherrenstift Kloster Neustift
Der Reigen der Monate 1675/1980 Deckenbilder Kloster Benediktbeuern
Die Reue des verlorenen Sohnes um 1675/80 107 x 90 cm Öl auf Leinwand Schloss Schenna

Literatur

  • Leo Andergassen (de) u.a. (Hrsg.): Stephan Kessler (1622–1700). Ein Tiroler Maler der Rubenszeit. Diözesanmuseum Hofburg Brixen, Brixen 2005, ISBN 88-88570-05-5.
  • Rainer Gruenter: Der Reigen der Monate. Die Monatsbilder (1675/80) im Alten Festsaal der Abtei Benediktbeuern von Stephan Kessler. In: Ders.: Das Reich der Jahreszeiten. OZV Offizin Verlags-AG, Zürich 1989, ISBN 3-907495-01-2, S. 38–45
  • Anton Huber: Die Brixner Malerfamilie Kessler. Stephan Kesslers Malwerk in der Beurteilung tirolischer Kunstgeschichtsschreibung II. Athesia Bozen, Brixen 1963.
  • Leo Weber (de): Der frühbarocke Festsaal und seine Deckenbilder im Kloster Benediktbeuern. Bayerischer Volksbildungsverband, München 1996.
  • Peter Stoll: Der Südtiroler Barockmaler Stephan Kessler in Schwaben: Zwei biblische Gastmähler und eine Arche Noah. Universitätsbibliothek, Augsburg 2012 (Volltext)

Weblinks

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Einzelnachweise

  1. a et b Eduard Scheiber, « Archivalische Belege zu Stephan Kessler und dessen Familie », dans: Stephan Kessler. Ein Tiroler Maler der Rubenszeit, (Catalogue d'exposition), Diözesanmuseum Hofburg Brixen, 2005, p. 25 et suivantes.
  2. (it) « Venti secoli d'arte in Alto Adige - Il periodo della controriforma - Pittura », altoadige-suedtirol.
  3. Cet aspect de l’œuvre de Kessler a été mis en évidence dans l'exposition « Stephan Kessler. Ein Tiroler Maler der Rubenszeit » qui a eu lieu en 2005 au Diözesanmuseum (de) de la Hofburg Brixen (de) et dans les institutions annexes du Couvent de Novacella, Schloss Schenna (de) et Schloss Fahlburg (de).
  4. „Stephan Kessler. Ein Tiroler Maler der Rubenszeit.“ Ausstellungskatalog, S. 230 ff. Diözesanmuseum Hofburg Brixen, 2005.
  5. Stephan Kessler. Ein Tiroler Maler der Rubenszeit, (Catalogue d'exposition), Diözesanmuseum Hofburg Brixen, 2005, p. 230 et suivantes.
  6. Helmut Stampfer, « Von Fest und Historien – Zu Stephan Kesslers profanen Bildern » dans: Stephan Kessler. Ein Tiroler Maler der Rubenszeit, Diözesanmuseum Hofburg Brixen, 2005.

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